Les dirigeants du Convoi de la Liberté, Tamara Lich et Chris Barber, déclarés coupables de « méfaits »
Tamara Lich.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/City News/YouTube
3 avril 2025, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Les dirigeants du Convoi de la Liberté, Tamara Lich et Chris Barber, ont été reconnus coupables de méfaits à cause leurs rôles de dirigeants de la manifestation de 2022 et d’influenceurs sur les médias sociaux, a statué un juge fédéral canadien.
« La Couronne a prouvé hors de tout doute raisonnable que Lich et Barber ont commis un méfait », a déclaré la juge Heather Perkins-McVey, juge fédérale chargée de superviser le procès des deux hommes, lors de l’audience du verdict jeudi.
The Democracy Fund (TDF), qui a aidé la défense dans cette affaire, a également noté sur X : « Le méfait est prouvé au-delà de tout doute raisonnable ici. Lich et Barber sont tous deux coupables de méfait ».
« La ligne est franchie lorsque la liberté d’expression entre en conflit avec la nécessité de maintenir l’ordre public », a déclaré le juge au cours de l’audience.
Mme Perkins-McVey a semblé se ranger à l’avis de la Couronne selon lequel l’influence de Lich et Barber sur le Convoi pour la liberté constituait un méfait public, mais elle a rejeté d’emblée la requête Carter de la Couronne qui accusait Lich et Barber de conspiration.
Lire la suiteMark Carney refuse de clarifier ses propos de 2022, lorsqu’il accusait le Convoi de la Liberté de « sédition »
Mark Carney.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : World Economic Forum/Wikimedia Commons
1er avril 2025 (LifeSiteNews) — Le premier ministre canadien Mark Carney a refusé de clarifier les commentaires qu’il a faits en 2022, alors qu’il qualifiait la manifestation du Convoi de la Liberté (contre les mandats COVID) d’acte de « sédition » et préconisait que le gouvernement mette fin au mouvement.
« Eh bien, voyez-vous, je n’étais pas encore un politicien », a-t-il répondu à un journaliste de Windsor (Ontario) où un blocus frontalier lié au Convoi de la Liberté a eu lieu en 2022, et qui lui demandait : « Que dites-vous aux Canadiens qui ont perdu confiance dans le gouvernement libéral à l’époque et qui n’ont plus confiance en vous aujourd’hui ? »
« Je suis devenu un homme politique il y a un peu plus de deux mois, deux mois et demi », a-t-il déclaré. « Je suis entré en politique parce que je pensais que ce pays avait besoin d’un grand changement. Nous avions besoin d’un grand changement dans l’économie ».
L’absence de réponse de Carney semble contraster fortement avec l’opinion ferme qu’il a exprimée dans un article publié le 7 février 2022 dans le Globe & Mail (à l’époque du convoi) et intitulé « It's Time To End The Sedition In Ottawa » [« Il est temps de mettre fin à la sédition à Ottawa »].
Lire la suiteMark Carney a été l’un des premiers à soutenir la répression du gouvernement contre le Convoi de la Liberté
Le Convoi de la Liberté en 2022.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Rebel News
19 mars 2025 (LifeSiteNews) — Le Convoi de la Liberté est arrivé à Ottawa le 29 janvier 2022. Deux semaines plus tard, le 14 février, Justin Trudeau a déclaré la Loi sur les mesures d’urgence (qui a remplacé la Loi sur les mesures de guerre en 1988) ; son ministre de la Sécurité publique, Marco Mendicino, a insisté sur le fait que les forces de l’ordre avaient demandé cette mesure. Des policiers de tout le pays ont commencé à arriver à Ottawa et, le 18 février, ils ont été envoyés dans les rues pour les « dégager » — y compris avec un contingent à cheval. J’étais à Ottawa pendant la répression, et certaines scènes étaient surréalistes.
Le 23 janvier 2024, le juge Richard Mosley de la Cour fédérale a statué que la décision de M. Trudeau d’invoquer la loi sur les situations d’urgence était à la fois « déraisonnable » et constituait une violation des droits des Canadiens tels qu’ils sont garantis par la Charte canadienne des droits et libertés. Il a estimé que l’invocation de la loi manquait de « justification, de transparence et d’intelligibilité », qu’elle portait atteinte à la liberté d’expression et qu’en raison du gel des comptes bancaires et de la répression des manifestations, elle violait la protection contre les « perquisitions et saisies abusives ».
Le gouvernement Trudeau a fait appel de ce jugement, insistant — contre toute évidence — que la loi sur les mesures d’urgence était essentielle au rétablissement de la paix, bien qu’il n’y ait pas eu un seul incident de violence documenté pendant le Convoi de la Liberté. En outre, Brenda Lucki, commissaire de la Gendarmerie royale du Canada, a directement contredit les affirmations de Mendicino, en déclarant que les forces de l’ordre n’avaient pas demandé l’application de la loi sur l’état d’urgence, un élément clé de la justification de l’invocation par le gouvernement. « Il n’a jamais été question de demander l’application de la loi sur les mesures d’urgence », a carrément déclaré Brenda Lucki à la Commission de l’ordre public et des situations d’urgence.
Il est intéressant de noter que l’un des premiers partisans d’une répression du Convoi pour la Liberté était... l’actuel premier ministre Mark Carney. Le 7 février, une semaine à peine après le début des manifestations, Carney a rédigé un éditorial furieux dans le Globe and Mail, intitulé « C’est de la sédition et il est temps d’y mettre un terme à Ottawa ». Il affirme que les gens sont « terrorisés », que les femmes « fuient les abus » ; il déclare carrément : « C’est de la sédition. C’est un mot que je n’aurais jamais pensé utiliser un jour au Canada. Il signifie “incitation à la résistance ou à l’insurrection contre l’autorité légitime” ».
Lire la suiteUn pasteur canadien est fier d’avoir payé plus de 300 000 $ d’amendes covid pour avoir refusé de fermer son église
Henry Hildebrandt.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : X
28 août 2024 (LifeSiteNews) — Le pasteur canadien Henry Hildebrandt, qui a gardé son église ouverte pendant le COVID malgré les mandats, a récemment fini de payer un montant stupéfiant de 339 005 $ d’amendes, mais a déclaré que la somme était un « petit prix à payer » pour valider l’engagement de son église aux principes sur lesquels « le Canada et les États-Unis ont été fondés ».
« Nous venons de payer au procureur général de l’Ontario notre dernière amende — 65 005 $ hier + 274 000 $ plus tôt — pour nous être rassemblés pour le culte, pour avoir fait ce qui était biblique et constitutionnel », a écrit Hildebrandt sur X le 24 août.
« Nous avons refusé de vivre dans le mensonge, et la vérité est désormais connue de tous, Dieu soit loué ! Merci à tous pour votre soutien ! »
Hildebrandt, qui est le pasteur principal de l’Église de Dieu à Aylmer, en Ontario, a inclus une vidéo dans son annonce, réitérant que son refus d’accepter les mandats provinciaux du COVID était simplement sa façon de faire ce que « la Bible nous ordonne de faire : ne pas abandonner nos assemblées ».
Lire la suiteArrêtés par la police à Paris pour le message : « Arrêtez l’attaque contre les chrétiens ! »
Communiqué de presse de CitizenGO — 8 août 2024 — Photos : CitizenGO
Six membres de CitizenGO ont été contraints de passer la nuit en garde à vue pour avoir « manifesté sans l’accord du gouvernement français » contre la cérémonie des JO qui se moquaient de la chrétienté.
Lundi à Paris, le bus de campagne de CitizenGO dénonçant les moqueries à l’encontre des chrétiens dans le cadre des Jeux olympiques et faisant la promotion du site StopAttacksOnChristians.org a été intercepté par des policiers. Des policiers armés ont encerclé le bus et l’ont arrêté sous la menace des armes, et les membres de l’équipe de CitizenGO ont été emmenés dans un commissariat de police avant d’être transférés, menottés, vers un second commissariat. Ils ont été traités injustement, comme des criminels ; certains d’entre eux se sont même vu refuser toute communication avec le monde extérieur.
La campagne de CitizenGO, soutenue par des milliers de donateurs, visait à protester contre la cérémonie d’ouverture antichrétienne et haineuse des Jeux olympiques de Paris. Depuis les derniers Jeux olympiques de 2021, plus de 5 millions de chrétiens ont été déplacés de leurs foyers et ont subi des persécutions. Pourtant, le Comité international olympique a prévu un spectacle offensant mettant en scène des drag-queens nues se moquant de la Cène.
Le bus circulait depuis 9 heures du matin, circulant dans Paris, croisant des centaines de policiers pendant la journée sans aucun problème. Lorsqu’elles ont réalisé l’immense attention qu’il suscitait parmi les passants et les participants aux Jeux olympiques, craignant de tacher l’image de la France dans le monde, les élites politiques ont soudainement et brutalement censuré CitizenGO d’une manière qui s’apparente à celle d’un régime autoritaire. La police française, sous les ordres des hautes autorités politiques, a arrêté six membres de CitizenGO et le chauffeur de bus à 19 heures. Tous leurs biens ont été confisqués, ils ont été déshabillés et fouillés, et il leur a été illégalement refusé d’appeler leurs avocats, et certains n’ont même pas été autorisés à appeler les membres de leur famille, détenus sur la base d’accusations inexistantes.
Lire la suiteAu Canada, un nouveau projet de loi promet d’étouffer la liberté d’expression en prétendant punir des crimes non encore commis
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : motortion/Adobe Stock
Parmi les pays occidentaux, le Canada fonctionne un peu comme une boule de cristal. Ecoutez ce qu’il dit, voyez ce qu’il fait et vous aurez une petite idée de ce qui risque de vous arriver prochainement… La loi présentée le 24 février dernier est à analyser gravement. Elle consiste à mettre en œuvre un puissant régime de censure, indépendant du Parlement, qui signifierait la fin de la liberté d’expression au Canada. Si elle passe, Justin Trudeau aura réussi à faire advenir un nouveau type d’Etat totalitaire woke.
Alors bien sûr, elle affiche la visée de protéger les enfants contre les abus en ligne, à stopper la propagation du terrorisme extrême et du génocide, mais, dans les faits (serait-ce même sa seule intention ?), elle qualifie de « crime » une opinion contradictoire et introduit de nouvelles dispositions qui révolutionnent le droit. Et puis quand on lit par ailleurs que Trudeau vient de rejeter la possibilité de vérifier l’âge pour les sites pornographiques, l’argumentaire de la protection de l’enfance fait doucement rigoler – il y a bien autre chose.
« Créer un espace en ligne plus sûr et plus inclusif » — et parfaitement totalitaire
A la base, le projet de loi C-63 a donc été présenté comme un moyen de promouvoir la sécurité en ligne des personnes au Canada et d’y réduire les contenus préjudiciables, en imposant notamment certaines obligations aux plates-formes de médias sociaux. Comme le faisait remarquer le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles (JCCF), c’est bien beau de vouloir supprimer la vengeance pornographique, le partage non consensuel d’images intimes, les contenus qui intimident les enfants ou qui les victimisent sexuellement : mais il y a déjà des lois pour ça.
Pourquoi cette duplication inutile du Code criminel ? Il faut chercher plus loin, dans cet article 13, dont une proposition antérieure avait déjà soulevé des problèmes constitutionnels, et ses fameux discours dits de haine :
Lire la suite« Quiconque commet une infraction à la présente loi ou à toute autre loi fédérale, si la commission de l’infraction est motivée par la haine fondée sur la race, l’origine nationale ou ethnique, la langue, la couleur, la religion, le sexe, l’âge, un handicap mental ou physique, un handicap sexuel, l’orientation sexuelle, l’identité ou l’expression de genre est coupable d’un acte criminel et passible de l’emprisonnement à perpétuité. »
La Coalition nationale pour la vie avertit que le projet de loi sur les préjudices en ligne écraserait la liberté d’expression des pro-vie
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : andranik123/Adobe Stock
5 mars 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — La Coalition nationale pour la vie (CNV) avertit que le projet de loi du premier ministre Justin Trudeau sur les préjudices en ligne cible le plaidoyer pro-vie et la liberté d’expression des Canadiens.
Lors d’une entrevue exclusive avec LifeSiteNews, le président de la CNV, Jeff Gunnarson, a révélé que bien que Trudeau prétende que le projet de loi C-63, la « Loi sur les préjudices en ligne », vise à protéger les enfants de la pornographie, il s’agit en fait d’une attaque à peine voilée contre la liberté d’expression.
« Les Canadiens devraient s’inquiéter de ce projet de loi d’une portée démesurée », a averti M. Gunnarson. « En utilisant des tactiques typiquement libérales, ils essaient de séduire le public avec des objectifs bien intentionnés — protéger les enfants contre les abus sexuels en ligne — en y ajoutant plus de pouvoir pour le gouvernement afin de contrôler notre liberté d’expression ».
M. Trudeau, qui encourage l’« éducation sexuelle » graphique et l’endoctrinement des enfants par les LGBT, « tente de donner un signal de vertu aux Canadiens en leur disant qu’il se préoccupe du mal qui résulte de la sexualisation des enfants causée par la pornographie en ligne », a déclaré M. Gunnarson.
« Il espère que les électeurs lui pardonneront et oublieront son amour pour l’avortement, l’oppression des libertés et diverses idéologies marxistes en ce qui concerne la morale humaine traditionnelle et la loi naturelle », a-t-il expliqué.
Lire la suiteLa guerre non déclarée contre les parents
Par Liam Gibson (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gajus/Adobe Stock
Le 28 février 1395, Isidore Glabas, évêque de Thessalonique, en Grèce du Nord, prononça un sermon dans lequel il commença par poser la question suivante :
« Que dois-je dire et comment dois-je considérer l’ampleur du malheur présent ? ... J’ai entendu le dur décret concernant nos êtres les plus chers, et je tremble comme quelqu’un devant un feu trop chaud pour en être approché, ou comme quelqu’un qui se trouve face à un escrimeur invincible. ... Mes lèvres se transforment en lamentations, mon esprit se voile d’un nuage de découragement et je suis presque fou. Mes yeux sont remplis de larmes et je ne peux plus supporter de voir mes bien-aimés. » (1)
Ce qu’il raconte ensuite est l’une des premières descriptions que nous ayons du devshirme (du mot turc signifiant « rassemblement »), également connu sous le nom d’impôt sur le sang : le tribut sur les enfants exigé des peuples de Roumanie, de Grèce et des Balkans. Tous les cinq ans environ, sur les terres chrétiennes de l’Empire ottoman, les garçons âgés de huit à quinze ans étaient « rassemblés » et les plus grands, les plus forts et les plus beaux étaient ramenés en Anatolie en tant qu’esclaves. Là, ils étaient convertis de force à l’islam et recevaient des noms musulmans. Ils étaient soumis à des travaux forcés pour les endurcir avant de suivre une formation militaire. Les meilleurs et les plus brillants rejoignaient les rangs privilégiés des janissaires, les troupes d’élite du sultan. Fanatiquement fidèles à leur nouveau maître, ils étaient utilisés pour soumettre leur propre peuple et conquérir de nouveaux territoires pour les Turcs. C’est ainsi que les fils de parents chrétiens ont contribué à perpétuer le régime qui les avait réduits en esclavage ainsi que les générations de garçons qui leur ont succédé.
Lire la suiteJordan Peterson devra suivre une rééducation pour conserver sa licence de pyschologue : la décision est définitive
Le Dr Jordan B. Peterson.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Jordan B Peterson/YouTube
Le psychologue clinicien Jordan Peterson vient de voir rejeter par une haute cour canadienne sa demande de faire appel d’une décision qui l’oblige à suivre un cours de formation pour l’utilisation des réseaux sociaux afin de pouvoir conserver sa licence professionnelle dans l’Ontario. La décision prise par le collège des psychologues de la province devient ainsi définitive, obligeant le pourfendeur mondialement connu du wokisme et de l’idéologie du genre à choisir entre ce qu’il appelle un « camp de rééducation » — aux relents soviétoïdes — et la possibilité d’exercer sa spécialité.
Dans un message sur X, Peterson congratulait jeudi le collège des psychologues pour leur victoire lors de ce premier round, mais ajoutait : « Notez bien mes paroles cependant : la guerre ne fait que commencer. Il n’y a rien que vous puissiez m’enlever que je ne sois pas prêt à perdre. Alors faites attention. Sérieusement. Vous avez été prévenus. » Elon Musk en personne a répondu : « Wow » (waouh, en bon français !).
Lire la suiteUne femme de l'Ontario se fait demander de donner les organes de son mari mourant après qu'une greffe lui ait été refusée parce qu'il n'était pas vacciné
Garnet et Megan Harper.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
31 juillet 2023, Sudbury, Ontario (LifeSiteNews) — Les autorités sanitaires canadiennes ont demandé à une femme de l'Ontario de faire don des organes de son mari qui se mourait de n’avoir pu recevoir une greffe d’organe parce qu’il n’était pas vacciné contre le COVID-19.
En mai, le Réseau Trillium pour le don de vie (RTDV), l'agence de don d'organes de l'Ontario, a appelé Meghan Harper pour prélever les organes de son mari Garnet, alors que celui-ci était mourant parce que l'hôpital refuse de fournir des greffes d'organes aux Canadiens non vaccinés.
« Ils vous appellent alors que vous êtes assis à côté de votre proche mourant et vous demandent s'ils peuvent avoir ses organes », a déclaré Megan à la journaliste indépendante Monique Leal.
Les professionnels de la santé contactent RTDV s'ils pensent qu'un patient mourant pourrait être un bon candidat au don d'organes. Alors que Garnet passait ses derniers moments sur terre, Meghan a été informée par les infirmières qu'elle devait s'attendre à recevoir un appel de RTDV.
« Pendant ce temps, il n'était pas assez bon pour recevoir des organes de leur part... Je ne peux pas décrire ce que je ressens », poursuit-elle. « J'en ai mal au ventre ».
Selon Meghan, la collaboratrice de RTDV ignorait que Garnet était en train de mourir parce que l'hôpital avait refusé de procéder à une greffe de rein sur un Canadien non vacciné.
« Elle était surprise et n'avait manifestement aucune idée de ce qui se passait », se souvient Megan.
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