Le Forum économique mondial évoque l’exemple des mesures covid pour promouvoir des mesures « climatique »
Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial et président de son conseil d'administration.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Foundations World Economic Forum/Flickr
21 septembre 2022 (LifeSiteNews) — Le Forum économique mondial (WEF) se vante que la conformité massive aux mandats draconiens de COVID-19 « a démontré l’essence de la responsabilité sociale individuelle » et a contribué à ouvrir la voie aux prochaines restrictions liées au « climat ».
Dirigé par Klaus Schwab — ingénieur allemand, économiste et auteur de « COVID-19 : The Great Reset » — le WEF a établi ce lien dans un rapport publié le 14 septembre dans le cadre de ses réunions Impact du développement durable 2022.
BREAKING: Davos launching new push for permanent "climate change" lockdowns: "The lockdowns aren't for them, the lockdowns are for YOU."
— Jack Posobiec XLV (@JackPosobiec) September 20, 2022
pic.twitter.com/nweQNmVqqN
Le rapport du WEF suggère que les initiatives visant à suivre et à restreindre l’utilisation personnelle du carbone ont eu « un succès limité en raison d’un manque d’acceptation sociale, d’une résistance politique et d’un manque de sensibilisation et de mécanisme équitable pour suivre les émissions de “Mon carbone” ».
Cependant, le document note que la réponse sans précédent au COVID-19 a créé un environnement dans lequel ce « manque d’acceptation sociale et [cette] résistance politique » pourraient être surmontés.
« Un très grand nombre de restrictions inimaginables pour la santé publique ont été adoptées par des milliards de citoyens à travers le monde », peut-on lire dans le rapport. « Il y a eu de nombreux exemples dans le monde entier de maintien de la distance sociale, de port de masques, de vaccinations de masse et d’acceptation des applications de traçage des contacts pour la santé publique, manifestant l’essence de la responsabilité sociale individuelle. »
Selon le rapport, cette obéissance « pourrait contribuer à la réalisation des initiatives “Mon carbone” pour façonner l’avenir vers des villes intelligentes et durables. »
Les auteurs du document ont souligné que l’ascension de l’intelligence artificielle (IA) et des technologies « intelligentes » issues de la soi-disant « quatrième révolution industrielle » ont fourni des systèmes permettant de surveiller et de limiter la consommation personnelle d’énergie.
Le document cite « des avancées majeures dans les technologies des maisons intelligentes, des choix de transport ayant des implications en matière de carbone » et « le déploiement de compteurs intelligents » qui, selon le WEF, aident les gens à choisir « de réduire leurs émissions liées à l’énergie ».
Lire la suiteUn couple irlandais refuse de payer une amende pour avoir assisté à la messe pendant le confinement
Joe et Ann Ryan.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Catholic Arena/Twitter
5 mai 2022, Donamon, Irlande (LifeSiteNews) — Un couple catholique a déclaré qu’il préférait aller en prison plutôt que de payer une amende pour avoir enfreint les restrictions COVID-19 en allant à la messe.
Le couple catholique Jim Ryan, 64 ans, et sa femme Ann, 59 ans, ont enfreint la réglementation COVID-19 le dimanche des Rameaux 28 mars 2021, en conduisant à plus de 5 km de leur domicile.
En avril, le couple a été inculpé pour cette infraction présumée par le juge Raymond Finnegan au tribunal de district de Cavan. Selon le site Independant.ie, le juge a décidé qu’ils devaient payer chacun une amende de 300 €.
« J’irai en prison avant de la payer. Je préfère aller en prison, sans l’ombre d’un doute », a rapporté Jim, un pompier à la retraite. « Je n’ai pas l’intention de leur payer une amende parce que je vais à la messe ─ pour avoir fait ce que j’ai fait toute ma vie ».
Jusqu’à présent, le couple a mené une vie tranquille et respectueuse des lois dans son cottage en pierre bordant une voie ferrée à Donamon.
« Nous avons 64 et 59 ans », a déclaré Ann, une infirmière à la retraite, et « nous n’avons jamais eu de condamnation, nous sommes des gens qui vivent tranquillement et nous ne sommes affiliés à aucune organisation ».
« Nous sommes des Joe Soap ordinaires, mais avec une différence, nous honorons Dieu et nous croyons en Dieu », a poursuivi Ann.
Le couple a lutté pour pouvoir assister à la messe en personne en raison des restrictions du COVID-19. « À une occasion, nous sommes allés dans une église près d’ici et nous avons été mis à la porte », a déclaré Jim.
« Le prêtre filmait une messe pour la mettre sur Facebook et quand nous avons vu qu’elle était en cours, nous sommes entrés », se souvient-il. « Mais le prêtre est descendu vers moi et m’a dit que nous devions sortir de l’église ».
« Pour le bien du maintien de la paix, j’ai quitté l’église, mais telle était notre situation », a poursuivi Jim.
Lire la suiteLes restrictions partiellement levées en Autriche : le chapelet est une arme puissante et efficace
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)
En Autriche, à la fin du mois de novembre 2021, au milieu de la crise sociétale et dans le tourbillon des événements du monde, un père de famille décida d’agir.
« Notre pays, qui traverse actuellement l’une des crises les plus graves de son histoire, doit être confié à notre Sainte Mère. »
C'est alors qu’il a lancé l’Autriche prie qui compte maintenant plus de 250 chapelets publics récités chaque semaine.
Qu’en est-il advenu ? Les fruits sont visibles. « Le chancelier autrichien a annoncé, mercredi 16 février, la levée prochaine de la plupart des mesures contre le Covid-19. Il ne sera ainsi plus nécessaire de montrer un pass vaccinal à l’entrée des hôtels, restaurants, concerts et événements sportifs. Le couvre-feu est aussi supprimé », selon franceinfo.
« À partir du 5 mars, toutes les mesures seront supprimées, à l’exception du masque FFP2 dans les transports en commun et dans les commerces de proximité. » selon austria.info
Une volonté d’agir, une simple prière, et une confiance inébranlable : voilà ce qui a attiré la protection de Notre-Dame sur ce pays majoritairement catholique.
Suite à leur demande de « retrouver la paix et la liberté dans la société dans le respect de l’ordre et du droit naturel et divin. », les Autrichiens reprennent petit à petit leur liberté, et surtout, savent plus que jamais que leur force, leur courage et leur espoir se trouvent dans le chapelet.
Les catholiques autrichiens lancent une campagne de chapelet public en réponse au confinement
Procession du chapelet d'Österreich betet à Heiligenkreuz, le 8 décembre 2021.
Par Jennifer Bryson (Crisis Magazine), 14 décembre 2021 — Traduit et publié par Campagne Québec-Vie avec la permission de Crisis Magazine — Photo : Carmen Kronspiess
Au milieu de vagues de confinements très restrictifs et d’une proposition de mandat de vaccination universelle COVID-19 qui doit commencer le 1er février, les tensions en Autriche, où je vis, sont en hausse. Mais fin novembre, une nouvelle lueur d’espoir est apparue à l’horizon, juste à temps pour l’Avent. Louis-Pierre Laroche, négociant en vins et père de onze enfants, a lancé un appel à prier le chapelet avec d’autres en public, pour l’Autriche. Épuisés par les réponses politiques au COVID qui n’offrent que des restrictions toujours plus importantes, souffrant économiquement, isolés par les fermetures, effrayés et consternés par la perspective d’un mandat universel de vaccination, l’appel de Laroche trouve un écho auprès des Autrichiens désireux de se joindre à lui.
Chaque semaine, le mercredi soir, depuis la fin du mois de novembre, dans toute l’Autriche, des personnes ont commencé à se rassembler en public pour prier ensemble le chapelet dans le cadre de l’initiative Österreich betet [L’Autriche prie]. L’appel est simple, mais profond : « Priez pour l’Autriche ! » tous les mercredis soirs, en public, comme l’explique un prospectus, « afin que notre pays, qui traverse actuellement l’une des crises les plus graves de son histoire, soit confié à la Mère de Dieu et que l’on demande son intercession pour tous les citoyens ».
La nouvelle initiative L’Autriche Prie s’inspire de l’histoire, aborde la crise actuelle des politiques liées à la pandémie et présente des aspects de collaboration intra-catholique qui, à mon avis, offrent aux Américains [et aux Canadiens] quelque chose qui mérite d’être pris en considération. Le mouvement s’étend déjà à d’autres pays, et peut-être arrive-t-il sur la place d’une ville près de chez vous ─ ou bien vous pouvez l’y amener.
Pour comprendre l’importance de L’Autriche prie en ce moment, il est d’abord essentiel de connaître le Père Petrus Pavlicek, OFM (1902-1982). Sa Croisade du Rosaire des années 1950 est la principale source d’inspiration de L’Autriche prie d’aujourd’hui.
Après avoir été élevé dans la religion catholique, le père Pavlicek a quitté l’Église catholique au début des années 1920, puis a vécu quelques années d’égarement. En 1935, il est revenu à l’Église, en 1937, il est devenu franciscain et en 1941, il a été ordonné prêtre.
En 1944, alors qu’il était retenu par les Américains comme prisonnier de guerre à Cherbourg, en France, le père Pavlicek a entendu parler des apparitions de Fatima. Après la guerre, il a effectué un pèlerinage pour remercier d’avoir été libéré du camp de prisonniers et pour prier pour la libération de l’Autriche de l’occupation par les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et l’URSS. Au cours de son pèlerinage, il a entendu : « Faites ce que je vous dis et il y aura la paix ». Il a reconnu [dans ces paroles] l’écho du message de Fatima. Cela l’a conduit à fonder une société de prière du rosaire en 1947, qui est devenue la Croisade du Rosaire pour l’Expiation (aujourd’hui RSK) en 1949.
Lire la suiteLe cardinal Müller dénonce le Great Reset : le covid est utilisé pour établir un « état de surveillance » mondial
Cardinal Gerhard Müller.
Par Pierre-Alain Depauw (Medias Presse Info)
« Je ne veux pas être sauvé et créé à l’image et à la ressemblance de Klaus Schwab ou de Bill Gates, ou de Soros et d’autres personnes de ce genre », a déclaré le cardinal Gerhard Müller.
Le cardinal Gerhard Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a averti que les partisans de la grande réinitialisation utilisent le COVID comme une opportunité pour « soumettre le peuple à un contrôle total et établir un état de surveillance. »
Mgr Müller a fait ce commentaire dans une interview accordée à l’Institut autrichien Saint-Boniface ce mois-ci.
L’interview, menée en allemand, a été intégralement publiée aujourd’hui, mais de courts extraits avaient été envoyés plus tôt.
Le cardinal Müller a parlé de la façon dont le COVID est utilisé par les élites mondialistes comme un moyen d’inaugurer leur programme de grande réinitialisation (le Great Reset promu par le Forum économique mondial).
Il a expliqué que les restrictions sont en partie « nées de la volonté de saisir cette opportunité pour soumettre le peuple à un contrôle total [et] pour établir un état de surveillance, tout comme les partisans de la Grande Réinitialisation l’ont dit eux-mêmes ».
Le cardinal allemand a cité le fondateur et président exécutif du Forum économique mondial (WEF), Klaus Schwab, qui a décrit la pandémie de COVID-19 comme une « opportunité » de mettre en œuvre le Great Reset lorsqu’il a écrit dans un article de juin 2020 que « la pandémie représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde. »
Lire la suiteBill Gates est « optimiste » pour 2022 : nous devrions l’être aussi, mais pour des raisons totalement différentes
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : U.S. Department of Energy/Flickr/rawpixel
13 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Nous voici presque à la fin de 2021, et cela signifie qu’il est temps de regarder d’où nous venons et où nous allons.
C’est ce qu’a fait Bill Gates dans un long billet de blogue publié le 7 décembre. Il se lit comme l’une de ces lettres du Nouvel An qu’un parent éloigné écrit toujours, énumérant tout ce qu’il a accompli au cours de l’année écoulée.
Le billet commence par un bref récapitulatif de la vie de Gates en 2020 et 2021 ─ selon ses dires, il s’agit d’une existence bizarre, sans doute étrangère à ceux qui étaient sceptiques depuis le début quant au récit du COVID, mais certainement familière à beaucoup d’autres : une vie sans interaction sociale, vécue presque exclusivement à travers un écran, ne quittant la maison que pour se promener dans le jardin. La vaccination a ouvert la porte aux interactions sociales, mais seulement en petit nombre, et tout cela conformément aux directives des CDC, bien sûr.
« Ce fut une expérience étrange et déroutante », a déclaré Gates. « Mon univers personnel ne m’a jamais semblé aussi petit qu’au cours de ces 12 derniers mois. »
Personnellement, je doute que M. Gates ait vécu de cette façon. Avec le gouverneur de Californie Gavin Newsom, le maire de Chicago Lori Lightfoot, le Dr Anthony Fauci et le président Joe Biden parmi les nombreux adeptes du COVID pris en flagrant délit de violation de leurs propres mandats draconiens tout au long de cette prétendue « crise », je suis dubitative chaque fois que les élites suggèrent qu’elles ont vécu comme « nous », soumis à tous les caprices des puissants de la santé publique.
Quoi qu’il en soit, M. Gates dénonce la solitude d’une telle vie, avant de promouvoir la « connectivité » offerte par nos écrans et notre cycle d’informations 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 (avec des réserves, que nous allons aborder).
Il poursuit en exposant quatre grandes questions qu’il a en tête au moment où le monde fait ses adieux à la vieille année : « les derniers progrès accomplis pour mettre fin à la pandémie de COVID-19, les raisons pour lesquelles la perte de confiance dans les institutions pourrait être le plus grand obstacle sur notre chemin, ce que la conversation sur le climat peut nous apprendre pour progresser, et comment la numérisation rapide provoquée par la pandémie façonnera notre avenir ».
Lire la suiteL’émergence de Nowa Huta — ou la nouvelle citée idéologique
Par Douglas Farrow — Traduit par Campagne Québec-Vie
L'émergence de Nowa Huta
Une société mondiale dans laquelle les citoyens ne sont que des points de données biométriques
Douglas Farrow
Nowa Huta ─ la Nouvelle fonderie [en polonais] ─ est une ville qui fut construite de toutes pièces à la périphérie de Cracovie à partir de 1949, en grande partie à des fins de propagande soviétique, mais aussi comme site d’industrie lourde. Ses habitants prolétaires étaient censés faire contrepoids à la bourgeoisie peu coopérative de la ville historique. Bien que l’endroit ne fût pas vraiment favorable pour une fonderie, de l’acier y serait produit. Les objectifs de propagande étaient moins sûrs de réussir. Éventuellement, le syndicat indépendant et autonome « Solidarité » finit par prendre le dessus, et le rideau de fer lui-même tomba.
L’athéisme d’État avait dicté que l’architecture impressionnante de cette ville utopique ne comporterait aucune église. Ce devait être une ville pour un peuple dont les seuls dieux seraient ceux du stalinisme. En 1960, cependant, des citoyens demandèrent l’autorisation de construire une église. Une croix fut érigée sans permis et des messes furent célébrées en plein air, même par un froid glacial. Chaque fois que la croix illégale était enlevée par les autorités, elle était rapidement remise en place. Un permis de construire fut finalement obtenu et en 1967, la construction de l’église Arka Pana [l’Arche du Seigneur] commença. Dix ans plus tard, elle était consacrée par le cardinal Karol Wojtyła, un an avant qu’il ne devienne pape. L’Arche du Seigneur avait résisté au déluge et s’était posée au cœur de Nowa Huta.
Une cinquantaine d’années plus tard. Les communistes chinois, sous la direction d’un homme aussi meurtrier que Staline, sont les nouveaux dirigeants de l’Orient. Le silicium est le nouveau symbole et l’instrument du pouvoir. Un étrange axe se forme entre l’Orient et l’Occident. Le son qui le caractérise n’est pas celui de l’acier percutant rythmiquement l’acier. La Nouvelle route de la soie en produit encore beaucoup, mais devant, derrière et au-dessus de tout cela, on entend le bourdonnement des données qui circulent par vagues dans le monde beaucoup plus silencieux du silicium et des satellites, de la fibre optique et des tours de communication 5 G. Une ville nouvelle et mondiale, une Babel invisible et presque invincible, est en train de s’ériger. Il y a de la place pour les églises. Les églises ont en effet été poussées à l’intérieur de ses murs ou séduites afin qu’elles en franchissent ses portes, elles y deviennent elles aussi invisibles, mais guère invincibles.
Le monde du silicium est le monde de la propagande par excellence. Ceux qui contrôlent le récit contrôlent tout, et ici il est tout à fait possible de contrôler le récit, comme nous l’avons appris récemment. Inondez la zone, comme on dit. Les contre-narratifs sont par définition de la « désinformation », et la désinformation peut être éliminée par des interventions algorithmiques ou d’autres formes de censure. Il n’est plus nécessaire de raser les églises ou de refuser les permis de construire. Laissez-les opérer dans le cyberespace, où elles peuvent être surveillées et disciplinées si elles s’éloignent trop de la narration. L’arche peut résider dans la ville, mais c’est la ville qui contrôle ses portes, les ouvrant et les fermant.
Lire la suiteEntrevue du pro-vie Alexander Tschugguel sur la situation de l’Autriche sous dictature sanitaire
Alexander Tschugguel.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Alors que l’Autriche apprenait vendredi que toute sa population serait confinée à partir de lundi et que le gouvernement veut mettre en place la vaccination forcée contre le COVID d’ici au 1er février, j’ai demandé à Alexander Tschugguel de répondre à quelques questions sur cette dictature qui s’installe dans son pays.
Alexander Tschugguel est ce jeune converti au catholicisme, militant pro-vie et pro-famille, qui avait jeté dans le Tibre quelques statuettes de la Pachamama exposées dans une église romaine de la Via della Conciliazione à l’occasion du Synode sur l’Amazonie.
Il m’a fait part de sa volonté farouche de « résister, résister, résister » à cette « vaccination » qu’il rejette pour des raisons de conscience, de prudence médicale et de devoir moral et politique de combattre le Nouvel Ordre Mondial de la surveillance dont elle est un outil privilégié à travers la mise en place du « passeport sanitaire ».
Dès ce samedi après-midi, des dizaines voire des centaines de milliers d’Autrichiens ont rejoint à Vienne, comme lui, une manifestation géante contre le passe sanitaire, le confinement et la vaccination forcée. La grande presse n’a compté que 38 000 manifestants — pour un cortège qui a mis deux heures à passer au point où il a été filmé en live (à vérifier ici). Immense succès, pour ce pays de quelque 9 millions d’habitants !
Voici donc mon entretien avec Alexander Tschugguel, traduit de l’anglais par mes soins. — J.S.
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Les nouvelles d’Autriche ne sont pas bonnes : vous êtes actuellement un citoyen de seconde zone. Pouvez-vous nous en parler ?
Avant toute chose, le fait d’être un citoyen de seconde zone représente une sensation et une expérience inédites pour moi et mes semblables, mais je pense que l’on peut aussi vivre des choses très agréables, car j’ai découvert que je n’étais vraiment pas seul. Tout mon cercle d’amis, beaucoup de gens de ma famille, mes meilleurs amis, leurs familles, etc. sont tous de notre côté — y compris ceux qui sont vaccinés. Comme il s’agit d’une terreur scandaleuse que l’on nous impose, beaucoup de gens ont compris que c’est mal.
Quelles sont les règles qui ont été mises en place ? Depuis une semaine, nous sommes des citoyens de seconde classe parce qu’on a instauré un confinement pour les seules personnes non vaccinées. Depuis deux semaines déjà, nous sommes en quelque sorte des citoyens de seconde zone, puisque déjà nous n’étions pas autorisés à entrer dans les restaurants si nous n’étions pas vaccinés. Et maintenant, le gouvernement a publié les nouvelles règles disant qu’il y aura un confinement pour tout le monde, à partir de lundi, suivi par l’introduction de l’obligation de se faire vacciner au plus tard le dernier jour de janvier. Donc à partir du 1er février, il y aura un vaccin obligatoire en Autriche si nous ne faisons rien contre cela. Nous pouvons encore le faire : nous devons élever la voix, nous devons nous battre aussi énergiquement que possible et c’est la raison pour laquelle je rejoins une énorme manifestation organisée par un grand nombre d’organisations différentes ce samedi à Vienne à midi.
Lire la suiteRoyaume-Uni : Les décès excédentaires non liés au covid dépassent les 65 000
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : smolaw11/Adobe Stock
11 novembre 2021 Newport, R.-U. (LifeSiteNews) — Plus de 65 000 décès excédentaires sans rapport avec le COVID-19 ont été signalés en Angleterre et au Pays de Galles au cours des 18 derniers mois, ce qui amène divers experts à se demander si les confinements se sont avérés plus meurtriers que le virus lui-même.
Les données de l’Office des statistiques nationales pour l’Angleterre et le Pays de Galles indiquent que l’on a enregistré au moins 74 745 décès excédentaires survenus à domicile au cours des 18 derniers mois, par rapport aux moyennes de 2015 à 2019, dont seulement 8 759 (12 %) impliquant le COVID-19.
Selon une analyse sur les données récentes, les 65 986 « décès excédentaires » non liés au COVID-19 représentent une hausse de 37 % des décès pour la population en général, et une augmentation de 30 % pour les garçons de 15 à 19 ans.
« Le gouvernement a besoin de toute urgence de données précises sur ce qui se passe afin de prévenir d’autres décès excédentaires. La compréhension de ces données est également cruciale pour gérer notre réponse à la pandémie en veillant à la diminution des problèmes évitables, ce qui pourrait signifier que nous ne confinerons plus jamais », a déclaré le professeur Carl Heneghan, directeur du Centre for Evidence-Based Medicine de l’Université d’Oxford.
« De plus en plus de personnes meurent de causes non liées au Covid et nous continuons à voir une augmentation considérable et continue des décès en excès cette année, non causés par le Covid-19 et survenant principalement à domicile. Cette situation est extrêmement préoccupante. Il est urgent de lancer une véritable enquête pour déterminer si ces décès auraient pu être évités. Les certificats de décès ne donnent qu’un faible aperçu de ce qui se passe réellement ».
Lire la suiteGrand nombre de cas de bronchiolites chez les bébés — quelle en est la cause ?
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gian/Adobe Stock
Est-ce le déconfinement (donc le confinement) ? Est-ce les vaccins covid-19 ? Serait-ce les deux ?
Quelle est la cause de tous ces cas de bronchiolites chez les jeunes enfants ?
En France, selon, The Epoch Times, « L’hiver dernier, les confinements et les gestes barrières anti-Covid ont contribué à bloquer tous les virus, dont le VRS (virus respiratoire syncytial), responsable de la bronchiolite.
Les enfants ont été moins infectés que d’habitude et sont donc moins immunisés sur le plan collectif, ce qui laisse craindre une épidémie plus forte cette année. »
Tandis qu’au Canada où il y a une proportion anormale de cas de bronchiolites chez les bébés, le docteur Drouin dans un article de Radio-Canada affirme que, « Ce qui se passe, c’est qu’on n’a pas eu cette immunité naturelle aux autres virus la saison dernière, donc on se retrouve avec deux cohortes de bébés et de jeunes enfants qui sont en contact avec les virus respiratoires pour la première fois. Ça fait deux fois plus de gens à l’urgence. »
Le vaccin aurait-il pu y avoir un effet quelconque ?
Selon The Defender, le docteur Whelan a écrit dans une soumission publique « il semble que la protéine spike qui est la cible des principaux vaccins contre le SRAS-CoV-2 soit également l’un des principaux agents causant des dommages à des organes distants pouvant inclure le cerveau, le cœur, les poumons et les reins. Avant que l’un de ces vaccins ne soit approuvé pour une utilisation généralisée chez l’homme, il est important d’évaluer chez les sujets vaccinés les effets de la vaccination sur le cœur...
Le VAERS rapporte un cas d’un décès dû à des caillots de sang d’un bébé allaité après que sa mère ait reçu le vaccin Pfizer.