Le comédien JP Sears raconte comment les maux du monde l’ont rapproché du christianisme
L'humouriste JP Sears.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
28 mars 2023 (LifeSiteNews) — Un humoriste connu pour ses satires qui donnent à réfléchir a embrassé les valeurs chrétiennes parce que le mal est devenu plus visible au cours des trois dernières années.
JP Sears, qui a maintenant 2,8 millions d’abonnés sur YouTube, s’est souvent moqué des personnes et des pratiques « spirituelles » au cours de sa carrière sur les médias sociaux, ce qui a rendu ses véritables croyances difficiles à discerner. Vendredi, cependant, M. Sears s’est ouvert sur la manière dont il avait autrefois délaissé la religion au profit de la « spiritualité » et a expliqué pourquoi il s’est depuis rapproché du christianisme.
Dans sa vidéo intitulée « I Changed My Mind About God - Here's Why » (J’ai changé d’avis sur Dieu — voici pourquoi), M. Sears admet qu’il avait auparavant « beaucoup de jugements sur la religion et le christianisme », les considérant comme « dépassés » et non évolués. S’il voyait l’utilité de la prière dans la mesure où elle favorise un état d’esprit positif, il ne croyait pas « vraiment » que Dieu répondait à la prière.
Toutefois, au cours des trois dernières années, Sears a changé d’avis en devenant « accidentellement plus chrétien » au cours des événements mondiaux associés à l’épidémie de covid.
« Je ne pense pas être le seul dans ce cas, car j’ai vu et entendu beaucoup de gens me raconter des histoires similaires... Pourquoi les gens deviennent-ils plus chrétiens ? »
« La présence du mal et de Satan, d’où émane le mal, n’a jamais été aussi évidente, du moins de mon vivant », a déclaré M. Sears à propos des trois années qui ont suivi l’apparition du covid-19.
« Le mal ne se cache plus », a poursuivi M. Sears. « Il s’attaque à nous par le biais de l’autoritarisme, de mouvements, de personnes, de groupes, d’entreprises, de gouvernements qui tentent d’envahir nos esprits, d’envahir le libre arbitre que Dieu nous a donné. »
Lire la suiteDes pro-vie arrêtés devant un avortoir gagnent leur procès
David Benham.
LifeSitenews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
31 mars 2023, Charlotte, Caroline du Nord (Alliance Defending Freedom) — Dans le cadre du règlement d’un procès que les avocats de l’Alliance Defending Freedom ont intenté au nom de David Benham et des membres de deux organisations pro-vie qui ont été arrêtés ou cités pour avoir prié pacifiquement et conseillé des femmes sur le trottoir devant un avortoir, les responsables du comté de Mecklenburg ont admis que le Premier Amendement protège les citoyens pro-vie dans leur activisme public.
Dans le cadre de l’accord de règlement, les fonctionnaires du comté ont reconnu que « la défense pacifique des droits sur les trottoirs et les voies publiques est généralement régie par la loi du premier amendement concernant la liberté d’expression dans un forum public traditionnel ».
En outre, les fonctionnaires du comté ont déclaré que tout ordre d’urgence futur lié à la pandémie de COVID-19 autorisera expressément les rassemblements religieux en plein air et les « activités de prière sur les trottoirs et de plaidoyer pacifique en faveur de la vie » auxquelles se sont livrés M. Benham, président de Cities4Life (organisation caritative pro-vie à but non lucratif), et les autres citoyens pro-vie associés au ministère chrétien Love Life.
« Le gouvernement peut protéger la santé et la sécurité publiques tout en respectant les libertés garanties par la Constitution des Américains », a déclaré Denise Harle, avocate-conseil de l’ADF et directrice du Centre pour la vie de l’ADF.
Depuis le début, cette affaire porte sur le fait que le gouvernement réduit des personnes au silence parce qu’il n’aime pas leur point de vue. Les personnes croyantes ne peuvent pas être pointées du doigt pour leurs croyances religieuses ou parce que leur forme d’expression est la prière ou le conseil pro-vie. Nous félicitons les autorités du comté de Mecklenburg d’avoir enfin accepté de respecter la liberté d’expression de M. Benham et des autres citoyens pro-vie et d’avoir reconnu leur liberté de prier et de s’exprimer sur la place publique, et nous invitons la ville de Charlotte à faire de même.
Avant que les avocats de l’ADF ne portent plainte contre le comté de Mecklenburg et la ville de Charlotte en avril 2020, ils ont envoyé une lettre aux responsables de la ville expliquant que les arrestations n’auraient pas dû avoir lieu car les individus avaient respecté tous les ordres et proclamations d’urgence applicables liés à la pandémie de COVID-19. Les procureurs ont abandonné toutes les charges quelques mois plus tard.
À la lumière de ce règlement, les avocats de l’ADF ont déposé mercredi une demande de non-lieu pour le comté dans l’affaire Benham v. City of Charlotte, qui est toujours en cours contre la ville de Charlotte. Dans le cadre du règlement, les responsables du comté de Mecklenburg ont accepté de verser 20 000 dollars pour couvrir les frais d’avocats des organisations pro-vie.
Un entretien avec Louis-Pierre Laroche, fondateur des chapelets publics « La France prie » pour implorer la protection de la Vierge Marie
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : TLV/YouTube
Chaque semaine, plus de 5 000 groupes de « priants » se rassemblent dans une quinzaine de pays pour réciter publiquement le chapelet, afin d’implorer la protection de la Vierge Marie face aux dangers et aux peurs qui nous assaillent depuis la crise du COVID et ses réglementations liberticides, la guerre en Ukraine et j’en passe. En France, ce sont plus de 2 800 chapelets publics hebdomadaires qui ont lieu, le plus souvent le mercredi (on peut retrouver les lieux ici) depuis le début de 2021. Le fondateur de ces chapelets publics, Louis-Pierre Laroche, est vendéen ; il vit et travaille en Autriche et c’est là qu’il a lancé la première salve de prières publiques au moment où les Autrichiens se voyaient menacés d’amendes récurrentes de plusieurs milliers d’euros en cas de refus de la vaccination COVID. Il nous raconte cette histoire aussi touchante qu’elle est pleine de providence et d’espérance, en soulignant l’efficacité de la prière publique à Marie.
Dans un contexte d’inquiétude généralisée, ce mouvement conserve toute son actualité. Discrète et puissante, la prière publique du chapelet se maintient dans de nombreux pays, sous l’égide d’une charte que l’on peut consulter sur le site LaFrancePrie.org. Il est facile d’y trouver un rendez-vous près de chez soi, ou d’en créer un nouveau. Sous le manteau de Notre-Dame, on ne craint rien ! — J.S.
Notre entretien avec Louis-Pierre Laroche, fondateur de « La France prie »
Louis-Pierre Laroche, à la fin de 2021 vous avez pris l’initiative de lancer un mouvement de chapelets publics. Vous qui vivez et travaillez en Autriche, vous étiez alors confronté à une lourde menace d’obligation vaccinale contre le COVID. Celle-ci fut-elle le déclencheur de votre initiative ?
C’est certainement toute la pression psychologique autour de la crise du COVID qui a amené les gens au désespoir. J’avais de nombreux amis, parmi lesquels certains partageaient certaines opinions politiques par rapport à cette crise, qui pensaient à émigrer. Mais j’avais aussi beaucoup de partenaires commerciaux qui suivaient totalement la politique gouvernementale, et qui étaient tout aussi désespérés. Je me suis retrouvé, fin novembre, lorsque je faisais des livraisons pour les cadeaux de Noël dans des entreprises, notamment des cabinets d’avocats, face à des secrétaires qui lâchaient, en me disant au revoir : « De toute manière, il n’y a que le Ciel qui puisse nous aider. »
Ces personnes adhéraient donc à la politique du gouvernement autrichien ?
Oui ! C’étaient des gens qui s’étaient fait vacciner, qui suivaient tout, et qui voyaient bien qu’en réalité que cela ne menait à rien et que la situation était extrêmement explosive. Pour avoir participé alors à quelques manifestations contre cette politique du COVID, je me suis dit qu’il était grand temps qu’on apaise la situation, parce que s’il devait y avoir une erreur d’une part ou d’autre, une petite étincelle, elle pouvait dégénérer très rapidement en guerre civile. Nous faisions l’objet d’une guerre psychologique très forte de la part du gouvernement, qui tous les deux jours nous martelait d’amendes et d’autres exactions y compris de peines de prison, en cas de refus de suivre sa politique. La peine serait payée par la personne elle-même, on prendrait sur ses biens, elle risquerait jusqu’à six mois de prison… Les gens étaient désespérés.
Lire la suiteLa Cour d’appel d’Alberta confirme le refus de transplantation d’organe à une femme non vaccinée
Sheila Annette Lewis.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rebel News/Rumble
La Cour d’appel d’Alberta a confirmé le 8 novembre le refus de transplantation d’organe à Sheila Annette Lewis — qui souffre de fibrose pulmonaire idiopathique, une maladie progressive et débilitante, en phase terminale — en raison du fait qu’elle n’est pas vaccinée au covid. Le Justice Centre for Constitutional Freedoms a publié un communiqué sur cette affaire :
La Cour d’appel de l’Alberta a décidé que la Charte canadienne des droits et libertés ne s’applique pas à la politique de vaccination Covid-19 des Alberta Health Services et des médecins transplanteurs de l’Alberta, concernant les candidats à la transplantation. Sheila Annette Lewis a contesté la politique de vaccination Covid-19 de l’AHS et des médecins transplanteurs, qui exigeait qu’elle reçoive les vaccins Covid-19 avant de pouvoir bénéficier d’une transplantation salvatrice.
L’appel a été entendu le jeudi 20 octobre 2022, par vidéoconférence. Mme Lewis a fait valoir que la politique de vaccination Covid-19 portait atteinte à ses droits de conscience, à la vie, à la liberté et à la sécurité, ainsi qu’à ses droits à l’égalité, protégés par la Charte. Même si la Cour d’appel a convenu avec le tribunal inférieur que la Charte ne s’appliquait pas aux politiques, elle a émis des motifs selon lesquels les droits de Mme Lewis en vertu de la Charte n’avaient pas été violés.
Mme Lewis a également soutenu que le tribunal inférieur avait fait erreur en concluant que la Déclaration des droits de l’Alberta ne s’appliquait pas aux politiques de vaccination Covid-19 parce que la Charte ne s’y s’appliquait pas. La Cour d’appel n’a pas abordé ce motif d’appel ni n’a formulé de conclusion à cet égard.
En vain Mme Lewis a-t-elle fait valoir l’opinion de spécialistes dont elle a requis l’expertise, afin de démontrer le manque de preuves que le vaccin covid lui profiterait, la cour maintient l’application du règlement de l’AHS qui ne prévoit même pas d’exception pour l’immunité naturelle, bien qu’il reconnaisse les exemptions médicales.
Pourtant, il y aurait bien des raisons pour appuyer l’objection de Mme Lewis à ne pas se faire vacciner au covid. Par exemple, la plupart des vaccins covid disponibles au Canada ont employé dans leur élaboration, leur développement ou leur testage des lignées cellulaires issues de bébés avortés. En outre, il est surprenant que l’AHS ne propose pas une solution de remplacement au vaccin covid.
Lire la suitePlus de 770 groupes se réunissent à travers le Canada pour prier le chapelet pour le retour du pays à Dieu
Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Canada Needs Our Lady
18 octobre 2022 (LifeSiteNews) — La fin de semaine dernière, des centaines de rassemblements priant le rosaire ont eu lieu à travers le Canada, rassemblant des centaines de personnes pour implorer l’intercession de la Vierge pour leur pays.
Les organisateurs ont annoncé que plus de 770 groupes ont uni leurs forces samedi pour prier le Rosaire à travers le pays, y compris sur la colline du Parlement au centre-ville d’Ottawa.
L’objectif de Canada Needs Our Lady [Le Canada a besoin de Notre-Dame], une campagne menée par la Society for the Defense of Christian Civilization, est d’« obtenir le retour à Dieu du Canada par les moyens proposés par Notre-Dame de Fatima », et de « gagner les cœurs et les esprits à Notre-Dame ».
« Nous faisons cela chaque année, en essayant d’approcher plus de gens, de promouvoir notre foi catholique, et d’essayer de faire prier les gens », a déclaré une employée de la Société, judicieusement nommée Lourdes. « C’est ainsi que tout a commencé, avec l’idée d’essayer de promouvoir notre foi catholique, et ces rallyes du rosaire ne sont qu’un moyen de promouvoir notre foi ».
La Société, une organisation à but non lucratif qui a été constituée en 2013, vise à « faire progresser la religion par la promotion des enseignements religieux, des principes, des doctrines, de la morale et des observances de la foi catholique romaine et de leur application aux individus, aux familles et à la société dans la culture et la civilisation chrétiennes ».
Lourdes a déclaré que la dévotion à Marie est extrêmement importante dans la société d’aujourd’hui et qu’elle permet de montrer au monde la bonté du catholicisme.
« Il y a tellement de choses qui vont mal partout », a-t-elle dit. « Il est donc important d’essayer de montrer le bon côté du catholicisme, et c’est notre mission principale : essayer de promouvoir notre foi catholique d’une manière qui soit bonne, [montrer] la manière dont il faut faire. »
Lire la suiteEntrevue avec Dr Robert Béliveau, un expert du documentaire « CHSLD - Je me souviens »
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Documentaire « CHSLD - Je me souviens »/Joanne D’Arc/Adobe Stock
Le Dr Robert Béliveau est un médecin de famille à la retraite. Il est l’un des experts qui a participé au documentaire de Sylvain Laforest « CHSLD - Je me souviens ». Ce documentaire, qui circule sur les réseaux sociaux depuis le 30 septembre, a été réalisé pour rendre hommage aux 6 700 victimes en CHSLD et en RPA qui ont été affectées sérieusement du printemps 2020 au printemps 2021.
Le but de cette production est surtout de se rappeler qu’il est de notre devoir, autant collectif qu’individuel, de faire respecter la dignité et le caractère sacré de toute vie humaine. Un des sujets qui a été abordé dans le documentaire était la vaccination obligatoire des aînés des CHSLD, même à l'encontre de leur volonté.
Dans la communauté médicale, les opinions étaient et demeurent partagées à ce sujet. Par ailleurs, Dr Béliveau témoigne clairement de sa position dans le documentaire.
« La première chose qu’il faut réaliser, c’est qu’on est actuellement dans un système qui est complètement corrompu […] Ça ne veut pas dire que les médecins sont tous corrompus. Il faut prendre sa responsabilité et ne pas se laisser dicter [sa conduite] aveuglément par les autres qui ont des conflits d’intérêts. Le NIH, le CDC, Santé Canada, ils sont infiltrés par les Pharmas. Il faudrait qu’il y ait une indépendance totale et que les Pharmas ne soient pas du tout impliqués là-dedans. Il y a des médecins qui voient clair. »
Le Dr Béliveau a aussi accepté de parler avec Campagne Québec-Vie lors de la soirée privée de projection du documentaire qui a eu lieu à Montréal. Ce qui suit est notre entretien.
Lire la suiteUne projection privée du film « CHSLD - Je me souviens » à Montréal, organisée par les Macarons de la Dignité
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Joanne D’Arc
Éditeur: Augustin Hamilton
À Montréal, le mercredi 28 septembre, a eu lieu une projection exclusive du film « CHSLD — Je me souviens » réalisé par Sylvain Laforest, sur les 6 700 victimes des centres CHSLD et en RPA qui ont été affectées sérieusement du printemps 2020 au printemps 2021.
Les gens se sont finalement retrouvés dans un resto-bar pour discuter, manger et boire, peu importe leur statut vaccinal. Après deux ans de terreur et de trauma imposé par le gouvernement durant l’état d’urgence créé durant la pandémie, le groupe des « Macarons de la Dignité » a facilité une rencontre mémorable qui a permis aux gens de se rappeler des aînés qui ont été brutalement maltraités pendant les périodes de confinement imposées lors de la pandémie.
La magnitude de ce qui s’est produit à l’endroit des aînés, en déficit capacitaire dans notre société durant cette période de crise, nécessite une commission d’enquête indépendante. Le documentaire met à la lumière à travers plusieurs témoignages la façon abominable dont les gens en fin de vie ont été traités dans les centres CHSLD (les maisons pour personnes âgées).
Pour rentrer dans les détails, bien que cela soit difficile à partager, les aînés dans les centres CHSLD ont manqué d’eau pendant 10 jours pour qu’ils ne remplissent pas leurs couches. Puis, les vitamines C et D leur ont été refusées. Finalement, ils ont été négligés lorsqu’ils avaient la bouche pleine de vomi et leurs couches pleines. Les étages des CHSLD étaient vides des membres du personnel et ceux qui étaient présents étaient débordés par leurs responsabilités. Beaucoup de décisions qui ont été prises dans ces circonstances manquaient d’empathie et d’humanité envers les résidents.
Par exemple, un témoignage du documentaire nous fait part d’un aîné qui avait été enfermé dans sa chambre avec plusieurs cadenas qui avaient été placés sur sa porte, comme pour enfermer un animal dans une cage. L’aîné en question résistait de toutes ses capacités physiques et détruisait les cadenas en les forçant. Imposer tout ça dans le but de la santé et la sécurité publique ?
Lire la suiteLe Forum économique mondial évoque l’exemple des mesures covid pour promouvoir des mesures « climatique »
Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial et président de son conseil d'administration.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Foundations World Economic Forum/Flickr
21 septembre 2022 (LifeSiteNews) — Le Forum économique mondial (WEF) se vante que la conformité massive aux mandats draconiens de COVID-19 « a démontré l’essence de la responsabilité sociale individuelle » et a contribué à ouvrir la voie aux prochaines restrictions liées au « climat ».
Dirigé par Klaus Schwab — ingénieur allemand, économiste et auteur de « COVID-19 : The Great Reset » — le WEF a établi ce lien dans un rapport publié le 14 septembre dans le cadre de ses réunions Impact du développement durable 2022.
BREAKING: Davos launching new push for permanent "climate change" lockdowns: "The lockdowns aren't for them, the lockdowns are for YOU."
— Jack Posobiec XLV (@JackPosobiec) September 20, 2022
pic.twitter.com/nweQNmVqqN
Le rapport du WEF suggère que les initiatives visant à suivre et à restreindre l’utilisation personnelle du carbone ont eu « un succès limité en raison d’un manque d’acceptation sociale, d’une résistance politique et d’un manque de sensibilisation et de mécanisme équitable pour suivre les émissions de “Mon carbone” ».
Cependant, le document note que la réponse sans précédent au COVID-19 a créé un environnement dans lequel ce « manque d’acceptation sociale et [cette] résistance politique » pourraient être surmontés.
« Un très grand nombre de restrictions inimaginables pour la santé publique ont été adoptées par des milliards de citoyens à travers le monde », peut-on lire dans le rapport. « Il y a eu de nombreux exemples dans le monde entier de maintien de la distance sociale, de port de masques, de vaccinations de masse et d’acceptation des applications de traçage des contacts pour la santé publique, manifestant l’essence de la responsabilité sociale individuelle. »
Selon le rapport, cette obéissance « pourrait contribuer à la réalisation des initiatives “Mon carbone” pour façonner l’avenir vers des villes intelligentes et durables. »
Les auteurs du document ont souligné que l’ascension de l’intelligence artificielle (IA) et des technologies « intelligentes » issues de la soi-disant « quatrième révolution industrielle » ont fourni des systèmes permettant de surveiller et de limiter la consommation personnelle d’énergie.
Le document cite « des avancées majeures dans les technologies des maisons intelligentes, des choix de transport ayant des implications en matière de carbone » et « le déploiement de compteurs intelligents » qui, selon le WEF, aident les gens à choisir « de réduire leurs émissions liées à l’énergie ».
Lire la suiteVictoire de Fratelli d’Italia aux élections italiennes — un espoir pour les pro-vie ?
Giorgia Meloni, chef du Parti Fratelli d'Italia.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Sky news/YouTube
Le Parti Fratelli d’Italia a remporté 26,29 % du suffrage exprimé lors des élections italiennes du 25 septembre 2022, pour la Chambre basse, et 26,26 % au Sénat. Giorgia Meloni, chef du parti Fratelli d’Italia sera sans doute le prochain premier ministre d’Italie, grâce à la coalition de son parti avec La Lega de Matteo Salvini (9 %) et Forza italia de Silvio Berlusconi (8 %), totalisant 44,08 % à la Chambre et 44,36 % au Sénat.
Le Parti de Meloni a éclipsé celui de Salvini qui a perdu de la crédibilité auprès de son électorat de « droite » (faute d'un terme adéquat) après avoir participé au gouvernement gauchiste et sortant de Mario Draghi (février 2021-septembre 2022). Ce dernier a imposé un lourd confinement à la population italienne lors de la « crise covid », ainsi que l’imposition de passeports « sanitaires » et de vaccins covid — tout en s’ouvrant à l’immigration illégale que Matteo Salvini avait tenté d’endiguer en tant que ministre de l’Intérieur durant un gouvernement précédent (juin 2018-septembre 2019).
Le parti de Giorgia Meloni a cela d’intéressant qu’il veut présenter un autre choix aux femmes qui pensent avorter. Meloni déclarait plus tôt dans le mois de septembre : « Nous voulons donner le droit aux femmes qui pensent que l’avortement est le seul choix qu’elles ont, de faire un choix différent. » Ce qui n’en fait pas forcément un parti forcément pro-vie en tant que tel, car Meloni affirmait dans les phrases suivantes :
« Nous ne retirons pas un droit mais nous en ajoutons.
Je ne veux pas abolir la loi 194 sur l’avortement, je ne veux pas la changer, je veux l’appliquer. Cela signifie aussi donner de l’espace à la prévention ».
L’affaire est à suivre.
Sinon, Giorgia Meloni s’oppose à l’invasion migratoire sans contrôle et à l’idéologie du genre. En outre, le parti Fratelli d’Italia s’est notamment opposé à la dictature sanitaire durant la « crise covid ».
Les catholiques ont été trahis par l’allégeance du Vatican aux autorités laïques sur le covid
Par Alan B. Moy, MD — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Steve Jalsevac/LifeSiteNews
30 août 2022, Iowa City, Iowa (LifeSiteNews) — Les politiques laïques de santé publique pour le COVID-19 et l’autorisation d’utilisation d’urgence du vaccin ont eu un impact désastreux sur la société, mais pour les catholiques, elles ont été particulièrement lourdes en raison de leur menace pour notre liberté religieuse et notre capacité à avoir accès aux sacrements. Tout au long de la pandémie, les autorités de l’Église, à tous les niveaux de la hiérarchie, ont cédé leur autorité à des entités laïques comme les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), la Food and Drug Administration (FDA) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Ces trois entités reconnaissent aujourd’hui de graves erreurs scientifiques, et les dénonciateurs d’entreprises et de gouvernements rendent publique la corruption au sein de ces organisations (1,2). Cela n’a pas seulement conduit à une perte de confiance dans nos institutions de santé publique et notre système de soins de santé, mais aussi à la colère et à la perte de confiance des catholiques envers l’Église catholique pour avoir soutenu ce programme séculier. Cela soulève les questions suivantes : (a) L’échec du vaccin était-il prévisible ? (b) Existait-il une infrastructure scientifique et religieuse en place au Vatican pour conseiller correctement le pape sur les différentes politiques en matière de sciences et de religion ? Dans l’affirmative, y a-t-il eu une défaillance du système consultatif, et comment les autorités sanitaires laïques ont-elles convaincu le Vatican d’abandonner sa position historique sur les vaccins ? (c) Pourquoi l’Église catholique devrait-elle maintenir son autorité et son processus décisionnel séparés des autorités laïques pendant une pandémie ? (d) Le résultat médical aurait-il été différent si l’Église avait maintenu sa position médicale historique sur les vaccins dérivés de l’avortement ? Ce sont les questions auxquelles nous répondrons ci-dessous.
A. L’échec du vaccin était-il prévisible ?
La principale raison pour laquelle l’Église catholique et les autorités laïques ont fait pression en faveur de l’acceptation universelle du vaccin était l’idée que les vaccinations arrêteraient la transmission virale et, par conséquent, mettraient fin à la pandémie. Pourtant, de nombreuses preuves scientifiques publiées avant la pandémie soutenaient la notion selon laquelle les vaccins [contre des maladies] respiratoires, lorsqu’ils sont administrés par voie intramusculaire, ne parviennent pas à prévenir la transmission virale parce qu’ils ne renforcent pas ce qu’on appelle « l’immunité des muqueuses respiratoires ». Si l’on effectue une recherche de citations scientifiques sur PubMed, qui est le principal moteur de recherche du gouvernement en matière de soins de santé, on trouve 802 citations de 2000 à 2019 sur le thème des vaccins et de l’immunité des muqueuses respiratoires. Je n’ai cité qu’une petite partie de ces références (3,4,5,6,7,8,9,10,11,12,13,14,15,16). L’immunité naturelle est plus robuste et durable que l’immunité vaccinale car elle produit une immunité des muqueuses respiratoires. Cette immunité plus forte se développe parce que les voies respiratoires sont exposées à l’ensemble du virus, c’est-à-dire à tous ses composants, afin de susciter une réponse immunitaire redondante à plusieurs niveaux qui diminue ou arrête la réplication virale à un niveau qui prévient ou réduit le risque de transmission virale ultérieure. À l’inverse, les vaccins actuels COVID-19 contournent les voies respiratoires et ne contiennent que la protéine de pointe, ce qui entraîne une réponse immunitaire plus courte et plus faible et présente un plus grand risque de favoriser des mutations permettant au virus d’échapper à l’immunité, et donc de prolonger la pandémie (17,18,19,20,21,22). De plus, comme le vaccin n’active pas l’immunité de la muqueuse respiratoire, il ne peut pas prévenir la transmission virale. Cette observation est conforme aux données publiées par des pays autres que les États-Unis, qui ont montré l’avantage de l’immunité naturelle sur l’immunité vaccinale (23,24,25). Les vaccins contre les virus respiratoires ne réduisent les symptômes respiratoires qu’à court terme et doivent être revus périodiquement car des mutations virales apparaissent rapidement (26,27). Même le vaccin annuel contre la grippe ne prévient pas la transmission et les études n’ont pas démontré de façon constante qu’il réduisait les décès et les hospitalisations chez les personnes âgées (28) ou chez les adultes présentant des comorbidités graves (29). Par conséquent, les autorités laïques de santé publique et l’industrie pharmaceutique auraient dû être au courant de cette littérature médicale, mais elles ont préféré faire de fausses déclarations selon lesquelles l’immunité vaccinale était supérieure à l’immunité naturelle et empêchait la transmission.
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