Un pasteur canadien est fier d’avoir payé plus de 300 000 $ d’amendes covid pour avoir refusé de fermer son église
Henry Hildebrandt.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : X
28 août 2024 (LifeSiteNews) — Le pasteur canadien Henry Hildebrandt, qui a gardé son église ouverte pendant le COVID malgré les mandats, a récemment fini de payer un montant stupéfiant de 339 005 $ d’amendes, mais a déclaré que la somme était un « petit prix à payer » pour valider l’engagement de son église aux principes sur lesquels « le Canada et les États-Unis ont été fondés ».
« Nous venons de payer au procureur général de l’Ontario notre dernière amende — 65 005 $ hier + 274 000 $ plus tôt — pour nous être rassemblés pour le culte, pour avoir fait ce qui était biblique et constitutionnel », a écrit Hildebrandt sur X le 24 août.
« Nous avons refusé de vivre dans le mensonge, et la vérité est désormais connue de tous, Dieu soit loué ! Merci à tous pour votre soutien ! »
Hildebrandt, qui est le pasteur principal de l’Église de Dieu à Aylmer, en Ontario, a inclus une vidéo dans son annonce, réitérant que son refus d’accepter les mandats provinciaux du COVID était simplement sa façon de faire ce que « la Bible nous ordonne de faire : ne pas abandonner nos assemblées ».
Lire la suiteLe député Chris Smith avertit que le traité de l’OMS sur les pandémies constitue la plus grande menace pour la liberté dans l’histoire de l’humanité
Chris Smith.
Par Jean-Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : LifeSiteNews
6 février 2024 Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Des membres du Congrès américain ont averti lundi que le projet de traité sur les pandémies de l’Organisation mondiale de la santé, qui céderait un important pouvoir de gouvernance sur les nations à des mondialistes autoproclamés dans le cas d’une « urgence sanitaire » nouvellement déclarée, s’annonce comme la plus grande menace dans l’histoire de l’humanité pour la liberté, la souveraineté nationale et le caractère sacré de la vie.
Dans ce que les experts juridiques ont qualifié de « coup de force » calqué sur le régime communiste totalitaire chinois, avec un petit comité d’élites mondialistes de gauche s’appropriant le contrôle de toutes les fonctions de base d’une société libre, le traité de l’OMS sur les pandémies serait un accord juridiquement contraignant dont les législateurs ont souligné qu’il répondait à la définition d’un traité, si bien qu’il serait inconstitutionnel pour le président de le signer sans l’avis et le consentement du Sénat des États-Unis.
En cas de nouvelle « crise sanitaire » ou de « pandémie mondiale », le traité proposé céderait à l’OMS certains pouvoirs sur les pays membres en ce qui concerne la « crise ».
Les critères d’une telle « crise sanitaire » ont été considérablement élargis pour inclure potentiellement la « santé » de la planète, ainsi que toute crise résultant de restrictions appliquées à des « soins » considérés comme « essentiels » par l’OMS, tels que l’avortement et les opérations chirurgicales dites « transgenres ».
Lire la suiteUn traité de l’OMS pourrait obliger les États à légaliser l’avortement jusqu’à la naissance
Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l'OMS.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : MONUSCO Photos/Wikimedia Commons
Selon certaines informations, si le président Biden signe le Traité de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur les pandémies et le Règlement sanitaire international (RSI), les États-Unis pourraient être tenus par le droit international d’accepter et de mettre en œuvre toutes les parties du traité, y compris l’avortement illimité pendant les 40 semaines de grossesse.
Les États membres de l’OMS ont convenu d’un processus mondial de négociation d’un traité visant à renforcer la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies. Le projet final devrait être soumis à l’Assemblée mondiale de la santé en mai 2024. D’après ses déclarations antérieures, l’OMS considère l’avortement comme un élément essentiel des soins de santé et, pendant la pandémie de grippe aviaire, elle a qualifié l’avortement de « soin de santé essentiel ». Il est donc probable que l’OMS considère l’avortement comme un « soin de santé essentiel » lors d’une future pandémie.
Comme le rapporte le Liberty Counsel, « lorsque la décision Dobbs de la Cour suprême de renverser Roe v. Wade a été divulguée l’année dernière, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, s’est immédiatement emparé des médias sociaux pour critiquer notre Haute Cour. Non seulement Tedros a déclaré que l’avortement devrait être “considéré comme un soin de santé”, mais il a également affirmé de manière irrationnelle que “l’avortement sûr et légal sauve des vies”.
Lire la suiteUne femme de l'Ontario se fait demander de donner les organes de son mari mourant après qu'une greffe lui ait été refusée parce qu'il n'était pas vacciné
Garnet et Megan Harper.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
31 juillet 2023, Sudbury, Ontario (LifeSiteNews) — Les autorités sanitaires canadiennes ont demandé à une femme de l'Ontario de faire don des organes de son mari qui se mourait de n’avoir pu recevoir une greffe d’organe parce qu’il n’était pas vacciné contre le COVID-19.
En mai, le Réseau Trillium pour le don de vie (RTDV), l'agence de don d'organes de l'Ontario, a appelé Meghan Harper pour prélever les organes de son mari Garnet, alors que celui-ci était mourant parce que l'hôpital refuse de fournir des greffes d'organes aux Canadiens non vaccinés.
« Ils vous appellent alors que vous êtes assis à côté de votre proche mourant et vous demandent s'ils peuvent avoir ses organes », a déclaré Megan à la journaliste indépendante Monique Leal.
Les professionnels de la santé contactent RTDV s'ils pensent qu'un patient mourant pourrait être un bon candidat au don d'organes. Alors que Garnet passait ses derniers moments sur terre, Meghan a été informée par les infirmières qu'elle devait s'attendre à recevoir un appel de RTDV.
« Pendant ce temps, il n'était pas assez bon pour recevoir des organes de leur part... Je ne peux pas décrire ce que je ressens », poursuit-elle. « J'en ai mal au ventre ».
Selon Meghan, la collaboratrice de RTDV ignorait que Garnet était en train de mourir parce que l'hôpital avait refusé de procéder à une greffe de rein sur un Canadien non vacciné.
« Elle était surprise et n'avait manifestement aucune idée de ce qui se passait », se souvient Megan.
Lire la suiteLe long parcours de Steve Jalsevac, cofondateur de LifeSiteNews
Steve Jalsevac.
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie
1er juin 2023 — Le personnel de LifeSiteNews qui côtoie Steve Jalsevac régulièrement connaît celui-ci sous de nombreux aspects : le cofondateur de l’agence de presse, un Canadien sarcastique et amical qui aime converser et apprendre de nouvelles informations, un observateur passionné et joyeux de l’actualité qui garde toujours à l’esprit la « vue d’ensemble ».
Lors de l’édition canadienne du gala du 25e anniversaire de LifeSite, qui se tiendra le 18 juillet à Markham (Ontario), les lecteurs auront l’occasion de rencontrer et d’entendre Jalsevac qui, autrefois membre pro-avortement et détenteur d’une carte de « Zero Population Growth », est devenu cofondateur du premier site d’information pro-vie sur internet.
« Après ma conversion, le miracle de voir naître notre premier enfant, puis de voir des photos de bébés avortés, m’a ouvert les yeux sur l’horreur de l’avortement. J’ai alors réalisé que j’avais été complètement dupé par le mouvement en faveur de l’avortement », a déclaré M. Jalsevac.
L’un des résultats inattendus du travail de Jalsevac avec LifeSite est « une énorme satisfaction personnelle au travail et une vie de famille merveilleuse et bénie, avec huit enfants et jusqu’à présent 27 petits-enfants », a-t-il déclaré.
Mais, a-t-il fait remarquer, le travail pro-vie implique également « d’endurer une grande part d’irrationalité, des critiques fréquentes, le manque de soutien de la part de ceux dont on s’attendrait naturellement à recevoir du soutien, et l’influence négative de personnes et de dirigeants à l’esprit institutionnel qui sont aveuglés par les ambitions, l’orgueil intellectuel, le confort, la peur et qui ne sont pas disposés à endurer le moindre supposé préjudice à leur réputation ».
Lire la suiteLe comédien JP Sears raconte comment les maux du monde l’ont rapproché du christianisme
L'humouriste JP Sears.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
28 mars 2023 (LifeSiteNews) — Un humoriste connu pour ses satires qui donnent à réfléchir a embrassé les valeurs chrétiennes parce que le mal est devenu plus visible au cours des trois dernières années.
JP Sears, qui a maintenant 2,8 millions d’abonnés sur YouTube, s’est souvent moqué des personnes et des pratiques « spirituelles » au cours de sa carrière sur les médias sociaux, ce qui a rendu ses véritables croyances difficiles à discerner. Vendredi, cependant, M. Sears s’est ouvert sur la manière dont il avait autrefois délaissé la religion au profit de la « spiritualité » et a expliqué pourquoi il s’est depuis rapproché du christianisme.
Dans sa vidéo intitulée « I Changed My Mind About God - Here's Why » (J’ai changé d’avis sur Dieu — voici pourquoi), M. Sears admet qu’il avait auparavant « beaucoup de jugements sur la religion et le christianisme », les considérant comme « dépassés » et non évolués. S’il voyait l’utilité de la prière dans la mesure où elle favorise un état d’esprit positif, il ne croyait pas « vraiment » que Dieu répondait à la prière.
Toutefois, au cours des trois dernières années, Sears a changé d’avis en devenant « accidentellement plus chrétien » au cours des événements mondiaux associés à l’épidémie de covid.
« Je ne pense pas être le seul dans ce cas, car j’ai vu et entendu beaucoup de gens me raconter des histoires similaires... Pourquoi les gens deviennent-ils plus chrétiens ? »
« La présence du mal et de Satan, d’où émane le mal, n’a jamais été aussi évidente, du moins de mon vivant », a déclaré M. Sears à propos des trois années qui ont suivi l’apparition du covid-19.
« Le mal ne se cache plus », a poursuivi M. Sears. « Il s’attaque à nous par le biais de l’autoritarisme, de mouvements, de personnes, de groupes, d’entreprises, de gouvernements qui tentent d’envahir nos esprits, d’envahir le libre arbitre que Dieu nous a donné. »
Lire la suiteDes pro-vie arrêtés devant un avortoir gagnent leur procès
David Benham.
LifeSitenews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
31 mars 2023, Charlotte, Caroline du Nord (Alliance Defending Freedom) — Dans le cadre du règlement d’un procès que les avocats de l’Alliance Defending Freedom ont intenté au nom de David Benham et des membres de deux organisations pro-vie qui ont été arrêtés ou cités pour avoir prié pacifiquement et conseillé des femmes sur le trottoir devant un avortoir, les responsables du comté de Mecklenburg ont admis que le Premier Amendement protège les citoyens pro-vie dans leur activisme public.
Dans le cadre de l’accord de règlement, les fonctionnaires du comté ont reconnu que « la défense pacifique des droits sur les trottoirs et les voies publiques est généralement régie par la loi du premier amendement concernant la liberté d’expression dans un forum public traditionnel ».
En outre, les fonctionnaires du comté ont déclaré que tout ordre d’urgence futur lié à la pandémie de COVID-19 autorisera expressément les rassemblements religieux en plein air et les « activités de prière sur les trottoirs et de plaidoyer pacifique en faveur de la vie » auxquelles se sont livrés M. Benham, président de Cities4Life (organisation caritative pro-vie à but non lucratif), et les autres citoyens pro-vie associés au ministère chrétien Love Life.
« Le gouvernement peut protéger la santé et la sécurité publiques tout en respectant les libertés garanties par la Constitution des Américains », a déclaré Denise Harle, avocate-conseil de l’ADF et directrice du Centre pour la vie de l’ADF.
Depuis le début, cette affaire porte sur le fait que le gouvernement réduit des personnes au silence parce qu’il n’aime pas leur point de vue. Les personnes croyantes ne peuvent pas être pointées du doigt pour leurs croyances religieuses ou parce que leur forme d’expression est la prière ou le conseil pro-vie. Nous félicitons les autorités du comté de Mecklenburg d’avoir enfin accepté de respecter la liberté d’expression de M. Benham et des autres citoyens pro-vie et d’avoir reconnu leur liberté de prier et de s’exprimer sur la place publique, et nous invitons la ville de Charlotte à faire de même.
Avant que les avocats de l’ADF ne portent plainte contre le comté de Mecklenburg et la ville de Charlotte en avril 2020, ils ont envoyé une lettre aux responsables de la ville expliquant que les arrestations n’auraient pas dû avoir lieu car les individus avaient respecté tous les ordres et proclamations d’urgence applicables liés à la pandémie de COVID-19. Les procureurs ont abandonné toutes les charges quelques mois plus tard.
À la lumière de ce règlement, les avocats de l’ADF ont déposé mercredi une demande de non-lieu pour le comté dans l’affaire Benham v. City of Charlotte, qui est toujours en cours contre la ville de Charlotte. Dans le cadre du règlement, les responsables du comté de Mecklenburg ont accepté de verser 20 000 dollars pour couvrir les frais d’avocats des organisations pro-vie.
Un entretien avec Louis-Pierre Laroche, fondateur des chapelets publics « La France prie » pour implorer la protection de la Vierge Marie
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : TLV/YouTube
Chaque semaine, plus de 5 000 groupes de « priants » se rassemblent dans une quinzaine de pays pour réciter publiquement le chapelet, afin d’implorer la protection de la Vierge Marie face aux dangers et aux peurs qui nous assaillent depuis la crise du COVID et ses réglementations liberticides, la guerre en Ukraine et j’en passe. En France, ce sont plus de 2 800 chapelets publics hebdomadaires qui ont lieu, le plus souvent le mercredi (on peut retrouver les lieux ici) depuis le début de 2021. Le fondateur de ces chapelets publics, Louis-Pierre Laroche, est vendéen ; il vit et travaille en Autriche et c’est là qu’il a lancé la première salve de prières publiques au moment où les Autrichiens se voyaient menacés d’amendes récurrentes de plusieurs milliers d’euros en cas de refus de la vaccination COVID. Il nous raconte cette histoire aussi touchante qu’elle est pleine de providence et d’espérance, en soulignant l’efficacité de la prière publique à Marie.
Dans un contexte d’inquiétude généralisée, ce mouvement conserve toute son actualité. Discrète et puissante, la prière publique du chapelet se maintient dans de nombreux pays, sous l’égide d’une charte que l’on peut consulter sur le site LaFrancePrie.org. Il est facile d’y trouver un rendez-vous près de chez soi, ou d’en créer un nouveau. Sous le manteau de Notre-Dame, on ne craint rien ! — J.S.
Notre entretien avec Louis-Pierre Laroche, fondateur de « La France prie »
Louis-Pierre Laroche, à la fin de 2021 vous avez pris l’initiative de lancer un mouvement de chapelets publics. Vous qui vivez et travaillez en Autriche, vous étiez alors confronté à une lourde menace d’obligation vaccinale contre le COVID. Celle-ci fut-elle le déclencheur de votre initiative ?
C’est certainement toute la pression psychologique autour de la crise du COVID qui a amené les gens au désespoir. J’avais de nombreux amis, parmi lesquels certains partageaient certaines opinions politiques par rapport à cette crise, qui pensaient à émigrer. Mais j’avais aussi beaucoup de partenaires commerciaux qui suivaient totalement la politique gouvernementale, et qui étaient tout aussi désespérés. Je me suis retrouvé, fin novembre, lorsque je faisais des livraisons pour les cadeaux de Noël dans des entreprises, notamment des cabinets d’avocats, face à des secrétaires qui lâchaient, en me disant au revoir : « De toute manière, il n’y a que le Ciel qui puisse nous aider. »
Ces personnes adhéraient donc à la politique du gouvernement autrichien ?
Oui ! C’étaient des gens qui s’étaient fait vacciner, qui suivaient tout, et qui voyaient bien qu’en réalité que cela ne menait à rien et que la situation était extrêmement explosive. Pour avoir participé alors à quelques manifestations contre cette politique du COVID, je me suis dit qu’il était grand temps qu’on apaise la situation, parce que s’il devait y avoir une erreur d’une part ou d’autre, une petite étincelle, elle pouvait dégénérer très rapidement en guerre civile. Nous faisions l’objet d’une guerre psychologique très forte de la part du gouvernement, qui tous les deux jours nous martelait d’amendes et d’autres exactions y compris de peines de prison, en cas de refus de suivre sa politique. La peine serait payée par la personne elle-même, on prendrait sur ses biens, elle risquerait jusqu’à six mois de prison… Les gens étaient désespérés.
Lire la suiteLa Cour d’appel d’Alberta confirme le refus de transplantation d’organe à une femme non vaccinée
Sheila Annette Lewis.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rebel News/Rumble
La Cour d’appel d’Alberta a confirmé le 8 novembre le refus de transplantation d’organe à Sheila Annette Lewis — qui souffre de fibrose pulmonaire idiopathique, une maladie progressive et débilitante, en phase terminale — en raison du fait qu’elle n’est pas vaccinée au covid. Le Justice Centre for Constitutional Freedoms a publié un communiqué sur cette affaire :
La Cour d’appel de l’Alberta a décidé que la Charte canadienne des droits et libertés ne s’applique pas à la politique de vaccination Covid-19 des Alberta Health Services et des médecins transplanteurs de l’Alberta, concernant les candidats à la transplantation. Sheila Annette Lewis a contesté la politique de vaccination Covid-19 de l’AHS et des médecins transplanteurs, qui exigeait qu’elle reçoive les vaccins Covid-19 avant de pouvoir bénéficier d’une transplantation salvatrice.
L’appel a été entendu le jeudi 20 octobre 2022, par vidéoconférence. Mme Lewis a fait valoir que la politique de vaccination Covid-19 portait atteinte à ses droits de conscience, à la vie, à la liberté et à la sécurité, ainsi qu’à ses droits à l’égalité, protégés par la Charte. Même si la Cour d’appel a convenu avec le tribunal inférieur que la Charte ne s’appliquait pas aux politiques, elle a émis des motifs selon lesquels les droits de Mme Lewis en vertu de la Charte n’avaient pas été violés.
Mme Lewis a également soutenu que le tribunal inférieur avait fait erreur en concluant que la Déclaration des droits de l’Alberta ne s’appliquait pas aux politiques de vaccination Covid-19 parce que la Charte ne s’y s’appliquait pas. La Cour d’appel n’a pas abordé ce motif d’appel ni n’a formulé de conclusion à cet égard.
En vain Mme Lewis a-t-elle fait valoir l’opinion de spécialistes dont elle a requis l’expertise, afin de démontrer le manque de preuves que le vaccin covid lui profiterait, la cour maintient l’application du règlement de l’AHS qui ne prévoit même pas d’exception pour l’immunité naturelle, bien qu’il reconnaisse les exemptions médicales.
Pourtant, il y aurait bien des raisons pour appuyer l’objection de Mme Lewis à ne pas se faire vacciner au covid. Par exemple, la plupart des vaccins covid disponibles au Canada ont employé dans leur élaboration, leur développement ou leur testage des lignées cellulaires issues de bébés avortés. En outre, il est surprenant que l’AHS ne propose pas une solution de remplacement au vaccin covid.
Lire la suitePlus de 770 groupes se réunissent à travers le Canada pour prier le chapelet pour le retour du pays à Dieu
Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Canada Needs Our Lady
18 octobre 2022 (LifeSiteNews) — La fin de semaine dernière, des centaines de rassemblements priant le rosaire ont eu lieu à travers le Canada, rassemblant des centaines de personnes pour implorer l’intercession de la Vierge pour leur pays.
Les organisateurs ont annoncé que plus de 770 groupes ont uni leurs forces samedi pour prier le Rosaire à travers le pays, y compris sur la colline du Parlement au centre-ville d’Ottawa.
L’objectif de Canada Needs Our Lady [Le Canada a besoin de Notre-Dame], une campagne menée par la Society for the Defense of Christian Civilization, est d’« obtenir le retour à Dieu du Canada par les moyens proposés par Notre-Dame de Fatima », et de « gagner les cœurs et les esprits à Notre-Dame ».
« Nous faisons cela chaque année, en essayant d’approcher plus de gens, de promouvoir notre foi catholique, et d’essayer de faire prier les gens », a déclaré une employée de la Société, judicieusement nommée Lourdes. « C’est ainsi que tout a commencé, avec l’idée d’essayer de promouvoir notre foi catholique, et ces rallyes du rosaire ne sont qu’un moyen de promouvoir notre foi ».
La Société, une organisation à but non lucratif qui a été constituée en 2013, vise à « faire progresser la religion par la promotion des enseignements religieux, des principes, des doctrines, de la morale et des observances de la foi catholique romaine et de leur application aux individus, aux familles et à la société dans la culture et la civilisation chrétiennes ».
Lourdes a déclaré que la dévotion à Marie est extrêmement importante dans la société d’aujourd’hui et qu’elle permet de montrer au monde la bonté du catholicisme.
« Il y a tellement de choses qui vont mal partout », a-t-elle dit. « Il est donc important d’essayer de montrer le bon côté du catholicisme, et c’est notre mission principale : essayer de promouvoir notre foi catholique d’une manière qui soit bonne, [montrer] la manière dont il faut faire. »
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