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Le Canada a approuvé le « vaccin » Covid-19 à ARNm de Pfizer, testé sur une lignée cellulaire issue d’un bébé avorté

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik

L’agence gouvernementale Santé Canada a récemment approuvé le vaccin Covid-19 à ARNm BNT162b2 de Pfizer-BioNTech, le même que celui qu’on a commencé à employer en Grande-Bretagne, il a été notamment testé sur la lignée cellulaire HEK293 issue d’un bébé avorté, rapporte LifeSiteNews :

Le Canada a approuvé le vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech, qui a été testé sur des cellules provenant d’un bébé avorté, a annoncé mercredi Santé Canada.

Children of God for Life rapporte que, bien que le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 n’ait pas été développé à partir d’une lignée cellulaire provenant d’un bébé avorté, il a été testé — c’est-à-dire testé lors de la phase laboratoire sur des tissus cellulaires pour en vérifier la qualité — à l’aide de la lignée cellulaire HEK-293, qui provient d’un bébé avorté.

« Les données fournies confirment favorablement l’efficacité du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 ainsi que son innocuité », a déclaré l’agence gouvernementale dans son rapport autorisant son utilisation au Canada.

« Le vaccin est approuvé pour les personnes âgées de 16 ans et plus. Son innocuité et son efficacité chez les personnes de moins de 16 ans n’ont pas encore été établies », indique le rapport.

Le Premier ministre Justin Trudeau a déclaré lundi que jusqu’à 249 000 doses de ce vaccin administré en deux doses seront disponibles d’ici la fin de l’année, rapporte CBC. Il a déclaré que les vaccins sont principalement destinés aux résidents des maisons de soins de longue durée et au personnel.

Le Canada est prêt à recevoir jusqu’à 249 000 doses ce mois-ci, et 4 millions de doses du vaccin d’ici mars, selon l’Associated Press. Le gouvernement canadien a acheté 20 millions de doses de vaccin, et il a la possibilité d’en acheter 56 millions de plus.

Le fait que ce vaccin ait été testé avec la lignée HEK293 représente un obstacle à la réception dudit vaccin, puisqu’il emploie un moyen découlant d’un acte intrinsèquement immoral ― l’avortement ― dans le processus de fabrication du vaccin, ce qui relève de toute obligation morale d’accepter un tel produit, dût-il vous sauver la vie.

D’autre part, Santé Canada indiquent déjà des restrictions à l’administration du vaccin de Pfizer, deux réactions allergiques sévères ayant été constatées en Grande-Bretagne où l’on a commencé à utiliser le vaccin en question, selon un autre article de LifeSiteNews :

Santé Canada avertit les Canadiens d’éviter le vaccin COVID-19 nouvellement approuvé, créé par Pfizer-BioNTech, s’ils sont allergiques à l’un de ses ingrédients après que des réactions allergiques aient été signalées au Royaume-Uni.

« Les personnes ayant des allergies à l’un des ingrédients du vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech ne devraient pas le recevoir », avertit le ministère de la Santé du gouvernement du Canada dans un communiqué le 12 décembre.

« Parlez à votre professionnel de la santé de toute allergie grave ou de tout autre problème de santé que vous pourriez avoir avant de recevoir ce vaccin », ajoute-t-il.

Santé Canada rapporte que deux personnes au Royaume-Uni ont déclaré « des réactions allergiques graves au vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech le 8 décembre 2020 ».

« Santé Canada a fait un suivi des deux signalements de réactions anaphylactoïdes au vaccin contre la COVID-19 de Pfizer‑BioNTech au Royaume-Uni. Ces réactions sont survenues le 8 décembre 2020. Les deux personnes au Royaume-Uni avaient des antécédents de réactions allergiques graves et avaient sur elles un auto-injecteur d’adrénaline. Elles ont toutes deux reçu des soins et sont maintenant rétablies », déclare le ministère de la Santé.

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Malgré les assurances données par le gouvernement britannique, premier à autoriser l’emploi du vaccin de Pfizer sur sa population, des scientifiques ne sont pas d’accord sur l’innocuité relative du vaccin de Pfizer, Le Pr Caumes, chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, soulignait déjà le taux trop élevé de réactions liées au vaccin — notées dans les deux études effectuées sur vaccin — avant même que les services de santé britanniques de signalent des cas d’allergies selon Médias Presse Info :

« Au niveau des effets indésirables, il y a un vrai problème dans le vaccin Pfizer. La fréquence d’effets indésirables y est particulièrement élevée. Il y a plus d’effets indésirables chez les jeunes que chez les personnes âgées, et plus après la deuxième dose qu’après la première. »

Parmi ces effets, le Pr Caumes note dans les colonnes du Parisien « des réactions minimes dues à l’injection, comme des rougeurs et douleurs locales », mais aussi de la fièvre.

« 15,8 % des 18-55 ans ont eu 38 °C ou plus dans les sept jours qui ont suivi la seconde injection. Et 45 % ont dû prendre un médicament contre la fièvre ou la douleur. On parle aussi de 55 % de maux de tête, 62 % de fatigue. »

« C’est beaucoup trop », conclut-il.

Et les faits sont rapidement venus lui donner raison puisqu’en Grande-Bretagne comme le souligne ce même professeur Caumes, toujours sur LCI, les effets indésirables ont obligé les autorités britanniques à prendre de nouvelles mesures : « Il faut s’entourer de toutes les précautions. Les Anglais ont commencé à vacciner depuis 24 heures et ont déjà lancé une alerte », invitant à « ne plus le donner chez les allergiques ».

[…]

Le Pr Caumes regrette qu’il n’y ait toujours pas « “à la disposition des scientifiques d’études d’efficacité et de tolérance correctes” autour de ce vaccin. Il avait dès lors indiqué qu’il ne se ferait pas vacciner avec un produit dont il n’a “toujours pas lu ce dont il ressort dans des revues scientifiques” », rapporte LCI. Il est d’ailleurs furieusement étrange que les gouvernements s’obstinent à vouloir trouver un vaccin contre une maladie qui est comparable à la grippe, selon l’aveu même du porte-parole de l’OMS, le Dr Margaret Harris.

Mais ce n’est pas tout, non ce n’est pas tout…

Le gouvernement britannique, le premier donc à utiliser le vaccin de Pfizer, avait publié, avant de commencer l’administration du vaccin BNT162b2, un guide qui interdisait l’emploi du vaccin sur les femmes enceintes, déconseillait l’allaitement et recommandait fortement aux femmes de ne pas devenir enceintes dans les deux mois suivant la seconde dose, car « Les études de toxicité sur le plan de la reproduction animale n’ont pas été achevées », révèle ingénument le guide… oui le vaccin n’a pas fini d’être testé, il a même été fabriqué à une vitesse inhabituelle pour un vaccin ; un vaccin habituellement prend environ cinq ans de préparation, dont deux de testage. Un autre article de LifeSiteNews rapportait :

Dans une section intitulée « Fertilité, grossesse et lactation », le guide indique qu’il n’y a « pas ou peu de données » sur le vaccin. Par conséquent, il ne recommande pas son utilisation pour les femmes enceintes.

« Les études de toxicité sur le plan de la reproduction animale n’ont pas été achevées. Le vaccin covid-19 à ARNm BNT162b2 n’est pas recommandé durant la grossesse », indique le guide dans la section 4.6.

« Pour les femmes en âge de procréer, la grossesse doit être exclue avant la vaccination ».

Le guide conseille également aux femmes d’éviter de devenir enceintes pendant les deux premiers mois suivant leur vaccination contre le covid-19.

« En outre, il est conseillé aux femmes en âge de procréer d’éviter toute grossesse pendant au moins 2 mois après leur deuxième dose », indique-t-il

La compagnie Pfizer s’est vu accorder une clause d’exonération de responsabilité au Royaume-Uni, ce qui lui évitera toute poursuite judiciaire pour effets secondaires malheureux.

Ce qui devrait renforcer notre prudence par rapport à ce vaccin et aux étranges avertissements liés à celui-ci, c’est que deux spécialistes ― le Dr Michael Yeadon ancien directeur de la recherche respiratoire de Pfizer et le Dr Wolfgang Wodarg spécialiste des poumons et ancien chef du département de santé publique de Flensburg en Allemagne ― ont demandé la suspension des essais humains ― et par conséquent la vaccination ― à cause des fortes lacunes des études menées sur le vaccin de Pfizer, sur plusieurs points qu’ils ont énoncés. Les deux spécialistes ont rempli un recours auprès de l’Agence européenne des médicaments, responsable de l’approbation des vaccins dans toute l’Europe, « pour la suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin SRAS CoV 2, en particulier l’étude BioNtech/Pfizer sur le BNT162b », selon les mots de 2020 News, car :

Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent que les études — pour la protection de la vie et de la santé des volontaires — ne soient pas poursuivies jusqu’à ce que l’on dispose d’un plan d’étude adapté pour répondre aux importantes questions en matière de sécurité exprimées par un nombre croissant de scientifiques de renom à l’encontre du vaccin et du plan d’étude.

D’une part, les pétitionnaires demandent qu’en raison du manque connu de précision du test PCR pour une étude sérieuse, un séquençage dit de Sanger soit utilisé. C’est la seule façon de faire des déclarations fiables sur l’efficacité d’un vaccin contre le Covid-19. Sur la base des nombreux tests PCR de qualité très variable, ni le risque de maladie ni l’éventuel bénéfice d’un vaccin ne peuvent être déterminés avec la certitude requise, c’est pourquoi le fait de tester le vaccin sur des humains est contraire à l’éthique en soi.

Dans le document envoyé à l’Agence européenne des médicaments, les Drs Wodarg et Yeadon expliquent les raisons pour lesquelles les anticorps que le vaccin induirait le corps à produire pourraient le rendre plus vulnérable face au virus sauvage (sans compter d’autres problèmes), au contraire de l’immunité naturelle — subséquente à la rencontre avec le virus sauvage :

VIII. Pour qu’un vaccin fonctionne, notre système immunitaire doit être stimulé pour produire un anticorps neutralisant, par opposition à un anticorps non neutralisant. Un anticorps neutralisant est un anticorps qui peut reconnaître et se fixer à une certaine région (« épitope ») du virus, et qui fait que le virus ne pénètre pas ou ne se réplique pas dans les cellules. Un anticorps non neutralisant est un anticorps qui peut se fixer au virus, mais qui, pour une raison quelconque, ne parvient pas à neutraliser l’infectivité du virus. Avec certains virus, si une personne héberge un anticorps ne neutralisant pas le virus, une infection de ce virus peut provoquer chez cette personne une réaction plus grave au virus en raison de la présence de l’anticorps non neutralisant. Cela n’est pas vrai pour tous les virus, mais seulement pour certains d’entre eux. C’est ce qu’on appelle facilitation de l’infection par des anticorps (ADE en anglais), et c’est un problème commun au virus de la dengue, au virus Ebola, au VIH, au VRS et à la famille des coronavirus. En fait, ce problème d’ADE est l’une des principales raisons de l’échec de nombreux essais antérieurs de vaccins contre d’autres coronavirus. Des problèmes de sécurité majeurs ont été observés dans des études sur des animaux. Si l’ADE se produit chez un individu, sa réaction au virus peut être pire que celle qu’il aurait eue s’il n’avait jamais développé d’anticorps au départ. Cela peut provoquer une réaction hyperinflammatoire, une tempête de cytokines et un dérèglement général du système immunitaire qui permet au virus de causer davantage de dommages à nos poumons et à d’autres organes de notre corps. En outre, d’autres types de cellules dans tout notre corps sont maintenant susceptibles d’être infectées par des virus en raison de la voie d’entrée additionnelle pour ces derniers. De nombreuses études démontrent que l’ADE est un problème persistant avec les coronavirus en général, et en particulier avec les virus liés au SRAS. L’ADE s’est avéré être un problème sérieux avec les vaccins contre les coronavirus, et c’est la raison principale pour laquelle beaucoup de ces vaccins ont échoué lors des premiers essais in vitro ou sur les animaux. Par exemple, les macaques rhésus qui avaient été vaccinés à la protéine de pointe du virus du SRAS-CoV ont présenté de graves lésions pulmonaires aiguës lorsqu’ils ont été confrontés au SRAS-CoV, alors que les singes qui n’avaient pas été vaccinés ne l’ont pas été. De même, les souris qui avaient été vaccinées avec un de quatre vaccins différents contre le SRAS-CoV ont présenté des modifications histopathologiques dans les poumons avec infiltration d’éosinophiles après avoir été contaminées.

D’autres scientifiques témoignent des dangers des vaccins contre le coronavirus, rapporte un article de LifeSiteNews :

Lors du développement de vaccins contre les coronavirus comme le SARS-COV-1 et le MERS au début des années 2000, les chercheurs ont découvert des preuves de l’existence d’un grave problème. Des équipes de scientifiques américains et étrangers vaccinèrent des animaux avec les quatre vaccins les plus prometteurs. Au début, l’expérience semblait réussie car tous les animaux avaient développé une réponse robuste d’anticorps au coronavirus. Cependant, lorsque les scientifiques exposèrent les animaux vaccinés au virus sauvage, les résultats furent terrifiants. Les animaux vaccinés souffrirent de réactions hyper-immunes, notamment d’une inflammation répandue dans tout leur corps, en particulier dans leurs poumons.

Ce problème est bien connu. Au début du scénario COVID-19, le Dr Peter Hotez, du Baylor College of Medicine, a témoigné devant le Congrès sur les dangers de vouloir accélérer le développement d’un vaccin contre le coronavirus […]

L’article de LifeSiteNews rapporte également que les vaccins contre le coronavirus pourraient provoquer des réactions néfastes plus graves chez les sujets adultes plus âgés.

D’autre part, toujours selon le document présenté par les Drs Wodarg et Yeadon, ils indiquent que la protéine du coronavirus, contre laquelle le vaccin pousserait le corps à produire des anticorps, est impliquée sous forme homologue dans le processus de formation du placenta :

XI. Plusieurs vaccins candidats devraient induire la formation d’anticorps humoraux contre les protéines de pointe du SRAS-CoV-2. La syncytine 1 [...] qui est dérivée de rétrovirus endogènes humains (HERV) et qui est impliquée dans le développement du placenta chez les mammifères et les humains, qui est donc une condition préalable et essentielle à une grossesse réussie, se trouve également sous forme homologue dans les protéines de pointe des virus du SRAS. Rien n’indique que les anticorps contre les protéines de pointe des virus du SRAS agiraient également comme des anticorps anti-syncytine 1. Toutefois, si tel était le cas, cela empêcherait également la formation du placenta ce qui aurait pour conséquence que les femmes vaccinées deviendraient essentiellement stériles. [...] Selon la section 10.4.2 du protocole d’essai Pfizer-BioNTech, une femme en âge de procréer est admissible au vaccin si elle n’est pas enceinte ou n’allaite pas et si elle utilise une méthode contraceptive acceptable, telle que décrite dans le protocole d’essai, durant la période d’intervention (pendant un minimum de 28 jours après la dernière dose). Cela signifie que ça pourrait prendre un temps relativement long avant qu’un nombre notable de cas d’infertilité post-vaccinale puisse être observé.

Si le vaccin de Pfizer amenait le corps des femmes à réagir contre la syncitine 1, nécessaire au développement du placenta, il agirait plutôt comme un abortif permanent que comme un stérilisateur, puisque l’absence de placenta fonctionnel ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu. Par ailleurs, la syncitine 1 a des propriétés immunosuppressives qui évitent que le corps maternel ne considère l’embryon comme un intrus, « comme plusieurs protéines d’enveloppes rétrovirales, la syncytine aurait elle aussi des propriétés immunosuppressives qui serviraient à moduler le système immunitaire maternel afin d’éviter la reconnaissance de l’embryon en tant qu’antigène exogène », rapporte Wikipédia.

Avant de continuer sur la question de la possible infertilité causée par le vaccin de la compagnie Pfizer, remarquez également que le « vaccin » dont il s’agit n’en est pas vraiment un, mais consiste en une technologie tout à fait inusitée.

Le vaccin de la compagnie Pfizer, comme son nom l’indique, est un « vaccin » à ARNm ou ARN messager qui consiste à introduire dans le corps humain un brin synthétique d’ARNm du virus, afin que les cellules du corps produisent la fameuse protéine de pointe du virus, pour que cette molécule soit reconnue comme étrangère et soit éliminé, rapporte non veni pacem :

Comment cela fonctionne-t-il ? Lorsque les cellules se divisent, les brins d’ADN sont répliqués, et l’ARN messager (ARNm) joue un rôle essentiel dans les processus connus sous le nom de transcription et de traduction. Pour en savoir plus, cliquez ici. Ce que Moderna/Pfizer/Gates ont mis au point est un brin synthétique d’ARNm, qui pénètre la membrane des cellules humaines saines et détourne le processus normal de réplication. La cellule humaine auparavant saine sera désormais transformée pour produire un fragment du virus, la fameuse « protéine de pointe ». Cette molécule sera reconnue comme un agent pathogène, provoquant une réponse immunitaire.

La cellule humaine, auparavant saine, sera transformée pour produire un fragment du virus actuel. Vous avez bien lu. Ce qui suit est tiré du premier paragraphe de l’introduction de wiki sur cette technologie :

Un vaccin à ARN ou ARNm (ARN messager) est un nouveau type de vaccin qui transfecte des molécules d’ARN synthétique dans des cellules humaines. Une fois à l’intérieur des cellules, l’ARN fonctionne en tant qu’ARNm, reprogrammant les cellules afin qu’elles fabriquent la protéine étrangère qui serait normalement produite par l’agent pathogène (par exemple un virus)... Ces molécules de protéine stimulent ensuite une réponse immunitaire adaptative qui apprend au corps à détruire tout agent pathogène... La molécule d’ARNm est dans un produit véhiculaire, généralement des nanoparticules lipidiques, afin protéger les brins fragiles d’ARNm, et aider leur absorption par les cellules humaines.

... on sait peu de choses sur les effets secondaires à moyen et long terme

Si vous allez sur le wiki (en anglais) ici et cliquez sur « View History » en haut de la page, puis faites défiler vers le bas et cliquez sur « Oldest », cet article a été créé pour la première fois le 17 février 2020. Comme c’est frais ! Vous remarquerez également que pas plus tard qu’en janvier 2020, cette technologie n’était même pas encore considérée comme expérimentale. Elle était considérée comme théorique [...]

Mais pourquoi donc voudrait-on nous administrer un vaccin peu sûr, puisque peu testé, et qui risquerait peut-être de provoquer une stérilisation de masse ? Qui aurait intérêt à cela ? Qui pourrait bien vouloir une telle chose ? Je ne sais si qui que ce soit a réellement intérêt à ce que la population mondiale subisse une forte diminution, mais il est des gens qui se bercent de « douces » illusions là-dessus, notamment Bill Gates. Oui, Bill Gates, grand promoteur de la réduction de la population mondiale et de vaccins. Où est le rapport me direz-vous ? C’est lui-même qui l’a publiquement établi, lors d’une conférence sur les moyens de réduire les « gaz à effet de serre » (réchauffisme). Vous pouvez le voir faire cette étonnante déclaration vers 2 h 42 dans la vidéo qui suit :

« Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants... et se dirige vers les 9 milliards. Maintenant, si nous faisons un excellent travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de santé reproductive, nous pourrions réduire ce chiffre de 10 ou 15 % ».

Les soins de santé en eux-mêmes ne devraient pas réduire la population, normalement du moins… le terme « services de santé reproductive », quant à lui, est employé comme euphémisme désignant l’avortement, la contraception et la stérilisation ; quant aux vaccins, du moins d’après ce que l’on en dit officiellement et ordinairement, il ne devrait pas stériliser, à moins que ce ne soit voulu.

D’ailleurs, il y a quelques preuves tangibles que ce que Bill Gates a dit n’était pas un lapsus, notamment ce vaccin contre le tétanos néonatal, fourni par l’OMS et injecté à la population féminine du Kenya par le ministère de la Santé du Kenya en 2014. l’Association des médecins catholique du Kenya avait dénoncé la présence d’une hormone liée à la grossesse dans le vaccin antitétanos, bien que celle-ci ne fût pas nécessaire, amenant le corps à réagir négativement à l’hormone et empêchant par conséquent le développement d’une grossesse saine. Le Dr Muhame Ngare du Mercy Medical Centre de Nairobi affirme que des campagnes de vaccinations contre le tétanos menées par l’USAID et le FNUAP ont résulté en des fausses-couches environ trois ans plus tard.

La question cruciale maintenant est : le vaccin nous sera-t-il imposé ou non ? On peut bien se le demander devant les divagations de politiciens ou de médecins-fonctionnaires qui jouent publiquement avec l’idée de nous l’injecter de force, ou qui du moins évoquent la possibilité de demander des preuves de vaccination aux personnes voulant utiliser certains services comme l’avion, le cinéma, le théâtre, etc. (les églises ?), comme le ministre de la Santé du Québec, Christian Dubé, et le ministre de la Santé de l’Ontario, Christine Elliott.

Iudica me Deus et discerne causam meam de gente non sancta ab homine iniquo et doloso erue me.



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