Un père canadien en prison pour 6 mois pour avoir parlé de sa fille, qui se veut transgenre, comme d’une fille…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : diegoattorneyPixabay
Rob Hoogland, cet homme de Vancouver en Colombie-Britannique, père d’une jeune fille qui s’est fait pousser au transgenrisme par l’école qu’elle fréquentait au début de l’affaire, est maintenant en prison pour six mois. Son crime ? Avoir osé appeler « fille » sa fille ou employer le pronom « elle » à son propos, malgré l’interdiction de la cour en charge du procès qui opposait le père à sa fille, influencée par des activistes LGBT… International Family News rapporte :
Un père canadien est aujourd’hui en prison pour avoir simplement fait ce que tout parent aimant ferait, à savoir protéger son enfant d’un danger clair et présent.
Le vendredi 16 avril, Rob Hoogland — un facteur de Vancouver, en Colombie-Britannique — a été condamné à une peine de 6 mois de prison. Son crime ? Appeler sa fille « elle », s’insurger contre l’endoctrinement « idéologie du genre » auquel son enfant était soumis à l’école, et défendre son enfant contre l’agression médicale imposée à sa famille par l’État.
Hoogland est en prison aujourd’hui pour ces « crimes ».
Colombie-Britannique — un père emprisonné pour avoir qualifié sa fille de fille et utilisé le pronom féminin « elle »
Par Pour une école libre au Québec ― Photo : Rawpixel
Un mandat d’arrêt a été lancé par un juge pour l’arrestation d’un père après que celui-ci ait appelé sa fille biologique* « sa fille » et qu’il ait utilisé le pronom « elle » pour se référer à elle. Hoogland a été reconnu coupable d’outrage au tribunal.
Hoogland est le père d’une fille biologique* de 14 ans qui s’identifie comme transgenre et préfère que l’on utilise des pronoms masculins pour parler d’elle. Hoogland a appelé à plusieurs reprises cette personne sa fille, bien que le tribunal lui ait interdit de le faire.
Mardi, à 10 h, heure de Vancouver, Hoogland s’est rendu au tribunal en réponse au mandat d’arrestation du procureur général de la Colombie-Britannique pour outrage au tribunal. Il a été arrêté et emprisonné. Le mandat a été délivré par le juge Michael Tammen le 4 mars 2021.
Hoogland s’oppose à ce que son enfant subisse des procédures médicales « affirmatives de genre » et a répété cette opposition à de multiples reprises, dans l’espoir de sauver son enfant d’un préjudice irréversible. Le système médical canadien, le système juridique et la mère de l’enfant, pour leur part, accélèrent la transition sociale et médicale de l’enfant. Notons, qu’à l’inverse, la justice britannique recommande l’arrêt des transitions de genre avant 16 ans.
Le 14 décembre 2020, la juge Francesca Mazari a contraint Hoogland d’approuver la « transition » de genre de sa fille de quatorze ans et lui a interdit d’appeler sa fille biologique sa fille. En réponse, Hoogland a contesté cette décision en invoquant son droit à la liberté d’expression protégé par la Charte.
Lire la suiteIl dit non à la « transition » de sa fille, il risque la prison pour en avoir parler comme d’une fille
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo : AllaSerebrina/Depositphotos
Tandis que la coronafolie actuelle polarise sur elle l’attention de la majorité des humains, les autres plaies de l’univers post-moderne grossissent progressivement et continuent d’infecter le corps social dans son ensemble.
Sur le front de la déconstruction des identités, le progressisme va bon train. La genderofolie contemporaine gagne des batailles juridiques contre la famille et la nature biologique dans une indifférence quasi unanime d’une humanité globalement soumise à la peur de mourir du covid.
Au Canada, un père de famille risque la prison pour s’être opposé au changement de sexe de sa fille de 14 ans. Rob Hoogland a décidé de ne pas signer le « consentement éclairé » pour que sa fille de 14 ans subisse un traitement de changement de sexe, qui comprend, entre autres procédures, l’administration de bloqueurs de puberté.
Le juge a statué que le père ne pouvait pas discuter publiquement de cette affaire, ni s’adresser à sa fille ou à quelqu’un d’autre en parlant d’elle avec son prénom féminin. Il doit utiliser le nom Quinn ou les pronoms masculins.
Rob n’a pas obéi et le 16 mars il devra faire face à un premier procès qui pourrait le conduire à 10 jours de prison et en avril à un deuxième procès, pour une accusation plus grave, toujours concernant l’interdiction de parler en public : la sentence en cette affaire pourrait aller jusqu’à 5 ans d’emprisonnement.
Le Canada est depuis longtemps le laboratoire des pires « avancées » idéologiques lgtbqi+. Malheureusement, via l’Union européenne, cheval de Troie de la genderofolie en Europe, ces régressions civilisationnelles n’attendent pas bien longtemps pour s’imposer de l’autre côté de l’Atlantique. Demain, ce seront la France, l’Italie, l’Espagne, la Grande-Bretagne n’en est pas loin déjà, qui édicteront de telles sentences homosexualistes liberticides contre des parents normaux.
La gaystapo arc-en-ciel veut mondialement interdire aux parents conservant un certain bon sens dans ce monde d’inversion et d’invertis leurs libertés d’éducation et d’expression. Le vieil adage révolutionnaire contradictoire « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté » dans toute sa sombre splendeur !
Canada : libéré de l’injonction au silence, un père dénonce ces juges qui placent l’idéologie LGBT entre lui et sa fille
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Le père de Colombie-Britannique qui avait lutté pour empêcher la « transition » de sa fille devant les tribunaux, qui lui donnèrent tort et lui imposèrent même une injonction au silence, est maintenant capable de s’exprimer légalement, l’injonction n’ayant pas été renouvelée pour cause de confinement (la bonne blague ! ― s’il y avait de quoi rire…), selon MassResistance :
Depuis plus de deux ans, des membres du personnel scolaire, des psychologues et des militants LGBT en Colombie-Britannique amenèrent la fille de Rob à croire que la raison de sa lutte contre la dépression, et autres problèmes, est qu’elle est vraiment un garçon. Ils encouragèrent et affermirent maintes fois sa nouvelle identité « masculine ». Ils travaillèrent avec des médecins pro-LGBT qui lui donnèrent des bloqueurs de puberté et des hormones masculines afin de la « changer » en garçon.
Rob n’en apprit rien avant qu’un an fût écoulé depuis le début de toute l’affaire. Il intenta une action en justice contre le district scolaire, le personnel, les médecins et d’autres personnes. On attribua un avocat militant LGBT à sa fille pour soutenir ses illusions et s’opposer à son propre père. Les tribunaux se sont prononcés contre lui et lui ont dit qu’il devait accepter cette folie transgenre, lui ordonnant même d’employer des pronoms masculins pour désigner sa fille.
Les tribunaux imposèrent également une injonction au silence à Rob. Il ne pouvait pas parler à la presse ou au public de ce que vivait sa fille, ni même discuter de la question avec sa fille. Il y a quelques mois, l’injonction au silence a été remaniée, lui permettant d’en parler avec sa fille et même de tenter de la dissuader, mais il ne pouvait toujours pas en parler à la presse. Le 15 avril, l’injonction au silence expira. Comme les tribunaux sont fermés en raison du virus COVID-19, l’ordonnance ne put être renouvelée.
Avant même la fin de l’injonction, ce courageux père tenta de s’exprimer publiquement, encourant donc la probable peine de 30 à 45 jours d’emprisonnement (RH c’est Rob Hoogland, le père, et MR, MassResistance, le journal à qui il a accordé une entrevue) :
Lire la suiteRH : Peu après la publication de l’entrevue passée avec MassResistance j’ai été au tribunal pendant quatre jours, devant le juge Tammen. À un moment donné, j’ai utilisé un pronom féminin en référence à ma fille, et il m’a réprimandé en disant « Comment osez-vous ! » En fait, il s’est levé et m’a crié dessus dans la salle d’audience pour avoir parlé de la sorte. Il me dit : « Pourquoi avez-vous fait cela ? » Et j’ai répondu : « Je l’ai fait parce que je suis le seul à agir dans l’intérêt de ma fille. » Il n’a vraiment pas aimé que je dise ça. C’est l’état épouvantable du système judiciaire actuel du Canada.