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Face au laïcisme ou l’oubli de la doctrine du Christ-Roi

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (modifiée) : Hermitage Museum/Wikimedia Commons

Le mirage du laïcisme, ou de ses variantes multiculturalistes vaguement déistes, a entraîné maints maux dans son sillage, comme la perte des droits les plus fondamentaux basés sur les devoirs de l’Homme, comme le droit à la vie de l’enfant à naître basé sur son devoir d’Homme de connaître, aimer et servir Dieu. Car la « liberté » illimitée prônée par le laïcisme, qui rejette toute révélation ou nature, ne se base sur rien et peut donc être abrogée en tout ou en partie selon les courants de pensée et les circonstances. Tandis que la loi civile reposant sur les droits et les devoirs de la loi naturelle, qui vient de Dieu, assure dans leurs limites des garanties immuables ; mieux, si elle reconnaît les droits et devoirs fondés sur la loi surnaturelle elle facilite l’accès à la vie éternelle.

À cause du laïcisme, l’on a vu et l’on voit le divorce, la contraception, l’avortement, l’euthanasie, la fécondation in vitro et tous ses dérivés, l’homosexualité, le transgenrisme, les cours d’« éducation sexuelle » et autres aberrations être permis ou imposés à tous par l’État.

Mais il y a pire, tous ces maux découlent du fait plus grave que l’État refuse de reconnaître l’Église fondée par Dieu, l’Église catholique, induisant en erreur des millions d’âmes au sujet de leur salut éternel.

Quoi qu’il en soit, l’État laïciste est athée en pratique, car ne reconnaissant aucun droit religieux, ou reconnaissant comme l’État vaguement déiste toutes les religions ce qui revient à n’en reconnaître aucune, il le méprise quand arrive une situation critique (ou qui semble l’être…). Ainsi, avec la « pandémie » l’État foule aux pieds les droits les plus sacrés de l’Église, comme celui de tenir librement le culte dû à Dieu.

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Chose tragique, nombre d’évêques ayant abandonné ou n’ayant jamais enseigné la doctrine du règne sociale du Christ-Roi, voulant que l’État reconnaisse l’Église catholique comme seule vraie religion, ont collaboré sans résistance ni protestation sérieuse avec l’État ; certains ont même été plus César que César en ordonnant la fermeture des églises avant même que l’État ne l’ordonnât…

Comment pourrait-il en être autrement quand plusieurs prélats reconnaissaient la licéité du laïcisme et l’idéalisaient même ?

Les vagues demandes formuler par beaucoup d’évêques se circonscrivaient dans le cadre laïciste de l’État, ne réclamant le droit à tenir offices et messes qu’en tant qu’organisme religieux comme un autre. Pourtant, les successeurs des Apôtres ont des droits propres qui ne relèvent pas de l’État, dont celui de décider l’ouverture ou la fermeture des églises (pour des raisons autrement plus sérieuses que la fameuse « pandémie »).

Que résultera-t-il de cette capitulation, même si nous sortons un jour de cette dictature sanitaire ?

C’est pourquoi il est nécessaire, pour la paix et l’ordre, pour le salut de beaucoup et pour la gloire de Dieu que soit enseigné et reconnu la doctrine du règne social du Christ-Roi.

Je vous propose ici la lecture de cet excellent texte de M. l’Abbé Claude Barthe qui traite de la question de l’Église face à l’État laïciste en ces temps bouleversés.



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