La Commission canadienne des droits de la personne s’attaque à Noël pour cause de « colonialisme »
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie
Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — La Commission canadienne des droits de la personne (CCDP) est vivement critiquée pour avoir suggéré que ceux qui célèbrent les fêtes chrétiennes, dont Noël, font preuve d’intolérance et perpétuent le prétendu « colonialisme ».
Selon un document récent publié par la CCDP le 23 octobre 2023, intitulé « Document de réflexion sur l’intolérance religieuse », les fêtes telles que Noël et Pâques sont des formes de discrimination et d’intolérance religieuse.
La CCDP a déclaré que l’observation de la naissance de Jésus-Christ est « un exemple évident » d’un type de préjugé religieux enraciné dans le colonialisme.
« La discrimination à l’égard des minorités religieuses au Canada est ancrée dans l’histoire du colonialisme au Canada », peut-on lire dans le document de la Commission.
Lire la suiteLe cours d’Éthique et culture religieuse sera remplacé par celui de Culture et citoyenneté québécoise… assez peu différent
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : WaveBreakMediaMicro/AdobeStock
Le ministre de l’Éducation du Québec, François Roberge, a annoncé le remplacement du cours d’« Éthique et culture religieuse » par un cours de « Culture et citoyenneté québécoise » sensé être basé, comme l’indique son nom, sur la culture et la citoyenneté québécoise, ainsi que le dialogue et la pensée critique.
François Roberge affirme, en guise d’explication, que l’ancien cours comportait un « dogme » erroné selon lequel la religion était le seul prisme par lequel on devait voir la personne humaine, selon Le Devoir :
Il a insisté à plusieurs reprises pour dire que le cours d’ECR était « vicié à la base » et « reposait sur un dogme qui est une erreur », soit que la religion est l’unique « lunette à travers on regarde la personne ». L’analyse des identités religieuses demeurera au programme, mais perdra son aspect « prépondérant ». « On ne peut plus tolérer ce genre de biais dans nos écoles. »
Certes, la religion n’est pas le seul angle de vue sous lequel on peut voir la personne humaine, on n’étudie par le corps humain par le biais de la religion, mais par celui de la biologie, science expérimentale ; d’autre part, on n’étudiera pas la morale humaine (puisqu’elle concerne l’Homme) par le biais de la biologie ou d’une autre science expérimentale, mais par le biais de la religion ou de la philosophie (il est vrai que la Loi naturelle repose souvent sur des considérations sur la biologie humaine et de son bon usage, mais ce sont souvent des faits évidents). Mais je doute que ce fût ce que le ministre voulait dire.
Sans doute veut-il que l’on mette en parallèle le matérialisme et l’athéisme (à une place prépondérante), ou « laïcisme québécois », avec les religions. Au fond, l'angle de vue (mais non l'approche) ne sera pas tellement différent puisqu'on opposera areligion à religion.
Lire la suiteFace au laïcisme ou l’oubli de la doctrine du Christ-Roi
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (modifiée) : Hermitage Museum/Wikimedia Commons
Le mirage du laïcisme, ou de ses variantes multiculturalistes vaguement déistes, a entraîné maints maux dans son sillage, comme la perte des droits les plus fondamentaux basés sur les devoirs de l’Homme, comme le droit à la vie de l’enfant à naître basé sur son devoir d’Homme de connaître, aimer et servir Dieu. Car la « liberté » illimitée prônée par le laïcisme, qui rejette toute révélation ou nature, ne se base sur rien et peut donc être abrogée en tout ou en partie selon les courants de pensée et les circonstances. Tandis que la loi civile reposant sur les droits et les devoirs de la loi naturelle, qui vient de Dieu, assure dans leurs limites des garanties immuables ; mieux, si elle reconnaît les droits et devoirs fondés sur la loi surnaturelle elle facilite l’accès à la vie éternelle.
À cause du laïcisme, l’on a vu et l’on voit le divorce, la contraception, l’avortement, l’euthanasie, la fécondation in vitro et tous ses dérivés, l’homosexualité, le transgenrisme, les cours d’« éducation sexuelle » et autres aberrations être permis ou imposés à tous par l’État.
Mais il y a pire, tous ces maux découlent du fait plus grave que l’État refuse de reconnaître l’Église fondée par Dieu, l’Église catholique, induisant en erreur des millions d’âmes au sujet de leur salut éternel.
Quoi qu’il en soit, l’État laïciste est athée en pratique, car ne reconnaissant aucun droit religieux, ou reconnaissant comme l’État vaguement déiste toutes les religions ce qui revient à n’en reconnaître aucune, il le méprise quand arrive une situation critique (ou qui semble l’être…). Ainsi, avec la « pandémie » l’État foule aux pieds les droits les plus sacrés de l’Église, comme celui de tenir librement le culte dû à Dieu.
Lire la suiteQuand la police déboule au milieu de la messe, et quand la république la reporte
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Trois agents de police sont survenus au beau milieu d’une messe célébrée dans l’église Saint-André-de-l’Europe à Paris, sommant le curé de cesser la messe, ce qu’un prêtre qui se respecte et surtout qui respecte Dieu ne fait pas, pour finalement ordonner aux trois paroissiens présents, pour aider le prêtre dans cette messe diffusée, de sortir, selon Le Figaro :
Comme beaucoup de ses confrères en France, l’abbé Philippe de Maistre, curé de la paroisse Saint-André-de-l’Europe, à Paris (VIIIe), diffuse sur les réseaux sociaux la messe dominicale qu’il célèbre avec quelques concélébrants, confiné dans son église, pour ses paroissiens privés de messes publiques depuis le début du confinement. Mais dimanche dernier, 19 avril, alors en pleine célébration, le curé a vu avec surprise des policiers faire irruption dans son église... pour lui sommer d’arrêter la messe.
« Nous étions sept personnes : moi-même, un servant, un chantre, un organiste, et trois paroissiens pour donner la réplique et faire les lectures. Au milieu de la messe, trois policiers armés ont pénétré dans l’église, raconte le père Philippe de Maistre, encore choqué. Or, l’autorité de police dans une église, c’est le curé ! À part les pompiers, la police ne peut entrer, tant qu’elle n’est pas appelée par le curé. »
Le curé a également alerté l’archevêque de Paris, Mgr Michel Aupetit, qui a fermement dénoncé l’incident ce mercredi sur Radio Notre-Dame : « Les policiers sont entrés en arme dans l’église, or il y a interdiction formelle aux policiers d’entrer en arme dans une église. Il n’y avait pas de terroristes ! Il faut garder la tête froide et arrêter ce cirque. Sinon on va prendre la parole et (...) aboyer très fort !».
Un trouble à l’ordre public ? :
Lire la suiteLa police ne peut donc intervenir dans un sanctuaire qu’à la demande expresse du curé, à une exception près : si l’ordre public est menacé ; ce peut être un grave problème de sécurité, de tranquillité ou de salubrité, comme précisé dans un arrêt du Conseil d’État daté de 1993. La jurisprudence précise encore que les policiers doivent permettre aux personnes intéressées d’évacuer librement l’édifice, avant de faire usage de la force.
Une messe confinée, avec moins de dix personnes, constitue-t-elle un « trouble à l’ordre public » ? Difficile à défendre...
Nancy Pelosi et son projet de loi sur le coronavirus, au profit de Planned Parenthood
Nancy Pelosi.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
Un projet de loi sur l’aide aux citoyens et aux entreprises durant ce qu’on appelle la pandémie de coronavirus devait être voté au Sénat, après avoir passé avec succès la Chambres, seulement, celui-ci ne contenait pas toutes sortes d’ajouts (comme le financement de l'avortement), qui n’avaient rien avoir avec le virus en question, que les démocrates auraient voulu y voir rajoutés et qui ont dû être retirés pour que les républicains voulussent le voter. Mais, Nancy Pelosi, présidente de la Chambres des représentants des États-Unis, qui veut de toute évidence profiter de la situation, n’y voyant peut-être pas d’urgence ou la considérant peut-être inférieure à celle de son agenda, a déclaré qu’elle voulait écrire son propre projet de loi. Le premier projet de loi échoua au Sénat par 47 vote contre 47, trois républicains s’étant volontairement mis en quarantaine (geste que je trouve plutôt stupide, s’assurer que de bonne loi soient votées étant de loin plus important).
Une étude de l’ébauche du projet de loi de Mme Pelosi, publiée lundi, a révélé d’extraordinaires aspects, qui n’on rien à voir avec le coronavirus, de prêt ou de loin, comme je l’ai pu voir sur BreitBart.
Mme Pelosi veut réduire l’émission de dioxyde de carbone des avions de passagers. Le réchauffisme n’a rien à voir avec le coronavirus.
Mme Pelosi veut également autoriser la pratique de l’enregistrement de l’électeur sur place, au bureau de vote et le jour même de l’élection, pour lui permettre de voter ; et l’enregistrement de l’électeur par internet. Elle veut également autoriser la pratique du vote anticipé, par la poste, et même la désignation par un nombre illimité de personnes d’un commissionnaire (non rémunéré) qui irait déposer leur vote au bureau de vote, à un lieu de dépôt de votes ou au bureau de poste. Tous cela n’est pas sécuritaire.
Mme Pelosi veut également protéger le pouvoir des syndicats, même contre les décrets du président. Manœuvre socialiste ? Quel est le rapport avec le sujet principal ?
Mme Pelosi demande aussi l’élargissement des crédits de taxe pour l’énergie solaire et éolienne. Encore du réchauffisme.
Mme Pelosi désire imposer un peu plus le féminisme, le multiculturalisme et l’idéologie LGBT : « Le projet de loi exige que les entreprises bénéficiaires d'une aide financière soient tenues de communiquer des données sur la race et le genre en rapport avec le salaire, le nombre d'employés, la diversité des fournisseurs et la composition des conseils d'administration des entreprises. Il exige également que les agences fédérales utilisent des entreprises et des institutions financières appartenant à des minorités ou à des femmes. »
Mme Pelosi demande en sus l’extension automatique des visas de non immigrants (comme les travailleurs étrangers). Où est le rapport ?
Mme Pelosi exige de restreindre la divulgation faite par les institutions d’enseignement supérieur auprès du bureau de recensement sur le statut de citoyenneté ou d’immigration de toute personne (les étudiants par exemple). Mais quel est le rapport avec le coronavirus ?
Et enfin, la cerise sur le gâteau, Mme Pelosi exige le financement de Planned Parenthood, grand tueur d’enfants à naître. Elle précise d’ailleurs que c’est l’une des raisons pour lesquelles l’autre projet de loi n’a pas passé au Sénat… Les démocrates se soucient-ils seulement de la situation ?
Twitter suspend le compte du Parti Vox pour avoir accusé ses rivaux socialistes de promouvoir la pédophilie
Par Martin M. Barillas ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Madrid, 23 janvier 2020 (LifeSiteNews) ― Twitter a suspendu le compte de Vox, le seul parti pro-vie et pro-famille présentant actuellement des députés au Parlement espagnol.
Faisant craindre en Espagne que les entreprises médiatiques soient de mèche avec le parti socialiste régnant, de plus en plus totalitaire, Twitter neutralisé le compte officiel de Vox, alléguant que le parti avait incité à la haine sur la plateforme. Cette décision a été prise après que le chef du parti Vox, Santiago Abascal, ait tweeté samedi que le gouvernement socialiste « encourage la pédophilie avec des fonds publics ». Le porte-parole de Vox, Manuel Mariscal, a tweeté plus tard que la suspension n'était pour « rien d'autre que de la censure » [censure politique, quoi*].
Samedi, Vox a tweeté un message à l'intention d'Adriana Lastra, sous-secrétaire générale du Parti socialiste, lui disant « Ce que nous ne pouvons pas supporter, c'est que vous veniez chez nous pour nous dire comment nous devrions vivre et comment nous devrions éduquer nos enfants. Et encore moins si vous promouvez la pédophilie avec l'argent de l'État ».
Le tweet de Vox était en réponse à un tweet antérieur de Lastra, qui a écrit :
Ils ne soutiennent pas la collectivité LGTBI, ils ne soutiennent pas le mariage homosexuel, ils ne soutiennent pas l'égalité entre hommes et femmes, ils ne considèrent pas que leurs idées rétrogrades ne sont pas celles de l'ensemble de la société. Ils ne devraient pas appeler cela de la liberté : c'est de la haine.
Mardi, Twitter a informé Vox qu'il « limitait temporairement » le compte du parti, suspendant ainsi certaines fonctions, dont la publication de nouveaux messages. Le géant des médias sociaux a prétendu que le motif de cette suspension résidait en ce que le parti n'avait pas respecté son interdiction de « comportement incitant à la haine ». Twitter interdit également les menaces, les agressions et l'incitation à la violence contre les personnes.
Twitter a demandé à Vox d'effacer le tweet accusant le Parti socialiste de promouvoir la pédophilie afin de récupérer son compte.
Vox s'oppose au Parti Socialiste et aux autres partis de gauche en ce qui concerne l'avortement, les droits parentaux et l'éducation publique. En ce qui regarde les droits parentaux, Vox demande que les parents aient le droit d'empêcher que leurs enfants assistent à des cours qui promeuvent le programme du gouvernement en matière d'éducation sexuelle et de LGBTisme. Selon Vox, les parents devraient avoir le droit d'être prévenus à l'avance et de décider si leurs enfants devraient ou non assister à « des conférences, des ateliers ou des activités ayant une signification idéologique ou morale allant à l'encontre de leurs convictions ».
Lire la suiteAbolition ou modification du cours d’éthique et de culture religieuse ?
Par Pour une école libre au Québec
Le gouvernement Legault abolirait le controversé cours d’éthique et de culture religieuse (ECR), dont le titre accorderait une « importance démesurée » aux religions, pour le remplacer dès la rentrée scolaire 2022-2023 par un nouveau programme dont le contenu resterait à définir.
Le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge (ci-dessous), affirme que « la place de la religion » était trop importante dans ce cours, mis en place en 2007 par le gouvernement libéral de Jean Charest.
« On l’abolit pour le remplacer par quelque chose de neuf. Mais comme il va y avoir des éléments du cours actuel qui vont rester, comme l’éthique, la pratique du dialogue, le respect de soi et des autres, la lutte contre les stéréotypes. On appelle ça une réforme en profondeur », a-t-il dit en entrevue avec La Presse.
« Si on veut comprendre la carte géopolitique du monde, la religion est un élément qui permet de comprendre les actions de certains pays », a ajouté l’ancien instituteur.
La question de l’éducation à la sexualité, qui a fait couler beaucoup d’encre ces dernières années, doit également être intégrée dans le nouveau cours. Les questions de sexualité sont toutefois déjà abordées en ECR.
Pour le ministre Roberge, « C’est incontournable de parler de l’athéisme comme étant une des façons d’envisager le monde. Il y a énormément de Québécois qui se disent athées. » C’est possible, mais quel sera donc le but du cours ? De comprendre la carte géopolitique du monde comme lorsque Monsieur justifie l’enseignement des religions ou un cours de philosophie ? En quoi l’athéisme explique-t-il la géopolitique du monde ? Ajoutons qu’il est faux de dire que l’athéisme n’est pas enseigné en ECR, il était simplement réservé, officiellement, aux dernières années du secondaire (voir extrait du programme ci-dessous, p. 45 [543], chapitre 9).
Les élèves apprendront également des notions d’éducation à la démocratie, à l’environnement et au droit du numérique. L’environnement, cœur d’une nouvelle spiritualité universaliste, était déjà abordé dans les manuels ECR dès le primaire (voir analyse de trois manuels et Spiritualité autochtone, écologie et norme universelle moderne).
Consultation d’experts et du public
Les thèmes du nouveau cours que doit élaborer Québec seront soumis les 7, 14 et 21 février prochains à des experts et à des partenaires du milieu de l’éducation dans trois forums qui se dérouleront respectivement à Trois-Rivières, Québec et Montréal. Un rapport final sera ensuite soumis au printemps afin qu’un nouveau cours soit mis à l’essai dans certaines écoles dès la rentrée scolaire 2021-2022, avant de faire officiellement son entrée dans le programme d’études l’année suivante.
Le gouvernement Legault a également mis en ligne jeudi sur le site internet du ministère de l’Éducation une consultation publique qui permet aux citoyens de transmettre leurs opinions.
Lire la suiteQuébec abolit le cours d’éthique et culture religieuse
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : pressfoto/freepik
Selon Jean-François Roberge, ancien champion du cours d’ECR et actuel ministre de l’Éducation, celui-ci contiendrait trop d’élément religieux à son goût, comme à celui du PQ, qui, l’hiver dernier, protestait que ce cours véhiculait entre autres des stéréotypes et des dogmes religieux. Des stéréotypes peut-être, mais surtout des caricatures de religions, quant aux dogmes, il aurait fallu qu’ils fussent présents dans le cours pour pouvoir récriminer contre eux, celui-ci mettant toutes religions dans le même panier et n’en présentant surtout que leurs aspects culturels et rituels, et surtout pas leur doctrine, principe même de leur compréhension. Aussi, le gouvernement caquiste abolit-il le cours… pour le remplacer par autre chose, encore non défini. D’après La Presse :
« On l’abolit pour le remplacer par quelque chose de neuf. Mais comme il va y avoir des éléments du cours actuel qui vont rester, comme l’éthique, la pratique du dialogue, le respect de soi et des autres, la lutte contre les stéréotypes. On appelle ça une réforme en profondeur », a-t-il dit [M. Roberge] en entrevue avec La Presse.
Huit thèmes sont déjà en place pour le futur cours indéfini et laïciste. La Presse rapporte :
Le ministre de l’Éducation a déjà déterminé huit thèmes qui guideront l’élaboration du cours devant remplacer le programme d’éthique et culture religieuse au primaire et au secondaire. Il s’agit de la participation citoyenne et la démocratie, de l’éducation juridique, de l’écocitoyenneté, de l’éducation à la sexualité, du développement de soi et des relations interpersonnelles, de l’éthique, de la citoyenneté numérique et de la culture des sociétés.
Mais puisqu’il faut bien continuer à démolir la religion catholique et assoir l’athéisme, il restera donc une place pour la religion en générale, plus restreinte, donc plus stéréotypique que jamais, M. Roberge affirmant que pour la religion : « Il faudra un espace beaucoup plus petit que celui que l’on a actuellement, mais un espace quand même. »
Lire la suitePlus de «roi» ni de «seigneur» pour Jésus dans les chants de Noël d'une école anglaise
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
La directrice de l'école primaire laïque Whitehall de Chingford, dans la banlieue de Londres, a ôté les mots « roi » et « seigneur » qui étaient accolés au nom de Jésus dans les chants de Noël qui devaient être chantés lors d'une saynète de la Nativité. Décidément, elle ne voulait pas que le Christ fût roi devant tous, multiculturalisme oblige. Selon LifeSiteNews :
Une directrice d'école anglaise a réécrit les paroles d'un chant de Noël traditionnel, chanté par les enfants lors d'une saynète de la Nativité, qui parle de Jésus comme « Seigneur », pour éviter d'offenser les personnes d'autres religions, comme les musulmans.
À l'école primaire laïque Whitehall à Chingford, dans la banlieue de Londres, le directeur Zakia Khatun a annoncé lors d'une réunion la semaine dernière que des changements avaient été apportés aux chants de Noël traditionnels afin que « tous les élèves puissent participer », comme les musulmans et ceux d'autres confessions, au programme annuel de Noël.
Les mots « nouveau roi né aujourd'hui » dans le chant « Come and Join the Celebration » ont été remplacés par « un bébé né aujourd'hui », tandis que les mots « Jésus le Sauveur » ont été remplacés par « Jésus le bébé » dans « Love Shone Down ». Tout comme pour « Seigneur » qui a été retiré du chant de Noël « Away in a Manger ».
Lorsque les parents exprimèrent leurs préoccupations au sujet de cette censure, Mme Khatun a défendu sa décision, disant à une mère chrétienne que l'école est ouverte à tous les élèves et affirmant que 60 enfants n'avaient pas assisté aux chants de Noël et au spectacle de la Nativité de l'an dernier dans une paroisse anglicane voisine, St. Peter ans St. Paul. Cette année, les chants de Noël ont eu lieu le 17 décembre.
Selon une mère chrétienne identifiée comme « Margarita », le résultat a été que l'école a discriminé la majorité que composent les élèves chrétiens afin de favoriser l'inclusion.
Ikea renomme la fête de Noël en Festival de l’hiver
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo : mastrminda/Pixabay — Mise à jour, 6 décembre 2019 : Si IKEA utilise encore le mot Noël, c'est pour renvoyer à la collection « Vinterfest » ou Winterfest (Fête de l'hiver). Il y a donc une volonté de remplacer, du moins partiellement, Noël.
On trouve tout chez Ikea dit la pub sauf… les boules du sapin de Noël, les guirlandes et autres lampions qui marquent le temps festif de la naissance du Christ.
Fini Noël chez Ikea, pour ne pas offenser les nouveaux arrivants dans les pays scandinaves, place à la Fête de l’hiver. Dorénavant, novlangue de soumission oblige, ce sera donc boules de la Fête de l’hiver, guirlandes et sapin de la fête de l’hiver, etc. Pour rester « neutres » ! Et tous ces objets de décoration du temps de Noël se trouveront au rayon Winterfest. [Les Soviétiques, eux, dans leur plan d’éradication du christianisme avaient remplacé saint Nicolas par « Did Moroz », ou Grand-père Froid…]
Le chef du Parti populaire danois, Peter Skaarup, a critiqué cette décision sur Facebook :
Alors que la grande majorité des Danois attendent avec impatience de célébrer le traditionnel Noël danois, IKEA a commencé à préparer ses décorations pour un festival de l’hiver. J’aime beaucoup la Suède et les Suédois, mais ce politiquement correct devient un peu accablant.
Ikea prétend que ce changement est dans un but uniquement commercial. Le géant suédois nous permettra d’en douter…
Le grand remplacement passe aussi par cette disparition des traditions religieuses occidentales.