Une messe à Montréal pour une bonne mort face à la montée de l’euthanasie au Québec
Le Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille de l’archevêché de Montréal a annoncé une messe destinée à demander à Dieu la grâce d’une bonne mort par l’intercession de saint Joseph. Mgr Lépine célébrera cette messe dans la Cathédrale Marie-Reine-du-monde de Montréal le samedi 16 mars à 10 h 30 :
Œuvrant à promouvoir la vie, nous vous faisons part de la Messe pour demander la grâce d’une bonne mort.
En vue de la fête de saint Joseph, patron de la bonne mort, S.E. Mgr Christian Lépine invite les fidèles du diocèse de Montréal à une messe où l’on pourra confier à Dieu le moment de sa mort par l’intercession de saint Joseph, patron de la bonne mort.
Nous vous invitons venir prier saint Joseph avec nous pour que le moment de notre mort ainsi que celui de ceux et celles que nous aimons, soient vécus dans l’espérance comme une offrande à Dieu le Père, et que ceux et celles qui approchent de la mort soient accompagnés avec espérance et charité.
Le message du centre diocésain met en perspective cette messe prochaine sur fond de montée de l’euthanasie, qui menace bien des âmes au Québec :
Face à la montée de l’euthanasie, promue au Québec sous le nom « Aide médicale à mourir » (AMM), laissons-nous guider par notre Seigneur Dieu qui a dit : « Je suis la résurrection et la vie » (Jn 11,25). Choisissons la vie et l’espérance !
Pour plus de renseignements, vous pouvez contacter le Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille au 514 925 4300 poste 206 ou à [email protected]. La messe sera transmise en direct en direct sur la chaîne YouTube du Diocèse.
Petite note. L’« euthanasie », qui est le fait de donner délibérément la mort à un malade, prétendument pour abréger ses souffrances, signifie « bonne mort ». On aura compris que c’est un euphémisme qui cherche à cacher le fait qu’il s’agit d’un meurtre. La véritable nature de l’acte euthanasique ayant bien été comprise, les promoteurs actuels de cette pratique ont préféré remplacer l’ancien euphémisme par un nouveau, ou « aide médicale à mourir » ! La « bonne mort » catholique est tout autre, c’est le fait de mourir en état de grâce.
Pour la Vie,
Augustin Hamilton
Responsable du site de nouvelles
Une messe pour une bonne mort face à la montée de l’euthanasie au Québec
Mort de saint Joseph par Michel Oster.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : © Ralph Hammann/Wikimedia Commons
Le Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille de l’archevêché de Montréal a annoncé une messe pour demander à Dieu la grâce d’une bonne mort par l’intercession de saint Joseph (dont la fête est le 19 mars). Mgr Lépine célébrera cette messe dans la Cathédrale Marie-Reine-du-monde le samedi 16 mars à 10 h 30 :
Œuvrant à promouvoir la vie, nous vous faisons part de la Messe pour demander la grâce d’une bonne mort.
En vue de la fête de saint Joseph, patron de la bonne mort, S.E. Mgr Christian Lépine invite les fidèles du diocèse de Montréal à une messe où l’on pourra confier à Dieu le moment de sa mort par l’intercession de saint Joseph, patron de la bonne mort.
Nous vous invitons venir prier saint Joseph avec nous pour que le moment de notre mort ainsi que celui de ceux et celles que nous aimons, soient vécus dans l’espérance comme une offrande à Dieu le Père, et que ceux et celles qui approchent de la mort soient accompagnés avec espérance et charité.
Le message du centre diocésain met en perspective cette messe prochaine sur fond de montée de l’euthanasie, qui menace bien des âmes au Québec :
Face à la montée de l’euthanasie, promue au Québec sous le nom « Aide médicale à mourir » (AMM), laissons-nous guider par notre Seigneur Dieu qui a dit : « Je suis la résurrection et la vie » (Jn 11,25). Choisissons la vie et l’espérance !
Il faut noter que l’archidiocèse n’a pu obtenir le 1er mars une exemption à l’euthanasie pour la maison de soins palliatifs St-Raphaël, dans le cadre de son procès en cours contre le gouvernement du Québec.
Pour plus de renseignements, vous pouvez contacter le Centre diocésain pour le mariage, la vie et la famille au 514 925 4300 poste 206 ou à [email protected]. La messe sera transmise en direct en direct sur la chaîne YouTube du Diocèse.
Petite note. L’« euthanasie », qui est le fait de donner délibérément la mort à un malade, prétendument pour abréger ses souffrances, signifie « bonne mort ». On aura compris que c’est un euphémisme qui cherche à cacher le fait qu’il s’agit d’un meurtre. La véritable nature de l’acte euthanasique ayant bien été comprise, les promoteurs actuels de cette pratique ont préféré remplacer l’ancien euphémisme par un nouveau, ou « aide médicale à mourir » ! La « bonne mort » catholique est tout autre, c’est le fait de mourir en état de grâce.
Une certaine forme de « catacombes » : Mgr Athanasius Schneider appelle les fidèles « chassés » par « Traditionis custodes » à conserver la messe traditionnelle
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Dans un récent entretien avec John-Henry Westen de LifeSiteNews, dont je vous propose ci-dessous une rapide traduction quasi intégrale (hormis les salutations), Mgr Athanasius Schneider affirme le devoir des laïcs catholiques de chercher des lieux de culte alternatifs pour pouvoir continuer d’assister à la messe traditionnelle en cas de « persécution » de la part de leurs pasteurs, et demande aux prêtres de s’interroger « en conscience » quant aux décisions à prendre lorsque la célébration de la messe tridentine leur est interdite.
Il appelle également tous les fidèles à participer à des prières à travers le monde afin que Dieu accorde à son Eglise un « pape catholique fidèle, fort et courageux ». Voici le texte de cet entretien que vous trouverez ici en anglais. — J.S.
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John-Henry Westen : L’Église traverse actuellement des temps difficiles, des temps spirituellement difficiles. Vous avez souvent fait allusion à l’Église clandestine, et au fait qu’il faudrait peut-être entrer dans la clandestinité. Je sais que vous avez vous-même vécu cela quand vous étiez enfant. Pour cette raison, mais aussi en raison de votre position actuelle dans l’Église, il serait à mon avis très fructueux pour les fidèles d’entendre de votre bouche comment cela fonctionne en pratique. En Chine, par exemple, l’Église vit dans la clandestinité depuis longtemps, et encore aujourd’hui. Nous nous trouvons dans une situation un peu analogue. En Chine, des évêques infidèles font la promotion du communisme au mépris de la vérité du Christ. Mais il demeure des évêques nommés et approuvés par le pape François, et les prêtres doivent donc exister sous leur autorité, tout comme les fidèles, ce qui les place dans une situation de clandestinité.
En Occident, nous n’avons pas vraiment fait cette expérience. Mais il semble que nous y arrivions désormais, car nous avons des évêques infidèles qui ont pourtant été nommés par le pape François. Et ainsi, les prêtres et les fidèles doivent en quelque sorte vivre dans cette situation. Vous avez indiqué qu’il s’agit peut-être d’un temps où il faut vivre de manière clandestine. À quoi cela ressemble-t-il en pratique ? Comment y arriver ? Comment les prêtres et les fidèles peuvent-ils savoir à quel moment ils doivent se mettre à pratiquer de manière clandestine ? Et comment cela fonctionne-t-il ?
Lire la suiteLes jeunes catholiques ont soif de tradition parce qu’ils veulent une foi sans compromis
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : ICKSP/YouTube
1er septembre 2022 (LifeSiteNews) — Les récentes remarques d’un prêtre irlandais âgé confirment ce que beaucoup d’entre nous savent depuis un certain temps : l’expérience post-Vatican II a beau mettre l’accent sur beaucoup de choses, le catholicisme n’en fait pas partie.
Ce prêtre, le père Brendan Hoban, dont la vidéo a été largement critiquée, dit qu’il « désespère » du fait que les jeunes clercs veulent « porter du noir », revêtir de beaux habits et prêcher avec force contre le péché. En fait, son expression et son ton suggèrent qu’il est presque sidéré que ce soit le cas.
Ce prêtre va même jusqu’à dire qu’il « préférerait » ne pas avoir ces jeunes prêtres du tout, plutôt que de les avoir et de devoir faire face à leur vision traditionaliste.
Si l’on considère que le père Hoban a contribué au rapport de la Voie Synodale irlandaise, qui appelle à des « prêtres » féminins et à l’inclusion totale de l’homosexualité dans l’Église, il n’est pas surprenant qu’il ait si peu d’estime pour ces jeunes hommes qui ne demandent qu’à consacrer leur vie à un sacerdoce authentiquement catholique.
Mais je pense que son choc et son horreur sont révélateurs d’un défaut fondamental lié à l’incompréhension du mouvement catholique traditionnel chez les jeunes, et précisément de la raison pour laquelle le mouvement moderniste est destiné à mourir (comme il se doit).
Les jeunes — dont plus de 500 jeunes catholiques irlandais — désirent la foi traditionnelle non pas à cause d’un désir bizarre de récupérer toutes les choses anciennes, ou à cause d’une disposition rigide ou puritaine, mais parce que le monde est tellement déchu et dérangé que nous avons besoin d’un vrai berger pour nous diriger clairement et simplement vers la vérité, afin que nous puissions nous-mêmes éviter le désespoir.
Pensez à un jeune étudiant de l’ère moderne. Il fréquente probablement une école où les drapeaux arc-en-ciel sont omniprésents, où il est obligatoire de déclarer ses « pronoms » en classe et où l’avortement est enseigné de manière dogmatique comme étant le « droit » de la femme.
Alors, pourquoi irait-il à la messe le dimanche ? S’il est d’accord avec ce qui est enseigné dans le monde séculier, il ne le fera pas. Notre culture ne fait plus honte à ceux qui apostasient la foi, et à moins qu’il ne vienne d’une famille particulièrement religieuse (les chances sont plutôt minces), il fait simplement la grasse matinée le dimanche et n’y prête guère attention.
Lire la suite380e anniversaire de la première messe célébrée à Montréal
Première messe célébrée à Montréal, le 18 mai 2022.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voici quelque 380 ans auparavant fut célébrée la première messe de Montréal, la messe de fondation de Ville-Marie le 18 mai 1642.
Nos ancêtres, en bons chrétiens, voulaient consacrer leur humble colonie à Dieu et la Vierge, dont la ville allait porter le nom. Ville-Marie a une histoire peu commune ! Elle fut fondée par le Chevalier Paul de Chomedey de Maisonneuve et Jeanne Mance, envoyé là par la Société de Notre-Dame de Montréal fondée par Jérôme Le Royer de La Dauversière et Jean-Jacques Olier, afin de devenir un centre d’évangélisation, d’où rayonnerait la Foi parmi les nations amérindiennes de Nouvelle-France.
Puissions-nous imiter un si bel exemple et continuer leur œuvre évangélisatrice.
Un couple irlandais refuse de payer une amende pour avoir assisté à la messe pendant le confinement
Joe et Ann Ryan.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Catholic Arena/Twitter
5 mai 2022, Donamon, Irlande (LifeSiteNews) — Un couple catholique a déclaré qu’il préférait aller en prison plutôt que de payer une amende pour avoir enfreint les restrictions COVID-19 en allant à la messe.
Le couple catholique Jim Ryan, 64 ans, et sa femme Ann, 59 ans, ont enfreint la réglementation COVID-19 le dimanche des Rameaux 28 mars 2021, en conduisant à plus de 5 km de leur domicile.
En avril, le couple a été inculpé pour cette infraction présumée par le juge Raymond Finnegan au tribunal de district de Cavan. Selon le site Independant.ie, le juge a décidé qu’ils devaient payer chacun une amende de 300 €.
« J’irai en prison avant de la payer. Je préfère aller en prison, sans l’ombre d’un doute », a rapporté Jim, un pompier à la retraite. « Je n’ai pas l’intention de leur payer une amende parce que je vais à la messe ─ pour avoir fait ce que j’ai fait toute ma vie ».
Jusqu’à présent, le couple a mené une vie tranquille et respectueuse des lois dans son cottage en pierre bordant une voie ferrée à Donamon.
« Nous avons 64 et 59 ans », a déclaré Ann, une infirmière à la retraite, et « nous n’avons jamais eu de condamnation, nous sommes des gens qui vivent tranquillement et nous ne sommes affiliés à aucune organisation ».
« Nous sommes des Joe Soap ordinaires, mais avec une différence, nous honorons Dieu et nous croyons en Dieu », a poursuivi Ann.
Le couple a lutté pour pouvoir assister à la messe en personne en raison des restrictions du COVID-19. « À une occasion, nous sommes allés dans une église près d’ici et nous avons été mis à la porte », a déclaré Jim.
« Le prêtre filmait une messe pour la mettre sur Facebook et quand nous avons vu qu’elle était en cours, nous sommes entrés », se souvient-il. « Mais le prêtre est descendu vers moi et m’a dit que nous devions sortir de l’église ».
« Pour le bien du maintien de la paix, j’ai quitté l’église, mais telle était notre situation », a poursuivi Jim.
Lire la suiteLe pape François révoque brusquement un évêque fidèle qui s’opposait à l’obligation des vaccins covid
Mgr Daniel Fernández Torres, évêque d'Arecibo au Porto Rico.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Diocèse d'Arecibo
9 mars 2022, Arecibo, Porto Rico (LifeSiteNews) — Le pape François a destitué sans procédure formelle Mgr Daniel Fernández Torres, évêque conservateur du diocèse d’Arecibo à Porto Rico, en raison d’allégations de désobéissance et de manque de collégialité avec ses confrères portoricains.
Le Saint-Siège a annoncé que le pape François avait « relevé » l’évêque d’Arecibo de la charge pastorale de son diocèse dans un note publié le 9 mars 2022.
Mgr Fernández Torres, 57 ans, ardent défenseur de la vie et de la famille et s’opposant aux mandats de vaccination COVID, a protesté contre sa destitution qu’il juge « totalement injuste » dans une déclaration mercredi.
L’évêque, qui a dirigé le diocèse d’Arecibo pendant près de 12 ans, a noté que le délégué apostolique du pape François à Porto Rico lui a demandé verbalement de démissionner, mais il dit qu’il a refusé de le faire, car il « ne voulait pas devenir complice d’une action totalement injuste ».
« Aucun processus n’a été engagé contre moi », écrit Mgr Fernández Torres, « je n’ai pas été formellement accusé de quoi que ce soit, et simplement un jour, le délégué apostolique m’a communiqué verbalement que Rome me demandait de démissionner ».
« Un successeur des apôtres est maintenant remplacé sans même entreprendre ce qui serait une procédure canonique régulière pour destituer un curé », ajoute l’évêque.
« On m’a informé que je n’avais commis aucun crime, mais que j’avais soi-disant “manqué d’obéissance au pape et n’avais pas été suffisamment en communion avec mes frères évêques de Porto Rico” », a-t-il ajouté. « On m’a suggéré que si je démissionnais du diocèse, je resterais au service de l’Église au cas où, à un moment donné, on aurait besoin de moi à un autre poste ; une offre qui prouve en fait mon innocence. »
« Cependant, je n’ai pas démissionné parce que je ne voulais pas devenir complice d’une action totalement injuste et que, même maintenant, je suis réticent à l’idée que cela puisse arriver dans notre Église ».
« Je regrette profondément que dans l’Église où l’on prêche tant la miséricorde, en pratique, certains manquent d’un minimum de sens de la justice », a-t-il poursuivi. « J’exprime ma communion dans la foi catholique, avec le pape et mes frères dans l’épiscopat, malgré ma perplexité face à un arbitraire incompréhensible ».
Lire la suiteLe Sénat de Floride adopte un projet de loi déclarant les services religieux « essentiels », limitant les futures interdictions de culte
Par Ashley Sadler (LifeSiteNews) — Traduction de Léo Kersauzie (Médias Presse Info) complétée par Campagne Québec-Vie
Floride (États-Unis) — En vertu de cette mesure, les lieux de culte seront considérés comme fournissant des « services essentiels » et aucune ordonnance d’urgence ne pourra « directement ou indirectement » annuler le culte public si d’autres « services essentiels » sont maintenus.
Les législateurs de Floride ont adopté un projet de loi qui interdirait à l’avenir les « décrets d’urgence », comme ceux promulgués lors de la réaction au COVID-19, de fermer les institutions religieuses si les commerces sont autorisés à rester ouverts.
Le Sénat dirigé par les républicains de Floride a approuvé la mesure (SB 254) lors d’un vote de 31 voix contre 3 jeudi. Un projet de loi complémentaire déposé à la Chambre, HB 215, a été avancé mercredi et attend un vote.
Des groupes religieux ainsi que des politiciens conservateurs et des commentateurs ont sonné l’alarme au cours des deux dernières années lorsque les lieux de culte ont été contraints de fermer leurs portes tandis que des commerces, y compris parfois spécialisés dans la vente d’alcool ou de marijuana, ont été autorisées à rester ouverts.
« Elle est née de la pandémie, et ne l’est pas », a déclaré l’auteur du projet de loi, le sénateur républicain Jason Brodeur, précisant que cette loi n’est pas une simple réaction impulsive au COVID-19 et aux restrictions, ostensiblement imposées pour ralentir sa propagation.
« Elle s’applique à toutes les ordonnances d’urgence qui seraient émises. En gros, elle dirait que si Publix est ouvert, votre lieu de culte l’est aussi », a déclaré M. Brodeur […]
S’il est adopté par la Chambre et promulgué, le SB 254 rendrait permanente une déclaration faite par le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, en avril 2020, lorsqu’il a publié un décret décrivant spécifiquement les églises comme des services essentiels et les exemptant du confinement.
Lire la suiteLe plus grand groupe pro-vie du Canada demande aux évêques d’annuler l’obligation des injections covid liées à l’avortement
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie
Hamilton, Ontario, 26 janvier 2022 (Campaign Life Coalition) — Campaign Life Coalition a envoyé une lettre à tous les évêques, archevêques et cardinaux catholiques du Canada pour leur demander de respecter les prêtres et les fidèles laïcs qui ont décidé en toute conscience de refuser les vaccins COVID-19 parce qu’ils sont contaminés par l’avortement.
« Veuillez respecter et prendre en compte leur conscience ainsi que leur décision libre et éclairée. Veuillez faire en sorte que les églises restent ouvertes à tous, quel que soit leur statut vaccinal », indique la lettre du 14 janvier du président de CLC, Jeff Gunnarson (lire la lettre complète ci-dessous, version PDF imprimable ici).
La lettre, envoyée à 77 prélats dans plus de 70 diocèses du pays, dont les cardinaux Thomas Collins de Toronto et Gérald Lacroix de Québec, ainsi que le nonce apostolique du pape au Canada, Mgr Ivan Jurkovič, attire l’attention sur les bébés qui ont été assassinés et dont les parties du corps ont été prélevées pour fabriquer les lignées cellulaires HEK-293 et PER. C6 qui sont utilisées dans la production ou les tests de tous les vaccins COVID dont l’utilisation est actuellement approuvée au Canada (Moderna, Pfizer, AstraZeneca et Johnson & Johnson).
« La lignée de cellules fœtales HEK-293 [Human Embryonic Kidney ou HEK, c’est-à-dire rein embryonnaire humain], utilisée dans la recherche et le développement des vaccins Moderna, Pfizer et AstraZeneca, provient d’une fille en bonne santé, avortée de manière volontaire à un minimum de 12 semaines de gestation aux Pays-Bas au début des années 1970. Elle a été ciblée pour ses organes. Ses reins ont d’abord été prélevés, puis “hachés avec des ciseaux” par le Dr Alex van der Eb, biologiste moléculaire néerlandais, et le Dr Frank Graham, biologiste canadien, dans le but de produire une lignée cellulaire “immortalisée” », indique la lettre.
M. Gunnarson poursuit en présentant le bébé aux évêques.
« Le mouvement pro-vie lui a donné le nom de Johanna, qui signifie “Dieu est miséricordieux”. Cette précieuse enfant a été créée à l’image de Dieu pour être aimée et pour aimer. Johanna avait son propre ADN, ses propres empreintes digitales, son propre beau sourire. Nous ne saurons jamais la couleur de ses yeux. Si on lui avait donné une chance de vivre, elle aurait aujourd’hui une cinquantaine d’années, avec peut-être des enfants et des petits-enfants. Alors que Johanna a été tuée pour les parties de son corps il y a tant d’années, ses cellules vivantes ont été utilisées pour créer une lignée cellulaire qui est encore utilisée aujourd’hui ─ et tout cela, sans son consentement. »
Lire la suiteEn réponse à la fermeture des églises, des catholiques à Montréal lancent un Rosaire public
Catholiques priants le chapelet devant la cathédrale Marie-Reine du monde à Montréal pour la réouverture des églises.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)
En réponse à la passe sanitaire obligatoire dans les églises et à la fermeture des églises, un groupe de catholiques pro-vie, qui désirent rester anonymes, a décidé d’agir avec l’arme puissante du Rosaire.
Quoi : chapelet public
Où: sur le parvis de la cathédrale de Montréal (Marie-Reine-du-Monde)
Quand : 11h00 tous les dimanches
Le 20 décembre 2021, le gouvernement a imposé la passe vaccinale dans les lieux de culte et a ensuite fermé toutes les églises, classant ce service absolument essentiel comme « service non essentiel ».
Le dimanche suivant, le 26 décembre 2021 ce groupe débute leur premier Rosaire extérieur pour prier pour la réouverture des églises et la disparition du passeport sanitaire, croyant fermement que, « la vaccination doit être volontaire comme indiqué par le numéro 5 de la CONGRÉGATION POUR LA DOCTRINE DE LA FOI »
L’une des responsables explique, « Nous avons un énorme besoin de prier et rentrer dans la maison du Seigneur surtout dans ces temps difficiles et nos églises sont fermées. »
Depuis 3 semaines, ils se réunissent devant la cathédrale Marie-Reine-du-Monde à Montréal chaque dimanche. Face à l’injustice, face à la privation des sacrements, face au besoin de rendre gloire à Dieu, ils demandent instamment l’intercession de la Vierge Marie pour que les autorités ouvrent les églises.
Leurs objectifs se résument à quatre points,
- La réouverture de nos églises
- La disparition du passeport sanitaire pour les églises
- La réparation de nos péchés
- La persévérance finale
Ils lancent un appel à tous à s’unir et prier ensemble.
Le gouvernement priorisait la santé avant Dieu. Il ne restait qu’une seule chose à faire : assaillir le ciel de prières !