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Le Sénat du Texas adopte une loi protégeant l’enfant à naître dès que ses battements de cœur sont détectables

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le sénat texan a approuvé un projet de loi par 19 voix contre 12, destiné à protéger les enfants à naître dont les battements de cœur sont détectables, ce qui est possible vers la 6e semaine de grossesse. Selon LifeNews :

Le Sénat du Texas a voté lundi en faveur d’une loi qui protégerait les bébés à naître contre les avortements dès que les battements de leur cœur sont détectables.

Le Dallas Morning News rapporte que le projet de loi sur les battements de cœur, le projet de loi 8 du Sénat de l’État, a été adopté en deuxième lecture par 19 voix contre 12. Le vote final est attendu pour mardi.

Parrainé par le sénateur républicain Bryan Hughes de Mineola, le projet de loi exige que les avorteurs vérifient la présence de battements de cœur d’un bébé à naître et interdit l’avortement s’ils sont détectés. Il prévoit des sanctions pénales pour les avorteurs qui enfreignent cette mesure. Des exceptions seraient autorisées pour les urgences médicales.

Mais, faut-il le rappeler, l’avortement, outre son aspect immoral, n’est techniquement pas indiqué quand il s’agit de vraiment sauver la vie de la mère.

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Lois pour protéger l’enfant à naître en Arkansas et au Dakota du Sud

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (modifiée) : Freepik

En Arkansas et plus récemment au Dakota du Sud, deux lois visant à protéger l’enfant à naître ont été adoptées. Au Dakota du Sud, voté à l’unanimité, un projet de loi visant à interdire les avortements eugéniques pour raison de trisomie 21 sera signé par le gouverneur pro-vie Kristi Noem, rapporte Le Salon Beige :

La républicaine Kristi Noem, gouverneur du Dakota du Sud, a annoncé cette semaine qu’elle allait signer la loi votée à l’unanimité par la législature d’État qui interdira les avortements motivés par une trisomie 21 de l’enfant en gestation.

Tandis qu’en Arkansas, au début du mois de mars, le gouverneur a signé une loi interdisant l’avortement sauf quand la vie de la mère est en danger (soit dit en passant, l’avortement n’est jamais « nécessaire » pour sauver la vie de la mère, il est même contre-indiqué quand il s’agit réellement de la sauver) :

L’Arkansas a décidé d’aller encore plus loin : au début du mois de mars, le gouverneur Asa Hutchinson a signé une loi interdisant carrément l’avortement, sauf lorsque la grossesse fait encourir à la femme enceinte un risque pour sa santé ou sa vie.

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Un hôpital québécois sépare un nouveau-né de sa mère pendant 10 jours, car les deux ont été déclarés « positifs » au covid…


Site Glen du CUSM, Centre universitaire de santé McGill, hôpital Shriners pour enfants.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Jeangagnon/Wikimedia Commons

Décidément, aucune considération n’arrête les fanatiques des mesures « sanitaires ». Ainsi, un nouveau-né et sa mère ont été séparés par l’hôpital qui prend soin du bébé prématuré, parce que les deux ont été déclarés « positifs » au covid-19, pour la durée de dix jours qu'aura passés la petite fille là-bas. La raison en est que, le bébé ayant été déclaré « positif », il devait rester dans une partie isolée de l’hôpital, et que la mère, également « positive », ne pouvait rester en isolement avec son enfant pour la fichue raison qu’il n’y avait pas de chambre isolée avec toilettes ! Selon LifeSiteNews :

Un nouveau-né a été retiré à ses parents contre leur gré et placé en isolement pendant dix jours, dans le but, selon l’hôpital, d’empêcher la propagation du coronavirus. Auparavant, les parents et l’enfant avaient été déclarés positifs au covid-19.

La petite Olivia Santos Sforza, fille de la Brésilienne Geovana Silva Rodrigues dos Santos et de l’Italien Sebastiano Sforza, est née le 15 mars à l’hôpital Pierre Boucher de Longueuil, au Québec. Sebastiano a déclaré à LifeSiteNews que, bien que la grossesse de sa femme ait été normale, Olivia est née prématurément, à 36 semaines.

La mère et le bébé ont été immédiatement séparés et n’ont jamais été réunis car, lors de son admission à l’hôpital, Geovana a été obligée de passer le test COVID-19, qui s’est révélé positif.

« Le bébé, cinq heures après sa naissance, a été transféré au CUSM [Centre universitaire de santé McGill] à Montréal, cet établissement étant censé être mieux équipé pour effectuer les tests nécessaires à l’état du bébé », déclare Sebastiano à LifeSiteNews par courriel. « Geovana, ayant reçu un résultat positif au test covid, a dû rester à la maison pendant dix jours à partir du 15 mars ».

« J’ai également passé un test qui est revenu positif, et j’ai donc également été confinée à la maison. Ainsi, malheureusement, notre bébé n’a eu aucun contact avec ses parents, surtout sa mère, depuis sa naissance. »

Comme Olivia a elle aussi été déclarée positive au virus, elle est en isolement. Ses parents ont supplié le Centre universitaire de santé McGill de permettre à Geovana de rester isolée avec son bébé à l’hôpital, mais la réponse du CUSM fut que cela était impossible, car il n’y avait pas de chambre isolée avec des toilettes. Sebastiano a trouvé cela difficile à croire, étant donné le statut du Canada en tant que pays classé premier monde, entièrement développé.

Le couple devrait récupérer son enfant aujourd'hui. Les deux parents songent à intenter une poursuite contre le CUSM.

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Un juge argentin déclare la nouvelle loi sur l’avortement inconstitutionnelle

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : AllaSerebrina/Depositphotos

Le juge María Eugenia Bona de la province de San Luis en Argentine a décrété, faisant suite à une demande d’injonction déposée par l’ancien sénateur Liliana Negre, que la loi sur l’avortement qui a été adoptée le 30 décembre 2020 en Argentine était inconstitutionnelle. Cependant, l’avortement continuera à se perpétrer dans la province jusqu’à ce qu’éventuellement, passant par plusieurs instances judiciaires, la décision du juge soit ratifiée par la Cour suprême d’Argentine.

La nouvelle loi sur l’avortement est inconstitutionnelle, selon Catholic News Agency :

La juge déclare être pleinement en vigueur l’article 19 du code civil et commercial, qui reconnaît « l’existence de la personne humaine dès la conception ».

Sur cette base, elle déclare également inconstitutionnels plusieurs articles de la loi argentine sur l’avortement, qui autorisent l’avortement volontaire jusqu’à la quatorzième semaine de grossesse, parlent du droit de décider de l’avortement, des soins liés à l’avortement « dans les services du système de santé » ; et des « soins post-avortement dans les services du système de santé, sans préjudice du fait que la décision d’avorter aurait été contraire aux cas légalement autorisés conformément à cette loi. »

Le jugement est conforme à ce qui est écrit dans la Convention de Vienne, la Convention des droits de l’homme ou le Pacte de San José du Costa Rica ; la Constitution nationale, et la Constitution de la province de San Luis.

Le juge Bona note que la loi pour la protection intégrale des enfants et des adolescents « donne la priorité au droit de l’enfant, dans un cas de conflit. »

« Il y a lieu de s’interroger, car dans la loi remise en cause [sur l’avortement], seule la situation des femmes est défendue... en oubliant, par exemple, que cet enfant a un père qui peut l’aimer, qu’il y a des grands-parents, qui ont une obligation d’entretien et peuvent aussi aimer ce petit-enfant. Mais ils sont les grands absents ».

En outre, selon la Convention américaine des droits de l’homme, « toute personne a le droit au respect de sa vie » et ce droit est protégé par la loi et en général dès la conception : « nul ne peut être arbitrairement privé de la vie ».

De même, l’article 49 de la Constitution provinciale de San Luis stipule que « l’État protège la personne humaine depuis la conception jusqu’à la naissance et de celle-ci jusqu’au plein développement ».

Auparavant, l’avortement n’était permis que dans quelques cas.

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250 personnes permises pour la messe à partir du 26 mars en « zone rouge »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Wirestock/AdobeStock

Le gouvernement du Québec a daigné permettre que les lieux de culte puissent admettre jusqu’à 250 personnes dans leurs murs, même en « zone rouge », comme pour les cinémas… Selon Le Devoir :

Dès vendredi, tous les lieux de culte au Québec, même ceux en zone rouge, pourront accueillir jusqu’à 250 personnes lors de leurs activités religieuses. Le gouvernement Legault a adopté un décret en ce sens mercredi.

La Table interreligieuse de concertation (TIC) avait demandé précédemment de pouvoir accueillir les gens jusqu’à 30 % de la capacité du bâtiment. Ce n’est pas exactement ça qu’elle a obtenu, mais c’est un peu mieux que les 10 personnes par pièce de lieu de culte, ayant un accès séparé, que la Cour supérieure du Québec, et non le gouvernement, avait accordées.

Ce récent changement permettra (je suppose) aux églises de tenir messes et offices publics pour la Semaine sainte qui arrive dans trois jours à peine, et Mgr Murray, président de la TIC (ne me demandez pas pourquoi les évêques catholiques du Québec ont besoin cela), salue la décision du gouvernement.

Pour ma part, je ne saluerai ni ne remercierai François Legault pour les bribes qu’il nous jette du haut de sa superbe ; remercie-t-on un voleur qui vous fait l’aumône de ce qu’il vous a pris ?

Pour parfaire son ignominie, le gouvernement, cédant sur le nombre de personnes, se reprend sur le masque, car d’après Le Devoir :

Le protocole des mesures sanitaires a été révisé. Désormais, les fidèles en zones rouge et orange devront porter un masque de procédure — et non un couvre-visage — en tout temps. « Avant, on pouvait le retirer quand on était assis à notre place », précise Mgr Pierre Murray. Le chant choral demeure interdit.

« Taisez-vous esclaves ! Chanter et respirer sont réservés aux maîtres », me semble-t-il comprendre devant ce décret. Ce césar impie, pour qui les églises ne valent pas mieux que les cinémas, empiète sur la liberté de l’Église. Depuis quand l’État réglemente-t-il ce qui a été institué par Dieu, à savoir, la sainte messe ? Si du moins il avait un prétexte sérieux… Usquequo Domine ?

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L'Annonciation : « Je vous salue Marie, pleine de grâce »


L'annonciation à la Vierge Marie par Fra Angelico.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Web Gallery of Art/Wikimedia Commons

Aujourd'hui, nous célébrons la fête de l'Annonciation angélique à la Vierge Marie, le jour bénit où la Vierge, écoutant le message divin que lui transmettait l'Archange Gabriel, accepta dans l'humilité, l'obéissance et la confiance la plus totale d'être la Mère du Verbe Incarné.

Elle se rendit, par sa coopération sans pareille à l'œuvre de Dieu, Co-Rédemtrice du genre humain, ainsi que L'on appelée de nombreux saints comme saint Jérôme, saint Augustin, saint Bonaventure, saint Thomas d'Aquin, saint Louis-Marie Grignion de Monfort, saint Maximilien Kolbe, et de nombreux papes.

Et qui d'autre qu'Elle peut être digne de ce titre ? Elle qui est « pleine de grâce » selon les mots de l'ange, c'est-à-dire ayant la plénitude de la grâce en elle, ce qui n'est possible que grâce à Son Immaculée Conception qui est une grande grâce de Dieu.

Cette fête est très importante pour nous, pro-vie catholiques, parce qu'elle indique l'importance de la vie humaine dès le commencement, dès la conception, car le Verbe s'est fait chair, « Verbum caro factum est ». Comment ne pas soutenir l'humanité de l'enfant à naître quand le Christ fut Homme et Dieu dès la conception ?

Sainte Vierge Marie, priez pour nous et pour l'enfant à naître.

 

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Des groupes, financés par Soros, tente de faire renvoyer Mgr Naumann de son poste de président du Comité pour la vie de l’USCCB


Mgr Joseph Fred Naumann.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Deux groupes d’activistes travaillant à causer des ennuis à des personnalités pro-vie ou catholique (ce qui comprend le premier) s'en sont pris à Mgr Joseph Fred Naumann, dans le but de l’éjecter de son poste de président du Comité pour la vie de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis (USCCB), pour avoir critiqué le pro-avortement Biden et avoir dit que ce dernier ne pouvait être catholique à cause de ses positions, rapporte LifeSiteNews :

Faith in Public Life et Faithful America — deux groupes d’extrême gauche, soi-disant à connotation religieuse, soutenus par l’énorme donateur athée George Soros — ont lancé la semaine dernière une pétition en ligne visant à déloger Mgr Naumann de son poste au sein du comité. La pétition comptait près de 20 000 signatures à la date de mardi — cependant Faithful America est connu pour remplir les pétitions de fausses signatures.

Les deux groupes pro-avortement et pro-LGBT, soutenus par Soros, qui sont à l’origine de la tentative de renvoi de Mgr Naumann, s’emploient depuis des années à détruire la carrière de dirigeants chrétiens fidèles, obtenant même que ces derniers soient condamnés par les grands médias. Ces organisations ont ciblé à plusieurs reprises des prélats catholiques de premier plan, dont l’archevêque Salvatore Cordileone de San Francisco, ainsi que de traditionnels organismes fournisseurs d’aide humanitaire et des pasteurs évangéliques.

« En tant que catholiques, chrétiens et autres personnes de foi concernées, nous demandons instamment aux dirigeants de la conférence de démettre l’archevêque Joseph Naumann de ses fonctions de président du comité pro-vie », peut-on lire dans la pétition contre Mgr Naumann.

« Nous vous encourageons à choisir un nouveau dirigeant qui s’abstiendra d’attaquer la foi personnelle du président », ajoute-t-elle.

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Les gains pro-vie obtenus lors du Congrès du Parti conservateur du Canada

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock

Les mouvements pro-vie du Canada ont activement travaillé à faire voter des résolutions et élire des candidats pro-vie lors de la convention politique du Parti conservateur du Canada (PCC), qui s’est tenu virtuellement du 18 au 20 mars 2021. Parmi ces organismes, Campaign Life Coalition (CLC) a œuvré dans tout le Canada et Campagne Québec-Vie (CQV) au Québec afin de rassembler le plus possible de délégués (les participants au congrès) et de candidats à l’exécutif national. Ceci ne fut pas sans embûche ni tracasserie de la part de la direction progressiste du parti.

Huit pro-vie à l’exécutif national du Parti conservateur

CLC a notamment réussi à faire élire six pro-vie à l’exécutif national du parti parmi ceux qu’il appuyait. Un autre pro-vie s’est fait élire en Ontario, tandis qu’un 8e candidat sur lequel on ne sait si on peut compter, mais qui paraît prometteur s’étant déclaré pro-vie devant un autre organisme, s’est également fait élire en Alberta : Pete Aarssen, Kara Johnson, Shir Barzilay et Bert Chen en Ontario ; Robert Boyd et Mani Fallon en Colombie-Britannique ; Colette Stang en Saskatchewan ; Amber Rudy en Alberta.

Cela représente huit pro-vie à l’exécutif national du parti sur les vingt que dernier compte, pour les quatre pro-vie seulement que cet organe comptait précédemment. Nous espérons donc que le rejet de candidats pro-vie ― que ce soit à la course à la chefferie, à la députation, ou simplement à l’exécutif national ― sera plus rare.

Le parti a créé bien des difficultés afin d’empêcher ses propres membres de participer d’une façon significative à ce congrès, rejetant sans raison la candidature à l’exécutif national de Ghede Malek qui poursuivit le parti en retours et obtint gain de cause !

Si le Québec n’a aucun candidat notoirement pro-vie, ce n’est pas faute d’efforts de la part de CQV, nous avons appuyé deux candidats, Richard Décarie et un autre qui désire rester anonyme. Mais la direction du parti a prétendu que les documents nécessaires à l’admission n’avaient pas été remis à temps, ce qui est tout simplement faux.

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Manifestation et chapelet pour la messe devant l’Assemblée nationale du Québec


Manifestation pour la messe devant l'Assemblée nationale du Québec.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le dimanche 14 mars 2021, une centaine de personnes se sont réunis devant l’Assemblée nationale du Québec pour y prier un chapelet en signe de protestation contre les fortes et injustes restrictions auxquelles la messe est soumise. Cet événement est le quatrième depuis le début de l’année d’une série de protestations organisées par la Milice de Marie.

À cette occasion, l’Abbé Raphaël d’Abbadie a prononcé un discours dans lequel il dénonce la révolution anti-humaine que mène la dictature sanitaire actuelle. Je vous invite à le lire ci-dessous, tel qu’il paraît sur le site de la FSSPX.News :

Chers amis,

Nous voici réunis pour un quatrième chapelet public devant le Parlement, afin de demander la libération de la messe de toujours. Cette fois, nous sommes dans l’action de grâces et notre joie est grande puisque désormais cent personnes peuvent assister à la messe. Alors pourquoi, me direz-vous, revenir encore puisque le Gouvernement se montre si généreux ? Si vous le voulez bien, nous allons rappeler brièvement les faits.

Le 6 janvier dernier, le Premier ministre décrétait la fermeture des lieux de culte, au moins jusqu’au 8 février. Dix jours plus tard, nous récitions ici, devant le Parlement, un chapelet pour réparer publiquement cette grave injustice. Et contre toute attente, le ministre de la Santé signait discrètement, le 21 janvier, une autorisation d’ouvrir les lieux de culte pour 10 personnes. Première victoire, humble certes, mais bien réelle ! Cependant, le Premier ministre, M Legault, précisait que cette autorisation valait pour tout un bâtiment, et ne permettait pas de multiplier les fidèles par le nombre de salles disponibles. Nous sommes donc retournés le 31 janvier, notre chapelet à la main, devant le Parlement. La deuxième victoire ne se fit pas attendre : une décision judiciaire autorisait ce que le M Legault venait de refuser ! Cela ne pouvait que nous encourager à continuer nos chapelets publics, ce que nous fîmes le 20 février. Cette fois, il n’y eut pas de victoire immédiate… Le bon Dieu voulait nous faire patienter pour mieux nous exaucer. Ce n’était plus dix ou même vingt-cinq personnes que l’on autorisait, mais cent ! Allions-nous nous arrêter en si bon chemin ? Certainement pas ! Dans ce genre de combat, la trêve est une défaite. Pourquoi ?

Je voudrais essayer d’analyser avec vous cette crise qui nous touche depuis un an. Nous ne voulons pas nier l’existence du virus, ni sa nocivité pour certaines personnes. Mais les mesures extrêmes qui bouleversent le monde entier nous paraissent présenter les aspects d’une véritable révolution, même si celle-ci vient du pouvoir en place.

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L’Espagne légalise l’euthanasie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik

Le Parlement espagnol a finalement légalisé l’euthanasie, ouvrant les portes du pays à la mort programmée. C’est par 200 voix pour, 141 contre et deux abstentions que le projet de loi est passé. Une « priorité » du Premier ministre Pedro Sánchez, selon Le blog d’Yves Daoudal (et commenté par lui) :

Le Premier ministre socialiste Pedro Sánchez avait fait de cette loi une « priorité ». Parce que c’est une priorité de tuer les vieux et les malades, une fois qu’on a permis de tuer les enfants à naître. Et il a osé dire que l’Espagne était désormais un « pays plus humain, plus juste et plus libre ».

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