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La chute de l’empire de Pornhub imminente ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Pornhub, le plus gros site de pornographie du monde, est classé en 3e en tant que compagnie technologique ayant le plus d’impact sur la société, selon une étude, après Facebook et Google, mais devant Microsoft, Apple et Amazon. Avec ses 3,5 milliards de visites par mois, ce site putride se classe parmi les dix plus visités dans le monde. Inutile de dire que MindGeek, la compagnie mère, fait un pognon monstre avec ce site.

Ceci dit, outre la pornographie « ordinaire » que Pornhub met à disposition de ses visiteurs, un certain nombre de vidéos, photos, montages de toutes sortes sont téléversées par les usagers du site, montrant de la pornographie infantile, des scènes de viols, de maltraitances et de tortures impliquant parfois des mineurs.

PornHub dit avoir un service de modération, et même l’avoir dernièrement augmenté, qui ne sert en fait à rien, car les vidéos sitôt enlevées peuvent être remises n’importe quand par n’importe quel utilisateur du site, et, étant donné les 6,8 millions de vidéos téléversées par les usagers chaque année, il est impossible de faire le « ménage » dans un aussi vaste répertoire.

Le géant a cependant des pieds d’argiles, un mouvement de protestation qui a pris de l’ampleur réclame sa tête, mouvement soutenu par certains politiciens, du moins sur certains de ses aspects. Une ou plusieurs manifestations ont eu lieu devant le siège social de la compagnie MindGeek situé sur le boulevard Décarie à Montréal (la société originale, car elle a changée de nom depuis sa fondation, a été créé par deux étudiants de Concordia). Maintenant, The New York Times, journal dont les publications ont un effet redoutable quand il s’empare d’un sujet brûlant, s’est penché, dans la personne du journaliste Nicholas Kristof, sur le dossier de Pornhub.

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Scott Hahn : « L’avortement prend de plus en plus la forme d’un sacrement démoniaque »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Choice42/YouTube

Scott Hahn, célèbre théologien catholique converti du presbytérianisme, souligne dans un récent livre coécrit la nature diabolique de plus en plus visible de l’avortement :

L’avortement prend de plus en plus la forme d’un sacrement démoniaque. Des projets comme « Shout Your Abortion » (criez votre avortement), qui encouragent les femmes à publier sur les médias sociaux leur expérience de l'avortement pour montrer à quel point elle a été élévatrice et fortifiante, visent à banaliser la procédure, presque un rite de passage — un baptême violent vers une maturité perverse et l’économie adulte, une eucharistie sanglante où la victime innocente est consumée par les flammes ou les compagnies de recherche biomédicale. Si la société n’est pas fondée sur le sacrifice non sanglant de la messe, d’autres sacrifices prendront sa place. Les Aztèques ne nous surpassent pas.

Criant de vérité, n’est-ce pas ?

Dans son livre It Is Right and Just : Why the Future of Civilization Depends on True Religion (Il est juste et bon : voici pourquoi l’avenir de la civilisation dépend de la vraie religion), Scott Hahn, en passant par les Saintes Écritures et Saint Thomas d’Aquin, tente de démontrer la pertinence du règne social de Jésus-Christ, ce qui comprend la reconnaissance de la vraie religion, le Catholicisme, par l’État.

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La Cour suprême des États-Unis annule les mesures discriminatoires appliquées aux églises en Californie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Burst

La Cour suprême des États-Unis a à nouveau tranché une question de mesures appliquées aux églises, annulant les décrets du gouverneur de Californie, Gavin Newsom, qui interdisait la tenue d’un culte public dans l’État, selon LifeSiteNews :

La Cour suprême a « annulé » le jugement du tribunal inférieur, qui confirmait la prohibition du culte mise en place par le gouverneur de Californie Gavin Newsom contre les églises chrétiennes, le privant ainsi de ses effets.

Le Harvest Rock Church et le Harvest International Ministry avaient déposé une requête d’urgence devant le juge de la Cour suprême Elena Kagan, le 20 novembre, lui demandant de « résoudre ces questions importantes » concernant la liberté religieuse et le fait que Newsom eût des normes différentes lorsqu’il s’agissait d’appliquer les mesures relatives au COVID aux églises par rapport au reste de l’État.

Le gouverneur Newsom tenait vraiment un deux poids, deux mesures dans l’application de ses fameuses mesures de confinement, limitant ou interdisant le culte public, tandis qu’il laissait des commerces rouler avec un pourcentage d’accueil (à comparer avec le nombre maximal fixe pour les églises…), ou pire encore, Newsom fermait les yeux sur les « manifestations » de Black Lives Matter. Cette démesure dans le traitement des églises, entreprises et groupes a fourni un terrain solide pour la contestation des décrets de Newsom et du tribunal qui l’avait confirmé.

La Cour suprême renvoie donc l’affaire au tribunal précédent, avec instruction de la revoir à la lumière du jugement que la Cour suprême a rendu en faveur des lieux de culte contre le gouverneur de New York Andrew Cuomo, selon LifeSiteNews :

Dans son décret rendu le 3 décembre, la Cour suprême a renvoyé l’affaire devant la juridiction inférieure, lui demandant de reconsidérer sa décision à la lumière du jugement rendu le 26 novembre par la Cour suprême contre les restrictions imposées par le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, aux lieux de culte.

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Québec : François Legault révoque la permission des rassemblements de 10 personnes pour Noël…

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Hirschsprung Collection/Wikimedia Commons

Sous prétexte qu’on ne réussira pas à ralentir suffisamment la propagation du covid-19, et que le nombre de « cas » ne cesse d’augmenter (ce qui ne signifie rien), le premier ministre du Québec François Legault retire la permission qu’il avait accordé aux Québécois de se réunir jusqu’à dix personnes à deux occasions autour de Noël (de quoi se mêle-t-il !), en zone dite rouge, ce qui comprend la majorité de la population de la province. Selon Radio-Canada :

Les plans de Noël en famille vont devoir changer. Le gouvernement du Québec a confirmé l’annulation des rassemblements de 10 personnes qu’il avait initialement permis entre le 24 et le 27 décembre.

« Quand on regarde la situation, on est obligés de se rendre à l’évidence que ce n’est pas réaliste de penser qu’on va réussir à réduire la progression du virus de façon satisfaisante d’ici Noël », a expliqué le premier ministre François Legault en point de presse.

Donc, pour une grosse grippe, nous devrons célébrer Noël sans voir les autres membres de la famille, combien devront réveillonner en solitaire ? Ebenezer Scrooge n’eût pas fait mieux, le Grinch en fût laissé en reste et la Sorcière Blanche en eût verdi de jalousie.

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Directives de non-réanimation largement appliquées en Grande-Bretagne...

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Rawpixel

En Grande-Bretagne, nombre de personnes âgées ont été privées de réanimation durant le confinement, dénonce la Care Quality Commission (CQC) du gouvernement britannique. Dans plusieurs établissements pour personnes âgées, autistes ou mentalement handicapées, rapporte la CQC, des avis DNACPR ― do not attempt cardiopulmonary resuscitation ou « ne tentez pas de réanimation cardio-pulmonaire » ― ont été attribués systématiquement à l’ensemble des résidents, sans que les familles ne fussent consultées et sans les évaluations médicales requises ordinairement pour ce protocole, selon Gènéthique :

La première phase d’une étude réalisée par la CQC révèle que ces avis ont été attribués de façon systématique à l’ensemble des résidents d’établissements pour personnes âgées, autistes ou déficientes. Sans en informer les familles, ni réaliser l’évaluation médicale préalable nécessaire.

Les avis DNACPR requièrent normalement l’accord de l’intéressé et de sa famille, et s’appliquent quand l’état de santé de la personne en question se dégrade.

C’est probablement le prétexte fumeux d’empêcher l’engorgement des hôpitaux qui a présidé à ces… comment dire… ces homicides par omission, et d’après la commission, de nombreux décès auraient pu être évités. En tout cas, cela fournit un fameux moyen pour rajouter des cadavres au compte des décès attribués au coronavirus, avec lequel on tente de nous faire peur. Car, dans certains établissements, ces DNACPR ont été « systématiquement appliqués à toute personne infectée par le Covid », rapporte Gènéthique :

La CQC a reçu 40 plaintes concernant des avis DNACPR qui ont été mis en place sans consultation de la personne ni de sa famille. Le nombre de ces plaintes a quadruplé en six mois, passant de 9 à 40 entre mars et septembre. Des cas ont été rapportés où les résidents d’un établissement avaient tous reçu un avis DNACPR, et où ceux-ci étaient « systématiquement appliqués à toute personne infectée par le Covid » […]

D’après l’enquête, des soignants ont voulu alerter et contester les DNACPR généralisées, mais « personne ne les a écoutés », ils n’ont pas été soutenus.

La commission craint même que ce fichu protocole ne soit encore appliqué de façon inhabituelle en Grande-Bretagne.

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La Grande-Bretagne va employer un vaccin testé avec une lignée cellulaire dérivée d’un bébé avorté

Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Depositphotos

Le gouvernement britannique a annoncé qu’il emploierait le vaccin de Pfzer et BioNTech contre le coronavirus, selon LifeSiteNews :

Le Royaume-Uni a annoncé qu’il avait officiellement approuvé le vaccin de Pfizer et BioNTech pour le Covid-19 et qu’il commencerait à l’administrer la semaine prochaine.

Le gouvernement britannique se garde bien de rassurer la population au sujet de savoir s’il allait rendre le vaccin obligatoire ou non, s’il va créer ou non un passeport des vaccins. Le secrétaire à la Santé du Royaume-Uni, Matt Hancock, a préféré rester dans le flou sur cette question, disant que le vaccin allait vous protéger du virus, mais qu’on n’était pas sûr s’il allait vous empêcher de répandre ledit virus.

Ceci révèle deux choses ; la première, c’est qu’ils n’ont pas assez testé leur vaccin pour savoir s’il empêchait les personnes vaccinées de répandre le fameux virus ; secondement, c’est qu’il est stupide de vacciner des gens qui ne mourront très probablement pas du virus (tous ceux qui ne sont pas particulièrement fragiles ou âgés, la majorité de la population), non finalement pour les protéger d’un virus qui ne les tuera pas, mais pour savoir s’il les empêchera de disséminer le virus en question.

Il est par ailleurs tout aussi stupide de confiner la partie de la population qui ne risque rien (et loin de moi la pensée atroce d’isoler les personnes vulnérables comme on l’a fait, et comme on le fait...).

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Le confinement aggravera la dénatalité italienne

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : pohjakroon/Pixabay

En août, l’Italie est passée sous le cap des 60 millions d’habitants pour la première fois depuis 2013, ayant perdu 700 000 à sa population totale en cinq ans.

Le confinement aggravera le déclin démographique par la crise économique qu’il a provoquée, cette dernière affectant les Italiens dans leur capacité à bâtir une famille. Le taux de fécondité est déjà de 1,3 enfant par femme en Italie, tandis que le taux de chômage des jeunes est l’un des plus élevés d’Europe. Selon Pour une école libre Québec (PÉLQ) :

La pandémie a rendu la situation démographique italienne encore plus difficile, car la crise économique affecte désormais la propension des Italiens à construire une famille, dans un pays où le taux de fécondité est de 1,3 enfant par femme et où le chômage des jeunes est parmi les plus élevés d’Europe.

En août 2020, la population italienne est descendue au-dessous des 60 millions d’habitants pour la première fois depuis 2013.

Le chômage engendré par le confinement pousse de nombreux jeunes à renoncer à construire une famille, ou à reporter ce projet, dans des proportions alarmantes qui auront un effet sur la natalité fin 2020 et en 2021 (comme cela a d’ailleurs pu être observé lors des dernières crises économiques). Selon PÉLQ :

Une étude, conduite par Ipsos et l’Institut Toniolo, a demandé à un échantillon de jeunes Européens si leur projet d’avoir un enfant avait été modifié par l’épidémie : 36 % des personnes interrogées de nationalité italienne ont répondu avoir complètement abandonné cette idée, tandis que 37,9 % ont dit l’avoir seulement décalée. Des chiffres très différents de ceux des jeunes Français : 50 % de ces derniers ont déclaré décaler leur projet, mais seulement 14 % disent y avoir renoncé, tandis que 32 % n’ont pas changé d’avis — contre 25 % en Italie. En Italie, ces comportements devraient avoir un impact sur les naissances en 2020, mais aussi en 2021.

Autre conséquence du chômage, de nombreux Italiens instruits et en âge de travailler partent pour l’étranger, ce qui amènera également une baisse du nombre d’enfants. Selon PÉLQ :

Conséquences de ces chiffres, les plus instruits partent à l’étranger. Depuis 2006, le nombre d’Italiens résidant en dehors de la péninsule a ainsi augmenté de 70 %, passant de 3,1 millions à 5,3 millions. Une hémorragie qui débouche sur trois problèmes : une baisse du nombre d’habitants, une diminution potentielle du nombre d’enfants, et une perte de capital humain bien formé. Selon l’association Svimez, qui étudie les problèmes de compétitivité économiques et industriels du sud de l’Italie, « en 2065 la population en âge de travailler aura baissé de 15 % dans le nord (-3,9 millions de personnes) et de 40 % dans le sud (-5,2 millions) ».

N’oublions pas évidemment que l’avortement, la contraception et l’instabilité des familles sont des facteurs majeurs du dépeuplement.

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Le président d’Argentine, Alberto Fernández, tente de libéraliser l’avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Unsplash

En Argentine, des milliers de pro-vie manifestent pour contrer la neuvième tentative de libéraliser l’avortement dans le pays, cette fois-ci menée par le président de l’Argentine Alberto Fernández. Les députés avaient rejeté, avec l’appui de centaines de milliers de pro-vie, le dernier projet de loi pro-avortement en 2018 ; réussiront-ils cette fois-ci à empêcher l’extension de l’accès à l’avortement à la quatorzième semaine ? Selon LifeNews :

Des milliers et des milliers d’Argentins, samedi lors de manifestations pacifiques pro-vie dans tout le pays, ont exhorté les législateurs à rejeter un projet de loi visant à légaliser le meurtre des bébés à naître par avortement.

Le Buenos Aires Times rapporte que des milliers de manifestants portaient du bleu clair et des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « sauver les deux vies » et « marcher pour les enfants à naître », tandis qu’ils se rassemblaient devant le bâtiment du Congrès de la Nation à Buenos Aires. D’autres manifestations pro-vie ont également eu lieu dans tout le pays.

Le Congrès argentin doit commencer à débattre cette semaine d’un projet de loi visant à légaliser les avortements à 14 semaines maximum. Le président Alberto Fernández a présenté ce projet de loi pro-avortement au début du mois [de novembre]. C’est la neuvième tentative des militants de l’avortement pour légaliser le meurtre des bébés à naître dans ce pays d’Amérique du Sud.

« L’Argentine a déjà dit non à l’avortement, et aujourd’hui nous le disons à nouveau », déclarait Raul Magnasco, président de la More Life Fondation, à Deutsche Welle.

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La Haute Cour britannique limite les « transitions » en dessous de 16 ans

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Burst

La Haute Cour de Justice en Grande-Bretagne a rendu son verdict sur l’âge auquel les mineurs peuvent subir une « transition » — visant à les faire ressembler à des personnes de l’autre sexe — interdisant lesdites « transitions » aux mineurs en dessous de 16 ans, à moins que ces derniers ne comprennent les « conséquences immédiates et à long terme », ce qui est « hautement improbable », relève la Haute Cour, ce qui l’amène à ordonner que tout médecin voulant commencer la « transition » d’un mineurs en dessous de 16 ans consulte un tribunal au préalable, selon Gènéthique :

Les enfants britanniques ne pourront plus commencer de transition de genre avant 16 ans, en prenant des « inhibiteurs de puberté ». Sauf s’ils en comprennent les conséquences « immédiates et à long terme » a statué la Haute Cour britannique, qui estime par ailleurs qu’il est « hautement improbable » qu’un enfant de cet âge soit en mesure de le faire. « Compte tenu des conséquences à long terme des interventions » et du caractère « encore innovant et expérimental » du traitement, les juges demandent donc aux médecins de demander l’avis d’un tribunal avant de commencer tout traitement. Cette décision, rendue le 1er décembre, était très attendue […]

L’une des deux requérantes est une jeune femme de 23 ans qui avait commencé à « transitionner » à 16 ans et qui regrette maintenant d’avoir suivi une telle voie (mais alors, ce jugement ne règle en rien les cas similaires au sien…). L’autre requérante est la mère d’une jeune fille autiste de 15 ans, désirant « transitionner », craignant que ce processus n’inflige de graves torts à sa fille (ce qui serait effectivement le cas).

Si ce jugement renforce sans doute la protection des mineurs inavertis face à la tentation de la « transition », il n’empêche que la Haute Cour laisse la porte ouverte à la « transition » des mineurs, bien qu’encadrée par les tribunaux britanniques… ce qui est justement inquiétant. Ce ne serait pas le premier cas où une cour a décidé qu’une mineure pourrait « transitionner » ; cela voulait-il dire pour autant qu’elle était bien avertie des dangers inerrants à cette pratique ? J’en doute, et même si c’était le cas, cela n’écarterait pas les torts intrinsèques à la « transition ». D’autre part, les droits parentaux seront-ils préservés ?

Il aurait infiniment mieux valu que la Haute Cour interdise la « transition » (qui est immorale) des mineurs tout court.

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Le président du Brésil, Jair Bolsonaro : « je ne prendrai pas le vaccin covid, le Congrès ne le rendra pas obligatoire »


Jair Bolsonaro, président du Brésil.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Palácio do Planato/Flickr

Jair Bolsonaro, président du Brésil, a récemment déclaré qu’il ne se ferait administrer aucun vaccin contre le coronavirus, ajoutant qu’il était sûr que le Congrès brésilien ne le rendrait jamais obligatoire, rapporte LifeSiteNews :

Le président brésilien Jair Bolsonaro a fermement déclaré la semaine dernière qu’il ne prendrait aucun vaccin covid-19 que son pays pourrait approuver et il était « sûr » que le Congrès ne rendrait aucun vaccin obligatoire.

« Je vous le dis, je ne le prendrai pas (le vaccin) », affirmait-il le 26 novembre lors d’une conférence de presse sur les « sujets de la semaine ». « C’est mon droit ».

« Et je suis sûr que le Congrès ne fera pas de difficultés à ceux qui ne veulent pas prendre de vaccin », ajouta-t-il.

« Forcer les gens à prendre le vaccin ou dire que celui qui ne le prend pas ne peut pas obtenir de passeport, avoir d’emploi dans la fonction publique, c’est de la dictature », poursuivit le président brésilien. « Celui qui défend une telle idée est un dictateur ou un faux dictateur qui est prêt à faire de l’argent avec la vie des autres ».

Bolsonaro a également critiqué l’emploi de masques pour lutter contre la propagation du virus, la qualifiant de « tabou » qui doit « tomber ».

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