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La Grande-Bretagne va employer un vaccin testé avec une lignée cellulaire dérivée d’un bébé avorté

Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Depositphotos

Le gouvernement britannique a annoncé qu’il emploierait le vaccin de Pfzer et BioNTech contre le coronavirus, selon LifeSiteNews :

Le Royaume-Uni a annoncé qu’il avait officiellement approuvé le vaccin de Pfizer et BioNTech pour le Covid-19 et qu’il commencerait à l’administrer la semaine prochaine.

Le gouvernement britannique se garde bien de rassurer la population au sujet de savoir s’il allait rendre le vaccin obligatoire ou non, s’il va créer ou non un passeport des vaccins. Le secrétaire à la Santé du Royaume-Uni, Matt Hancock, a préféré rester dans le flou sur cette question, disant que le vaccin allait vous protéger du virus, mais qu’on n’était pas sûr s’il allait vous empêcher de répandre ledit virus.

Ceci révèle deux choses ; la première, c’est qu’ils n’ont pas assez testé leur vaccin pour savoir s’il empêchait les personnes vaccinées de répandre le fameux virus ; secondement, c’est qu’il est stupide de vacciner des gens qui ne mourront très probablement pas du virus (tous ceux qui ne sont pas particulièrement fragiles ou âgés, la majorité de la population), non finalement pour les protéger d’un virus qui ne les tuera pas, mais pour savoir s’il les empêchera de disséminer le virus en question.

Il est par ailleurs tout aussi stupide de confiner la partie de la population qui ne risque rien (et loin de moi la pensée atroce d’isoler les personnes vulnérables comme on l’a fait, et comme on le fait...).

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Le ministre de la Santé, Nadhim Zahawi n’exclut pas pour sa part de soutenir les compagnies qui pourraient vouloir un passeport des vaccins afin d’identifier qui a été vacciné et qui ne l’a pas été, ce qui reviendrait donc exercer une pression sur les gens qui ne le voudraient pas :

Lundi, Nadhim Zahawi, le ministre de la santé récemment nommé pour superviser l’application du vaccin COVID-19 en Angleterre, a déclaré que le gouvernement « examinait » la technologie du passeport du vaccin et qu’il s’attendait à ce que les propriétaires de restaurants, bars, cinémas, salles de sport et autres lieux souhaitent que les individus prouvassent qu’ils ont été vaccinés.

Si M. Zahawi a déclaré qu’il pensait qu’il était juste que le vaccin soit reçu volontairement, il a également souligné que le gouvernement soutiendrait les entreprises dans la mise en place de technologies permettant de vérifier la preuve de la vaccination.

« Les gens doivent pouvoir décider eux-mêmes s’ils veulent être vaccinés ou non », a-t-il déclaré à la BBC.

[…]

Je pense qu’à bien des égards, la pression viendra des deux côtés, des prestataires de services qui diront : « dites, montrez-nous que vous avez été vaccinés ». Mais, aussi, nous rendrons la technologie aussi facile et accessible que possible ».

Autre aspect sombre de ce vaccin anticoronavirus, il a été testé avec un test comprenant la lignée cellulaire HEK 293, dérivée des tissues d’un bébé avorté :

Le mois dernier, le Dr Helen Watt, du Centre de bioéthique Anscombe à Oxford, en Angleterre, a déclaré au Catholic Herald que le vaccin Pfizer « n’utilise pas de lignée cellulaire fœtale dans le processus de production lui-même, ni dans la conception », mais qu’« un des tests de confirmation en laboratoire sur le vaccin impliquait malheureusement une vieille lignée cellulaire fœtale ». L’organisation Children of God for Life affirme que le vaccin Pfizer est testé à l’aide de la lignée cellulaire HEK 293, qui est dérivée de tissus rénaux prélevés sur un bébé sain qui fut avorté aux Pays-Bas dans les années 1970.



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