M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Un prêtre aux évêques du Canada : il est temps de rouvrir pleinement les églises

Par le Père Louis Di Rocco — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : magdiel macoquis/Pixabay

18 juin 2021

Il est temps que les évêques du Canada déclarent unilatéralement et à l’unisson que les églises catholiques rouvriront au maximum de leur capacité, immédiatement et sans restriction. C’est urgent. Il faut le faire avant que nos droits religieux et civils ne soient complètement érodés et que votre autorité ne soit irrémédiablement sapée.

À mon avis, il n’y a pas d’urgence pandémique maintenant et il n’y en a jamais eu. Nous avons été trompés.

Dès le début, une panique et une peur extrêmes ont été créées par diverses forces, notamment les gouvernements, les médias, les organisations privées et les grandes entreprises technologiques.

Pour la plupart des gens, il n’y a aucun danger lié au Covid-19. Des milliers de médecins du monde entier ont témoigné que la grande majorité de la population n’a rien à craindre (la principale exception étant les personnes âgées présentant des comorbidités préexistantes).

En outre, il existe des méthodes de prévention et de traitement de l’infection très efficaces et peu coûteuses. Malheureusement, ces méthodes ont été délibérément supprimées, voire interdites. Qui sait combien de vies auraient pu être sauvées si le bon sens avait prévalu ?

En Ontario, l’Ordre des médecins et des chirurgiens a intimidé les médecins. Il a été interdit aux médecins de faire des déclarations critiquant les mesures imposées par les autorités, telles que le port du masque, la vaccination et le confinement, ou faisant la promotion de traitements « non validés » pour le Covid-19.

La plupart des églises ont appliqué les décrets tels que le port du masque et même la fermeture des églises, empêchant ainsi les fidèles d’assister à la messe et limitant même parfois sévèrement l’accès aux autres sacrements. De manière injuste et discriminatoire, le nombre de personnes autorisées par le gouvernement dans les églises a été beaucoup plus faible que le nombre de personnes autorisées dans les commerces considérés comme essentiels tels que les magasins d’alcool et les magasins à grande surface. Il semble que Dieu, l’église et les sacrements aient été jugés non essentiels. Le gouvernement a jugé que l’avortement et l’euthanasie étaient essentiels, mais pas les églises.

Des médecins et d’autres personnes ont souligné les graves dommages collatéraux causés par le confinement, tels que la faillite d’entreprises, la perte de moyens de subsistance, l’augmentation des dépressions, l’isolement social, l’abus d’alcool et de drogues et même la tentation du suicide, ainsi que les dommages psychologiques subis par les enfants et la perte d’apprentissage chez les plus jeunes en particulier.

Il faudra peut-être de nombreuses années aux églises pour retrouver leurs paroissiens. Beaucoup ne reviendront peut-être pas à l’église, certains peut-être parce qu’ils reprochent à leurs chefs et pasteurs de les avoir abandonnés, et d’autres parce qu’ils se sont habitués à ne pas assister en personne à la messe et à la regarder à la télévision. Quand la dispense de l’obligation d’assister à la messe dominicale sera-t-elle levée ?

L'article continue ci-dessous...

Cliquez « J'aime » si vous êtes pro-vie !

Abonnez-vous à notre chaîne Youtube !

Tous les mandats infligés par les gouvernements et les services de santé et mis en œuvre par les autorités locales, y compris les églises, ont conditionné les gens à avoir peur d’un danger fantôme, à éviter les autres, à porter des masques défigurants et à accepter volontairement des injections très dangereuses et non testées qui provoquent des réactions indésirables très graves, notamment des caillots sanguins, des inflammations cardiaques, des fausses couches et peut-être même une infertilité à long terme. Et bien sûr, des milliers de morts déjà : au moins quatre mille aux États-Unis et plus de dix mille en Europe.

Le Dr Byram Bridle, viro-immunologiste à l’Université de Guelph, était favorable aux inoculations mais il a récemment (juin/21) déclaré : « Nous avons fait une grosse erreur. » « Nous ne savions pas que la protéine de spicule (spike protein) elle-même était une toxine et qu’elle était une protéine pathogène. Donc, en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine. » « La protéine de spicule à elle seule est presque entièrement responsable des dommages causés au système cardiovasculaire, si elle entre dans la circulation. »

Nous ne pouvons pas ignorer la question morale des vaccins qui utilisent des lignées cellulaires et de l’ADN d’enfants avortés pour les tests ou dans le produit final, dans de nombreux cas les bébés ayant été avortés expressément pour cette raison. Tout d’abord, il n’y a pas de grande urgence. Ensuite, il existe des méthodes moralement bonnes de traitement du virus, comme l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. Et même si l’on devait conclure que l’utilisation de ces vaccins contaminés est acceptable parce qu’il s’agit d’une coopération matérielle à distance (ce que je n’accepte pas moi-même), il n’y a aucune raison proportionnelle de le faire. En justifiant cavalièrement l’utilisation d’inoculations contaminées, nous minimisons le mal de l’avortement dans ses chiffres et dans toute son horreur.

Dans une récente entrevue, le Dr Roger Hodkinson, un pathologiste d’Alberta, a parlé avec force du grand danger des injections expérimentales contre le Covid. Voici, paraphrasées, ses principales idées :

  • Un grand nombre de médecins ne sont pas d’accord avec l’utilisation de vaccins expérimentaux insuffisamment testés.
  • Aucun des soi-disant mandats n’est soutenu par un quelconque consensus scientifique.
  • La vaccination de tous devrait être arrêtée immédiatement.
  • Il n’y a jamais eu d’urgence ; il n’y a donc aucune raison pour un vaccin qui contrevient à toutes les garanties habituelles.
  • Le fait de vacciner les enfants est un abus d’enfant sanctionné par l’État, à l’échelle la plus monstrueuse.
  • Le Collège des médecins devrait protéger les gens, mais au lieu de cela, il applique les politiques du gouvernement.
  • C’est le crime le plus terrible jamais perpétré contre l’humanité.
  • Il n’y a pas de consentement éclairé car on ne dit pas aux gens que les vaccins ne sont pas sûrs. Il insiste sur le fait qu’ils provoquent une maladie très grave appelée inflammation du cœur.
  • Dans sa propre province d’Alberta, le premier ministre ne permet même pas aux membres de son parti de rencontrer le Dr Hodkinson.

Regardez l’entrevue du Dr Hodkinson.

Un autre médecin éminent possédant d’excellentes références est le Dr américain Peter McCullough, professeur de médecine interne et de cardiologie, ainsi que rédacteur en chef de plusieurs revues médicales.

Dans cette vidéo, il est interrogé par un avocat allemand qui intente des poursuites contre les responsables de la situation dans laquelle nous nous trouvons, les accusant de crimes contre l’humanité. Voici quelques-unes des choses que le Dr McCullough dit dans la vidéo : il décrit la situation dans laquelle nous nous trouvons comme une forme de bioterrorisme qui semble avoir été préparée depuis de nombreuses années. La première vague était un virus qui a touché relativement peu de personnes mais qui a suscité une grande peur. Pour les personnes en bonne santé, c’était comme un simple rhume. Il dit que la peur a été utilisée pour provoquer des fermetures, etc. Et tout ce qui a été fait dans le cadre de la réponse de santé publique a aggravé la situation. La suppression des premiers traitements était étroitement liée au développement d’un vaccin. La première vague a consisté à maintenir la population dans la peur et l’isolement pour la préparer à accepter le vaccin, qui semble être la phase deux de l’opération de bioterrorisme.

Un article du Dr Joseph Mercola offre ici un résumé efficace de la situation de Covid.

D’autres médecins ont fait des déclarations encore plus fermes. Le Dr Michael Yeadon, qui travaillait auparavant pour Pfizer qui produit l’un des vaccins, a averti que les inoculations pourraient entraîner des millions de décès.

Peut-être qu’au début, nous pouvions nous permettre d’accepter certaines directives désagréables. Mais au bout de quelques semaines, il n’y avait absolument plus d’excuse. Les autorités ecclésiastiques, jusqu’au plus haut niveau, ont cédé aux mandats déraisonnables et inutiles des gouvernements et des services de santé non élus.

Ces mesures, telles que le port obligatoire de masques, la désinfection des bancs, l’éloignement physique, les tests PCR peu fiables, se sont révélées être du pur théâtre et un gaspillage d’argent. Elles ont servi à engendrer la panique et la peur. Le lavage de cerveau est si fort qu’un pourcentage élevé de personnes ont l’intention de continuer à porter des masques même lorsqu’ils ne seront plus obligatoires !

Le masquage forcé est un symbole parfait de tout ce qui nous est infligé.

C’est une attaque contre notre liberté, et c’est injuste, anti-humain et antisocial. C’est une arme de peur, d’isolement, d’humiliation, et même d’auto-humiliation, de soumission, de déshumanisation et de contrôle tyrannique.

Le port forcé des masques et les inoculations forcées sont contraires au Code de Nuremberg. L’Église ne doit pas prendre part à des crimes contre l’humanité.

Encourageons les gens à revenir à l’église où ils peuvent participer au sacrifice de la messe, et non au sacrifice du masque.

Pourquoi tout cela est-il urgent ? Beaucoup pensent que la fausse pandémie a été planifiée pour mettre en place des mesures de contrôle draconiennes qui aboutiront à une société de surveillance, où les gens deviendront totalement dépendants du gouvernement et seront pratiquement réduits à l’état d’esclaves.

Nous ne devons pas être des participants volontaires à cette refonte de la société. Ne soyons pas des victimes silencieuses. Prenons en compte ce que Mark Twain a dit : « Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés. »

Je vous exhorte à exercer votre autorité pastorale, à prendre la croix et à la porter pour le salut qu’elle offre au peuple de Dieu.

Respectueusement,

Père Louis Di Rocco
Prêtre retraité



Laissez un commentaire