Dr Zelenko : vrai médecin
Le Dr Vladimir Zelenko.
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rumble
Le Dr Zelenko était un vrai médecin, il respectait la vie humaine pour son être et non pour ses capacités, parce que crée à l’image de Dieu : « Les principaux concepts de la “vie centrée sur Dieu” comprennent que “nous sommes faits à l’image de Dieu, et c’est la base de la loi naturelle, ce qui signifie que puisque nous sommes faits à l’image de Dieu nos vies sont sacrées, simplement parce qu’elles le sont, et non pour une autre raison” », rapportait de lui LifeSiteNews le 8 décembre 2021. C’est ce que je qualifierais de convictions pro-vie — A.H.
30 juin 2022 (LifeSiteNews) — Le Dr Vladimir Zelenko, pionnier du traitement précoce covid, est décédé d’un cancer à l’âge de 48 ans.
Le Dr Vladimir Zelenko, médecin nommé au prix Nobel et militant des droits médicaux, est décédé à l’âge de 48 ans après un long combat contre le cancer.
Zelenko, qui a exercé la médecine pendant 20 ans, est devenu un nom mondialement connu pendant la prétendue pandémie de covid-19 lorsqu’il a été le premier à mettre au point le protocole de traitement précoce qui a permis de sauver des vies, aujourd’hui appelé « protocole Zelenko ».
Annonçant son décès, America’s Frontline Doctors a écrit tôt le matin du 30 juin :
C’est avec une immense tristesse que nous annonçons le décès de notre fondateur, le Dr Vladimir « Zev » Zelenko. Le Dr Zelenko était médecin, scientifique et militant des droits médicaux qui a touché la vie de millions de personnes. Certaines ont été sauvées grâce à son rôle de médecin, et d’autres encore ont été inspirées par ses paroles. Son « protocole Zelenko » a sauvé des millions de personnes, lui a valu une nomination au prix Nobel et l’admiration d’un président américain et d’autres dirigeants mondiaux de premier plan.
Zelenko, juif orthodoxe né en Union soviétique, a été largement couvert par LifeSiteNews, à la fois pour son protocole Zelenko loué par Donald Trump, qui lui a valu une nomination au prix Nobel, et pour son franc-parler concernant les graves méfaits des injections expérimentales d’ARNm covid.
Dans une vidéo, datée du 21 septembre 2021, le Dr Vladimir Zelenko prenait un grand risque en racontant tout !, le Dr Zelenko témoigna devant un tribunal rabbinique des horreurs causées par les injections expérimentales à modification génétique, et en quoi leur application à des enfants — qui ne courent aucun risque avec le covid — n’est rien d’autre qu’un sacrifice d’enfant.
Dans un entretien accordé à LifeSiteNews en juillet dernier, Zelenko a expliqué ce qui a fait le succès de son protocole à base d’hydroxychloroquine (HCQ) et de zinc pour traiter le covid, tout en évoquant le « groupe de sociopathes » qui a ignoré et censuré son traitement efficace et qui a préféré imposer un « liquide expérimental » (le vaccin à ARNm) à l’ensemble de la population mondiale.
Lire la suiteQuelques observations sur le rapport du coroner sur les décès en CHSLD durant la « première vague » en 2020
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie
Le rapport du Coroner Géhane Kamel sur l’hécatombe dans les CHSLD lors de la « première vague » de la covid en 2020 vient de sortir. Ce rapport de plus de 190 pages contient plusieurs éléments valables pour les défenseurs de la vie.
Souvenez-vous qu’en fin de 2020 j’avais écrit une lettre ouverte à Mme Johanne Castonguay, Commissaire à la santé et au bien-être, concernant ce que je croyais être les véritables causes des décès en CHSLD. Je reproduis l’essentiel ici :
« À notre avis, les personnes vulnérables décédées au Québec ce printemps en nombre plus élevé que la normale ne sont pas uniquement, ni même pour la plupart, mortes d’un virus ayant un taux de létalité avoisinant celui d’une forte grippe saisonnière ; elles sont en majorité décédées pour d’autres raisons, parmi lesquelles :
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une grossière négligence, provoquée entre autres par un manque criant de main-d’œuvre dans les établissements de soins de longue durée, lui-même suscité en grande partie par une campagne de peur médiatique qui a semé la panique chez les employés de ces centres ;
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une situation de stress causée par l’isolement et les autres mesures sanitaires, affaiblissant le système immunitaire de personnes déjà très fragiles, et les rendant plus susceptibles de succomber à des maladies en temps normal relativement bénignes ;
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une politique de “triage” des personnes aînées, leur refusant en une période de pandémie un accès à des services hospitaliers qui leur étaient habituellement accordés ;
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une contamination des établissements pour personnes âgées par des personnes âgées malades qu’on a évacuées des hôpitaux (pour “libérer” 7000 lits, dont ceux de 1400 patients toujours malades), en anticipation d’une “vague” de malades plus “prioritaires” qui n’est jamais venue ;
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une suspension de plusieurs interventions chirurgicales et autres, toujours afin de “libérer” des lits pour faire face à la crise, temps d’arrêt dans les soins qui a pu indirectement causer plusieurs décès ce printemps ;
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la mise sur pied de protocoles à consonance euthanasiques ; »
Quand donc les médias nous proposeront-ils autre chose que des vaccins liés à l'avortement ?
Par Solange Lefebvre-Pageau — Photo : chompoo/Adobe Stock
Dans un avenir prochain, aurons-nous la possibilité d’apprendre que Radio-Canada présentera une seconde émission spéciale reliée à la COVID-19, en recevant des experts scientifiques en virologie et en maladies infectieuses non axés sur la vaccination anti-COVID expérimentale comme moyen de gestion du Covid-19 ?
Voilà la question-clé qui est venue en mon esprit et en mon cœur au terme de l’émission spéciale de Radio-Canada du 9 janvier 2022, animée par Madame Anne-Marie Dussault et par Monsieur Charles Tisseyre.
Pourquoi un tel souhait ?
C’est simple, c’est parce que je ne suis pas sans ignorer l’existence de deux discours diamétralement opposés relatifs à la prévention de la COVID-19 et de ses variants :
- l’un, cherchant — par tous les moyens possibles — à rendre le vaccin actuel anti-COVID obligatoire pour tous ;
- l’autre, nous invitant à renoncer au vaccin anti-COVID à leurs yeux inacceptable, car « expérimental ».
D’ici peu, combien je serais ravie que l’ensemble de nos concitoyens aient la possibilité d’entendre un deuxième son de cloche provenant, cette fois, d’experts scientifiques indépendants des grandes Compagnies pharmaceutiques (Big Pharma) et des lobbies financiers ! Il serait utile d’entendre un discours fort différent de celui omniprésent, au sein de l’ensemble des médias de presse du Québec et du Canada. C’est important, particulièrement à cette heure où la rectitude politique actuelle nous interdit de débattre de cette question, bien que les statistiques de sources sûres nous fassent découvrir de graves enjeux reliés aux vaccins. Cela nous donnerait un éclairage nouveau et, sait-on jamais, nous pousserait à réaliser un profond questionnement sociétal, au nom des droits humains et spirituels.
Lire la suiteBig Pharma, Gates, Fauci, des responsables britanniques accusés de crimes contre l’humanité dans une plainte déposée devant un tribunal international
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : OSeveno/Wikimedia Commons
16 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Un groupe qui comprend l’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, a déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) au nom de citoyens britanniques contre Boris Johnson et des fonctionnaires britanniques, Bill et Melinda Gates, des directeurs généraux de sociétés Big Pharma, le président exécutif du Forum économique mondial, Klaus Schwab, et d’autres personnes pour crimes contre l’humanité.
Le groupe britannique, composé d’un astrophysicien et d’un entrepreneur de pompes funèbres, a également accusé le Dr Anthony Fauci, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), June Raine, directrice générale de la Medicines and Healthcare products regulatory agency (MHRA), le Dr Peter Daszak, président d’EcoHealth Alliance, comme « responsables de nombreuses violations du code de Nuremberg ... de crimes de guerre et de crimes d’agression » au Royaume-Uni et dans d’autres pays.
Après avoir tenté en vain, à plusieurs reprises, de saisir la justice anglaise, les requérants se sont résolus à demander de « toute urgence » à la CPI « d’arrêter le déploiement des vaccinations COVID, l’introduction de passeports de vaccination illégaux et tous les autres types de guerres illégales... menées contre la population du Royaume-Uni ».
Dans sa plainte déposée le 6 décembre, le groupe présente des preuves que les « vaccins » COVID-19 sont en fait des thérapies géniques expérimentales conçues à partir de recherches sur les gains de fonction des coronavirus de chauve-souris, et affirme que ces « vaccins » ont causé des décès et des blessures massifs et que le gouvernement britannique n’a pas enquêté sur ces décès et blessures signalés ; que les chiffres de cas et de décès du COVID ont été artificiellement gonflés ; que les masques faciaux sont nocifs en raison de l’hypoxie, de l’hypercapnie et d’autres causes ; et que les tests PCR sont « totalement peu fiables » et « contiennent de l’oxyde d’éthylène cancérigène ».
Ils ont également fait valoir que des traitements efficaces contre le COVID-19, tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, ont été supprimés, ce qui a entraîné un nombre de décès dus au COVID-19 supérieur à ce qui aurait dû être le cas.
Lire la suiteEst-ce vrai que l'ivermectine et l'hydroxychloroquine sont entachées d'avortement, tout comme les vaccins covid ?
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : LifeSiteNews/Rumble
15 octobre 2021 (LifeSiteNews) — Comme vous le savez tous, LifeSiteNews a pris une position très claire sur l’utilisation de vaccins contaminés par l’avortement, c’est-à-dire les vaccins qui ont employé des cellules fœtales avortées dans leur production, ou leurs tests ou les deux.
Cette position perdure depuis des années et nous l’avons maintenue récemment encore concernant les soi-disant « vaccins » contaminés par l’avortement. Nous avons également produit des articles sur l’utilisation de l’ivermectine comme traitement au COVID-19 et des complications liées aux vaccins.
Mais ces dernières semaines, nous avons vu une liste circuler parmi les catholiques; une liste de produits médicaux qui sont soi-disant contaminés par le mal de l’avortement, tout comme ces vaccins COVID — en particulier par la lignée cellulaire fœtale HEK-293, qui est dérivée d’un avortement pratiqué en 1973.
Cette liste comprend divers médicaments communs, ainsi que des traitements pour la COVID tels que l’ivermectine et l’hydroxychloroquine.
Lire la suiteMgr Viganò met en garde les évêques américains contre les vaccins du covid
Mgr Carlo Maria Viganò.
Par Jacques T. (Le Forum Catholique)
Traduction d’une nouvelle intervention de Mgr Viganò, concernant les dangers de la vaccination anti-Covid, ayant été publiée par LifeSiteNews :
Mgr Viganò met en garde les évêques américains contre le vaccin du Covid : la grande réinitialisation veut « des milliards de personnes souffrant de maladies chroniques »
Le silence de tant de cardinaux et d’évêques, ainsi que la promotion inconcevable de la campagne de vaccination par le Saint-Siège, représentent une forme de complicité sans précédent qui ne peut plus durer.
26/10/2021
Note de la rédaction : Mgr Carlo Maria Viganò a décidé de rendre publique une lettre du 23 octobre envoyée au Cardinal Luis F. Ladaria SJ, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Mgr José Gómez, Président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, ainsi qu’à tous les évêques des États-Unis d’Amérique.
*
Éminences,
Excellences,
J’adresse à vous, Mgr Gómez, en tant que Président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, et à vous, Cardinaux Ladaria et Müller, pour votre compétence, quelques considérations sérieuses liées aux soi-disant vaccins contre le Covid-19.
Je pense que certains aspects de la question permettent désormais une évaluation plus complète de ce que sont ces médicaments et de leurs effets ; cette évaluation doit conduire à une position collégiale, conforme au Magistère de l’Église et non influencée par des informations biaisées ou par des informations erronées diffusées par les producteurs de ces drogues ou par les médias.
Lire la suiteLettre ouverte aux évêques catholiques au sujet de leur appui aux mesures « sanitaires » et particulièrement aux vaccins
Par Mark Mallett (markmallett.com) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : fizkes/AdobeStock
Lettre ouverte aux évêques catholiques
Les fidèles du Christ sont libres de faire connaître leurs besoins,
surtout leurs besoins spirituels, et leurs souhaits aux Pasteurs de
l’Église.
Ils ont le droit, en effet parfois le devoir,
en fonction de leurs connaissances, de leurs compétences et de leur
position,
de manifester aux pasteurs sacrés leurs vues sur les questions
qui concernent le bien de l’Église.
et de les faire connaître aux autres fidèles
mais ce faisant, ils doivent toujours respecter l’intégrité de la foi et de la
morale,
montrer le respect dû à leurs pasteurs,
et prendre en compte à la fois
le bien commun et la dignité des individus.
— Code de droit canonique, 212
CHERS évêques catholiques,
Après un an et demi de vie dans un climat de « pandémie », je suis contraint par les données scientifiques indéniables et les témoignages d’individus, de scientifiques et de médecins de supplier la hiérarchie de l’Église catholique de remettre en question son appui massif aux « mesures de santé publique » qui, en fait, mettent gravement en danger la santé publique. Alors que la société est divisée entre les « vaccinés » et les « non-vaccinés » — ces derniers souffrant de tout, de l’exclusion de la société à la perte de revenus et de moyens de subsistance — il est choquant de voir certains bergers de l’Église catholique encourager ce nouvel apartheid médical.
Il y a sept prémisses que l’Église a apparemment acceptées comme des faits scientifiques mais qui ne sont, en fait, au mieux, que de la pseudoscience. Je vais aborder chacune d’entre elles ci-dessous. Bien que je sois actuellement un évangélisateur laïc au sein de l’Église, mon parcours professionnel est celui d’un ancien journaliste de télévision avec CTV Edmonton au Canada. En tant que tel, je suis revenu à mes racines journalistiques ces derniers temps dans l’espoir de percer la censure intense et la culture de l’annulation qui ont privé les fidèles et le monde en général d’informations critiques qui représentent une question de vie ou de mort — une question en effet de « bien commun ». Le romancier américain Upton Sinclair a dit un jour : « Il est insensé d’être convaincu sans preuve, mais il est tout aussi insensé de refuser d’être convaincu par des preuves réelles. »
Avant d’aborder ces sept prémisses, il y a un thème sous-jacent qui a été accepté par la société dans son ensemble et qui a causé d’énormes dégâts. Et c’est l’idée tout à fait nouvelle qu’une personne en parfaite santé est en quelque sorte une menace virale. Le Dr Peter McCullough, MD, MPH, FACC, FAHA, est probablement le plus grand expert au monde aujourd’hui sur la réponse à la pandémie et le médecin le plus cité de la National Library of Medicine. Il a déclaré récemment :
Lire la suite« Le virus ne se propage pas de manière asymptomatique. Seuls les malades le donnent à d’autres ». — 20 septembre 2021, entretien, Gab tv, 6:32
Entrevue avec le Dr Zelenko médecin à l’origine du traitement par HCQ et zinc contre le COVID-19 aux États-Unis
Entrevue de Claire Chrétien (à gauche) de LifeSiteNews avec le Dr Vladimir Zelenko (à droite).
Par David McLoane — Traduit par Campagne Québec-Vie
Correction importante : Cet article indiquait à l’origine, à tort, que le Dr Zelenko recommandait « corcidin, vitamine C, vitamine D et zinc » comme protocole de traitement du COVID. Nous corrigeons : le premier élément est en fait la quercétine et NON la corcidine. Nous nous excusons pour l’erreur résultant de la transcription de l’audio.
De plus : Dans l’entrevue vidéo, le Dr Zelenko mentionne que Michael Yeadon a déclaré que la plupart des personnes vaccinées avec les vaccins Covid-19 mourront dans les 2 ans suivant la vaccination. C’est plutôt le professeur Dolores Cahill qui a fait cette déclaration, à propos de laquelle le Dr Yeadon a été enregistré déclarant qu’il « n’irait pas aussi loin ».
9 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Le Dr Vladimir Zelenko, ce médecin de Monsey, dans l’état de New York, qui a été le premier à utiliser l’hydroxychloroquine (HCQ) et le zinc comme traitement du COVID-19, a accordé une longue entrevue à LifeSiteNews pour expliquer pourquoi ce protocole a donné de si bons résultats. S’adressant à Claire Chrétien de LifeSite, Zelenko a parlé des vaccins contre le coronavirus et du « groupe de sociopathes » qui veut administrer ces injections au monde entier, ainsi que de la censure généralisée des informations sur le traitement du virus.
Dr Zelenko est médecin de famille depuis deux décennies dans le nord de l’État de New York. Le COVID-19 a balayé cette région lors de l’apparition de l’épidémie de coronavirus en mars 2020. À l’époque, les patients les plus gravement atteints du coronavirus de Wuhan étaient mis sous respirateur, mais « 80 à 90 % des personnes sous respirateur mouraient, ce n’était donc pas un très bon protocole de traitement », a noté Dr Zelenko.
Sur les 3 000 patients positifs au COVID dont il s’occupait, Dr Zelenko en a identifié 1 000 comme étant « à haut risque », mais son intervention médicale à base d’HCQ et de zinc a « réduit [leur] taux de mortalité de 7,5 % à moins de 0,5 % ».
« Cela représente une réduction de 84 % des hospitalisations et des décès. »
« Sur les 600 000 Américains décédés, nous aurions pu en empêcher 510 000 d’aller à l’hôpital et de mourir. »
Pourtant, ce protocole n’a pas été largement adopté par la communauté médicale. De nombreux Américains qui ont attrapé le coronavirus ont constaté que leurs médecins ne voulaient pas leur prescrire d’hydroxychloroquine ou que les pharmaciens ne voulaient pas en exécuter les ordonnances.
« L’HCQ a été adoptée par des médecins de renommée mondiale qui sont honnêtes et capables de raisonnement déductif et qui ne sont pas endoctrinés », a déclaré Zelenko à LifeSite, mais « malheureusement, 90 % des médecins de ce pays sont incapables d’une pensée indépendante ».
« Le résultat net est qu’ils suivent aveuglément les recommandations de leurs employeurs ou des agences gouvernementales sans faire appel au bon sens. Ils ne font que suivre les ordres, comme le faisaient les nazis. »
Lire la suiteUne maison de retraite du Québec donnait de la morphine à ses patients «covid-19» au lieu de les soigner, lors de la «première vague»
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gorodenkoff/AdobeStock
Laval, Québec, 22 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Une infirmière québécoise a témoigné que, conformément aux directives du ministère provincial de la Santé, son Centre d’hébergement de soins de longue durée (CHSLD) a administré de la morphine aux patients atteints de coronavirus au lieu de les soigner pour prolonger leur vie.
« Je n’avais jamais vu des décès se produire aussi rapidement », a déclaré Sylvie Morin au Globe and Mail. Mme Morin était infirmière en chef adjointe à Sainte-Dorothée, dans un CHSLD où plus de 100 résidents sont décédés l’an dernier lors de la « première vague » de COVID-19.
Elle a expliqué que le personnel de la maison de soins avait reçu pour instruction d’administrer aux résidents présumément atteints du COVID-19 un « protocole de détresse respiratoire » comprenant de la morphine, le sédatif Ativan et le médicament anti-nauséeux scopolamine. La Mayo Clinic note que les effets secondaires courants de la morphine injectée sont « une respiration difficile ou troublée », « une respiration irrégulière, rapide ou lente, ou superficielle », « un essoufflement » et « une respiration très lente ».
Le COVID-19 est une maladie respiratoire qui peut provoquer de graves problèmes respiratoires, notamment chez les personnes âgées. (Chez les personnes en bonne santé de moins de 65 ans, le taux de survie au coronavirus est extrêmement élevé et le virus, surtout avec un traitement précoce, ne provoque pas de graves problèmes respiratoires) [l'une des questions à se poser est : était-ce le covid ou une autre maladie respiratoire ?*].
« Vous ne devez pas prendre de morphine si vous souffrez d’asthme sévère ou de problèmes respiratoires... La morphine peut ralentir ou arrêter votre respiration », prévient drugs.com, un site de référence populaire qui offre « des données gratuites, évaluées par des pairs, précises et indépendantes sur plus de 24 000 médicaments sur ordonnance et en vente libre ».
Au sujet de l’Ativan, la Mayo Clinic prévient : « Ce médicament peut provoquer une dépression respiratoire (problème respiratoire grave qui peut mettre la vie en danger), en particulier lorsqu’il est utilisé avec des analgésiques narcotiques [comme la morphine]. »
Lire la suiteAncienne journaliste de FOX : les médias et l’OMS taisent des rapports sur l’efficacité de l’Ivermectine et de l’HCQ sur le covid
Ivory Hecker.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
28 juin 2021 (LifeSiteNews) — Les grands médias suppriment les informations sur l’efficacité de l’Ivermectine comme traitement du coronavirus, selon une ancienne journaliste de la chaîne FOX.
Ivory Hecker a déclaré que FOX l’a censurée lorsqu’elle a essayé de faire un reportage sur l’efficacité de l’Ivermectine. Elle a récemment publié une vidéo qui semblait inclure des séquences datant de 2020 que son employeur n’a pas diffusées.
Le Dr Joseph Varon est surnommé le « chasseur de COVID ». Il a fait des centaines d’apparitions dans les médias sur des chaînes d’information aux États-Unis et à l’étranger.
Il a également connu un grand succès dans le traitement du COVID car il a utilisé des médicaments comme l’Ivermectine et l’hydroxychloroquine (HCQ) pour traiter le COVID.
« Presque tous les médias ont omis de noter », a déclaré Hecker, « qu’en utilisant ces médicaments, le Dr Varon a obtenu un faible taux de mortalité chez ses patients, dans les hôpitaux. »
Mme Hecker a interrogé Dr Varon, et celui-ci a déclaré que les médias refusent d’inclure ses commentaires sur l’Ivermectine dans leurs reportages.
Finally covering the story on COVID drug treatments that I wasn’t allowed to air on FOX.
— Ivory Hecker (@IvoryHecker) June 24, 2021
A look at why one Houston hospital has a dramatically lower COVID death rate than anywhere else and the ways the media skated around the facts at that hospital.https://t.co/1XHZYrtGHy
Untold stories of the pandemic:
— Ivory Hecker (@IvoryHecker) June 25, 2021
Manuel Espinoza is one of thousands who went to Dr. Joseph Varon and received a treatment protocol for COVID-19 that the WHO and CDC recommend against. According to him, that’s what saved his life.
Watch the full report: https://t.co/1XHZYrtGHy pic.twitter.com/Ie3LiC4CZm
« Je n’ai aucun problème à dire aux gens que c’est un médicament [HCQ]. Je le prendrais moi-même si je tombais malade et devais être hospitalisé », a déclaré Dr Varon à un média local de Houston l’année dernière.
La couverture de l’affaire par Mme Hecker a suscité l’ire des responsables gouvernementaux, mais a été saluée par d’autres.
« Les salles de presse américaines évitent activement cette histoire de vie et de mort qui change le monde. L’Ivermectine est dissimulée à la vue de tous, tandis que les bureaucrates cherchent des excuses pour ne pas utiliser des médicaments bon marché, réutilisés et efficaces. Comment est-ce possible ? » a écrit Bret Weinstein sur Twitter.
L’Hydroxychloroquine (HCQ), qui est bon marché et largement disponible, est un médicament utilisé pour traiter le paludisme, le lupus et l’arthrite.
« Une recherche publiée par medRxiv cette semaine a révélé que l’hydroxychloroquine, lorsqu’elle est associée à l’azithromycine, pourrait augmenter le taux de survie au coronavirus de près de 200 % chez les patients ventilés qui ont une version sévère du COVID-19 », a rapporté le Washington Examiner le 11 juin.
« Quelques mois plus tard, le Henry Ford Health System a publié une étude montrant que l’hydroxychloroquine aidait les patients gravement atteints du coronavirus à se rétablir », rapporte le média.