Un médecin ontarien rapporte que 80% des patients aux urgences avec des problèmes mystérieux ont reçu les 2 doses
Dr Rochagné Kilian
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
4 octobre 2021 Owen Sound, Ontario (LifeSiteNews) — Le Dr Rochagné Kilian a récemment démissionné de son poste de médecin d’urgence et de médecin de famille en raison de ses inquiétudes que tout au long de la pandémie, le système de santé de l’Ontario et le Grey Bruce Health Services (GBHS) ait dépassé les limites éthiques.
Lors d’une réunion virtuelle à laquelle ont participé le PDG du GBHS Gary Sims et d’autres membres du personnel, le Dr Kilian a posé à Sims une série de questions sur ce qu’elle considère comme étant un comportement contraire à l’éthique de la part du système de santé de l’Ontario à tous les niveaux. Sims ne semblait pas préparé aux questions difficiles concernant le déploiement continu de mandats de vaccination et des restrictions ségrégatives liées aux vaccins que le système de santé de l’Ontario défend.
Kilian a estimé que 80% des patients qu’elle a vus aux urgences au cours du mois dernier et qui présentaient des symptômes inexplicables avaient subi une « double vaccination ».
Lire la suiteUn bébé allaité est mort de caillots sanguins après que sa mère ait reçu le vaccin covid de Pfizer
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/AdobeStock
Il s’agit du deuxième cas connu de décès d’un bébé allaité.
6 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Un bébé allaité de six semaines est devenu inexplicablement malade avec une forte fièvre après que sa mère ait reçu un vaccin COVID-19 et il est mort quelques semaines plus tard avec des caillots de sang dans ses « artères gravement enflammées », selon un rapport d’événement indésirable lié au vaccin, déposé auprès du gouvernement américain.
Une femme de 36 ans restant anonyme, originaire du Nouveau-Mexique, a déclaré avoir reçu une première dose du vaccin Covid-19 de Pfizer le 4 juin 2021, alors qu’elle allaitait son fils de six semaines, selon un rapport déposé auprès du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).
« Le 17 juillet, mon bébé est décédé », indique le rapport, qui est apparu pour la première fois sur le VAERS le 13 août 2021.
Caillots de sang, artères enflammées
Le petit garçon est devenu « très malade avec une forte fièvre » le 21 juin et il a été traité par antibiotiques intraveineux pendant deux semaines à l’hôpital pour ce qui était censé être une infection bactérienne.
Le rapport du VAERS indique que les tests effectués à l’hôpital « n’ont jamais permis de trouver de bactérie déterminée » et on a indiqué comme diagnostic une « septicémie à culture négative ». Le rapport indique qu’à la fin de son séjour de deux semaines à l’hôpital, il a été testé positif au rhinovirus et a été renvoyé chez lui.
À la maison, le bébé a développé d’autres symptômes au cours de la semaine suivante, notamment une paupière enflée, des « éruptions étranges » et des vomissements. Sa mère l’a renvoyé à l’hôpital le 15 juillet, date à laquelle on lui a diagnostiqué une « maladie de Kawasaki atypique ».
La clinique Mayo décrit la maladie de Kawasaki comme une affection touchant principalement les enfants et provoquant un gonflement (inflammation) des parois des artères de taille moyenne dans tout le corps. Les artères coronaires, qui alimentent en sang le muscle cardiaque, sont généralement les plus touchées, mais la maladie peut également affecter les ganglions lymphatiques qui gonflent lors d’une infection, ainsi que les membranes de la bouche, du nez et de la gorge.
Lire la suiteUn prêtre aux évêques du Canada : il est temps de rouvrir pleinement les églises
Par le Père Louis Di Rocco — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : magdiel macoquis/Pixabay
18 juin 2021
Il est temps que les évêques du Canada déclarent unilatéralement et à l’unisson que les églises catholiques rouvriront au maximum de leur capacité, immédiatement et sans restriction. C’est urgent. Il faut le faire avant que nos droits religieux et civils ne soient complètement érodés et que votre autorité ne soit irrémédiablement sapée.
À mon avis, il n’y a pas d’urgence pandémique maintenant et il n’y en a jamais eu. Nous avons été trompés.
Dès le début, une panique et une peur extrêmes ont été créées par diverses forces, notamment les gouvernements, les médias, les organisations privées et les grandes entreprises technologiques.
Pour la plupart des gens, il n’y a aucun danger lié au Covid-19. Des milliers de médecins du monde entier ont témoigné que la grande majorité de la population n’a rien à craindre (la principale exception étant les personnes âgées présentant des comorbidités préexistantes).
En outre, il existe des méthodes de prévention et de traitement de l’infection très efficaces et peu coûteuses. Malheureusement, ces méthodes ont été délibérément supprimées, voire interdites. Qui sait combien de vies auraient pu être sauvées si le bon sens avait prévalu ?
En Ontario, l’Ordre des médecins et des chirurgiens a intimidé les médecins. Il a été interdit aux médecins de faire des déclarations critiquant les mesures imposées par les autorités, telles que le port du masque, la vaccination et le confinement, ou faisant la promotion de traitements « non validés » pour le Covid-19.
La plupart des églises ont appliqué les décrets tels que le port du masque et même la fermeture des églises, empêchant ainsi les fidèles d’assister à la messe et limitant même parfois sévèrement l’accès aux autres sacrements. De manière injuste et discriminatoire, le nombre de personnes autorisées par le gouvernement dans les églises a été beaucoup plus faible que le nombre de personnes autorisées dans les commerces considérés comme essentiels tels que les magasins d’alcool et les magasins à grande surface. Il semble que Dieu, l’église et les sacrements aient été jugés non essentiels. Le gouvernement a jugé que l’avortement et l’euthanasie étaient essentiels, mais pas les églises.
Des médecins et d’autres personnes ont souligné les graves dommages collatéraux causés par le confinement, tels que la faillite d’entreprises, la perte de moyens de subsistance, l’augmentation des dépressions, l’isolement social, l’abus d’alcool et de drogues et même la tentation du suicide, ainsi que les dommages psychologiques subis par les enfants et la perte d’apprentissage chez les plus jeunes en particulier.
Il faudra peut-être de nombreuses années aux églises pour retrouver leurs paroissiens. Beaucoup ne reviendront peut-être pas à l’église, certains peut-être parce qu’ils reprochent à leurs chefs et pasteurs de les avoir abandonnés, et d’autres parce qu’ils se sont habitués à ne pas assister en personne à la messe et à la regarder à la télévision. Quand la dispense de l’obligation d’assister à la messe dominicale sera-t-elle levée ?
Lire la suiteUn chercheur dans le domaine des vaccins affirme que la protéine « spike » est une toxine dangereuse
Professeur Byram Bridle.
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : University of Guelph
Note de l'éditeur : Cet article a été modifié pour indiquer que 11 des 13 sujets vaccinés dans une étude récente d'Ogata avaient une protéine détectable du coronavirus SRAS dans leur circulation sanguine, y compris trois personnes qui avaient des protéines de spicule mesurable. Alors que l'article faisait référence à une déclaration du groupe du professeur Bridle indiquant que la protéine de spicule était présente pendant 29 jours chez une personne, l'étude en question indique que la protéine spike a été trouvée chez la personne le jour 29, un jour après une deuxième injection de vaccin, et qu'elle était indétectable deux jours plus tard.
31 mai 2021 (LifeSiteNews) — Une nouvelle recherche montre que la protéine de spicule [spike protein] de coronavirus induite par le vaccin contre le COVID-19 pénètre de manière inattendue dans la circulation sanguine, ce qui constitue une explication plausible aux milliers d’effets secondaires signalés, allant des caillots sanguins et des maladies cardiaques aux lésions cérébrales et aux problèmes de reproduction, a déclaré la semaine dernière un chercheur canadien spécialiste des vaccins contre le cancer.
« Nous avons fait une grosse erreur. Nous ne nous en étions pas rendu compte jusqu’à maintenant », a déclaré Byram Bridle, immunologiste viral et professeur associé à l’Université de Guelph, en Ontario, dans une intervue accordée à Alex Pierson jeudi dernier, dans laquelle il a prévenu les auditeurs que son message était « effrayant ».
« Nous pensions que la protéine de spicule était un excellent antigène cible, nous ne savions pas du tout que la protéine de spicule elle-même était une toxine et une protéine pathogène. Donc, en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine », a déclaré Bridle dans l’émission, qui n’est pas facile à trouver par une recherche sur Google mais qui est devenue virale sur internet cette fin de semaine.*
Bridle, un chercheur en vaccinologie qui a reçu l’an dernier une subvention gouvernementale de 230 000 dollars pour ses recherches sur le développement du vaccin COVID, a déclaré que lui et un groupe de scientifiques internationaux ont déposé une demande d’information auprès de l’agence de réglementation japonaise pour avoir accès à ce qu’on appelle l'« étude de biodistribution ».
« C’est la toute première fois que des scientifiques ont pu voir où vont ces vaccins à ARN messager [ARNm] après la vaccination », a déclaré Bridle. « Peut-on supposer qu’ils restent dans le muscle de l’épaule ? La réponse courte est : absolument pas. C’est très déconcertant. »
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