Danielle Smith confirme que l’Alberta déposera un projet de loi interdisant les hommes des compétitions sportives féminines
Danielle Smith.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Danielle Smith/X
4 octobre 2024, Edmonton, Alberta (LifeSiteNews) — L’Alberta introduira bientôt une loi qui interdit aux hommes souffrant de confusion du genre de concourir dans les sports féminins, a annoncé le premier ministre Danielle Smith.
« En ce qui concerne les femmes et les filles dans les sports de compétition, une proposition de loi sera déposée qui interdit aux individus nés hommes selon la biologie de concourir contre les femmes et les filles dans les compétitions sportives », a déclaré Smith plus tôt dans la semaine dans une annonce sur son compte X.
Grâce à cette nouvelle loi, les femmes et les jeunes filles de la province ne seront plus obligées de se mesurer à des hommes biologiques qui prétendent être des femmes dans tous les scénarios sportifs.
Mme Smith, qui dirige le Parti conservateur unifié (PCU) actuellement au pouvoir, a déclaré que la nouvelle loi s’appliquerait à « tous les sports féminins de compétition et à toutes les organisations sportives provinciales, ainsi que dans nos écoles et nos divisions sportives de compétition au niveau postsecondaire ».
Lire la suiteLe projet de déclaration des droits de l’Alberta reconnaît l’autorité parentale comme donnée par Dieu
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Syda Productions/Adobe Stock
9 septembre 2024 (LifeSiteNews) — Le gouvernement du Parti conservateur uni d’Alberta devrait bientôt introduire une nouvelle « Déclaration des droits » qui, dans le projet actuel, comprend une disposition qui reconnaîtrait formellement les droits parentaux comme étant « donnés par Dieu ».
LifeSiteNews a récemment reçu un accès exclusif à une version préliminaire de la « Déclaration des droits de l’Alberta » de la part d’une source bien connectée avec le Parti conservateur uni (UCP) au pouvoir.
Le projet de loi comprend une section intitulée « Liberté des parents de prendre des décisions éclairées concernant la santé, l’éducation, le bien-être et l’instruction de leurs enfants ».
Le texte de la version préliminaire, qui est encore susceptible d’être modifiée, stipule que le « gouvernement de l’Alberta, au nom de ses citoyens », doit reconnaître que « la liberté des parents d’élever leurs enfants est sui generis — indépendante de la législation, sans en découler — et qu’elle précède le gouvernement ».
Lire la suiteLe projet de déclaration des droits de l’Alberta inclurait le « droit à la vie » dès la « conception »
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alexscuccato/Wikimedia Commons
29 août 2024 (LifeSiteNews) — Le gouvernement du Parti conservateur unifié (UCP) de la province de l’Alberta devrait bientôt introduire une nouvelle « Déclaration des droits », dont une version actuelle inclut le « droit à la vie » à partir de la « conception, la gestation dans l’utérus ».
LifeSiteNews a reçu une copie d’une version préliminaire de la « Déclaration des droits de l’Alberta » de la part d’une source qui a demandé à ne pas être nommée mais qui est bien connectée avec l’UCP au pouvoir. LifeSiteNews a pu confirmer l’authenticité de la version préliminaire du projet de loi grâce à une deuxième source de haut niveau au sein de l’UCP.
Le texte du projet, qui est susceptible d’être modifié, comprend une section exclusivement consacrée au « droit à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur ».
« Personne ne sera privé de son droit à la vie, à la liberté, à la propriété et à la possession, ni d’aucun autre de ses droits, sans avoir été préalablement entendu et jugé dans un procès conforme aux lois ; il ne sera pas non plus jugé deux fois pour la même cause », peut-on lire dans la version préliminaire.
« Toutes les personnes vivantes qui se trouvent sur le territoire de l’Alberta ont le droit à la vie, donné par Dieu. Le terme “personne vivante” comprend toutes les personnes à tous les stades de la vie, de la conception, la gestation dans l’utérus, à la naissance et tout au long de la vie jusqu’à la mort naturelle ».
Lire la suiteUne canadienne atteinte d’infirmité motrice cérébrale affirme qu’une infirmière l’a traitée d’« égoïste » pour avoir refusé l’euthanasie
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : prostooleh/Freepik
18 juillet 2024 (LifeSiteNews) — En 2019, une infirmière de l’Alberta aurait dit à l’auteure chrétienne Heather Hancock qu’elle était « égoïste » de ne pas avoir mis fin à sa vie par le biais du programme d’euthanasie « Aide médicale à mourir » (AMM).
Dans une entrevue accordée le 12 juillet au Daily Mail, Heather Hancock, une auteure chrétienne de 56 ans qui souffre de paralysie cérébrale, a déclaré qu’elle avait été humiliée par une infirmière en 2019 pour avoir refusé le programme d’AMM à l’hôpital régional de Medicine Hat, en Alberta.
Selon Mme Hancock, lors d’un long séjour à l’hôpital en 2019 pour une crise de spasmes musculaires, une infirmière lui a dit, tout en l’aidant à aller aux toilettes, qu’elle « devrait faire ce qu’il faut et envisager l’AMM », et que son refus de l’AMM était « égoïste » et qu’elle « ne vivait pas », mais « se contentait d’exister ».
Mme Hancock se souvient s’être sentie « abasourdie » et a dit à l’infirmière que sa vie avait de la valeur même si elle passait la plupart du temps dans un fauteuil roulant.
« Vous n’avez pas le droit de me pousser à accepter l’AMM », a-t-elle dit à l’infirmière.
« Ils me considèrent simplement comme un fardeau pour le système médical et pensent que l’argent de mes soins de santé pourrait être [mieux] dépensé pour une personne valide », a déclaré Mme Hancock au Daily Mail.
Lire la suiteLes résidents d’une ville d’Alberta lancent une pétition pour le retrait des passages piétons et des drapeaux de la « Fierté »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Vladvictoria/Pixabay
7 juin 2024, Barrhead, Alberta (LifeSiteNews) — Une ville d’Alberta s’oppose à l’agenda LGBT en lançant une pétition pour retirer les drapeaux et les passages piétons arc-en-ciel.
Ce mois-ci, les résidents de Barrhead, en Alberta, ont lancé une pétition pour retirer tous les passages piétons arc-en-ciel LGBT et les drapeaux de la « Fierté » de la propriété municipale, à l’instar d’une motion adoptée dans la ville voisine de Westlock plus tôt cette année.
« Notre objectif est de créer un règlement sur la neutralité qui permette aux espaces publics de rester publics et neutres », a déclaré l’organisateur Ard Doornbos lors d’une interview accordée à Epoch Times. « Les passages pour piétons doivent rester des passages pour piétons tels qu’ils sont décrits dans les directives du guide de la circulation de l’Alberta ».
La pétition demande que la municipalité ne favorise aucun des deux camps, mais reste neutre en ne faisant flotter que des drapeaux liés aux gouvernements fédéral, provincial ou municipal.
La ville a commencé à peindre des passages pour piétons arc-en-ciel il y a quelques années, mais M. Doornbos a déclaré : « Il y a beaucoup d’indications que cela a froissé les gens et créé des divisions. Ce n’est pas nécessaire ».
Selon M. Doornbos, la pétition doit être signée par 10 % de la population de la ville, soit environ 460 résidents, pour être présentée au conseil municipal. Le groupe collectera des signatures tout au long du mois de juin.
« Nous avons été convaincus que c’était la meilleure chose à faire, dans l’intérêt de la ville et même des membres du conseil municipal », a déclaré M. Doornbos.
Lire la suiteL’Alberta soutient la Saskatchewan dans sa bataille juridique pour défendre l’autorité parentale face aux « changements de pronoms »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
11 avril 2024, Alberta (LifeSiteNews) — L’Alberta a annoncé son soutien à la politique de la Saskatchewan exigeant le consentement parental lorsque les enfants veulent utiliser des pronoms différents à l’école, au milieu d’un procès intenté contre cette politique par un groupe d’activistes LGBT.
Le 9 avril, Mickey Amery, ministre de la Justice et procureur général de l’Alberta, et Bronwyn Eyre, ministre de la Justice et procureur général de la Saskatchewan, ont révélé que l’Alberta interviendrait dans le procès où est contestée la Loi des droits des parents de la Saskatchewan, la nouvelle loi pro-famille de cette province.
« La Saskatchewan et l’Alberta conviennent que les figures clés dans la vie des enfants sont leurs parents, et nos provinces sont toutes deux déterminées à soutenir les familles et les enfants afin qu’ils puissent faire face ensemble à leurs besoins uniques », peut-on lire dans la déclaration commune.
« Le fait d’informer les parents et d’exiger leur consentement avant que le nom ou les pronoms d’un enfant puissent être changés à l’école, et avant que des discussions en classe sur l’identité de genre et d’autres sujets sensibles aient lieu, garantit que la relation parent-enfant est respectée et primordiale », poursuit la déclaration.
La politique relative aux pronoms n’est qu’une partie des nouvelles « politiques d’inclusion et de consentement parental » de la Saskatchewan, qui comprennent également des dispositions garantissant que les parents sont autorisés à exclure leurs enfants des cours d’éducation sexuelle et que les présentations par des tiers de groupes tels que Planned Parenthood seront interdites.
Lire la suiteJustin Trudeau promeut sans vergogne la « Journée de la visibilité des transgenres » le dimanche de Pâques
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
2 avril 2024 (LifeSiteNews) — 2023 a vu surgir la première réaction significative à l’idéologie du genre au Canada, des manifestations à grande échelle dans les principales villes canadiennes et des politiques pour les droits parentaux menées par des premiers ministres.
Au début de l’année, le premier ministre de l’Alberta, Danielle Smith, a poussé cette opposition encore plus loin en annonçant un projet de loi interdisant les bloqueurs de puberté et les chirurgies de « changement de sexe » pour les mineurs. On peut supposer que d’autres politiciens canadiens attendent de voir si la politique de Mme Smith aboutira — le chef du parti conservateur fédéral, Pierre Poilievre, a déclaré qu’il s’opposait à de tels « traitements ».
Bien que les politiques de Mme Smith reflètent un consensus croissant — au Royaume-Uni, le Service national de santé vient d’interdire la prescription de bloqueurs de puberté aux enfants en dehors des essais cliniques — les élites canadiennes ont réagi avec férocité. Le dimanche de Pâques, le premier ministre Justin Trudeau a publié cette déclaration sur les réseaux sociaux :
Un message à tous les Canadiens transgenres en ce jour de visibilité transgenre : Vous comptez. Vous avez votre place. Et c’est grâce à vos revendications que nous avons adopté des lois pour rendre notre pays plus inclusif, qu’il s’agisse d’interdire les thérapies de conversion ou de renforcer les protections contre la haine envers les trans. Alors, merci. Merci d’être authentique et d’aider à construire un monde où chacun peut se sentir en sécurité et fier d’être aussi.
Megan Murphy, une militante canadienne, a répondu : « Être son “moi authentique” ne devrait pas nécessiter des bloqueurs de puberté, des traitements hormonaux et des interventions chirurgicales expérimentales, nocives et inutiles. Ce que vous appelez “thérapie de conversion” consiste en fait à “laisser les enfants être eux-mêmes” et à “ne pas détruire leur corps pour la vie alors qu’ils sont mineurs et ne comprennent pas les effets à long terme de ces médicaments”. » La plupart des commentaires sous l’article de Trudeau vont dans le même sens.
Lire la suiteLes médias canadiens attaquent une petite ville d’Alberta pour sa « neutralité » à l’égard des drapeaux LGBT
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Trey Musk/Unsplash
20 mars 2024 (LifeSiteNews) — Quelle que soit l’histoire, les médias et le mouvement LGBT voudraient vous faire croire deux choses : premièrement, que chaque histoire concerne en fait le mouvement LGBT, quoi qu’il arrive ; et deuxièmement, que toute personne qui refuse d’approuver activement un programme en constante expansion qui comprend l’élimination des limites autour du comportement sexuel, des relations et des deux sexes est intolérant. Une fois que l’on a compris ce cadre narratif, on peut commencer à interpréter et à comprendre la façon dont les médias couvrent même les petites histoires locales.
Prenons, par exemple, un reportage publié par CTV le mois dernier sur la petite ville albertaine de Westlock, qui compte 5 000 habitants. La ville a récemment organisé un référendum sur la question suivante : « Acceptez-vous que : seuls les drapeaux fédéraux, provinciaux et municipaux puissent flotter sur les mâts des drapeaux sur la propriété municipale de la ville de Westlock ; tous les passages pour piétons de la ville de Westlock doivent avoir le motif standard de bandes blanches entre deux lignes blanches parallèles ; et le passage pour piétons de couleur arc-en-ciel existant dans la ville de Westlock doit être enlevé ».
Une majorité d’habitants de Westlock a voté en faveur de la limitation des drapeaux aux seuls drapeaux officiels du gouvernement ; la marge n’était que de 24 voix, mais le taux de participation était en fait plus élevé que celui de l’élection municipale elle-même. À l’origine, le règlement avait été préconisé dans une pétition lancée en 2023 pour réclamer la « neutralité » dans les espaces publics. L’une des principales organisatrices de la pétition, Stephanie Bakker, a organisé une fête de quartier intitulée « I Don't Agree With You But I Love You Block Party » (Je ne suis pas d’accord avec toi, mais je t’aime) et a écrit ce qui suit :
Lire la suiteÀ nos amis et à notre famille de la communauté de la Fierté... malgré ce que le maire et le conseil municipal ont essayé de vous faire croire, ceux qui ont voté pour le règlement n’ont pas voté contre vous. Vous êtes aimés. Ceux qui ont voté pour la neutralité l’ont fait avec le désir sincère de garder notre communauté entière et inclusive.
Une ville d’Alberta adopte un règlement interdisant les drapeaux et les passages piétons de la « fierté » dans les infrastructures publiques
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ntowie/Wikimedia Commons
26 février 2024, Westlock, Alberta (LifeSiteNews) — Une ville de l’Alberta s’apprête à interdire les drapeaux et les passages piétons « de la fierté » sur les bâtiments publics et les routes à la suite d’une pétition des résidents.
Le 22 février, les résidents de Westlock, Alberta, une petite ville d’environ 4 800 habitants, a voté en faveur d’un règlement interdisant de faire flotter des drapeaux non gouvernementaux sur les mâts municipaux et de peindre les passages pour piétons avec un motif autre que le motif habituel à rayures blanches.
« Seuls les drapeaux fédéraux, provinciaux et municipaux peuvent être hissés sur les mâts de la ville de Westlock », stipule le nouveau règlement.
« Tous les passages pour piétons de la ville de Westlock doivent présenter un motif standard de bandes blanches entre deux lignes blanches parallèles », poursuit le texte. « Le passage piéton aux couleurs de l’arc-en-ciel existant dans la ville de Westlock doit être supprimé ».
Selon les résultats non officiels publiés par la ville de Westlock, les habitants ont remporté le vote à une courte majorité, 663 personnes s’étant prononcées en faveur de l’arrêté et 639 contre.
Lire la suiteUn sondage montre que la majorité des Albertains sont pour le consentement parental aux mineures souhaitant avorter
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
5 février 2024 (LifeSiteNews) — La majorité des Albertains sont en faveur du consentement parental pour les mineures qui veulent se faire avorter, selon les résultats d’un sondage téléphonique mené auprès de milliers de citoyens la fin de semaine dernière.
L’enquête « Position des Albertains sur le consentement parental », publiée aujourd’hui par Recherche publique nationale Canada (NPRC), a révélé que 62 % des Albertains ont exprimé [leur appui à] « une certaine forme de consentement parental ou de notification pour les mineures cherchant à se faire avorter ».
Le sondage téléphonique a été réalisé le 1er février par réponse vocale interactive et a obtenu 6 047 réponses d’Albertains à la question suivante : « Les droits parentaux devraient-ils inclure le consentement parental pour un enfant mineur cherchant à se faire avorter ? » Le taux de réponse à l’enquête a été de 16,2 % de toutes les personnes appelées.
52 % des personnes interrogées ont répondu qu’elles étaient favorables à la fois à la notification et au consentement des parents, tandis que 10 % d’entre elles ont déclaré qu’elles souhaitaient être informées, mais que le consentement n’était pas nécessaire. Au total, 30 % des personnes interrogées ne pensaient pas que le consentement parental ou la notification pour l’avortement d’une mineure étaient nécessaires.
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