Une enseignante poursuit le conseil scolaire qui l’a expulsée d’une réunion parce qu’elle s’opposait à des livres pour enfants promouvant la «transition»
Mme Burjoski.
Par le Justice Centre for Constitutional Freedoms (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : JCCF
21 juin 2022, Hamilton, Ontario (JCCF) — Le Centre de justice a annoncé mardi qu’une action en justice a été intentée contre le Waterloo Region District School Board au nom de Carolyn Burjoski.
Mme Burjoski, une ancienne enseignante de classe élémentaire, a été expulsée d’une réunion du conseil scolaire après s’être opposée aux décisions du conseil d’interdire les livres de bibliothèque jugés « nocifs » et d’inclure des livres sur la sexualité dans le programme de tous les élèves de l’élémentaire.
Mme Burjoski a assisté à la réunion, ouverte au public, le 17 janvier 2022, et a tenté de faire une présentation de 10 minutes pour exprimer son point de vue, en soulignant que le matériel d’éducation sexuelle proposé sexualiserait les enfants et minimiserait les risques d’une transition sexuelle médicale.
La présentation de Mme Burjoski comprenait un passage d’un livre d’Alex Gino intitulé Rick qui raconte l’histoire d’un jeune garçon dont l’ami parle tout le temps de filles nues. Le garçon décide qu’il doit y avoir quelque chose qui ne va pas chez lui parce que cela n’éveille rien en lui, il déclare donc son « identité asexuelle ».
La présentation a également montré un passage d’un livre de M.G. Hennessy intitulé The Other Boy, qui traite d’une fille qui s’identifie comme garçon et prend des bloqueurs de puberté et de la testostérone dans le cadre d’une transition sexuelle médicale. Mme Burjoski a fait remarquer que certains livres « donnent l’impression qu’il est simple ou même cool de prendre des bloqueurs de puberté et des hormones du sexe opposé ».
La présentation de Mme Burjoski a été interrompue après quatre minutes par le président Scott Piatkowski, qui a allégué qu’elle violait le Code des droits de la personne de l’Ontario. Le conseil a voté pour confirmer la décision de M. Piatkowski et Mme Burjoski a été expulsée de la réunion.
Selon Jorge Pineda, avocat du Centre de justice, « Mme Burjoski est une ancienne enseignante qui s’inquiète sincèrement de la convenance du contenu sexuel partagé avec des enfants d’âge élémentaire dans les écoles de la région de Waterloo ».
Lire la suiteGoogle manipule les résultats de recherche pour censurer des informations et faire basculer les élections
Par le Dr Joseph Mercola — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : gpointstudio/Adobe Stock
Aperçu du sujet
- Robert Epstein, docteur en psychologie, met en garde contre la capacité de Google à contrôler les politiques publiques, à faire basculer les élections et à laver le cerveau de nos enfants.
- Les méthodes utilisées par Google sont éphémères et ne laissent aucune trace écrite derrière elles, ce qui rend très difficile le suivi et la preuve qu’ils utilisent les humains comme des pions, nous manipulant par des moyens que nous ne pouvons pas contrer.
- Des recherches menées par Epstein et ses collègues ont montré que des résultats de recherche biaisés peuvent modifier l’opinion et les préférences électorales des gens, faisant basculer l’opinion des électeurs indécis de 20 % à 80 % dans certains groupes démographiques.
- La fonction « autocomplétion » du moteur de recherche de Google peut transformer une proportion de 50/50 parmi les électeurs indécis en une proportion de près de 90/10, sans que les gens ne se rendent compte qu’ils sont manipulés.
- La première étape pour s’affranchir de la dictature de Google est de reconnaître que la manipulation a lieu ; la suivante consiste à s’y soustraire consciemment, autant que possible, en protégeant sa vie privée en ligne.
(Mercola) — Google a le pouvoir de manipuler ce que vous voyez en ligne, en vous ciblant avec certaines publicités et en masquant les résultats de recherche qu’il préférerait que vous ne voyiez pas. Mais peut-il aller jusqu’à contrôler le résultat d’élections politiques ?
Absolument, selon Robert Epstein, docteur en psychologie, chercheur principal à l’American Institute for Behavioral Research and Technology (AIBRT).
Epstein, un psychologue formé à Harvard qui a fondé le Cambridge Center for Behavioral Studies, compare Google à un dictateur doté d’un pouvoir sans précédent, car il s’appuie sur des techniques de manipulation qui n’ont jamais existé auparavant dans l’histoire de l’humanité. Les services gratuits qu’il fournit ne sont pas vraiment gratuits, prévient-il : « Vous les payez de votre liberté ».
Lire la suiteUn nouveau livre canadien pour enfants tente de normaliser le suicide assisté
Par Mary Zwicker (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Yulia/Adobe Stock
16 juin 2022 (Campaign Life Coalition) — Au Canada, un nouveau livre fait la promotion du suicide assisté auprès des jeunes enfants, en présentant l’idée de tuer sa grand-mère comme un acte d’amour et de compassion plutôt que comme le meurtre qu’est cet acte en réalité.
Le nouveau livre de Bill Richardson, Last Week, publié en avril 2022, a été décrit par les critiques comme étant « sensible » et « convaincant ». Il présente le meurtre des malades et des personnes âgées ─ appelé par euphémisme ici au Canada « aide médicale à mourir » (AMM) ─ à travers les yeux d’un jeune enfant qui doit dire au revoir à sa grand-mère, Flippa.
Le livre mentionne l’habitude quotidienne de Flippa de se rendre à la plage et de se baigner dans l’océan. Cependant, en vieillissant et en s’affaiblissant, Flippa n’est plus capable de nager dans l’océan ou de faire les choses qu’elle aime. À cause de cela, la vie ne semble plus valoir la peine d’être vécue. C’est pourquoi Flippa choisit le suicide assisté plutôt qu’une mort naturelle.
À une semaine de la mort de Flippa, le jeune enfant fait face à une variété d’émotions, comptant chaque précieuse seconde jusqu’au dernier adieu. Richardson décrit des scènes de camaraderie, la famille et les amis se réunissant pour rire, pleurer et se remémorer le passé en partageant de bons souvenirs de la vie de Flippa.
En donnant un aperçu de ces derniers moments passés avec un être cher, Richardson tente de dépeindre l’euthanasie comme une voie qui permet aux gens de faire face à la mort d’un être cher, sans l’incertitude qui entoure une mort naturelle.
M. Richardson, qui était auparavant radiodiffuseur à Radio Canada, a déclaré que c’est la prévalence croissante de l’euthanasie dans la société actuelle qui l’a inspiré d’écrire ce livre. Il a ajouté qu’étant donné que de plus en plus de personnes considèrent l’euthanasie comme une option légitime, c’est une question à laquelle les enfants devront de plus en plus faire face.
Richardson, qui s’identifie comme « un homme gay », a voulu écrire un livre qui aiderait les enfants à faire face à leurs émotions, tout en les aidant à comprendre le concept de quelqu’un qui choisit sa propre mort.
Dans une scène pleine d’émotion, l’enfant demande à sa grand-mère : « Tu es sûre ? », « Très sûre », répond-elle avec assurance.
L’euthanasie ou « suicide assisté par un médecin » a été légalisée au Canada en 2016 avec le projet de loi C-14. Alors que le projet de loi initial ne légalisait l’euthanasie que pour les malades en phase terminale ou pour les cas où la mort était « raisonnablement prévisible », la nouvelle législation ambiguë rend l’AMM accessible à un groupe beaucoup plus large dans tout le Canada. En 2021, le projet de loi C-7 a été adopté et permet l’euthanasie pour les personnes dont la mort n’est pas « raisonnablement prévisible », y compris celles atteintes de maladie mentale.
Alex Schadenberg, directeur général de la Coalition pour la prévention de l’euthanasie, a déclaré à Campaign Life Coalition qu’un livre comme celui de Richardson fait partie d’une campagne massive au Canada pour tenter de normaliser l’euthanasie.
Lire la suiteLes conservateurs se font envoyer une boîte de cintres par des pro-avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Andrzej Tokarski/Adobe Stock
Les cintres, normalement, servent à suspendre ses vêtements, comme une chemise ou un manteau. Cependant, selon les pro-avortement, il servirait également de moyen d’avorter, employé par les femmes désespérées de ne pouvoir tuer autrement leur bébé, ces dernières mourant par conséquent d’une méthode aussi précaire — conte à dormir debout s’il en est d’hécatombe de femmes blessées, manque d’avortement légal et sécuritaire. Plusieurs études démontrent, chiffres à l’appui, qu’il n’y a pas davantage de décès maternels dans les pays où l’avortement est interdit ou plus restreint qu’ailleurs (il y en a même moins…), et par conséquent, que le cintre n’est pas employé comme méthode de « secours ».
Un groupe d’étudiants de Sherbrooke cependant s’en tient à la légende selon laquelle les femmes seraient assez insensées pour recourir à un moyen aussi dangereux. Selon Le Soleil :
« La criminalisation de l’avortement a longtemps été et est toujours une grande cause de morts dans plusieurs endroits du monde et ça force les femmes à se replier sur des moyens insalubres et barbares comme les cintres… »
Lesdits étudiants sont les expéditeurs d’un paquet de cintres métalliques au Parti conservateur — ils forment un groupe qui se veut quelque peu facétieux (du moins le croient-ils) et qui arbore le pseudonyme de « Duc de Sherbrooke ».
Leur geste est sensé ouvrir les yeux aux députés du Parti conservateur sur l’enjeu de l’avortement et les pousser à prendre officiellement position en faveur de l’avortement, pour contrer les pro-vie qui s’affirment dans la course à la chefferie du parti — le tout sur fond de trame d’une Cour suprême américaine qui pourrait annuler Roe vs Wade. Une lettre accompagnait le colis, selon Le Soleil :
« Il nous est inconcevable qu’une institution politique aussi importante que la vôtre soit incapable de s’entendre sur le fait que ce droit doit être protégé, peu importe le prix »
Que demandent-ils par là ? Qu’une seule opinion seulement soit possible au sein du parti, et celle en faveur de l’avortement ?
Les membres du Duc de Sherbrooke, ayant communiqué anonymement avec La Tribune, disent avoir consulté les quelque 1600 abonnés de la page Instagram du groupe sur la possibilité de poser un geste afin d’attirer l’attention sur la question de l’avortement, notamment dans la perspective de la fuite d’un document de la Cour suprême américaine qui laissait entrevoir la possibilité d’un renversement de Roe vs Wade. Selon Le Soleil :
« Cet événement a causé beaucoup d’angoisses quant au traitement futur des cas d’agressions sexuelles. La majorité écrasante de nos abonnés (86 %) voulaient que nous agissions dans ce sens. »
Des « angoisses quant au traitement futur des cas d’agressions sexuelles » ? Je ne saisis pas exactement. Craindraient-ils que les femmes devenues enceintes suite à un viol ne puissent plus se faire avorter ? Cela est hautement improbable aux États-Unis où la plupart des lois les plus restrictives sur l’avortement le permettent en cas de viol. Qu’ils soient rassurés ! Les femmes pourront encore tuer leur bébé si celui-ci a été conçu lors d’un viol (bien qu’il soit totalement innocent et que son existence soit une chose distincte du viol lui-même)…
Lire la suiteUn nouveau sondage montre que la majorité des Canadiens pensent que les journalistes « essaient délibérément d’induire les gens en erreur »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pressmaster/Adobe Stock
7 juin 2022 (LifeSiteNews) — Un nouveau sondage montre que la plupart des Canadiens sont de plus en plus préoccupés par le fait que les dirigeants politiques et les médias « essaient délibérément d’induire les gens en erreur ».
Récemment, la société de communication mondiale Edelman a publié son Baromètre de confiance 2022 d’après les réponses du public aux questions institutionnelles et sociétales, et ce rapport montre que la plupart des Canadiens se méfient des médias grand public.
Une majorité de Canadiens pensent que les «meneurs sociétaux » les induisent en erreur, et 71 % se disent préoccupés par le fait que de « fausses informations sont utilisées comme une arme ».
En ce qui concerne les nouvelles et l’information, plus de la moitié des Canadiens se méfient des médias traditionnels, tandis que de quarante-neuf à vingt et un pour cent respectivement se méfient des moteurs de recherche, des médias d’entreprises et des médias sociaux.
Le rapport demande également aux Canadiens s’ils croient que certains groupes « essaient délibérément d’induire les gens en erreur en disant des choses qu’ils savent être fausses ou des exagérations grossières ».
Soixante et un pour cent des Canadiens sont d’accord avec cette affirmation concernant les journalistes, soit un bond de douze pour cent par rapport à 2021. De même, les dirigeants d’entreprises et de gouvernements suscitent la méfiance de soixante et cinquante-huit pour cent des Canadiens respectivement.
Lire la suiteL’opposition officielle en Pologne dépeint le « registre de grossesses » comme « outil de répression »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Tierney/Adobe Stock
La rage des libéraux polonais se fait entendre en réaction à l’annonce du nouveau « registre de grossesses » en Pologne. Selon RFI, « Le ministre de la Santé a donné son feu vert pour que les médecins inscrivent sur une plateforme numérique médicale si une patiente est enceinte. »
Pour l’opposition parlementaire en Pologne ce registre « pourrait fournir... “un nouvel outil de répression” envers les femmes, dans un pays où l’avortement est pratiquement interdit » rapporte TVA Nouvelles, alors qu’il permet simplement « à tout médecin d’aider les patientes aussi bien en Pologne qu’à l’étranger, dans d’autres États de l’UE » en fournissant « des informations concernant la grossesse [qui] doivent figurer dans ce registre à côté de celles sur des maladies, passées ou en cours, des visites médicales, des traitements ou encore le groupe sanguin. »
Dans un pays où l’avortement est restreint, et où il y a moins de 2000 avortements par année pour une population actuelle de 19 613 735 femmes, les féministes s’enflamment à l’annonce du registre parce qu’il représenterait entre autres un moyen pour le système médical de savoir si elles ont eu un avortement ou non.
Le nouvel outil médical n’arrange pas les militantes pro-avortement ? Elles protestent et font entendre leur désapprobation. Par contre, si une mesure ouvrant l’accès à l’avortement en Pologne venait à passer, elles n’auraient plus rien à dire.
La question de l’avortement tourne souvent autour d’un égoïsme puissant ; un enfant à naître devient un problème qui doit être supprimé le plus rapidement possible seulement lorsque cela n’arrange pas les femmes. Par contre, lorsqu’avoir un enfant les arrange, il n’y a plus besoin de le supprimer.
Où est passée la reconnaissance de la valeur intrinsèque de la vie humaine ?
Les grands médias admettent que le récit anticatholique du « charnier » de Trudeau était un canular
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
26 mai 2022 (LifeSiteNews) — Il y a un an, des affirmations affligeantes ont été faites selon lesquelles des « fosses communes » d’enfants autochtones canadiens morts et abandonnés avaient été découvertes sur les terrains d’anciens pensionnats indiens. La nouvelle de ce qui était censé être une tache sanglante sur l’héritage de l’Église catholique et du gouvernement canadien s’est répandue dans le monde plus vite que la propagande du coronavirus.
Dans l’esprit d’un public de plus en plus bigot et anticatholique, l’Église catholique était une fois de plus prise en flagrant délit d’atrocité envers les enfants.
En conséquence, des douzaines d’églises au Canada ont été incendiées, d’autres ont été vandalisées, et les catholiques ont été fustigés par leurs amis et leur famille pour leur appartenance à une organisation aussi condamnable qui pouvait désormais ajouter le « meurtre en masse d’enfants autochtones » à sa litanie de caractéristiques indésirables.
La colère qui s’est répandue dans tout le Canada était palpable, et les catholiques étaient l’ennemi numéro un.
Justin Trudeau, toujours prompt à prouver son profond engagement dans l’apostasie, n’a pas manqué d’exiger que le Saint-Père vienne faire amende honorable au Canada pour les « près de 1000 corps » retrouvés dans des fosses communes.
Prime Minister Justin Trudeau said he asked the pope to come to Canada to apologize for the Catholic Church's role in running residential schools for indigenous children, after nearly 1,000 bodies were found in two mass graves https://t.co/BT7OKjcrsj pic.twitter.com/X2gxNt5Nqb
— Reuters (@Reuters) June 26, 2021
Or, il s’avère que tout cela n’était qu’une farce — une imposture, un canular, une fausseté totale.
Après une année de chaos et de haine envers les catholiques romains, ce sont les médias traditionnels qui admettent maintenant à quel point toute cette affaire était fausse.
The year of the graves: How the world’s media got it wrong on residential school graves https://t.co/hSphZHNKPC
— National Post (@nationalpost) May 26, 2022
Bien sûr, nous en avons parlé pendant des mois sur LifeSiteNews.
Chaque enfant compte, mais pas un seul n’a été retrouvé
Ce n’est pas souvent que l’on peut dire que les journalistes qui travaillent dans les agences de presse « agréées » sont dignes du titre de « journaliste » ; cependant, il y a des diamants à l’état brut.
M. Terry Glavin, du National Post, a écrit un article magistral qui pourrait passer à l’histoire comme le « déboulonnage » définitif des affirmations condamnables de Trudeau sur des fosses communes qui n’ont jamais existé.
C’est une longue lecture, qui vaut chaque minute. Néanmoins, certaines choses que Glavin a écrites méritent une attention particulière.
À juste titre, Glavin souligne que « rien de nouveau n’a été ajouté au dossier public » concernant l’histoire des pensionnats au Canada.
Lire la suiteUn an plus tard, toujours aucune preuve de tombes anonymes ou d’enfants disparus dans les anciens pensionnats indiens
Pensionnaires de l'internat de Kamloops.
Par Pour une école libre au Québec
Extrait et résumé d’un texte de Brian Giesbrecht, juge à la retraite de la Cour provinciale du Manitoba, de Nina Green, chercheuse indépendante, et Tom Flanagan, professeur émérite de sciences politiques à l’Université de Calgary.
Le 27 mai 2021, la cheffe Rosanne Casimir a annoncé qu’un géoradar (GPR) avait détecté les restes de 215 enfants décédés au pensionnat indien de Kamloops (KIRS) dans des circonstances sinistres. Plus choquant encore, le chef Casimir a affirmé que des enfants dès six ans avaient été réveillés au milieu de la nuit pour enterrer secrètement ces enfants dans le verger de pommiers.
Le Canada fut ensuite précipité dans une frénésie d’autoflagellation. Le Premier ministre Trudeau fit mettre en berne les drapeaux pendant six mois. Les politiciens se répandirent ouvertement en pleurs, on porta des chemises orange en signe de solidarité, des monuments faits de petites chaussures apparurent spontanément un peu partout au Canada, des dizaines d’églises furent incendiées et vandalisées, le pape et des dirigeants mondiaux s’insurgèrent, enfin des avocats portèrent immédiatement plainte auprès de la Cour pénale internationale de La Haye.
Les médias et les dirigeants autochtones déclarèrent par la suite au monde que les restes humains à Kamloops ne représentaient qu’un petit nombre de milliers de ces sépultures dans d’anciens pensionnats à travers le Canada, et le gouvernement fédéral alloua 321 millions de dollars pour les recherches par GPR de sépultures anonymes.
Lors de l’émission Fifth Estate de la CBC en janvier, le chef Manny Jules a promis que le lieu de sépulture présumé dans l’ancienne pommeraie de Kamloops serait fouillé. Cette promesse n’a pas été tenue et, tant que cette promesse ne sera pas tenue et que des fouilles n’auront pas eu lieu, on ne peut pas affirmer que des restes humains de 215 enfants ont été retrouvés en mai dernier.
En fait, il n’existe nulle preuve qui étaye l’affirmation selon laquelle des enfants sont morts ou ont été tués puis secrètement enterrés dans l’ancien verger. On ne possède aucun nom d’un de ces enfants disparus, aucun parent ou proche n’affirme qu’un de leurs enfants ferait partie de ces 215 disparus.
Qui sont les 215 enfants qui y seraient enterrés ? Personne n’en a la moindre idée.
Aucune des nombreuses bandes indiennes qui ont envoyé des enfants à l’ancien pensionnat indien de Kamloops, y compris la bande de Kamloops elle-même, n’a jamais donné le nom d’un seul enfant qui serait allé à l’école, n’en serait jamais revenu et que la bande cherche encore. Pas un.
Lire la suiteDes héros pro-vie découvrent les corps de bébés tardivement avortés et se font arrêter par le FBI
Pro-vie arrêtés par le FBI dans la nuit du 30 mars 2022.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Vous avez peut-être entendu parler de ces pro-vie qui ont été arrêtés au beau milieu de la nuit par le FBI, et de corps de bébés avortés « découverts » chez l’un d’eux par la police de Washington D.C.… La nouvelle a fait le tour du monde dans les médias (pro-avortement), jusqu’au Journal de Montréal, qui ont saisi l’occasion pour salir la réputation de ces pro-vie et du mouvement en général. Un titre comme « États-Unis : des fœtus retrouvés dans l’ancienne résidence d’une personne anti-avortement », suivi d’une description somme toute négative et partielle (les pro-vie en question n’y sont nulle part cités), risque fort de donner une image morbide des vilains « anti-avortement ».
Or, que s’est-il réellement passé ? Pourquoi le FBI a-t-il fait une descente digne de l’arrestation de dangereux criminels ? Pourquoi ces pro-vie conservaient-ils chez eux les corps de bébés avortés ?
Neuf pro-vie ont été arrêtés par le FBI, dont au moins huit le mercredi 30 mars : Joan Andrews Bell, Lauren Handy, Jonathan Darnel, Jay Smith, Paulette Harlow, Jean Marshall, John Hinshaw, Heather Idoni — quant au neuvième, William Goodman, il s’est rendu aux autorités fédérales. Le FBI a fait irruption en pleine nuit, pistolet au poing, arrêtant les pro-vie chez eux pour un fait qui remontait à deux ans déjà : être entré dans un avortoir de Washington D.C. pour y conseiller les femmes enceintes de renoncer à l’avortement. Selon LifeSiteNews :
Lire la suiteUne vidéo a fait surface du raid du FBI contre des militants pro-vie accusés par le ministère de la Justice (DOJ) de l’administration Biden de « délits fédéraux de droits civils » pour « l’invasion » d’un centre d’avortement commis deux ans plus tôt.
Jeudi, LifeSiteNews a couvert l’arrestation de neuf militants pro-vie pour avoir bloqué l’entrée d’un centre d’avortement de D.C. en octobre 2020, dans le cadre d’un effort visant à offrir de l’aide aux familles cherchant à avorter, à leur conseiller de changer d’avis, à prier avec elles et à les informer sur les centres de ressources locaux.
Le DOJ de Biden allègue qu’ils « se sont engagés dans une conspiration visant à créer un blocus à la clinique de soins de santé reproductive pour empêcher la clinique de fournir, et les patients de recevoir, des services de santé reproductive » lorsqu’ils « sont entrés de force dans la clinique et ont entrepris de bloquer deux portes de la clinique en utilisant leurs corps, des meubles, des chaînes et des cordes. » Les pro-vie risquent jusqu’à 11 ans de prison, trois ans de liberté surveillée et une amende pouvant atteindre 350 000 dollars.
La vidéo publiée vendredi montre des agents armés entrant dans la maison, tenant les pro-vie en joue, et leur ordonnant de lever les mains et de se mettre à genoux. Les pro-vie sont respectueux et dociles tout au long de la vidéo.
La Pologne et la Hongrie sanctionnées pour leurs politiques pro-vie — même si elles accueillent des Ukrainiens…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Sara Kurfess/Usnplash
L’Union européenne ne semble pas faire de ses priorités l’aide aux Ukrainiens réfugiés de la guerre qui se déroule dans leur pays. En effets, la Pologne et la Hongrie, qui accueillent à elles seules deux millions et cinq cents milles réfugiés, continuent à faire l’objet de sanctions de l’UE qui retient la coquette somme de 45 milliards d’euros du fonds de relance économique. Quel est donc le crime effroyable qui devrait ainsi faire passer en seconde place le secours des Ukrainiens ? Rien moins que le « rejet des valeurs fondamentales de l’Union européenne » ; plus précisément, la Pologne a interdit l’avortement eugénique, une centaine de municipalités polonaises ont voté une résolution définissant le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme, la Hongrie a interdit la propagande LGBT à l’école, et autres questions moins importantes qui ne relèvent du reste pas de la compétence de l’UE.
FSSPX.News dresse un bref portrait de la mesquinerie européenne :
La Commission européenne a décidé de retenir les fonds d’aide alloués à la Pologne et à la Hongrie l’année dernière : une enveloppe de 2000 milliards — sous forme de dette commune — avait été votée pour relancer les économies.
La raison invoquée pour justifier cette retenue est que la Pologne et la Hongrie ont rejeté les « valeurs fondamentales de l’Union européenne » en matière d’Etat de droit et de non-discrimination. Concrètement, c’est une sanction de leur gestion de l’avortement, des questions LGBT et de certaines réformes juridiques.
L’année dernière, la Hongrie a adopté une loi interdisant la diffusion de la propagande transgenre et homosexuelle aux enfants. Ces dernières années, près de 100 municipalités en Pologne ont adopté des résolutions définissant le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme. En outre, la Cour suprême polonaise a interdit l’avortement pour des raisons eugéniques.
Il faut rappeler que la somme dont il s’agit n’est pas une bagatelle : le total se monte à 45 milliards d’euros.
La culture de mort n’admet aucune exception, aucun compromis, aucun « recul » et révèle par l’attitude intransigeante des gouvernements européens, le peu de cas que l’Union fait de l’Ukraine.