Twitter ferme le compte de Trump — Google, Amazon et Apple font pression sur Parler — CNN veut faire éliminer Fox News du câble
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Depositphotos
Vae Victis ?
L’étau se resserre sur Donald Trump, évincé des réseaux sociaux les uns après les autres : Twitter, sa plateforme de prédilection, a suspendu son compte de façon permanente vendredi. Cette suspension permanente intervient deux jours après que des émeutiers ont franchi le cordon de sécurité du Capitole en marge d’une manifestation monstre par ailleurs pacifique tenue plus tôt sur l’Esplanade nationale.
Dans sa justification pour la suppression du compte de Donald Trump, Twitter explique que son tweet indiquant « Je ne me rendrai pas à l’inauguration le 20 janvier » est une accusation implicite de fraude et incitation à commettre des violences lors de cet événement… Voir ci-dessous.
Twitter avait précédemment supprimé une vidéo du président appelant ses partisans à se disperser pacifiquement et à respecter l’ordre public, que le président a postée moins d’une heure après que les médias aient annoncé que des émeutiers avaient pénétré dans le Capitole de Washington. Le président a réitéré sa condamnation de la violence le lendemain. Ce bannissement vient après que Facebook et Instagram, ainsi que d’autres platesformes technologiques importantes, aient suspendu indéfiniment l’accès du président, coupant une ligne de communication clé entre le président et les citoyens du pays.
Lire la suiteDéfaite de Trump, l’un des présidents américains les plus pro-vie de l’histoire
Donald Trump, président des États-Unis
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : The White House
Donald Trump a mené un combat intense pour protéger l’enfant à naître aux États-Unis et dans le monde entier, à une époque où l’avortement est férocement défendu par ses promoteurs. C’est l’un des présidents des États-Unis les plus pro-vie que ce pays ait jamais eus. Bien sûr, beaucoup diront que c’est un fou, un violent, un incompétent, etc., répétant ce que les gros médias leur ont mis dans la tête ; je reviendrai là-dessus plus loin.
Le 6 janvier 2020, où le Congrès des États-Unis devait se prononcer sur l’élection du prochain président, c’est Joe Biden que les deux chambres du Congrès ont reconnu comme dirigeant du pays ; bien à tort si l’on considère la vaste fraude électorale en faveur de Biden dont les élections présidentielles ont fait l’objet.
Aussi, à moins d’un événement sortant de l’ordinaire (bien que ces derniers temps sortent déjà de l’ordinaire), Joe Biden, grand supporteur de l’avortement, de la contraception, de l’idéologie LGBT et de la culture de mort en général, siégera dans le Bureau ovale.
Donald Trump s’est engagé à céder le pouvoir pacifiquement.*
Il est décevant que le vice-président Mike Pence n’ait pas usé de son pouvoir de veto au Sénat pour arrêter l’approbation du résultat d’une fraude électorale, évoquant la possible non-correspondance d’un tel geste à la volonté des fondateurs des États-Unis, selon LifeSiteNews :
« Certains pensent qu’en tant que vice-président, je devrais pouvoir accepter ou rejeter les votes électoraux unilatéralement », peut-on lire dans son message, ajoutant qu’il ne considérait pas ce « point de vue » comme étant « correct ». « Je ne crois pas que les fondateurs de notre pays aient eu l’intention d’investir le vice-président du pouvoir unilatéral de décider quels votes électoraux devraient être comptés lors de la session conjointe du Congrès, et aucun vice-président dans l’histoire américaine n’a jamais revendiqué un tel pouvoir ».
Pourtant, plusieurs experts constitutionnels ont souligné que de multiples vice-présidents, comme Thomas Jefferson, Richard Nixon et Al Gore, ont usé de leur pouvoir lors de confirmation des élections. Du reste, devant une telle fraude électorale, il me semble que c’est s’empêtrer dans les fleurs du tapis.
Cette défaite de Trump, donc, représente une forte défaite pour le mouvement pro-vie dans le monde entier, car il représentait un allier de taille par l’office qu’il occupait. N’a-t-il pas retiré les fonds des États-Unis de tout financement de l’avortement à l’étranger, des centaines de millions de dollars en moins pour la promotion du meurtre d’enfants à naître ? N’a-t-il pas diminué le financement de l’avortement aux États-Unis ? N’a-t-il pas défendu la liberté des entreprises américaines face à l’imposition du financement de l’avortement et de la contraception par le biais des assurances privées ? N’a-t-il combattu les tentatives de l’ONU d’adopter un langage pro-avortement dans ses textes officiels ? N’a-t-il pas multiplié les déclarations nationales et internationales, gestes amicaux et soutiens aux mouvements pro-vie et aux enfants à naître ? N’a-t-il pas retiré le financement des États-Unis à l’OMS, grand promoteur de l’avortement et de la masturbation infantile, bien que pour une autre raison officielle il est vrai ?
Certes, perdre une bataille n’est pas perdre la guerre, et si Trump est un allié du mouvement pro-vie, le mouvement pro-vie ne tient pas qu’à lui seul, tant s’en faut.
Lire la suiteDélire autour d’une élection (frauduleuse) dont le fin mot n’a pas été dit…
Par Paul-André Deschesnes — Photo : Rawpixel/Freepik
Église de Belœil, messe de 9 h. Le curé fait cette déclaration avant de débuter sa messe devant la « grosse » foule de 25 fidèles :
Le monde entier se réjouit de l’élection de Joe Biden. Réjouissons-nous aussi. Les autorités ecclésiastiques (diocèse ? assemblée d’évêques ? Le Vatican ? Il ne l’a pas dit) nous invitent à nous réjouir pour l’élection du nouveau président des États-Unis. C’est un homme de foi, d’espoir, d’amour et de solidarité. Il va s’occuper des pauvres, des malades, des démunis, des réfugiés, des minorités, de la justice sociale, etc.
Biden, c’est un sage rempli de compassion, d’empathie et de bonté. Prions pour lui. Tous nos évêques pensent comme lui !
Remarquez, au passage, que depuis l’arrivée du pape François, les représentants de l’Église catholique adorent faire de la politique, toujours très à gauche.
Biden a volé son élection. Le parti démocrate a organisé une fraude historique digne des pires dictatures de la planète. La fraude a été réalisée par le biais du vote postal (des dizaines de millions de bulletins de vote tout pour Biden). Biden a félicité les employés des postes pour leur bon travail. Dans toutes les villes, des milliers de manifestants pro-Biden ont félicité les services postaux américains.
Euphorie mondiale ! Comme à la fin de la 2e Guerre mondiale. Du jamais vu, pour fêter cette supposée élection. Voici une petite partie des commentaires mensongers répandus sur toute la planète : Trump, c’est le choix des crétins, des malades mentaux et des aveugles. Complotiste, gourou (Trump), grande noirceur, secte moyenâgeuse, roi du mensonge, une pourriture, le monstre mis dehors de la Maison-Blanche, fol incompétent, bête féroce, lion déchaîné, malade mental, etc., et pire encore, tous ces grands titres des médias partout dans le monde.
Lire la suite« Tsunami de preuves » : synthèse des procédures pour fraude électorale en cours aux États-Unis
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Piqsels
Voici la traduction intégrale de l’article de Steve Mosher publié vendredi par LifeSiteNews, où vous trouverez la synthèse des procédures en cours pour fraude électorale. L’auteur, bien connu des lecteurs de ce blog, est le président du Population Research Institute, premier sociologue américain à visiter la Chine communiste où il découvrit l’horreur des avortements forcés. L’avocate Sidney Powell, de son côté, estime que Joe Biden a bénéficié de 10 millions de votes illégaux. — J.S.
*
Après un lent démarrage, l’équipe juridique de Trump est maintenant bel et bien lancée, et elle entend démontrer que l’élection du 3 novembre a vraiment été remportée par son homme.
En Pennsylvanie, une juge courageuse a stoppé la certification des résultats tant qu’elle examinera les preuves de la fraude. Elle voudra peut-être poser cette question au secrétaire d’État démocrate : si seulement 1,8 million de bulletins de vote par voie postale ont été demandés, comment est-il possible que vous en ayez reçu 2,5 millions par la poste ?
Dans le Wisconsin, un juge examine une requête visant à rejeter 150 000 bulletins de vote potentiellement frauduleux. Cet effort est mené par Phil Kline du projet Amistad. Les pro-vie se souviendront des efforts déployés depuis des années par le procureur général du Kansas, Phil Kline, pour dénoncer les avortements tardifs et poursuivre le Planning familial dans cet État il y a quelques années.
En Géorgie et au Michigan, le procureur préféré des Américains, Sidney Powell, a lâché le Kraken. Ses deux poursuites sont remplies d’exemples choquants de fraude électorale sur plus de cent pages chacune, et elles s’accompagnent d’une pléthore de déclarations sous serment.
Lire la suiteMgr Viganò : l’imposture de l’élection de Biden, marionnette du Nouvel ordre mondial
Mgr Carlo Maria Viganò (au centre), évêque américain (au fond), Joe Biden (à gauche, bien sûr) et le président des États-Unis Donal Trump (à droite).
Par Michelle Marie (Médias Presse Info)
Ce message [ci-dessous de Mgr Carlo Maria Viganò] a été publié dans la nuit en anglais sur le site américain The Remnant. En voici une traduction :
Le monde dans lequel nous vivons est, pour reprendre une expression de l’Évangile, « in se divisum » (Mt 12, 25). Cette division consiste, me semble-t-il, en un divorce entre réalité et fiction : réalité objective d’un côté, et fiction médiatique de l’autre. Cela vaut certainement pour la pandémie, utilisée comme outil d’ingénierie sociale en vue de la Grande réinitialisation, mais encore plus pour le surréalisme de la scène politique américaine, où les preuves d’une fraude électorale colossale sont censurées par les médias, qui proclament à présent la victoire de Joe Biden comme étant un fait accompli.
La réalité du Covid est en dissonance manifeste avec ce que les grands médias veulent nous faire avaler, mais pas assez pourtant pour démanteler le grotesque échafaudage de mensonges auquel le plus grand nombre s’est résigné.
De même, le spectacle offert par les fraudes électorales, la violation flagrante des règles du vote et la falsification systématique des résultats contraste avec le discours des géants de l’information, pour lesquels Joe Biden est incontestablement le nouveau président des États-Unis. Discours univoque et ne souffrant pas la contradiction, sur la supposée fureur ravageuse d’une grippe saisonnière responsable du même nombre de décès que l’année dernière, ou sur l’inévitable élection d’un candidat corrompu et inféodé à l’État profond. Et, de fait, Biden a déjà promis de rétablir le confinement.
La réalité n’a plus aucune espèce d’importance lorsqu’elle est un obstacle à la réalisation du plan ourdi. Le Covid et Biden sont deux hologrammes, deux créations artificielles, prêtes à être adaptées encore et encore aux besoins du moment ou remplacées le moment venu par le Covid-21 et Kamala Harris. Les accusations d’irresponsabilité lancées aux partisans de Trump pour avoir organisé leurs rassemblements s’évanouissent dès que ce sont les supporters de Biden qui descendent dans la rue, comme durant les manifestations du BLM. Ce qui est criminel pour les uns est licite pour les autres. Sans explication, sans logique, sans raison. Le simple fait d’être de gauche, de voter Biden, de mettre le masque est un laissez-passer pour se permettre n’importe quoi. Alors qu’être de droite ou sceptique sur l’efficacité des masques est une condamnation d’office pour les électeurs de Trump. Sans autre forme de procès, les étiquettes de fascistes, souverainistes, populistes, négationnistes leur sont collées et ceux qui sont ainsi stigmatisés doivent battre en retraite sans piper mot.
Lire la suiteLe Webster’s Dictionnary redéfinit le mot « préférence » après qu’Amy Coney Barrett eût parlé de « préférence sexuelle »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PourquoiPas/Pixabay
Le Webster’s Dictionnary a tout récemment changé la définition du mot « préférence » (preference en anglais), indiquant que ce terme était offensant dans le cadre de l’expression « préférence sexuelle ». Plus tôt dans la même journée, la candidate à la Cour suprême des États-Unis, Amy Coney Barrett, se faisait rabrouer lors d’une des auditions au Sénat par le sénateur démocrate Mazie Hirino pour avoir employé deux fois le terme « préférence sexuelle » au sujet de ce que cette dernière appelle « les membres de la communauté LGBTQ », selon LifeSiteNews :
« Ce n’est pas une fois mais deux fois que vous avez utilisé le terme “préférence sexuelle” pour décrire les membres de la communauté LGBTQ », déclarait-elle [Mazie Hirino]. « Et je tiens à préciser que “préférence sexuelle” est un terme offensant et dépassé. Il est utilisé par les militants anti-LGBTQ pour suggérer que l’orientation sexuelle est un choix. Ce n’est pas le cas. L’orientation sexuelle est un élément clé de l’identité d’une personne. Que l’orientation sexuelle soit à la fois une expression normale de la sexualité humaine et soit immuable était un élément clé de l’opinion de la majorité dans le jugement Obergefell, opinion à laquelle, soit dit en passant, Scalia ne souscrivait pas ».
Plus tard dans la journée, le Webster’s Dictionary a modifié sa définition du mot « préférence » pour indiquer que le terme était « offensant » lorsqu’utilisé pour désigner l’orientation sexuelle.
Ce changement — et le moment où cela s’est produit — n’est pas resté longtemps inaperçu.
« Pas plus tard que le mois dernier, le Webster’s Dictionary comprenait parmi ses définitions du terme “préférence” celui d’“orientation” ou de “préférence sexuelle” », écrivait Steve Krakuaer sur Twitter. « Aujourd’hui, ils l’ont modifiée et ont ajouté le mot “offensant” ».
« Dément — je viens de vérifier dans le Wayback Machine et c’est réel », ajouta-t-il.
Notez que les démocrates, comme Joe Biden, utilisent le terme « préférence sexuelle » au sujet des « membres de la communauté LGBTQ ».
Quant à la « préférence sexuelle », celle normale, c’est-à-dire entre homme et femme, est de toute évidence innée, tandis que celle pour les personnes de même sexe ne l’est très certainement pas ; peut-être que l’on pourrait parler de causes qui induisent à cette dernière, faisant en sorte que les personnes en question ressentent une préférence non volontaire, mais une préférence quand même — de laquelle on peut se défaire. Mais je trouve ce terme inexact (du moins en français) à l’égard des gens normaux, en termes de sexualité normale les hommes sont attirés par les femmes et inversement, mais non les hommes par les hommes ou les femmes par les femmes, aussi le mot « préférence », qui veut dire « aimer mieux que » n’a pas sa place dans ce contexte, car il s’agit d’une attirance unique et non préférentielle.
Au passage, c’est bien pratique de changer du jour au lendemain la signification d’un terme qu’employait votre adversaire plus tôt dans la journée…
La gauche en colère contre Amy Coney Barrett
Par Paul-André Deschesnes — Photo : PxHere
Connaissez-vous Ruth Bader Ginsburg juge à la Cour suprême des États-Unis ? Âgée de 87 ans, elle est décédée en septembre 2020.
Icône féministe d’extrême gauche, elle était reconnue pour ses positions progressistes (pro-avortement, pro-euthanasie, etc.). Après son décès, dans beaucoup d’états démocrates, on lui a rendu hommage et on lui a même élevé une statue à New York dans sa ville natale.
Le 25 septembre 2020, le Président des États-Unis a présenté aux médias son choix pour remplacer la juge décédée : Amy Coney Barrett, 48 ans, mère de sept enfants, magistrate très connue et très compétente. Elle a déjà été une professeure de droit de haut niveau à l’Université catholique Notre-Dame des États-Unis. Le Sénat devra maintenant voter sur cette candidature.
Au niveau mondial, beaucoup de médias ont critiqué le choix du Président Trump, qualifiant Amy Coney Barrett d’être trop « à droite » et d’être incompétente. Mais en quoi n’est-elle pas un bon choix pour ce poste ? Selon les critiques, Amy Coney Barrett ne pourrait pas siéger à la Cour Suprême, car elle ferait partie de la droite religieuse américaine. Elle est une catholique pratiquante ; elle est opposée à l’avortement et à l’euthanasie ; elle est donc une « pauvre » personne qui a refusé d’évoluer et de s’adapter au monde moderne.
Voici ce que nous dit Le Journal de Montréal de cette candidature : « archiconservatrice, traditionaliste, trop religieuse, antiféministe (26 sept 2020) ; elle doit être rejetée par le Sénat, dit Biden (27 sept 2020) ; elle sera soumise aux dogmes de l’Église catholique ; elle est instruite, mais elle est trop à droite ; elle est une fondamentaliste religieuse ; sa foi va lui dicter ses jugements ; la Bible va l’aveugler ; ce sera l’obscurantisme paralysant ; avec elle, les États-Unis vont devenir une théocratie (28 septembre 2020). » La rectitude politique en vigueur ne supporte pas ces idées « d’un autre âge ».
Que peut-on conclure devant autant de soulèvements ? La gauche religieuse, politique et médiatique se déchaîne. L’acharnement contre les catholiques pratiquants continue. Faut-il se taire et cacher sa foi ? La tempête fait rage. Le monde moderne ne supporte plus la loi de Dieu. On préfère la nouvelle morale décadente en vigueur en Occident.
Prions pour Amy Coney Barrett ; attaquée de toutes parts à cause de sa foi, elle rame à contre-courant. Cette très courageuse personne est un exemple à suivre.
La gauche en colère contre Amy Coney Barrett
Par Paul-André Deschesnes — Photo : PxHere
Connaissez-vous Ruth Bader Ginsburg juge à la Cour suprême des États-Unis ? Âgée de 87 ans, elle est décédée en septembre 2020.
Icône féministe d’extrême gauche, elle était reconnue pour ses positions progressistes (pro-avortement, pro-euthanasie, etc.). Après son décès, dans beaucoup d’états démocrates, on lui a rendu hommage et on lui a même élevé une statue à New York dans sa ville natale.
Le 25 septembre 2020, le Président des États-Unis a présenté aux médias son choix pour remplacer la juge décédée : Amy Coney Barrett, 48 ans, mère de sept enfants, magistrate très connue et très compétente. Elle a déjà été une professeure de droit de haut niveau à l’Université catholique Notre-Dame des États-Unis. Le Sénat devra maintenant voter sur cette candidature.
Au niveau mondial, beaucoup de médias ont critiqué le choix du Président Trump, qualifiant Amy Coney Barrett d’être trop « à droite » et d’être incompétente. Mais en quoi n’est-elle pas un bon choix pour ce poste ? Selon les critiques, Amy Coney Barrett ne pourrait pas siéger à la Cour Suprême, car elle ferait partie de la droite religieuse américaine. Elle est une catholique pratiquante ; elle est opposée à l’avortement et à l’euthanasie ; elle est donc une « pauvre » personne qui a refusé d’évoluer et de s’adapter au monde moderne.
Voici ce que nous dit Le Journal de Montréal de cette candidature : « archiconservatrice, traditionaliste, trop religieuse, antiféministe (26 sept 2020) ; elle doit être rejetée par le Sénat, dit Biden (27 sept 2020) ; elle sera soumise aux dogmes de l’Église catholique ; elle est instruite, mais elle est trop à droite ; elle est une fondamentaliste religieuse ; sa foi va lui dicter ses jugements ; la Bible va l’aveugler ; ce sera l’obscurantisme paralysant ; avec elle, les États-Unis vont devenir une théocratie (28 septembre 2020). » La rectitude politique en vigueur ne supporte pas ces idées « d’un autre âge ».
Que peut-on conclure devant autant de soulèvements ? La gauche religieuse, politique et médiatique se déchaîne. L’acharnement contre les catholiques pratiquants continue. Faut-il se taire et cacher sa foi ? La tempête fait rage. Le monde moderne ne supporte plus la loi de Dieu. On préfère la nouvelle morale décadente en vigueur en Occident.
Prions pour Amy Coney Barrett ; attaquée de toutes parts à cause de sa foi, elle rame à contre-courant. Cette très courageuse personne est un exemple à suivre.
Viktor Orbán, président de Hongrie, aux groupes LGBT : « Laissez nos enfants tranquilles »
Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie.
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info)
La défense de la famille traditionnelle est une priorité pour le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán. Et gare à qui veut pervertir les enfants !
Suite à la parution d’un livre pour enfants mettant en scène des personnages homosexuels, l’homme fort de Budapest a tonné dimanche 4 octobre :
Laissez nos enfants tranquilles !
« La Hongrie a des lois sur l’homosexualité, qui reposent sur une approche exceptionnellement tolérante et patiente », a déclaré le dirigeant souverainiste lors d’une interview à la radio publique. « Mais il y a une ligne rouge à ne pas franchir », a-t-il poursuivi, fustigeant un « acte de provocation ». « Pour résumer mon opinion : laissez nos enfants tranquilles », a-t-il conclu.
Le livre en question a été publié par une association de la communauté lesbienne, gay, bisexuelle et transgenre (LGBT) et adaptant des contes et légendes célèbres avec des personnages issus de « minorités marginalisées » (handicapés, pauvres, Roms, LGBT…). Ainsi, dans une histoire, Cendrillon est lesbienne, dans une autre un tueur de dragons est transgenre.
Un mouvement spontané de la société civile a demandé le retrait du livre du marché, et une élue en a même déchiré une copie en conférence de presse.
Viktor Orbán continue sur sa lancée de restauration des valeurs chrétiennes et traditionnelles dans son pays. En 2018 il avait retiré les études de genre de la liste des enseignements universitaires. La même année, la comédie musicale Billy Elliot d’Elton John avait été déprogrammée de l’Opéra national faute de réservations après une campagne des médias progouvernementaux, qui accusaient l’œuvre de promouvoir l’homosexualité. En mai dernier, Budapest a interdit l’inscription du changement de sexe à l’état civil et la reconnaissance juridique de l’identité de genre des personnes transgenres, malgré de nombreuses protestations internationales.
Sans surprise, le Parlement européen, toujours du côté de la déconstruction de l’identité et voulant imposer son agenda arc-en-ciel aux réfractaires, a activé en septembre 2018 une procédure dans le cadre de l’article 7 du traité de l’Union pour violation des valeurs de l’UE, qui peut en théorie déboucher sur des sanctions.
L’American Journal of Psychiatry corrige une étude en faveur de la transition
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : drobotdean/Freepik
L’American Journal of Psychiatry a corrigé une étude mettant sous un éclairage favorable les opérations de transition, les conclusions de la correction montrent que les données employées ne confirment en rien la théorie selon laquelle les opérations de « changement de sexe » amélioreraient la santé mentale des patients. Une étude antérieure, étudiant les mêmes données, va en sens inverse de la première et souligne que le taux de suicide chez les transgenres opérés est dix fois supérieur à celui de la population en général, rapporte le Ruth Institute :
« Nous sommes heureux que l’American Journal of Psychiatry ait publié une correction publique, chose rare, d’erreurs graves contenues dans une étude qu’elle a publiée en octobre dernier, promouvant la chirurgie dite de changement de sexe », déclare le révérend Paul Sullins, docteur en médecine, associé principal de recherche du Ruth Institute.
« Le Journal reconnaît maintenant que, contrairement à ce qui avait été rapporté précédemment, l’étude ne montre pas que les personnes qui subissent une telle opération eussent une amélioration de leur santé mentale. Plus précisément, elle ne montre pas que ces patients fussent moins susceptibles de souffrir de troubles de l’humeur et de l’anxiété, sur la base de rapports faisant état d’une diminution des hospitalisations ou de la consommation de médicaments sur ordonnance », explique le Dr Sullins.
« Les auteurs de l’étude ont cherché à générer (selon leurs propres termes) un soutien aux politiques qui garantissent la couverture des traitements confirmant le genre [pas le sexe], en ignorant de nombreux éléments provenant des données qui invalident cette conclusion. En fait, une étude antérieure, plus rigoureuse, des mêmes données avait montré que le risque de suicide à la suite d’une opération de changement de sexe était plus de 10 fois supérieur à celui de la population générale. Sept groupes d’universitaires ont remarqué cet écart et ont écrit des lettres critiques à la revue, soulignant les biais et les faiblesses de la nouvelle étude. La conclusion corrigée de l’étude était à l’opposé de ce qui avait été initialement énoncé ».