La Marche pour la vie de Québec malgré les obstacles
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Georges Buscemi
Ce fut une marche épique et humide !
Cette année, encore une fois, nous avons tenu la Marche pour la vie de Québec en dépit de toutes les embûches qui ont été dressées sur notre route et malgré la pluie.
Environ 500 à 600 pro-vie ont répondu à l’appel de Campagne Québec-Vie et ont marché pour la vie des enfants à naître dans les rues de Québec le 31 mai 2025.
Photo : Augustin Hamilton
Le thème de la marche était « Tout être humain à droit à la vie ». C’est une citation de la Charte québécoise dont on fête les 50 ans cette année.
Photo : AH
Les médias déchaînent encore leur malice contre les lois pro-vie
Photo : Microgen/Adobe Stock
Vous avez peut-être lu ces derniers temps des titres étranges comme celui que TVA Nouvelles a produit dernièrement : « Même morte, une femme enceinte doit rester branchée en raison des lois sur l’avortement en Géorgie ». Il s’agit d’une femme enceinte qui a été déclarée en état de « mort cérébrale » et dont on maintiendrait, s’il fallait en croire ce titre, les fonctions corporelles afin que puisse naître le bébé que son corps porte, et ce, en vertu d’une loi sur l’avortement. Je reviendrai sur cette idée absurde de « cadavre vivant » un peu plus loin.
Pourquoi est-ce que je parle de cette affaire ? C’est parce qu’elle comporte plusieurs facettes de l’anticulture de mort dans laquelle nous vivons.
La première chose est la malice des médias qui parlent de ce cas. En effet, si la femme en question, Adriana Smith, est vraiment morte, en quoi lui fait-on tort en gardant en fonction son corps jusqu’à ce qu’une nouvelle vie naisse ? Il est vrai que les médias abordent surtout l’affaire sous l’angle du point de vue de la grand-mère qui exprime son inconfort face au fait que la décision ne revienne pas à la famille en qui concerne le corps de sa fille, mais qui affirme néanmoins, comme cela est rapporté ailleurs, qu’elle désire que le bébé naisse. Cette attitude médiatique incompréhensible ne s’explique que par la volonté des grands médias de casser du sucre sur le dos des lois pro-vie sous le moindre prétexte.
Mais leur impertinence ne s’arrête pas là, car il s’avère que ce n’est pas en raison de la loi sur les « battements de cœur » qui interdit la plupart des avortements à partir de 6 semaines en Géorgie que Mme Smith reste branchée sur les supports vitaux, mais en raison de la Loi sur les directives anticipées en matière de soins de santé, adoptée en 2007, c’est-à-dire quand Roe v. Wade était encore en place, loi donc qui prescrit qu’une femme enceinte dans un tel cas doive rester sur les soutiens vitaux, à moins que le bébé qu’elle porte ne soit pas encore considéré comme « viable » et qu’elle ait rédigé une directive anticipée — ce qui n’est pas le cas.
Le problème avec le concept de « mort cérébrale », c’est qu’il fait considérer une personne dont toutes les fonctions cérébrales ont cessé, mais dont le corps est autrement bien vivant, comme « morte ». Ce qui est absurde, puisque comme on le voit ici une femme peut porter son enfant à naître — chose impossible avec un cadavre... Or, vous le savez sans doute, on prélève les organes des personnes en état de « mort cérébrale » si celles-ci ont précédemment accepté d’être « donneuses » — dans certains pays, les personnes sont automatiquement considérées comme « donneuses », à moins qu’elles n’aient expressément indiqué qu’elles ne voulaient pas l’être... L’autre problème est que la dernière directive de l’American Academy of Neurology sur la « mort cérébrale » en permet la déclaration, même si on peut encore détecter des ondes cérébrales chez la personne ou que la partie de son cerveau appelée hypothalamus est encore fonctionnelle — ce qui enfreint dans les faits la Loi sur la détermination uniforme de la mort !
Parmi les partisans du don d’organes, certains vont même jusqu’à proposer le « don complet du corps » afin que l’on puisse utiliser les femmes déclarées en état de « mort cérébrale » comme incubateurs... Dans le camp de la mort, Adriana Smith n’est plus qu’un incubateur et pourtant il s’indigne ! Mais cette incohérence apparente a pour seul but d’attaquer les lois pro-vie. Dans le camp de la vie, Adriana Smith est toujours vivante et son enfant à naître est déjà vivant, et sont traités comme tels.
L’ironie de la chose, c’est que le fait que l’on garde Mme Smith branchée sur les supports vitaux en raison de sa grossesse lui sauvera peut-être la vie, il existe plusieurs cas de personnes déclarées en état de « mort cérébrale » qui se sont réveillées.
Si seulement les médias voulaient bien admettre que Mme Smith n’est pas morte, ils auraient un argument (fallacieux, il est vrai) de plus à leur attirail. En effet, garder branchée une femme enceinte dans le coma contre sa volonté auparavant exprimée reviendrait à brader son « choix ». Cela n’est cependant pas prêt d’arriver, car il faudrait pour cela qu’ils rejettent la notion de « mort cérébrale » qui veut qu’une personne n’est plus une personne quand elle perd ses fonctions rationnelles, idée corollaire de celle qui veut qu’une personne ne commence à exister que quand elle commence à avoir des capacités rationnelles fonctionnelles. Vous l’aurez compris, rejeter l’un reviendrait à abjurer l’autre ; reconnaître l’humanité des personnes en état de « mort cérébrale » reviendrait à admettre celle des enfants à naître dès ses stades les plus précoces.
Les deux extrémités de la vie sont menacées par l’anticulture de mort. C’est pourquoi je vous invite à nous rejoindre le samedi 31 mai, pour ceux de vous qui habitez assez proche, devant l’Assemblée nationale du Québec pour la 2e Marche pour la vie de Québec. Venez nombreux défendre avec nous la vie des enfants à naître et des personnes vulnérables !
Pour la Vie,
Augustin Hamilton
Un projet de loi texan pour clarifier la loi de l’État sur l’avortement
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Aerra Carnicom/Wikimedia Commons
Le sénateur texan Bryan Hughes et le représentant de l’État Charlie Geren ont déposé des projets de loi au Sénat et à la Chambre des représentants du Texas afin de clarifier le langage entourant les exceptions de la loi pro-vie de l’État. Les projets de loi 31 du Sénat et 44 de la Chambre, intitulés « Life of the Mother Act » (Loi sur la vie de la mère), modifieront la formulation actuelle du code de la santé et de la sécurité de l’État.
Actuellement, le code de la santé et de la sécurité du Texas prévoit une « exception permettant un avortement en cas d’urgence médicale ». Cependant, les pro-avortement se sont plaints que cette exception était embrouillée, et certains médecins ont affirmé qu’ils étaient incapables de comprendre comment avoir un jugement éclairé pour déterminer si la grossesse d’une femme doit être interrompue en raison d’une situation d’urgence. Au moins deux articles publiés par ProPublica ont attribué à tort la mort de deux femmes à la loi texane sur les battements cardiaques, ce qui a suscité davantage de controverse et de confusion au sujet de la loi et de ses exceptions.
Lire la suiteL'histoire d'une religieuse autochtone d’une école canadienne contredit le récit anticatholique du « charnier »
Sœur Dorothy Bob.
Republié par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie
27 mars 2025 (Everyday For Life Canada) — Dorothy Bob s'est jointe aux Sœurs de Sainte-Anne en 1960, en Colombie-Britannique. Rien d'inhabituel à cela. Ce qui l'est un peu, c'est qu'elle a été la première autochtone à devenir religieuse dans cet ordre.
Elle a choisi le nom de Sœur Mary Juan Diego. Sœur Bob était la fille de Christopher et Cordelia Bob de la bande indienne de Fountain. Sœur Bob est décédée le 24 février 2025, à l'âge de 92 ans.
Il y a plus, beaucoup plus. Sœur Bob a également été élève et plus tard cuisinière au pensionnat indien de Kamloops. C'est la bande de Kamloops qui, le 27 mai 2021, a affirmé avoir trouvé « les restes de 215 enfants » sur le terrain de l'école. Près de quatre ans plus tard et après plusieurs fouilles, aucune tombe n'a été trouvée, pas une seule.
Pourquoi l'Église catholique n'a-t-elle pas raconté l'histoire de Sœur Dorothy Bob ? Elle a même été formée et a reçu un prix pour son travail missionnaire auprès des peuples indigènes.
Il a fallu qu'un lecteur attire l'attention du rédacteur en chef de BC Catholic pour que son histoire soit révélée. Pourquoi les évêques n'ont-ils pas publié l'information ? Les bergers, comme le gouvernement libéral, se sont-ils trop investis dans le récit politiquement correct des abus et du génocide commis par des prêtres ? En fin de compte, la vérité doit être révélée. Trop d'églises chrétiennes ont été brûlées, vandalisées et profanées au Canada à la suite d'une allégation non prouvée.
Lire la suiteLes étudiants n’évitent pas les États pro-vie après tout
Par Micaiah Bilger (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Drazen/Adobe Stock
(The College Fix) Il s’avère que les jeunes ne fuient pas les États qui protègent les enfants à naître en interdisant les avortements électifs.
En fait, il semble que ce soit plutôt le contraire. Selon un nouveau rapport d’Axios, « les étudiants du nord-est se dirigent vers le sud pour aller à l’université » où — bien que le rapport ne mentionne pas cet aspect — la plupart des États limitent ou interdisent strictement les avortements.
Outre le « climat chaud », le « plaisir », les « bourses d’études » et l’« accessibilité financière », Axios suggère que la politique est un facteur important pour les étudiants lorsqu’ils choisissent un établissement d’enseignement supérieur. Il souligne que les États dirigés par des républicains ont mis fin plus rapidement a confinement covid-19 et, plus récemment, que les violentes émeutes pro-palestiniennes dans les universités d’un certain nombre d’États du nord, dirigés par des démocrates, sont des facteurs qui expliquent la tendance à la baisse des inscriptions dans les États septentrionaux.
Selon Axios, c’est en Louisiane, au Tennessee, au Mississippi, en Floride, en Géorgie et au Texas que l’on observe les plus grands déplacements d’inscriptions des universités du nord vers celles du sud entre 2014 et 2023. Cette période est importante, car, au cours de cette décennie, les six États ont commencé à appliquer des lois pro-vie.
La Géorgie, par exemple, interdit les avortements après que les battements de cœur de l’enfant à naître sont détectables, c’est-à-dire à environ six semaines de grossesse.
Lire la suiteLa crainte d’être accusé d’avortement volontaire pour une fausse-couche est-elle justifiée ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Syda Productions/Adobe Stock
La crainte d’être accusé aux États-Unis d’avortement volontaire pour une fausse-couche ou son traitement, ou injustement d’« abus du corps » pour la façon dont on traite le bébé spontanément avorté est-elle justifiée ?
Une lectrice de CQV nous avait récemment envoyé deux pages traitant de ces questions, une émission de Patrick Lagacé sur 98.5 et un article du Guardian, nous faisant part de son inquiétude face au sombre tableau que ces deux réquisitoires dépeignent de la situation des femmes dans les États américains limitant l’avortement. Certes, on peut dire que la situation est d’une certaine façon sombre, mais pas exactement pour la cause invoquée par les partisans du « choix » qui sont, je le crois, grandement en partie à l’origine du phénomène de confusion qu’ils dénoncent eux-mêmes.
C’est un sujet qui mérite d’être étudié en profondeur. Je vous propose ci-dessous mon analyse de ces deux articles, à la lumière des faits relatés par des médecins et des organisations pro-vie aux États-Unis.
Résumé :
- Il n’y a pas eu une augmentation de la mortalité maternelle en général aux États-Unis depuis l’infirmation de Roe, au contraire.
- Les associations médicales et les médias sont en bonne partie cause de la confusion.
- Les exceptions pour l’avortement sont exactement les mêmes qu’auparavant et ne sont donc pas plus floues.
- Il ne semble pas y avoir eu de cas de femme ou de médecin condamné à tort.
- Peut-être que certaines lois auraient besoin d’être clarifiées, notamment par rapport au traitement réservé au corps des bébés expulsés lors d’une fausse-couche. Il conviendrait que les pro-vie fassent le plus d’efforts possible pour informer la population.
L’eugénisme et la véritable histoire de la campagne pour l’avortement en Grande-Bretagne (2)
Par Ann Farmer (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wellcome Library/Wikimedia Commons
En 1926, le nombre de décès attribués à l’avortement criminel était de 431 ; en 1936, il était de 383, pour tomber à 307 l’année suivante [1] ; l’enquête Birkett a conclu que « la fréquence de l’avortement n’a pas augmenté de manière appréciable ». Néanmoins, grâce aux allusions des militants à des « connaissances secrètes » sur la prévalence de l’avortement clandestin — bien que leurs informations fussent de sources secondaires — même les opposants étaient persuadés de l’existence d’un énorme problème, et l’enquête, dont le président était un sympathisant de l’avortement [2], a déclaré que « l’impression générale » dans les « cercles médicaux, policiers et sociaux » était que l’avortement criminel était récemment devenu « plus fréquent ». [3]
Cependant, les statistiques peuvent être trompeuses — aujourd’hui, on prétend parfois qu’une femme sur trois a subi un avortement, alors qu’en réalité une proportion plus faible en a subi plusieurs. Dans les années 1930, certaines régions ne voyaient pas de cas d’avortement criminel pendant des années, car ils tendaient à se concentrer dans les quartiers pauvres des villes, repaires de prostituées et de criminels [4], ainsi que dans les ports de mer, où les marins de passage constituaient une source de revenus pour les prostituées. [5]
Cependant, les affirmations mensongères des activistes se sont retournées contre eux lorsque des personnes non impliquées dans leur campagne ont suggéré des moyens d’aider les femmes à éviter l’avortement plutôt que de le légaliser. Les militants ont fait valoir que pour chaque avortement mortel pratiqué dans les ruelles, il devait y avoir de nombreux avortements « réussis », mais que, de par sa nature même, l’avortement était si dangereux qu’il ne pouvait y avoir de problème « énorme mais invisible » : hormis les potions douteuses, l’intervention directe dans l’utérus risquait d’entraîner des blessures graves ou la mort de la mère. Les manifestants d’aujourd’hui qui brandissent des cintres en fil de fer pour mettre en garde contre les restrictions à l’avortement légal semblent ne pas se rendre compte que dans les années 1930, les femmes pauvres ne fréquentaient pas les nettoyeurs à sec ; les cintres étaient un luxe, et les pauvres gardaient généralement leurs vêtements dans un coffre, ou les suspendaient à un crochet derrière la porte, pressant leurs tenues du dimanche en les plaçant sous le matelas. Les contestataires modernes supposent également que les femmes pauvres possédaient des connaissances gynécologiques détaillées leur permettant de s’avorter secrètement, alors qu’aujourd’hui encore, les tampons comportent des diagrammes biologiques pour faciliter leur installation.
Lire la suiteLe cardinal Leo de Toronto exhorte le gouvernement Trudeau à cesser de « normaliser l'euthanasie »
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
26 février 2025 (LifeSiteNews) — Le cardinal Francis Leo de l’archidiocèse de Toronto a reproché au gouvernement fédéral libéral du premier ministre Trudeau de « normaliser l’euthanasie », une pratique condamnée comme un péché grave par l’Église catholique.
« Votre gouvernement normalise l’euthanasie — par extension, les personnes souffrant de la solitude, de l’isolement et de la dépression associés à leur état de santé sont de plus en plus susceptibles de choisir l’euthanasie », écrit M. Leo dans une lettre du 14 février adressée au ministre de la Santé, Mark Holland.
« Ce n’est pas une chose dont notre pays devrait être fier. Nous devrions être jugés sur les soins, l’amour et la dignité accordés aux personnes les plus vulnérables, en particulier dans les moments de désespoir et de souffrance. Hâter la mort n’est pas une avancée en matière de soins de santé ».
Dans sa lettre, M. Leo, qui a été élevé au rang de cardinal à la fin de l’année dernière, se dit préoccupé par la formulation d’un récent sondage du gouvernement fédéral sollicitant l’avis des Canadiens sur le programme national d’euthanasie, appelé « Aide médicale à mourir (AMM) ».
Lire la suiteLe gouvernement Trudeau va cesser de financer les recherches sur les « tombes anonymes » après que des millions aient été dépensés sans aucun corps trouvé
Pensionnat de Kamloops.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons
21 février 2025 (LifeSiteNews) — Le gouvernement fédéral canadien va interrompre le financement d’un comité chargé de rechercher des « sépultures anonymes » près des anciens pensionnats, après qu’aucune tombe n’ait été découverte et que des millions de dollars du contribuable aient été dépensés.
Dans une déclaration publiée la semaine dernière, le Comité consultatif national sur les enfants disparus des pensionnats et les sépultures non marquées s’est dit « extrêmement déçu d’apprendre que le gouvernement du Canada a décidé d’interrompre le financement de son travail visant à aider les communautés autochtones dans leurs efforts d’identification, de localisation et de commémoration des enfants disparus ».
Le comité a exhorté « le gouvernement fédéral à reconsidérer » les réductions de son financement. Le comité a été lancé en 2021 et est administré conjointement par le Centre national pour la vérité et la réconciliation et le ministère Relations Couronne-Autochtones et Affaires du Nord Canada.
En réalité, depuis la création du comité, aucun corps n’a été retrouvé sur les terres où se trouvaient les anciens pensionnats financés et mandatés par le gouvernement, dont la plupart étaient gérés par l’Église catholique et l’Église anglicane au Canada.
Lire la suiteUn conseiller municipal canadien, puni pour avoir nié l’existence de « charniers » non prouvés, demande une révision judiciaire
John Robertson.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Canadian Constitution Foundation
7 février 2025, Murray Harbour, Île-du-Prince-Édouard (LifeSiteNews) — Un conseiller municipal de l’Île-du-Prince-Édouard (Î.-P.-É.), qui a été sanctionné pour avoir nié l’affirmation non prouvée de l’existence de fosses communes sur le site des pensionnats, demande une révision judiciaire.
Dans un communiqué de presse du 4 février, la Fondation constitutionnelle canadienne (FCC) a annoncé qu’elle défendrait le conseiller municipal de l’Île-du-Prince-Édouard, John Robertson, qui a été sanctionné par la ville de Murray Harbour pour avoir placé sur sa pelouse une pancarte s’opposant à la thèse des fosses communes.
« La Cour suprême du Canada a répété à maintes reprises que le but de la liberté d’expression est d’assurer que chacun puisse manifester ses pensées, opinions et croyances, même si elles sont impopulaires, déplaisantes ou contraires au courant dominant », a déclaré Josh Dehaas, avocat de la FCC.
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