Les libéraux vont augmenter le financement de Radio-Canada à près de 2 milliards de dollars par an
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
20 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Le gouvernement libéral a promis de dépenser des millions de dollars de l’argent des contribuables pour compenser les publicités que la télévision de Radio-Canada n’arrive pas à vendre.
Selon des informations publiées le 20 janvier par Blacklock’s Reporter, le ministère du Patrimoine canadien, dirigé par les libéraux, donnera à Radio-Canada des millions supplémentaires, ce qui portera la subvention parlementaire totale de la chaîne à près de 2 milliards de dollars par an.
« Radio-Canada est aux prises avec une série de pressions financières qui remettent en question sa capacité à maintenir les niveaux de programmation et de service », ont affirmé les libéraux, ajoutant que leur ministère « fournira un financement supplémentaire pour rendre Radio-Canada moins dépendante de la publicité privée, dans le but d’éliminer la publicité pendant les émissions d’information et d’autres émissions d’affaires publiques ».
« Radio-Canada est un pilier de l’économie créative du Canada, un fournisseur clé de programmes réalisés par et pour les Canadiens et une source importante de nouvelles et d’informations fiables », ont affirmé les libéraux.
Lire la suiteN’écoutez pas l’hypocrisie des médias canadiens au sujet d’une « presse indépendante » avant les élections
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : stefamerpik/Freepik
20 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Les Canadiens vont devoir endurer une élection âpre et acrimonieuse cette année, car les libéraux — dirigés par le premier ministre substitut qu’ils nomment à la hâte dans l’espoir de sauver leur grand parti d’antan — tirent profit de chaque dénigrement, insinuation et accusation qu’ils peuvent trouver pour écarter les conservateurs de Pierre Poilievre. Ils seront aidés dans cette entreprise par une grande partie des médias grand public du Canada, qui verront cette élection comme existentielle pour leur propre survie. Poilievre a promis de démanteler la Société Radio-Canada, et les subventions fédérales aux médias généreusement accordées par Trudeau pourraient également se retrouver sur le billot.
Soyez donc prêts à entendre beaucoup de discours prétentieux et moralisateurs de la part des médias au sujet du caractère essentiel du cinquième pouvoir, d’une « presse indépendante », du rôle clé que joue CBC/Radio-Canada et d’autres sociétés de médias dans l’élaboration de l’identité canadienne. Et puis rappelez-vous que même si vous ne faites pas confiance aux médias, ce n’est probablement pas suffisant. Les médias canadiens — à quelques exceptions notables — sont devenus le bras de propagande du mouvement LGBT, et voient ceux d’entre nous qui s’opposent au programme LGBT comme des fanatiques (au mieux) et des extrémistes (au pire). C’est pourquoi Radio-Canada a dépensé l’argent des contribuables pour créer des documentaires qui célèbrent des enfants travestis, en costumes sexualisés, jouant pour les adultes.
Lire la suiteL’affaire Beatriz : une victoire historique pour le mouvement pro-vie latino-américain
Par Carlos Polo (Population Research Institute) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : beeboy/Adobe Stock
La Cour interaméricaine des droits de l’homme vient de rejeter la tentative des groupes de pression pro-avortement d’établir un « droit à l’avortement » dans toute l’Amérique latine. Cette décision crée un précédent juridique qui aidera le Population Research Institute (PRI) et d’autres groupes pro-vie à défendre la vie innocente des enfants à naître dès la conception dans les 25 pays membres, y compris dans la région dans son ensemble.
Les groupes de pression en faveur de l’avortement espéraient que l’arrêt de la Cour dans l’affaire Beatriz irait dans l’autre sens, c’est-à-dire qu’il autoriserait l’avortement sur demande dans toute l’Amérique latine, de la même manière que l’arrêt de la Cour suprême des États-Unis dans l’affaire Roe v. Wade a ouvert la voie à l’avortement sans restriction.
Tout comme dans l’affaire Roe, les partisans de l’avortement ont fondé leur argumentation sur un mensonge.
Ils ont affirmé qu’un « avortement thérapeutique » aurait permis de sauver la vie d’une jeune femme salvadorienne, Beatriz, dont la grossesse était à haut risque. Ils ont affirmé que les lois du Salvador, qui reconnaissent le droit à la vie des enfants à naître et interdisent l’avortement, empêchaient les médecins de lui sauver la vie.
Lire la suiteUn média canadien financé par le gouvernement affirme que les transgenres n’ont aucun avantage sur les femmes dans le domaine du sport
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Nomad Soul/Adobe Stock
10 décembre 2024, Calgary, Alberta (LifeSiteNews) — Un média canadien financé par le gouvernement prétend qu’affirmer que les hommes ont un avantage dans les sports lorsqu’ils concourent contre des femmes est un « mythe ».
Dans un article du 2 décembre, The Conversation, un média pro-LGBT qui reçoit des fonds fédéraux du gouvernement Trudeau, a dénoncé la loi Fairness and Safety in Sport Act (FASISA) de l’Alberta — qui vise à garder hors des sports féminins les hommes confus en matière de genre — alléguant que les hommes n’ont pas d’avantage physique sur les femmes.
« Ces législations, comme le projet de loi 29, sont basées sur un mythe répandu selon lequel les femmes transgenres ont un avantage biologique inhérent qui menace l’intégrité et l’équité des compétitions athlétiques féminines », affirme l’article. « Ce mythe n’est pas fondé sur des preuves scientifiques et socioculturelles complètes ».
Lire la suiteVoici comment les médias pro-avortement instrumentalisent les décès maternels
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : DC Studio/Freepik
Plusieurs médias ont suivi l’exemple de ProPublica en faisant du sensationnalisme et en instrumentalisant l’idée de décès « évitables » liés à la grossesse, en se concentrant sur des cas individuels qui se sont produits dans des États dotés de lois protégeant les enfants à naître contre l’avortement provoqué. Ces médias ont toutefois ciblé les États pro-vie et ignoré les décès maternels similaires survenus dans des États pro-avortement — des décès également qualifiés d’« évitables ».
Ils ont ainsi construit le faux récit selon lequel les lois pro-vie tuent les femmes.
Cependant, nous devrions vraiment prêter attention à « l’homme derrière le rideau », pour ainsi dire. Ce qui se cache derrière ce rideau, c’est le fait suivant : quel que soit l’État ou ses lois sur l’avortement, la plupart des décès liés à la grossesse sont considérés comme « évitables ».
En bref :
- Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et d’autres sources savent depuis longtemps que la plupart des décès liés à la grossesse sont classés comme « évitables », mais les médias pro-avortement utilisent ce terme pour choquer dans leurs reportages sur les décès individuels.
- Collectivement, 80 % (ou quatre sur cinq) des décès liés à la grossesse aux États-Unis sont considérés comme « évitables », selon le CDC.
- Même dans les États favorables à l’avortement, la grande majorité des décès liés à la grossesse ont été jugés « évitables ». Les médias pro-avortement n’en ont pas tenu compte.
- La « première cause sous-jacente de décès lié à la grossesse », soit 23 %, est « l’état de santé mentale » (y compris les suicides et les overdoses ou empoisonnements liés à l’abus de substances). Les médias pro-avortement ont ignoré cette cause, car leur objectif n’était pas de prévenir davantage de décès « évitables ». Leur objectif était de trouver des cas spécifiques qu’ils pourraient utiliser pour tenter de mettre fin aux lois qui protègent les êtres humains les plus innocents et sans défense de la société.
Comment les gauchistes manipulent le langage pour encadrer le débat sur l’avortement, l’euthanasie et le transgenrisme
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Laurie Shaull/Flickr/Wikimedia Commons
4 décembre 2024 (LifeSiteNews) — Dans l’épisode du Van Maren Show de cette semaine, Jonathon discute des attaques orwelliennes de la gauche contre le langage dans les débats sur l’avortement, le transgenrisme et l’euthanasie.
Jonathon commence l’épisode en soulignant que le langage est au cœur du débat sur toutes les questions politiques, comme l’a noté George Orwell dans son roman 1984.
« George Orwell a vraiment compris que si l’on peut limiter le nombre de mots que les gens sont autorisés à utiliser pour discuter d’une question, on peut enfermer les gens dans une conclusion forcée », explique Jonathon.
L’animateur a souligné que si nous n’en sommes pas encore aux niveaux de censure linguistique de 1984, nous constatons que cette manipulation linguistique commence à se manifester dans certains débats politiques très importants.
Jonathon s’est d’abord penché sur la question des « transgenres » et sur la manière dont les personnes qui identifient correctement un individu « transgenre » en fonction de son sexe biologique sont accusées de le « mégenrer ».
Lire la suiteLes partisans de l’euthanasie recourent à la tromperie pour modifier la perception du public sur cette pratique
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
20 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Les militants de l’euthanasie font actuellement ce qu’ils font le mieux : la tromperie.
Alors que le débat s’intensifie au Royaume-Uni, toutes les tactiques familières sont déployées. Tout d’abord, il y a bien sûr les mensonges incessants. Malgré l’étude de cas du Canada, des Pays-Bas et de la Belgique — et malgré les avertissements des défenseurs des handicapés, des juges, des médecins en soins palliatifs et des secrétaires à la santé et à la justice selon lesquels aucune « mesure de protection » ne tiendra —, les militants britanniques de l’euthanasie insistent sur le fait que, cette fois-ci, tout sera différent.
La réponse à ces critiques était prévisible, mais exaspérante. Les militants de l’euthanasie insistent sur le fait qu’il s’agit d’une question de religion — que ces méchants chrétiens cherchent, une fois de plus, à imposer au pays leur théologie fondée sur la souffrance. (Ceci en dépit du fait que même Ann Furedi, qui dirige le deuxième plus grand fournisseur d’avortement du Royaume-Uni, s’oppose à la proposition de loi sur le suicide assisté). Un bon exemple microcosmique de cette tactique est fourni par l’écrivaine britannique Julie Street, qui a posté sur X :
Je viens juste de sortir de la messe absolument furieuse — notre prêtre a utilisé l’homélie pour lire une lettre des évêques catholiques demandant aux gens de s’opposer au projet de loi sur l’aide à mourir, puis a distribué des cartes avec les coordonnées de notre député local pour que les fidèles fassent pression sur lui. La religion n’a pas sa place en politique ou dans les droits des femmes.
Lire la suiteLa CBC continue d’affirmer l’existence non prouvée de tombes anonymes, laissant entendre que le « négationnisme » devrait être criminalisé
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
15 novembre 2024 (LifeSiteNews) — La Canadian Broadcasting Corporation (CBC) continue d’avancer l’affirmation non prouvée que des tombes anonymes ont été découvertes sur les terrains d’anciens pensionnats [amérindiens], tout en appelant implicitement à la criminalisation du « négationnisme des pensionnats ».
Dans un article publié le 31 octobre, la CBC, financé par l’État, a mis en avant d’anciens élèves des pensionnats qui ont appelé à punir le « négationnisme des pensionnats », laissant entendre que les citoyens devraient être punis pour avoir nié l’existence de tombes anonymes malgré le fait qu’aucun corps n’ait été retrouvé.
« Les survivants des pensionnats demandent au Canada de criminaliser le négationnisme des pensionnats, faisant ainsi écho à l’une des conclusions d’un rapport sur les tombes anonymes et les lieux de sépulture associés à ces institutions », a déclaré le média financé par le gouvernement.
Lire la suiteLes pro-vie veulent offrir de l’aide aux femmes près des avortoirs
Brian Jenkins dans le parc Lahaie, en face de la clinique Morgentaler qui était de l'autre côté du boulevard Saint-Joseph.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Campagne Québec-Vie
Campagne Québec-Vie (CQV) est actuellement en procès contre les zones-bulles de 50 m entourant les lieux où les avortements sont opérés, qui interdisent de « tenter de dissuader une femme » d’obtenir un avortement, afin de pouvoir offrir de l’aide à ces femmes enceintes qui, parfois, pensent qu’elles n’ont pas d’autres choix que de recourir à l’avortement.
Georges Buscemi et Brian Jenkins de CQV ainsi que la Dre Roseline Lebel Caron ont contesté la semaine dernière devant la juge Lysane Cree de la Cour supérieure du Québec la loi québécoise établissant les zones-bulles.
Comme je le disais plus haut, ce que nous demandons, c’est de pouvoir proposer aux femmes se rendant à la clinique d’avortement de l’aide. Pourquoi donc, diront certains ? Parce que l’avortement est un geste terrible où l’on met fin à la vie d’un enfant à naître, un geste qui va à l’encontre de la nature même de la femme et qui peut entraîner de vifs regrets, ainsi que des séquelles physiques et psychologiques. Certaines femmes d’ailleurs désireraient pouvoir garder leur enfant : c’est pour cela que nous voudrions être là pour les y aider.
Or, à 50 m du lieu où sont opérés les avortements, beaucoup moins de femmes auront la chance de voir notre message. D’ailleurs, c’était l’intention du législateur Gaétan Barrette, alors ministre de la Santé, de nous éloigner afin que nous ayons moins d’impact, négatif selon lui, mais positif selon nous.
Lire la suiteUn expert pro-vie réfute l’affirmation selon laquelle l’arrêt Dobbs aurait augmenté la mortalité infantile
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sharon McCutcheon/Unplash
23 octobre 2024 (LifeSiteNews) — Une fois de plus, selon un spécialiste des sciences sociales et expert pro-vie respecté, les médias grand public sont tombés dans le panneau en affirmant que l’interdiction de l’avortement entraîne des taux de mortalité plus élevés chez les enfants ou les femmes.
Deux professeurs de l’Ohio State University ont « analysé les données mensuelles du CDC sur le taux de mortalité infantile entre 2018 et 2023 » et « ont prétendument constaté une augmentation du taux de mortalité infantile après l’été 2022 », selon Michael New. Celui-ci est professeur à l’Université catholique d’Amérique et chercheur en sciences sociales à l’Institut Charlotte Lozier. Il a commenté une récente « lettre de recherche » parue dans JAMA Pediatrics.
« Sans surprise, les auteurs se sont empressés d’imputer cette augmentation à la décision Dobbs », écrit Michael New dans National Review. Il souligne que les médias ont rapidement repris l’histoire, y compris CNN et le Los Angeles Times.
« La recherche montre que les taux de mortalité infantile sont plus élevés après l’interdiction de l’avortement aux États-Unis », lit-on dans le titre d’un article de CNN. « La grande majorité de ces enfants présentaient des anomalies congénitales ou des malformations à la naissance », reconnaît l’article.
Les données des Centers for Disease Control and Prevention ne permettent pas de conclure à l’existence de tendances à long terme en matière de mortalité infantile. Les données montrent « qu’entre le premier trimestre 2023 et le premier trimestre 2024, le taux de mortalité infantile aux États-Unis a en fait diminué de 2,4 % », selon M. New.
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