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Un chercheur dans le domaine des vaccins affirme que la protéine « spike » est une toxine dangereuse


Professeur Byram Bridle.

Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : University of Guelph

Note de l'éditeur : Cet article a été modifié pour indiquer que 11 des 13 sujets vaccinés dans une étude récente d'Ogata avaient une protéine détectable du coronavirus SRAS dans leur circulation sanguine, y compris trois personnes qui avaient des protéines de spicule mesurable. Alors que l'article faisait référence à une déclaration du groupe du professeur Bridle indiquant que la protéine de spicule était présente pendant 29 jours chez une personne, l'étude en question indique que la protéine spike a été trouvée chez la personne le jour 29, un jour après une deuxième injection de vaccin, et qu'elle était indétectable deux jours plus tard.

31 mai 2021 (LifeSiteNews) — Une nouvelle recherche montre que la protéine de spicule [spike protein] de coronavirus induite par le vaccin contre le COVID-19 pénètre de manière inattendue dans la circulation sanguine, ce qui constitue une explication plausible aux milliers d’effets secondaires signalés, allant des caillots sanguins et des maladies cardiaques aux lésions cérébrales et aux problèmes de reproduction, a déclaré la semaine dernière un chercheur canadien spécialiste des vaccins contre le cancer.

« Nous avons fait une grosse erreur. Nous ne nous en étions pas rendu compte jusqu’à maintenant », a déclaré Byram Bridle, immunologiste viral et professeur associé à l’Université de Guelph, en Ontario, dans une intervue accordée à Alex Pierson jeudi dernier, dans laquelle il a prévenu les auditeurs que son message était « effrayant ».

« Nous pensions que la protéine de spicule était un excellent antigène cible, nous ne savions pas du tout que la protéine de spicule elle-même était une toxine et une protéine pathogène. Donc, en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine », a déclaré Bridle dans l’émission, qui n’est pas facile à trouver par une recherche sur Google mais qui est devenue virale sur internet cette fin de semaine.*

Bridle, un chercheur en vaccinologie qui a reçu l’an dernier une subvention gouvernementale de 230 000 dollars pour ses recherches sur le développement du vaccin COVID, a déclaré que lui et un groupe de scientifiques internationaux ont déposé une demande d’information auprès de l’agence de réglementation japonaise pour avoir accès à ce qu’on appelle l'« étude de biodistribution ».

« C’est la toute première fois que des scientifiques ont pu voir où vont ces vaccins à ARN messager [ARNm] après la vaccination », a déclaré Bridle. « Peut-on supposer qu’ils restent dans le muscle de l’épaule ? La réponse courte est : absolument pas. C’est très déconcertant. »

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Les vaccinologues avaient supposé que les nouveaux vaccins COVID à ARNm se comporteraient comme des vaccins « traditionnels » et que la protéine de pointe du vaccin — responsable de l’infection et de ses symptômes les plus graves — resterait principalement au site de vaccination au niveau du muscle de l’épaule. Au lieu de cela, les données japonaises ont montré que la fameuse protéine de pointe du coronavirus passe dans le sang, où elle circule pendant plusieurs jours après la vaccination, puis s’accumule dans les organes et les tissus, notamment la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, en « concentrations assez élevées », dans les ovaires.

« Nous savons depuis longtemps que la protéine de spicule est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre organisme si elle entre dans la circulation [sanguine] », a déclaré Dr Bridle.*

La protéine de spicule du SRAS-CoV-2 est ce qui lui permet d’infecter les cellules humaines. Les fabricants de vaccins ont choisi de cibler cette protéine unique, en faisant en sorte que les cellules de la personne vaccinée fabriquent la protéine, ce qui, en théorie, provoquerait une réponse immunitaire contre la protéine, l’empêchant ainsi d’infecter les cellules.

Un grand nombre d’études ont montré que les effets les plus graves du SRAS-CoV-2, le virus à l’origine du COVID-19, tels que la coagulation du sang et les hémorragies, sont dus aux effets de la protéine en forme de pointe du virus lui-même.

« Ce que la communauté scientifique a découvert, c’est que la protéine de spicule, à elle seule, est presque entièrement responsable des dommages causés au système cardiovasculaire si elle entre en circulation », a déclaré Bridle aux auditeurs.

Des animaux de laboratoire auxquels on a injecté de la protéine de pointe purifiée directement dans leur circulation sanguine ont développé des problèmes cardiovasculaires, et il a également été démontré que la protéine de pointe traversait la barrière hémato-encéphalique et causait des dommages au cerveau.

Une grave erreur, selon Dr Bridle, a été de croire que la protéine du spicule ne passerait pas dans la circulation sanguine. « Maintenant, nous avons des preuves claires et nettes que les vaccins causent la fabrication de cette protéine par les cellules de nos muscles deltoïdes – et que le vaccin lui-même, plus la protéine, passent dans la circulation sanguine », a-t-il déclaré.

Bridle a cité la publication récente d’une étude évaluée par des pairs qui a détecté la protéine de spicule dans le plasma sanguin de trois parmi 13 jeunes travailleurs de la santé qui avaient reçu le vaccin COVID-19 de Moderna. Chez l’un d’entre eux, la protéine de spicule a circulé pendant 29 jours.

Effets sur le cœur et le cerveau

Une fois en circulation, la protéine de spicule peut se fixer sur des récepteurs ACE2 spécifiques situés sur les plaquettes sanguines et les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins. « Lorsque cela se produit, elle peut faire l’une des deux choses suivantes : elle peut soit provoquer l’agglutination des plaquettes, et cela peut conduire à la coagulation. C’est exactement la raison pour laquelle nous avons observé des troubles de la coagulation associés à ces vaccins. Cela peut aussi conduire à des hémorragies ». Bridle a également déclaré que la présence de la protéine de spicule dans la circulation expliquerait les problèmes cardiaques récemment signalés chez de jeunes gens ayant reçu les vaccins.

Les résultats de cette étude de Pfizer — ayant fait l’objet d’une fuite — permettent de retracer la biodistribution de l’ARNm du vaccin [dans l’organisme] ; ils ne sont pas surprenants, « mais les implications sont terrifiantes », a déclaré Stephanie Seneff à LifeSiteNews, chercheuse principale au Massachusetts Institute of Technology. « Il est maintenant clair » que le contenu du vaccin est acheminé vers la rate et les glandes, notamment les ovaires et les glandes surrénales.

Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont récemment annoncé qu’ils étudiaient les rapports faisant état de problèmes cardiaques « légers » après la vaccination au COVID-19, et la semaine dernière, 18 adolescents dans le seul État du Connecticut ont été hospitalisés pour des problèmes cardiaques qui se sont développés peu de temps après qu’ils aient reçu le vaccin contre le COVID-19.

L’administration du vaccin AstraZeneca a été arrêtée dans un certain nombre de pays et n’est plus recommandée pour les jeunes en raison de son lien avec des caillots sanguins potentiellement mortels, mais les vaccins COVID à ARNm ont également été associés à des centaines de cas de caillots sanguins.

La FDA avertie du danger de la protéine de spicule

Le rhumatologue pédiatrique, Dr J. Patrick Whelan, avait averti un comité consultatif sur les vaccins de la Food and Drug Administration du potentiel de la protéine de spicule des vaccins COVID à provoquer des lésions microvasculaires causant des dommages au foie, au cœur et au cerveau « d’une manière qui n’a pas été évaluée dans les essais de sécurité ».

Bien que Whelan n’ait pas contesté la valeur d’un vaccin contre le coronavirus capable de stopper la transmission de la maladie (ce qui n’a été démontré pour aucun des vaccins COVID actuels), il a déclaré : « Ce serait bien pire si des centaines de millions de personnes devaient subir des dommages durables, voire permanents, à la microvasculature de leur cerveau ou de leur cœur, parce qu’on n’a pas su apprécier à court terme un effet involontaire sur d’autres organes, des vaccins à base de protéine de spicule pleine longueur. »

La présence de la protéine de spicule associée au vaccin dans la circulation sanguine pourrait expliquer la myriade d’effets indésirables rapportés au sujet des vaccins COVID, notamment les 4 000 décès et près de 15 000 hospitalisations signalés à ce jour au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) du gouvernement américain, en date du 21 mai 2021. Étant donné qu’il s’agit d’un système de déclaration passif, ces rapports ne sont probablement que la partie émergée d’un iceberg d’événements indésirables, puisqu’une étude de Harvard Pilgrim Healthcare a révélé que moins d’un pour cent des effets secondaires que les médecins devraient signaler chez les patients après une vaccination sont en fait signalés au VAERS.

Les bébés allaités, les enfants et les jeunes, les personnes fragiles, sont les plus à risque.

Bridle a déclaré que la découverte de la protéine de spicule (induite par le vaccin) dans la circulation sanguine aurait des implications pour les programmes de dons de sang. « Nous ne voulons pas que ces protéines de pointe pathogènes soient transférées aux patients fragiles qui sont transfusés avec ce sang », a-t-il déclaré.

Le spécialiste des vaccins a également déclaré que les résultats suggéraient que les bébés allaités dont les mères avaient été vaccinées risquaient de recevoir des protéines de pointe COVID dans le lait maternel.

Selon Dr Bridle, « toute protéine présente dans le sang se concentre dans le lait maternel » et « nous avons trouvé dans le VAERS des preuves que des nourrissons allaités ont souffert de troubles hémorragiques dans le tractus gastro-intestinal ».

Bien que Bridle ne l’ait pas cité, un rapport du VAERS décrit un nourrisson de cinq mois, allaité, dont la mère a reçu une deuxième dose du vaccin de Pfizer en mars. Le jour suivant, le bébé a développé une éruption cutanée et est devenu « inconsolable », a refusé d’être allaité et a présenté de la fièvre. Le rapport indique que le bébé a été hospitalisé avec un diagnostic de Purpura thrombotique thrombocytopénique, une maladie sanguine rare dans laquelle des caillots de sang se forment dans de petits vaisseaux sanguins dans tout le corps. Le bébé est décédé.

La nouvelle recherche a également « de sérieuses implications pour les personnes pour lesquelles le coronavirus du SRAS — COV2 n’est pas un agent pathogène à haut risque, et cela inclut tous nos enfants ».

Effet sur la fertilité et la grossesse ?

La forte concentration de la protéine de spicule trouvée dans les testicules et les ovaires, tel que mentionné dans les données secrètes de Pfizer publiées par l’agence japonaise, soulève également des questions. « Allons-nous rendre les jeunes infertiles ? », a demandé Dr Bridle.

Des milliers de rapports font état de troubles menstruels chez des femmes ayant reçu une injection du vaccin contre le COVID-19, et des centaines de rapports font état de fausses couches chez des femmes enceintes vaccinées, ainsi que de troubles des organes reproducteurs chez les hommes.

Une campagne de dénigrement vicieuse

En réponse à une demande, M. Bridle a envoyé une déclaration par courriel à LifeSiteNews lundi matin, indiquant que depuis l’entrevue radiophonique, il avait reçu des centaines de courriels positifs. Il a également ajouté qu’« une vicieuse campagne de diffamation a été lancée contre moi. Cela inclut la création d’un site internet diffamatoire utilisant mon nom de domaine. »

« Triste époque si un fonctionnaire universitaire ne peut plus répondre aux questions légitimes des gens, avec honnêteté et sur la base de la science, sans craindre d’être harcelé et intimidé », a écrit Brindle. « Cependant, il n’est pas dans ma nature de permettre que des faits scientifiques soient cachés au public. »

Il a joint un bref rapport exposant les principales preuves scientifiques étayant ses propos dans l’interview. Celui-ci a été rédigé avec ses collègues de la Canadian COVID Care Alliance (CCCA) — un groupe de médecins, de scientifiques et de professionnels canadiens indépendants dont l’objectif déclaré est de « fournir des informations de qualité supérieure, fondées sur des preuves, concernant le COVID-19, dans le but de réduire les hospitalisations et de sauver davantage de vies. »

Ce rapport met l’accent sur le risque des vaccins anti-covid pour les enfants et les adolescents qui sont la cible des dernières stratégies de marketing des vaccins, y compris au Canada.

En date du 28 mai 2021, il y a eu 259 308 cas confirmés d’infection par le SRAS-CoV-2 chez les Canadiens de 19 ans et moins. De ce nombre, 0,48 % ont été hospitalisés, mais seulement 0,004 % sont décédés, selon le communiqué de la CCCA. [Pour les jeunes,] « la grippe saisonnière est une maladie plus grave que le COVID-19 ».

Étant donné le petit nombre de jeunes sujets de recherche dans les essais de vaccins de Pfizer et la durée limitée des essais cliniques, le CCCA a déclaré qu’il fallait répondre aux questions concernant la protéine de pointe et une autre protéine vaccinale avant de vacciner les enfants et les adolescents, notamment pour savoir si la protéine de pointe du vaccin traverse la barrière hémato-encéphalique, si la protéine de pointe du vaccin interfère avec la production de sperme ou l’ovulation, et si la protéine de pointe du vaccin traverse le placenta et a un impact sur un bébé en développement ou se retrouve dans le lait maternel.

LifeSiteNews a envoyé à l’Agence de santé publique du Canada la déclaration du CCCA et a demandé une réponse aux préoccupations de Bridle. L’agence a répondu qu’elle travaillait sur ces questions mais n’a pas envoyé de réponse avant le moment de la publication.

Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson n’ont pas répondu aux questions concernant les préoccupations de Bridle. Pfizer n’a pas répondu depuis quand elle était au courant de ses propres données de recherche publiées par l’agence japonaise, montrant la présence de la protéine de spicule dans les organes, les tissus [et le sang] des personnes vaccinées.

Mis à jour le 1er juin à 12h15 pour inclure un commentaire de Stephanie Seneff.


*J’ai remarqué en le traduisant qu’il y a deux paragraphes qui disent exactement le contraire. J’ai vérifié dans l’interview du docteur : il se contredit effectivement, ce n’est pas une erreur de LifeSite.

Je pense que l’article est intéressant quand même. Voici les paragraphes contradictoires :

Paragraphe 3 :

« Nous pensions que la protéine de spicule était un excellent antigène cible, nous ne savions pas du tout que la protéine de spicule elle-même était une toxine et une protéine pathogène. Donc, en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine », a déclaré Bridle dans l’émission, qui n’est pas facile à trouver par une recherche sur Google mais qui est devenue virale sur internet cette fin de semaine.

Paragraphe 7 :

« Nous savons depuis longtemps que la protéine de spicule est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre organisme si elle entre dans la circulation [sanguine] », a déclaré Dr Bridle.

— NDT



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