Les Forces en présence
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Dans un conflit, il faut percevoir l’adversaire
Le 13 mars 2020, les puissances mondialistes et nos élites nationales qui leur sont soumises déclenchaient un putsch planétaire pour abattre les démocraties occidentales et imposer la tyrannie du Nouvel Ordre Mondial. Depuis cette date, nous sommes plongés dans le plus grand conflit de notre génération. C’est un conflit qui dépasse toutes les mesures conventionnelles, qui invalide nos certitudes préalables et qui menace nos vies et nos libertés de façon intime et extrême.
Il n’y a pas d’armées ennemies sur notre sol et on n’entend pas les bombes tomber. Nous sommes, malgré tout, en guerre. C’est une guerre sans frontières et sans limites. Elle se déroule à la fois en nous et dans le monde autour de nous. Elle n’a pas de composante militaire mais elle fait rage dans tous les autres domaines, idéologique, culturel, politique, scientifique, médical… C’est aussi une guerre verticale car nos élites sont en ligue avec les pouvoirs mondialistes. Enfin, c’est un conflit spirituel, un combat où l’adversaire recherche d’abord notre soumission, pas notre défaite.
Mais, si nous sommes en guerre, qui est l’ennemi ? Qui sommes-nous ? Où est le champ de bataille ?
Pour bien combattre, il faut d’abord connaître son adversaire. Or, sous les apparences d’un monde diversifié et chaotique, nous faisons face à une organisation extrêmement cohésive et disciplinée qui exécute un plan préconçu de longue date. Ce plan se déploie à l’échelle mondiale. Ainsi, l’initiative d’un bureaucrate en Australie justifie une mesure sanitaire au Québec, le slogan mentionné au Minnesota est repris en Argentine. Toutes les « autorités » médicales de toutes les démocraties chantent la même chanson et récitent les mêmes communiqués qui semblent provenir d’une même source. Les mêmes critères sont appliqués partout. Les mêmes erreurs sont commises et oubliées.
Lire la suiteUn prêtre aux évêques du Canada : il est temps de rouvrir pleinement les églises
Par le Père Louis Di Rocco — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : magdiel macoquis/Pixabay
18 juin 2021
Il est temps que les évêques du Canada déclarent unilatéralement et à l’unisson que les églises catholiques rouvriront au maximum de leur capacité, immédiatement et sans restriction. C’est urgent. Il faut le faire avant que nos droits religieux et civils ne soient complètement érodés et que votre autorité ne soit irrémédiablement sapée.
À mon avis, il n’y a pas d’urgence pandémique maintenant et il n’y en a jamais eu. Nous avons été trompés.
Dès le début, une panique et une peur extrêmes ont été créées par diverses forces, notamment les gouvernements, les médias, les organisations privées et les grandes entreprises technologiques.
Pour la plupart des gens, il n’y a aucun danger lié au Covid-19. Des milliers de médecins du monde entier ont témoigné que la grande majorité de la population n’a rien à craindre (la principale exception étant les personnes âgées présentant des comorbidités préexistantes).
En outre, il existe des méthodes de prévention et de traitement de l’infection très efficaces et peu coûteuses. Malheureusement, ces méthodes ont été délibérément supprimées, voire interdites. Qui sait combien de vies auraient pu être sauvées si le bon sens avait prévalu ?
En Ontario, l’Ordre des médecins et des chirurgiens a intimidé les médecins. Il a été interdit aux médecins de faire des déclarations critiquant les mesures imposées par les autorités, telles que le port du masque, la vaccination et le confinement, ou faisant la promotion de traitements « non validés » pour le Covid-19.
La plupart des églises ont appliqué les décrets tels que le port du masque et même la fermeture des églises, empêchant ainsi les fidèles d’assister à la messe et limitant même parfois sévèrement l’accès aux autres sacrements. De manière injuste et discriminatoire, le nombre de personnes autorisées par le gouvernement dans les églises a été beaucoup plus faible que le nombre de personnes autorisées dans les commerces considérés comme essentiels tels que les magasins d’alcool et les magasins à grande surface. Il semble que Dieu, l’église et les sacrements aient été jugés non essentiels. Le gouvernement a jugé que l’avortement et l’euthanasie étaient essentiels, mais pas les églises.
Des médecins et d’autres personnes ont souligné les graves dommages collatéraux causés par le confinement, tels que la faillite d’entreprises, la perte de moyens de subsistance, l’augmentation des dépressions, l’isolement social, l’abus d’alcool et de drogues et même la tentation du suicide, ainsi que les dommages psychologiques subis par les enfants et la perte d’apprentissage chez les plus jeunes en particulier.
Il faudra peut-être de nombreuses années aux églises pour retrouver leurs paroissiens. Beaucoup ne reviendront peut-être pas à l’église, certains peut-être parce qu’ils reprochent à leurs chefs et pasteurs de les avoir abandonnés, et d’autres parce qu’ils se sont habitués à ne pas assister en personne à la messe et à la regarder à la télévision. Quand la dispense de l’obligation d’assister à la messe dominicale sera-t-elle levée ?
Lire la suiteProfesseur d'université : le véritable enjeu de la lutte autour du covid est spirituel
Le professeur Edward Curtin.
Par Edward Curtin (Edward Curtin) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Edward Curtin, trouvée sur transcend.org
Après quinze mois de lectures assidues, d’études, d’observations et de recherches, je suis parvenu à certaines conclusions au sujet de ce qu’on appelle le COVID-19. Je tiens à souligner que j’ai fait ce travail de manière obsessionnelle tant il me semblait important. J’ai consulté des informations et des arguments dans tous les médias, qu’ils soient corporatifs ou alternatifs, universitaires, médicaux, tirés de livres, etc. J’ai consulté des chercheurs du monde entier. J’ai lu les sites Web du CDC, de l’Organisation mondiale de la santé et des organisations de santé gouvernementales et non gouvernementales. En d’autres termes, je n’ai négligé aucune piste, malgré les tendances politiques manifestes ou cachées des sources. Je l’ai fait en tant que sociologue et écrivain, et non en tant que médecin, bien que nombre de mes sources soient des médecins et des études médicales.
Mes conclusions succinctes suivent, sans liens vers les sources, car je n’essaie pas de persuader qui que ce soit de quoi que ce soit, mais simplement d’énoncer pour le public ce que j’ai conclu. La vie est courte. Je vais le dire maintenant.
- Je sais qu’un grand nombre de personnes ont été hypnotisées par la peur, les menaces et les pots-de-vin pour accepter la version du COVID-19 présentée par les médias corporatifs. J’en ai conclu que des millions de personnes sont en état de transe et ne le savent pas. Elles ont été mises dans cet état par une campagne de propagande bien organisée et très sophistiquée qui s’est appuyée sur la peur humaine de la mort et de la maladie. Ceux qui sont à l’origine de cette campagne ont sans doute étudié la forte incidence de l’hypocondrie dans la population générale et la peur d’un « virus » invisible dans les sociétés où la croyance en Dieu et en l’invisible spirituel a été remplacée par la foi en la science. Connaissant bien leur public, ils ont concocté une campagne de peur et de confusion pour susciter l’obéissance.
- Je ne sais pas mais je soupçonne que ceux qui ont été ainsi hypnotisés ont tendance à être principalement des membres des classes moyenne et supérieure, c’est-à-dire ceux qui ont si profondément cru au système. Cela inclut des personnes hautement scolarisées.
- Je sais que le fait d’enfermer des centaines de millions de personnes en bonne santé, d’insister pour qu’elles portent des masques inutiles, de leur dire d’éviter les contacts humains, de détruire la vie économique des gens ordinaires a créé une vaste souffrance qui était censée donner une leçon aux gens sur qui contrôlait la situation et leur imposer de revoir leur conception des relations humaines pour s’adapter à la nouvelle irréalité numérique que les producteurs de cette mascarade tentent de substituer à la réalité humaine en chair et en os, en face à face.
- Je sais que le test PCR inventé par Kary Mullis ne peut pas détecter le prétendu virus ou tout autre virus et que, par conséquent, tous ces nombres de cas et de décès ne sont basés sur rien. Ils sont apparus, hors de nulle part, dans un acte massif de magie. Je sais que la croyance que l’on peut ainsi tester a commencé avec le protocole non scientifique PCR Corona créé par Christian Drosten en Allemagne en janvier 2020 qui est devenu la méthode standard pour tester le SRAS-CoV-2 dans le monde entier. Je suis sûr que cela était planifié et faisait partie d’une conspiration de haut niveau. Ce protocole fixait le seuil de cycle (amplification) à 45, ce qui ne pouvait donner que des résultats faussement positifs. On les appelait alors des cas : il s’agit d’un acte de fraude à grande échelle.