Une étude dévoile les possibles risques d’infertilité liés aux vaccins covid
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo : Boris Gonzales/Pixabay
Des voix scientifiques s’élèvent contre les vaccins anti-covid pas suffisamment testés et aux conséquences à moyen et long termes inconnues. Sont pointés du doigt également des probables risques d’infertilité. Une nouvelle étude argentine jette des ombres et des doutes sur cette question. La protéine spike est similaire la protéine syncytine, qui est produite pour le développement du placenta.
Depuis la première annonce des vaccins anti Covid, des voix se sont fait entendre dans la communauté scientifique appelant à prêter attention aux éventuels problèmes concernant la fertilité que les vaccinés pourraient subir. Bien sûr, ces voix ont été immédiatement étouffées par la propagande pro-vaccin habituelle qui ne peut même pas admettre à distance que les vaccins ne sont pas la panacée face à la covid comme à d’autres maux.
Et même si de nombreuses personnes pensent qu’en fait il est un peu curieux qu’un vaccin puisse avoir pour effet de rendre les hommes ou les femmes stériles, ce ne serait pourtant pas la première fois qu’à travers la pratique de la vaccination de masse de vraies mesures malthusiennes sont mises en place pour contrôler les naissances.
Lire la suite« Le cas le plus célèbre, pour ceux qui ont la mémoire courte, a eu lieu en Afrique et a été déterré en février 2015, rappelle un journaliste qui s’intéresse de cette question, Paolo Gulisano. La Conférence épiscopale du Kenya a dénoncé que 30 % des flacons de vaccin antitétanique utilisés lors d’une campagne parrainée et promue par l’OMS et l’Unicef, l’année précédente, contenait du Hcg, l’hormone gonadotrophine chorionique humaine, une hormone qui peut empêcher la grossesse [lorsqu'administrée sous la forme d'un vaccin*]. Les faits ont été mis au jour par une commission scientifique, mandatée par l’Église du Kenya et le ministère kényan de la Santé pour vérifier si dans les vaccins contre le tétanos maternel et néonatal utilisés durant la campagne était présente cette hormone capable de faire de ces vaccins un outil clandestin de régulation des naissances. La commission d’enquête a confirmé les faits, mais l’OMS et l’Unicef n’ont jamais répondu de ces responsabilités. »
Le vaccin Covid-19 à ARNm BNT162b2 de Pfizer affecte-t-il la capacité d'avoir des enfants ?
Par Dorothy Cummings McLean — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
Westminster, Angleterre, 4 décembre 2020 (LifeSiteNews) — Le mode d’emploi émis par le gouvernement pour le nouveau vaccin contre le coronavirus indique qu’il ne doit pas être administré aux femmes étant enceintes ou allaitant et les enfants. En outre, il indique que l’on ignore l’effet que le vaccin covid-19 à ARNm aura sur la fertilité.
Les dix pages du Reg 174 Information for UK Healthcare Professionals décrivent le vaccin, la manière dont il doit être stocké, dilué et administré, ainsi que les études d’essai réalisées pour le tester. Pour être efficace, le vaccin est censé être administré deux fois. Dans une section intitulée « Fertilité, grossesse et lactation », le guide indique qu’il n’y a « pas ou peu de données » sur le vaccin. Par conséquent, il ne recommande pas son utilisation pour les femmes enceintes.
« Les études de toxicité sur le plan de la reproduction animale n’ont pas été achevées. Le vaccin covid-19 à ARNm BNT162b2 n’est pas recommandé durant la grossesse », indique le guide dans la section 4.6.
« Pour les femmes en âge de procréer, la grossesse doit être exclue avant la vaccination ».
Le guide conseille également aux femmes d’éviter de devenir enceintes pendant les deux premiers mois suivant leur vaccination contre le covid-19.
« En outre, il est conseillé aux femmes en âge de procréer d’éviter toute grossesse pendant au moins 2 mois après leur deuxième dose », indique-t-il
Comme on ignore encore si le vaccin peut être transmis ou non à un nourrisson allaité par sa mère, les instructions précisent qu’« un risque pour les nouveau-nés/nourrissons ne peut être exclu ». Par conséquent, le guide précise que le vaccin « ne doit pas être utilisé pendant l’allaitement ».
Mais, fait alarmant, le guide ne dit qu’une chose sur l’impact du vaccin sur la fertilité : ils ne savent si le vaccin en a ou non.
« On ne sait pas si le vaccin covid-19 à ARNm BNT162b2 a un impact sur la fertilité », affirme-t-il.
Lire la suiteUne découverte pour soigner l'infertilité?
Sur le site de Radio-Canada du 17 avril 2014 :
(Processus de fécondation)
(Photo : wikimédia sans copyright)
La protéine nécessaire à l'ovule pour reconnaître le sperme et permettre la fertilisation a été découverte par des chercheurs du Wellcome Trust Sanger Institute. Cette trouvaille pourrait ouvrir de nouvelles possibilités de traitement contre l'infertilité, (...)
Sur le site de genethique.org du 17 avril 2014, ces précisions:
Des chercheurs de Cambridge (Royaume- Uni) publient aujourd’hui dans la revue scientifique Nature une étude mettant en lumière le rôle de deux protéines dans le processus de fécondation, baptisées Izuma et Juno. (...)
Izumo est la protéine (découverte en 2005) située dans la membrane des spermatozoïdes pour leur permettre de fusionner avec la membrane de l’ovocyte. Son pendant féminin vient d’être identifié, il s’agit de la protéine Juno, située à la surface de l’ovocyte. Les chercheurs ont révélé que la fécondation commence par l’interaction de ces deux protéines
Une déficience de l'une des protéines pourrait être la cause d'iinfertilité. Les recherches ont débuté sur les couples infertiles.
Des causes de l'infertilité
Un article questionnant sur les causes de l'infertilité, paru sur le site de Le Parisien.fr du 4 avril 2012 ou via Le Salon Beige:
Arrêter de fumer, de boire mais aussi changer de boulot pourrait aider beaucoup de couples a priori stériles à avoir un enfant. Selon les premiers résultats d’une enquête nationale en cours de publication, notre qualité de vie et notre environnement ont une influence beaucoup plus grande qu’on ne le croit sur notre fertilité. Le docteur Silvia Alvarez, gynécologue à la clinique de la Muette à Paris, nous livre en avant-première des résultats clés de cette étude menée par le groupe de scientifiques spécialistes de la fertilité Procreanat sur 348 couples candidats à une procréation médicalement assistée (PMA).
Elle révèle que cette catégorie de la population consomme davantage d’alcool, de tabac (40% des femmes et 52% des hommes) et de cannabis (13,3% des hommes et 6,9% des femmes) que la moyenne. « On voit que ces facteurs toxiques se retrouvent parmi beaucoup de couples stériles et qu’ils sont probablement l’une des causes de cette stérilité », commente Silvia Alvarez. De nombreuses études ont par exemple montré que le tabac, à raison de 4 cigarettes par jour pendant deux ans, diminue la capacité des spermatozoïdes de se fixer à l’ovule. Par ailleurs, il abaisse de 40% les chances en PMA.
Près de 35% de grossesses spontanées
Les couples de l’étude de Procreanat, ressentent aussi plus de stress au travail (43% des femmes et 41% des hommes). Sans parler du stress familial et de celui dû à l’infertilité elle-même. « Un couple stressé par son travail, c’est un couple qui rentre plus tard le soir et qui n’a pas la tête aux retrouvailles amoureuses, souligne la praticienne. Les couples infertiles ont souvent des rapports sexuels moins nombreux ou des rapports difficiles ». Et lorsqu’on ne fait pas l’amour, difficile de faire un bébé…
« Si l’on diminue tous ces facteurs, on peut attendre une amélioration de la fertilité dans trois à six mois », promet Silvia Alvarez, qui a mené son étude personnelle au sein de son cabinet. Entre 2007 et 2009, la gynécologue a mis en place lors de sa consultation en PMA des « fiches couples » sur lesquelles ces derniers devaient répondre à un questionnaire très précis sur leur mode de vie. Parmi les 380 couples pris en charge et qui ont accepté de changer leurs habitudes, la gynécologue a enregistré pas moins de 35% de grossesses spontanées. « Cela veut dire que ces couples qui venaient pour une PMA ont finalement eu un bébé sans traitement, uniquement grâce à l’éviction des facteurs toxiques », décrypte la praticienne. Quant aux autres, ils ont vu leur taux de réussite de PMA augmenté de 10% par rapport à la moyenne.
« Il n’y a que 3 ou 4% de stérilité définitive, conclut Silvia Alvarez. Dans l’infertilité, beaucoup de choses sont réversibles, même si c’est parfois difficile. Et si l’on veut mettre toutes les chances de son côté, il faut commencer par analyser le mode de vie des patients et supprimer tous les facteurs toxiques. »
Plus que jamais, le Québec a besoin de Campagne Québec-Vie. Ce printemps, Campagne Québec-Vie a besoin de vous. Merci de donner à Campagne Québec-Vie.