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Un nourrisson ayant survécu à l’avortement laissé à mourir en criant pendant une heure

Extrait d’un article de LiveActionNews, par Cassy Fiano-Chesser — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere

L’industrie de l’avortement ne veut pas admettre que les bébés peuvent survivre à l’avortement. Elle appelle ça un mythe et prétend que ça n’arrive pas, mais c’est le cas. Et ce qui arrive aux bébés survivant à un avortement est effrayant. Trop souvent, on laisse les bébés mourir, sans réconfort ni compassion, mais seuls, dans le froid et la douleur. C’est exactement ce qui s'est passé en Pologne, où un bébé atteint du trisomie 21 a été victime d’un avortement raté, puis a été laissé à mourir, pleurant pendant près d’une heure alors que les médecins ne faisaient rien.

Les médecins et le personnel médical de l’Hôpital Sainte-Famille de Varsovie, en Pologne, ont laissé un enfant mourir après un avortement raté, d’après les médias locaux qui décrivent la scène horrible.

Le bébé est né le 7 mars 2016 à 24 semaines, après l’échec d’un avortement. L’enfant a pleuré et crié pendant une heure avant de mourir, selon des témoins, comme l’a rapporté Republika Television.

Le personnel médical n’essaya pas d’aider l’enfant de quelque façon que ce fût.

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Une aile de prison séparée pour les hommes « transgenres »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :

Enfin, en Grande-Bretagne, se seront-ils décidés à mettre des criminels prétendant être des femmes dans un lieu séparé de celui où sont incarcérées les criminelles, bien que ce soit toujours dans une prison féminine. Malgré l’irraison de l’acceptation de la théorie du genre de la part des autorités britanniques, celles-ci auront fini par céder devant l’évidence, même si elles ne l’avouent pas, un homme, ça reste un homme. Extrait de LifeSiteNews :

Le ministère de la Justice a annoncé qu’il inaugurait la toute première aile au Royaume-Uni, pour hommes criminels dits « transgenres » prétendant être des femmes, dans un établissement pénitentiaire.

Trois prisonniers de sexe masculin, qui portent des « Gender Recognition Certificates » (Certificats de reconnaissance du sexe), seront confinés dans une aile de la prison pour femmes HMP Downview, à Surrey, dans le sud de Londres. Le ministère de la Justice a mentionné la sécurité des prisonniers comme étant sa plus grande préoccupation.

L’annonce a été faite après que Karen White, un homme prétendant être une femme, ait agressé sexuellement deux détenues à la prison de New Hall de Wakefield [...]

Blanc est un homme mais « s’identifie » comme une femme. Classé par un juge comme « prédateur » et danger pour les enfants et les femmes, il purge une peine d’emprisonnement à perpétuité pour des délits sexuels. Un tribunal a par la suite déterminé que White avait utilisé son « personnage transgenre » pour entrer en contact avec des femmes vulnérables en prison.

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Une forte augmentation de « transitions » chez les jeunes Canadiens

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : kfulhert/Pixabay

Avec l’influence de l’internet, de l’endoctrinement LGBT+ dans les écoles, de la propagande de ces groupes et de l’atmosphère de « respect » des théories les plus farfelues régnant dans nos sociétés, pourquoi serait-il étonnent de voir une augmentation d’enfants ayant des doutes sur leur sexe ? Ils sont très influençables.

Quoi de plus ridicule que cette théorie fumeuse selon laquelle une personne pourrait se sentir, par exemple, fille coincée dans le corps d’un garçon et avoir raison ? La notion d’homme et de femme est bien physique et il est strictement impossible de changer de sexe, alors qu’il est inscrit jusque dans l’ADN. Aussi, au lieu de « soigner » ces enfants troublés en leur donnant des hormones (très mauvais de jouer dans l’équilibre hormonal) ou en les mutilant, il vaudrait mieux les conforter dans leur état physique naturel. Extrait de LifeSiteNews :

Alors que les taux de transgenres sont déjà en hausse aux États-Unis et au Royaume-Uni, Radio-Canada (SRC), le radiodiffuseur d’État du Canada, a récemment constaté une forte augmentation du nombre d’enfants demandant une « transition » du sexe au Canada. Selon la SRC, les cliniques pour enfants connaissent une « croissance exponentielle des demandes de traitement de la part d'adolescents qui ne s’identifient pas au sexe avec lequel ils sont nés. »

Malgré le fait que ce pic soit sans précédent, des médecins comme le Dr Stephen Feder ne semblent pas trop s’inquiéter de ses causes. Feder est codirecteur d’une « clinique sur la diversité des sexes  au CHEO, un hôpital pour enfants d’Ottawa, et il a fait remarquer que voilà dix ans de cela, l’hôpital n’aurait accueilli qu’un ou deux enfants par année qui « voulaient changer de sexe ou avaient des questions sur leur identité sexuelle. » En 2018, ce nombre est passé à 180.

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Un député irlandais exige un congé pour les femmes désirant avorter

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Une sorte de congé d'antimaternité quoi ! Si le gouvernement de la verte Eire décidait d’écouter cette proposition, les employeurs se retrouveraient obligés de payer ces femmes pour leurs congés malgré le fait qu’ils puissent être pro-vie. Extrait de Gènéthique :

Le député irlandais Thomas Pringle réclame le versement intégral du salaire pour les femmes qui s’absentent pour un avortement. La plupart d’entre elles sont mises en arrêt maladie pour leur IVG, celui-ci n’est pas toujours indemnisé, ce qui « pourrait s’avérer très dissuasif sur le fait de rester en congé, surtout pour les femmes aux plus bas salaires », explique le député.

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Rapport de 2018 sur l’euthanasie en Belgique, 247 % d’augmentation depuis 2010

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Et là-bas on euthanasie les personnes démentes, c’est ce que certains voudraient qu’il arrivât au Canada. Extrait du site de la Coalition pour la prévention de l’euthanasie :

Le rapport sur l’euthanasie en Belgique pour l’année 2018, publié le 28 février, indique qu’en 2018, 2357 suicides assistés ont été signalés, contre 2309 [en 2017]. Le rapport suggère que le nombre de décès est stable. En 2010, 954 suicides assistés ont été signalés, ce qui représente une augmentation de 247 % en 8 ans.

Le ralentissement de la croissance des décès par euthanasie est probablement dû au fait que les tribunaux ont accepté d’examiner certains des cas les plus controversés. Par exemple, le plus haut tribunal des droits de l’homme d’Europe a accepté en janvier d’entendre le cas d’une Belge déprimée, décédée par euthanasie ; en novembre dernier.

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Les pro-vie du Colorado se mobilisent pour mettre fin au programme pervers d’éducation sexuelle de Planned Parenthood


Marche pour la Vie à Denver, au Colorado en 2015.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : March for Life Colorado 2015/Flickr

Planned Parenthood n’est pas uniquement impliqué que dans l’exécution d’avortements, la distribution de contraceptifs, le trafic d’organes d’enfants à naître avortés, dans la non-signalisation d’abus sexuels perpétrés sur des mineures, ou les processus de « transitions », lui et ses comparses se mêlent aussi d’« éducation sexuelle. » Sauf que… Planned Parenthood (et comparses) a ses idées bien à lui en la matière et a déjà enseigné des formes violentes de « plaisir » en la matière, ainsi que l’étalage LGBT+. Extrait de LifeSiteNews

Mercredi 27 février, des centaines de pro-vie du Colorado se sont rassemblés dans le capitole de l’État pour s’opposer à un plan, visant à instituer une soi-disant « éducation sexuelle globale », ce qui se traduit en la permission pour des groupes comme Planned Parenthood et Advocates for Youth d’écrire le programme d’éducation sexuelle pour l’ensemble de l’État. Le projet de loi HB 1032 permettrait essentiellement à des groupes comme Planned Parenthood de rédiger le programme d’éducation sexuelle dans l’État. Le libellé de la loi est également trop vague, ce qui devrait inquiéter les parents du Colorado :

Le projet de loi clarifie les exigences de contenu pour les écoles publiques qui offrent une éducation sexuelle humaine complète et interdit l’enseignement explicite ou implicite ou l’adhésion à une idéologie religieuse ou des doctrines ou principes sectaires, l’utilisation d’un langage ou d’outils pédagogiques fondés sur la honte ou la stigmatisation, l’utilisation de normes ou de stéréotypes sexuels, ou l’exclusion des relations ou des expériences sexuelles des personnes lesbiennes, gaies, bisexuelles ou transgenres.

Selon Christina Coffman, coordonnatrice régionale des Rocheuses du groupe Students for Life, « le rassemblement de prière a attiré environ 300 personnes, tant des membres de la communauté que des étudiants. Nous avons également organisé des réunions avec de nombreux bureaux de législateurs de l’État, dont le sénateur Rhonda Fields, Brittany Pettersen, Faith Winter, Jim Smallwood et Larry Crowder. »

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Y a-t-il une réelle baisse d’avortements au Québec ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

On nous annonce dans un article du Journal de Montréal, paru le 3 mars, que l’avortement aurait atteint son niveau le plus bas au Québec depuis 20 ans, et ce, à cause entre autres de la baisse de femmes en âge de procréer, mais aussi, selon certains, grâce à la contraception, point sur lequel je doute. Je m’explique, sans doute une baisse d’avortements chirurgicaux pourrait être observée, bien que tous ne soient pas enregistrés, car les seuls qui soient tenus en compte dans le rapport de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) sont les « Avortements de moins de 24 semaines. Les IVG pratiquées par les médecins payés à salaire » n'étant « pas comptabilisées, » d'après le Journal de Montréal.

Bien que non interdits au Canada, les avortements de plus de 24 semaines sont redirigés vers les États-Unis, d’après le FQPN. En outre, et l’article du Journal de Montréal n’en tient pas compte, la contraception a toujours un côté abortif au cas où la fécondation ne serait pas empêchée, ce qui nous amène à considérer le fait que s’il y a plus de contraceptions, il n’y a probablement pas moins d’avortements… peut-être même qu’il y en a davantage. Le Journal de Montréal explique donc :

En 2017, 21 203 femmes ont eu recours à une interruption volontaire de grossesse (IVG), selon les données compilées par la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) pour Le Journal.

Il s’agit d’une baisse marquée de 21 % par rapport à 2003, alors que 26 997 interventions avaient été faites (voir ci-dessous). Selon la RAMQ, jamais aussi peu d’avortements n’ont été enregistrés depuis 1996.

[…]

Bien que le nombre de femmes en âge de procréer (15 à 44 ans) ait diminué au Québec depuis 20 ans, cette donnée n’explique qu’une partie de la baisse. Selon l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), le taux d’avortement (sur 1000 femmes) aurait baissé de pas moins de 25 % depuis 2003.

Il faut remarquer que si le nombre de femmes en âge de procréer est plus bas, c’est à cause d’une baisse de la natalité qui a accompagné la contraception et l’avortement, résultant en un vieillissement de la population. La cause la plus probable d'une baisse réelle d'avortements (avortements chirurgicaux et par contraceptions abortives) devrait plutôt être le vieillissement de la population.

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Le nouveau livre du cardinal Sarah, sur la crise actuelle du monde

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : François-Régis Salefran/Wikimedia Commons

Le cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, a écrit le 15 février 2019 sur son compte Facebook : « Je suis heureux d’annoncer la sortie en France — le 20 mars prochain — de mon nouveau livre réalisé avec Nicolas Diat »

Le livre en question, qui s’intitule Le soir approche et déjà le jour baisse, traite de la crise morale, spirituelle et politique de notre monde. En voici un extrait. Extrait de la FSSPX.News :

« À la racine de l’effondrement de l’Occident, il y a une crise culturelle et identitaire. L’Occident ne sait plus qui il est, parce qu’il ne sait plus et ne veut pas savoir qui l’a façonné, qui l’a constitué, tel qu’il a été et tel qu’il est. De nombreux pays ignorent aujourd’hui leur histoire. Cette autoasphyxie conduit naturellement à une décadence qui ouvre la voie à de nouvelles civilisations barbares. »

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Une militante pro-vie argentine brutalement battue par trois agresseuses pro-avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Les partisans de l’avortement accusent de temps en temps les pro-vie d’être violents, d’intimider les femmes voulant avorter, les avorteurs. Violent ! Nous ne le sommes en rien. Si des personnes peuvent se sentir intimidées par un paisible pro-vie se tenant sur le bord du trottoir avec une pancarte et une croix, il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Par contre, des partisans de l’avortement se livrent à des gestes et à des violences que vous ignorez peut-être. Extrait de LiveActionNews :

Un membre de New Wave Feminists en Argentine a été attaqué par un groupe de femmes, a annoncé jeudi l’organisation pro-vie sur Facebook. Le récit était accompagné d’une photo représentant la femme, nommée Micaela, le visage ensanglanté.

Selon New Wave Feminists, Micaela portait son bandana bleu clair, symbole pro-vie à Buenos Aires, lorsqu’elle a été approchée par trois femmes qui l’ont jetée à terre en lui criant des injures et en proclamant l’avortement sur demande. « Ils l’ont frappée à coups de pied plusieurs fois à la tête, lui fendant la lèvre et le sourcil, avant qu’un bon samaritain ne vienne à son secours et ne la mette en sécurité, » peut-on lire dans la publication Facebook...


Micaela, victime d'une agression perpétrée
par trois partisanes de l'avortement.

 

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Le « cours » d’ÉCR ne sera ni abrogé ni revu

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Clio/Wikimedia Commons

La motion proposée par le PQ (non pas uniquement que pour de bonnes raisons) a été rejetée par une grosse majorité à l'Assemblée nationale du Québec. Le « cours » d’ÉCR (Éthique et culture religieuse) continuera donc à polluer l’esprit des jeunes devant subir son contenu, qui n’est autre qu’un ramassis de balivernes, et ce malgré la volonté des parents qui pourraient s’y objecter. Extrais du site Le Peuple :

Le Parti québécois (PQ) a déposé, mercredi, une motion à l’Assemblée nationale afin que celle-ci « demande au gouvernement d’abolir le cours d’éthique et culture religieuse ».

La motion, à laquelle les libéraux et les caquistes ont cherché en vain à apporter un amendement, a été battue le lendemain au terme d’un vote écrasant de 101 voix « contre ».

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