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Deux Montréalais veulent mourir par euthanasie même s’ils ne sont pas en fin de vie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Deux Montréalais fortement handicapés veulent voir le jour de leur mort plus rapidement arriver par le biais de « l’aide médicale à mourir, » c’est-à-dire l’euthanasie, seulement, comme ils ne sont pas en fin de vie, ils n’ont pas accès à l’euthanasie. C’est pourquoi ils contestent les lois devant les tribunaux. D’après le Journal de Montréal :

« Je ne suis pas suicidaire, je n’ai pas de maladie psychiatrique, je veux continuer à contrôler ma destinée », a affirmé avec détermination Nicole Gladu, en sortant de la salle d’audience au palais de justice de Montréal, lundi.

Contrôler sa destinée… Cela ne devrait pas primer sur la protection de la vie. Comme si on contrôlait la plupart des facteurs qui influent sur notre « destinée, » c’est Dieu qui dirige notre « destinée, » bien qu’il nous laisse faire des choix, heureux… ou malheureux. En tout cas, vouloir mettre fin à ses jours est une attitude suicidaire.

Mais à 73 ans, et avec des problèmes de santé qui lui causent de la souffrance physique, elle a décidé qu’elle voulait mourir dans la dignité, avec un verre de champagne et un canapé de foie gras, et surtout avec l’aide d’un médecin.

C’est dire si l’évocation d’une coupe de champagne ou d’un canapé de foie gras fait surgir en moi des images de dignité… Ce n’est pas dans les objets extérieurs que l’on trouve la dignité ni dans le confort, mais dans notre conduite et en Dieu.

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Quand les gros médias relaient des fausses nouvelles sur l’Église catholique

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : PxHere — Erratum : Le livre Sodoma ne dit pas que 80 % des ecclésiastiques catholiques en général sont homosexuels, mais bien 80 % des ecclésiastiques du Vatican, bien qu'il insinue que le clergé entier soit touché.

Tout dernièrement, le journal parisien Le Point annonçait la parution d’un livre au titre sulfureux, Sodoma, avec force extraits, et propos d’un entretien avec son auteur, notamment gai, Frédéric Martel (en tête sans doute).

Le livre en question oserait dire que 80 % des ecclésiastiques du Vatican seraient gais, mais homophobes de façade, donc hypocrites. Mais, malgré quelques aspects de vérité (le mensonge a toujours quelques aspects de vérité), le livre manque tellement de références, de preuves ou de documents qu’on ne peut rien en conclure, outre qu’il calomnie gravement le cardinal Burke, homme très respectable, avec des insinuations des plus douteuses.

Tout cela n’empêche pas, dans le Journal de Montréal, Denise Bombardier de bombarder la « misogyne » Église catholique avec les récentes munitions que lui fournit le sieur Martel. Car l’Église catholique est misogyne d’après Mme Bombardier « L’Église catholique, cette organisation encore et toujours misogyne, incapable à ce jour de se réformer, survivra-t-elle à cette bombe nucléaire [le bouquin] ? » En quoi l’Église est-Elle misogyne ? Elle voue un culte important à la Sainte Vierge (ce n’est pas de l’adoration n’en déplaise aux protestants) ; Elle a combattu les mariages forcés ; Elle a élevé le statut de la mère et de la femme en général. Certes, les femmes ne peuvent devenir prêtres ou Papes car c’est ainsi que le Christ en a décidé, mais les hommes ne peuvent par contre devenir mères, chacun son rôle et les brebis seront bien gardées.

Toujours est-il que Mme Bombardier, tout en parlant d’immoralité, de dissimulation et de misogynie dans l’Église, oublie de comparer avec d'autres scandales qui parsèment le monde…

Enfin, l’Église résistera à cette nouvelle attaque comme Elle a survécu aux précédentes qui n’étaient pas minces par ailleurs, et Elle survivra à toutes celles qui suivront, car « les portes de l’enfer ne prévaudront contre elle. » (Mt 16 : 18)

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École à la maison et suppression du marxisme dans l’enseignement supérieur au Brésil

Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : mohammed hassan/PxHere

Le président brésilien, Jair Bolsonaro, écrivait le 31 décembre dernier qu’il avait un plan « agressif » pour éradiquer le marxisme (plaie du Brésil) de l’enseignement supérieur, plan auquel il compte s’appliquer avec le concours du ministre de l’Éducation, Ricardo Vélez Rodriguez. Extrait de Breitbart :

Le président brésilien Jair Messias Bolsonaro a appelé à combattre les « inepties marxistes » dans les universités, affirmant que l’enseignement supérieur devrait « former des citoyens et non des militants politiques ».

Le président brésilien récemment élu, Jair Bolsonaro, a un plan ambitieux pour réformer l’enseignement supérieur dans tout son pays. Selon Bolsonaro, ce plan pourrait inclure la suppression de la doctrine marxiste dans les établissements d’enseignement supérieur de tout le Brésil.

De son côté, le ministre de la Femme, de la Famille et des Droits de l’Homme, Damares Alves, écrivait le 18 février sur son compte Twitter :

Je dois remercier le ministère de l’Éducation pour sa collaboration dans le dossier de l’enseignement à la maison, dirigé par le ministre Ricardo Vélez [Rodriguez]. Nous travaillons ensemble pour élaborer un projet complet qui apportera une sécurité juridique à cette importante politique publique.

Mme Damares Alves aurait pour projet de régulariser l’école à la maison dans le pays, d’après R7. « J'ai accordé une interview à TV Record pour parler de l'enseignement à domicile, une demande de milliers de familles brésiliennes, » toujours selon le compte Twitter de Mme Damares Alves.

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Le Kentucky pourrait interdire l’avortement si le jugement Roe c. Wade était annulé

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Pexels/Pixabay

Il me tarde de voir l’arrêt Roe c. Wade annulé. Extrait de LifeNews :

La Chambre des représentants du Kentucky a adopté un projet de loi visant à garantir la protection des enfants à naître dans leur État si la Cour suprême des États-Unis révoquait la décision Roe c. Wade.

Ce jugement de 1973 a paralysé la capacité des États en matière de protection des enfants à naître, mais beaucoup ont renouvelé l’espoir que cette décision tristement célèbre sur l’avortement sera un jour infirmée. Si cela se produisait, les avortements ne deviendraient pas immédiatement illégaux. Les États auraient à prendre des mesures pour protéger à nouveau les enfants à naître.

En prévision de ce jour, la Chambre des représentants du Kentucky a récemment adopté le projet de loi 148 par 69 voix contre 20, rapporte The Sentinel Echo.

Le projet de loi, qui passe maintenant au Sénat de l’État, ferait de l’avortement un crime dans tous les cas, sauf lorsque la vie de la mère est en danger.

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Refuser de collaborer à des avortements peut maintenant vous interdire certains postes dans les hôpitaux irlandais

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Ces postes sont créés grâce à une subvention gouvernementale, spécifiquement versée pour la réalisation d’avortement, bien que, d’après une source hospitalière, les détenteurs de ces postes n’auraient que peu d’avortements auxquels collaborer ou réaliser et devraient surtout s’occuper de tâches médicales ordinaires. En bref, des places réservées aux pro-avortement. Extrait de Gènéthique :

La National Maternity Hospital (NMH) de Holles Street, à Dublin, vient de lancer le recrutement de deux médecins, un anesthésiste et un gynécologue-obstétricien. L’hôpital a annoncé que ces postes ne seraient attribués qu’à des médecins acceptant de réaliser des avortements, puisque les missions, « depuis 2019, incluent les IVG volontaires et que les titulaires de postes devront contribuer à ce nouveau service dans le cadre de ce service faisant partie de leur feuille de route ».

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Le ministre de la Sécurité sociale de Suède insinue que la politique familiale hongroise rappelle le nazisme


Annika Strandäll, ministre de la Sécurité sociale de Suède.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : EU2017EE Estonian President/Flickr

Et pourtant, la Hongrie possède une excellente politique familiale… c’est à n’y rien comprendre. Le ministre d'État pour la Famille et la Jeunesse de Hongrie, Katalin Novák, lui a répondu en mettant les points sur les i. Extrait d’About Hungary :

Votre Excellence, ministre Strandhäll,

J’ai été choquée d’apprendre que sur Twitter, vous avez affirmé que le plan d’action pour la protection de la famille, annoncé dimanche dernier par le Premier ministre Viktor Orbán, rappelle les années trente de l’Allemagne et que notre gouvernement exploite les Hongroises.

En tant que ministre d’État pour la Famille et la Jeunesse, je rejette fermement vos accusations. Il est également inusuel et hostile qu’un membre d’un gouvernement européen condamne un autre gouvernement européen pour ses politiques internes de cette manière et dans ce style sans au moins s’informer et utiliser les voies diplomatiques traditionnelles auparavant.

[…]

En Hongrie, nous croyons que les familles fortes sont la base de notre communauté. Nous avons mené une gouvernance favorable à la famille et obtenu les deux tiers de la majorité parlementaire trois fois de suite lors d’élections générales démocratiques. Les citoyens hongrois ont maintes fois exprimé leur volonté et nous ont autorisés à mettre un terme à la migration illégale à nos frontières, à ne pas laisser entrer en masse des migrants économiques, mais à donner aux femmes et aux hommes hongrois les moyens d’avoir autant d’enfants qu’ils le souhaitent et de les avoir dès qu’ils le souhaitent. C’est pourquoi nous avons introduit une série de mesures en faveur de la famille qui sont fortement soutenues par les Hongrois. Notre intention est de donner la liberté de choix aux femmes et aux hommes hongrois.

Il est inacceptable que vous compariez la Hongrie à l’Allemagne nazie. Je rejette fermement cette [comparaison] au nom de notre pays.

Votre Premier ministre Stefan Löfven a déclaré lors d’une conférence que la question la plus importante des élections européennes de mai sera la lutte contre l’extrémisme de droite et le nationalisme. Il a également mentionné que les sociaux-démocrates européens sont capables d’arrêter ces extrémistes. J’ajouterai que la Hongrie a été citée à tort comme étant un pays extrémiste.*


*Il est à noter que le mot « extrémiste » est couramment utilisé de façon péjorative, dans le sens de « prêt à tout, » « violent, » « fanatique, » ce qui est assurément une façon de descendre quelqu’un ou tout un pays dans l’opinion générale. Cependant, si on utilise normalement ce mot (disgracieux), il désigne plutôt quelqu’un qui est prêt à aller jusqu’au bout d’une idée, d’une pensée, d’un raisonnement, quelqu’un cohérent avec lui-même et par conséquent logique, ce qui est bon en soi.

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Insanité transgenre : La police arrête maintenant les gens riant à la vue d’hommes habillés en femmes

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : HoustondwiPhotos mp/Flickr

L’idéologie du genre s’impose de plus en plus comme vérité primordiale et comme droit intrinsèque. En Grande-Bretagne on peut se faire appeler par la police pour avoir critiqué la théorie du genre, on peut se faire emprisonner pour s’être adressé à un « transgenre, » aux prétentions féminines, comme à un homme qu’il est, enfin on peut se faire arrêter pour avoir ri d’un homme habillé en femme… Quelle est la prochaine étape ? Extrait d’un article de LifeSiteNews, par Jonathon Van Maren :

Une anecdote circulait pendant la guerre froide au sujet d’un juge soviétique qui avait été vu retournant à son bureau en train de rire de bon cœur. Son collègue s’est approché de lui et lui a demandé ce qui était si drôle. « Oh, juste une blague hilarante que j’ai entendue, » dit le juge. « Eh bien, allez-y, dites-la-moi ! » répondit son collègue. « Oh, je ne pourrais pas faire ça », rétorqua le juge soviétique. « Je viens de donner dix ans à quelqu’un pour ça. »

Je me suis souvenu de cette petite anecdote lorsque j’ai vu dans le Edinburgh News la semaine dernière un article intitulé « Edinburgh labourer shouted abuse at transgender woman » (Des travailleurs manuels d’Édimbourg agressent verbalement une femme transgenre). Il s’avère qu’un certain Graham Spiers, père de deux enfants et ouvrier dans la construction employé sur le chantier de St. James, passait devant un pub de Bonnington dans Édimbourg, avec quelques copains, quand ils ont croisé une femme transgenre, c’est-à-dire un homme biologique. Bien que le journaliste qui écrit l’histoire se donne beaucoup de mal pour donner l’impression que Spiers « criait » sur la victime apparente, Spiers et ses amis étaient spécifiquement accusés de montrer du doigt cette personne et d’en rire ».

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Une défaite de la culture de mort au Mexique

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : DavidRockDesign/Pixabay

Une belle victoire remportée contre les propagateurs de l’anarchie mortifère. Extrait de FSSPX.News :

Au Mexique, les défenseurs de la vie ont remporté une victoire face aux efforts répétés du gouvernement visant à modifier la Constitution en vue de légaliser l’avortement, les unions entre personnes de même sexe, l’euthanasie et la vente de la drogue.

Ce projet de légalisation tous azimuts de la culture de mort avait été déposé au début du mois de février 2019 par Porfirio Muñoz Ledo…

Porfirio Muñoz Ledo est président de la Chambre des députés du Mexique et membre du parti majoritaire Morena. Une vive campagne lancée par Rodrigo Iván Cortés, chef de file du Front national de la famille, a pris une telle ampleur que Porfirio Muñoz Ledo a retiré son projet omnibus.

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Un évêque australien exhorte les fidèles à lutter contre un projet de loi « radical » sur l’avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

De l’autre côté de la planète, l’avortement se répand aussi. En Australie-Méridionale, un projet de loi visant à légaliser l’avortement même jusqu’au 9e mois de la grossesse sera soumis au vote cette année. Extrait de CNA :

Un évêque australien s’élève contre un projet de loi visant à supprimer la réglementation sur l’avortement en Australie-Méridionale, affirmant qu’il s’agirait de la loi la plus radicale du pays sur l’avortement.

« Les enfants à naître méritent l’amour et la protection, pas la destruction », déclara Mgr Gregory O’Kelly SJ, administrateur apostolique du diocèse de Port Pirie.

Il avertit que la législation envisagée « réduit considérablement les protections de l’enfant à naître » et autoriserait les avortements « même à travers les neuf mois de la grossesse ».

Dans une lettre du 14 février aux gens de son diocèse, M. O’Kelly dit que les fidèles « devraient tous être extrêmement préoccupés par le projet de loi sur le Abortion Law Reform Bill (réforme de l’avortement) ».

La proposition [faites au Parlement d’Australie-Méridionale en sa capitale] Adélaïde placerait l’avortement sous la réglementation des lois sanitaires de l’État, plutôt que sous le Code pénal de l’État. Cela supprimerait les règles actuelles qui exigent qu’une femme soit résidente en Australie-Méridionale pendant au moins deux mois avant de pouvoir se faire avorter.

Le projet de loi interdirait également aux manifestants d’entrer dans un rayon de 150 mètres autour d’une clinique d’avortement.

La députée verte Tammy Franks a présenté le projet de loi au Parlement et il sera débattu au cours des prochaines semaines, avec un vote plus tard cette année.

Une loi similaire a récemment été adoptée dans le Queensland.

« Ce projet de loi traite l’avortement simplement comme une procédure médicale sans signification morale », dit Mgr O’Kelly dans sa lettre. « Il n’est pas nécessaire d’obtenir un avis médical et il n’est pas nécessaire de donner une raison pour un avortement. Ce sera la loi sur l’avortement la plus radicale du pays. »

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Planned Parenthood et l’avortement : du sang sur les mains

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Fibonacci Blue/Flickr

J’ai lu aujourd’hui même un article des plus éclairants sur l’industrie de l’avortement, dont Planned Parenthood est l’un des plus gros acteurs, tout y passe : les fondements évolutionniste, eugéniste, malthusianiste, raciste, les profits colossaux des fournisseurs d’avortements, les dizaines de millions d’enfants à naître avorté chaque année, en passant par la stérilisation forcée de centaines de milliers de personnes.

Cet article, au titre évocateur L’argent du sang intra-utérin, écrit par Sébastien Renault sur le site Entre la plume et l’enclume, nous montre que plusieurs de ceux qui prône l’avortement en viennent à soutenir également l’infanticide (bien qu’après tout, tuer un enfant avant qu’il soit né ou après ne change strictement rien, dans les deux cas c’est de l’infanticide) ; il nous dévoile également les raisonnements tordus et illogiques sur lesquels les défenseurs de l’avortement se basent pour le défendre, les défenseurs parmi les plus ardents se trouvant dans le groupe de ceux qui en tire le plus d’argent ; il nous explique enfin les bases philosophiques de l’avortement et ce qui cloche dedans.

Bref, un excellent article. Extrait d'Entre la plume et l'enclume :

À côté de la génération de profits colossaux, le « droit des femmes » à l’infanticide prénatal doit nécessairement s’inscrire et toujours davantage se consolider sur le terrain législatif [4]. La composante fondamentalement meurtrière de l’avortement est en réalité si évidente que ses promoteurs officiels ne prennent même plus soin aujourd’hui de dulcifier leurs discours. Prenons l’exemple de l’adoption récente par le Sénat de l’État new-yorkais d’une nouvelle loi abrogeant la protection des nourrissons nés vivants à la suite d’avortements ratés (le Reproductive Health Act). On pourra ici consulter la version préparatoire de la législation en question, dénotée S. 240 A. 21 et datée du 9 janvier 2019. Elle donne tout son relief au pouvoir tant idéologique que législatif des génocidaires intra-utérins aujourd’hui aux commandes des deux chambres américaines. Le décret législatif, signé de la main du gouverneur Andrew Cuomo, légalise l’extermination de l’enfant à naître comme « droit fondamental », y compris jusqu’à sa naissance — si la « santé » de la mère en dépendait, sans spécifier plus avant ce que le terme de « santé » est ici réellement censé inclure dans sa définition appliquée. En l’absence d’une définition claire, toute raison de santé (physique, mentale et/ou émotionnelle) pourra ainsi être arbitrairement présumée et comprise dans le cadre de la nouvelle loi, moyennant l’aval de la Cour Suprême américaine. La loi S. 240 A. 21 octroie par ailleurs à tout praticien hospitalier agréé le pouvoir d’agir « de bonne foi » pour le bien de telle ou telle patiente — signifiant qu’un enfant à naître peut quant à lui être assassiné en toute légalité, sans autre forme de procès, par n’importe quel membre du corps médical préposé à une femme enceinte qui aura décidé d’interrompre sa grossesse, y compris le jour même de la naissance ou pendant l’acte de donner naissance. Auquel cas l’enfant sera respectueusement placé dans l’isolement et tout simplement abandonné à mourir affamé ou déshydraté, ou encore à voir ses quelques moments d’existence ex utero « tendrement » abrégés par injection létale. De leur côté, les essaims féministes ont, de concert, applaudi la promulgation de la loi S. 240 A. 21.

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