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Insanité transgenre : La police arrête maintenant les gens riant à la vue d’hommes habillés en femmes

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : www.houstondwiattorney.net/HoustondwiPhotos mp/Flickr

L’idéologie du genre s’impose de plus en plus comme vérité primordiale et comme droit intrinsèque. En Grande-Bretagne on peut se faire appeler par la police pour avoir critiqué la théorie du genre, on peut se faire emprisonner pour s’être adressé à un « transgenre, » aux prétentions féminines, comme à un homme qu’il est, enfin on peut se faire arrêter pour avoir ri d’un homme habillé en femme… Quelle est la prochaine étape ? Extrait d’un article de LifeSiteNews, par Jonathon Van Maren :

Une anecdote circulait pendant la guerre froide au sujet d’un juge soviétique qui avait été vu retournant à son bureau en train de rire de bon cœur. Son collègue s’est approché de lui et lui a demandé ce qui était si drôle. « Oh, juste une blague hilarante que j’ai entendue, » dit le juge. « Eh bien, allez-y, dites-la-moi ! » répondit son collègue. « Oh, je ne pourrais pas faire ça », rétorqua le juge soviétique. « Je viens de donner dix ans à quelqu’un pour ça. »

Je me suis souvenu de cette petite anecdote lorsque j’ai vu dans le Edinburgh News la semaine dernière un article intitulé « Edinburgh labourer shouted abuse at transgender woman » (Des travailleurs manuels d’Édimbourg agressent verbalement une femme transgenre). Il s’avère qu’un certain Graham Spiers, père de deux enfants et ouvrier dans la construction employé sur le chantier de St. James, passait devant un pub de Bonnington dans Édimbourg, avec quelques copains, quand ils ont croisé une femme transgenre, c’est-à-dire un homme biologique. Bien que le journaliste qui écrit l’histoire se donne beaucoup de mal pour donner l’impression que Spiers « criait » sur la victime apparente, Spiers et ses amis étaient spécifiquement accusés de montrer du doigt cette personne et d’en rire ».

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L’homme dont on se moquait a soupçonné qu’on se moquait de lui pour son apparence, alors que Rosie Cook, adjointe fiscale, a déclaré au tribunal du shérif d’Édimbourg que la « plaignante pensait que le “rire et le pointer du doigt” étaient en rapport avec sa transition sexuelle ». La personne transgenre [...] a rapidement appelé la police, qui prend ces choses-là très au sérieux ces jours-ci. Le Édinburgh News, cherchant à donner l’impression que les rires [aidés par la bière] de quelques ouvriers de la construction étaient vraiment importants, a qualifié l’incident d’« agression verbale non provoquée contre elle ».

Le shérif informa Spiers que son sens de l’humour n’avait « pas sa place dans la société d’aujourd’hui », et que ses rires et ses manières étaient si inacceptables qu’il devait payer à celui dont il avait ri cinq cents livres « en compensation » pour avoir suggéré par son rire que l’homme ne ressemblait pas une femme. Le Edinburgh News a qualifié l’incident d’« affrontement » bien que les divers personnages se soient simplement croisés et que Spiers ait été arrêté cinq jours plus tard pour son hilarité déplacée. L’avocat du plaignant transgenre a déclaré solennellement que Spiers comprenait maintenant que ses actions avaient été « dérangeantes pour le plaignant ».

Le shérif Robert Fife à renchéri, informant Spiers que ses « commentaires offensants n’étaient pas drôles à ce moment-là et ne le sont pas plus maintenant. » Ses « enfants devraient grandir en comprenant les différences entre les sexes et avoir honte de ce comportement qui vient d’une autre époque [qui] n’a pas sa place dans la société actuelle. » Fife a ensuite dit à Spiers qu’en plus de l’argent qu’il devait payer à l’homme biologique pour s’être moqué de lui, il devait également payer une amende supplémentaire de cinq cents livres.



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