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Une manifestation le 20 février pour demander au premier ministre d'Ontario d'abroger le programme d'éducation sexuelle


Doug Ford.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Bruce Reeve/Flickr

Quand le gouvernement Ford retirera-t-il le programme d'éducation sexuelle instauré par le gouvernement libéral de Kathleen Wynne ? c'est ce que se demandent avec inquiétude les parents d'Ontario. Extrait de LifeSiteNews :

Une coalition populaire ontarienne de défense des droits parentaux appelle ses partisans à se rassembler au Queen's Park le 20 février pour exiger que le premier ministre Doug Ford tienne sa promesse d'abroger le programme d'éducation sexuelle.

Canadian Family Alliance (CFA) [Alliance de la famille canadienne], un groupe de coordination représentant 200 000 Ontariens, organise ce rassemblement de deux heures en milieu de semaine, à l'heure du dîner, alors que les plans d'abrogation de M. Ford pour l'éducation sexuelle font toujours l'objet d'attaques continues.

L'été dernier, Ford avait promis, lors de la campagne électorale, qu'un gouvernement progressiste-conservateur abrogerait le programme d'éducation sexuelle radical que le gouvernement libéral de Kathleen Wynne a mis en place en 2015, malgré une opposition sans précédent des parents.

La CFA a été fondée pour combattre cette éducation sexuelle qui détruit l'innocence des enfants [...]

Mais au cours des huit mois qui se sont écoulés depuis la victoire écrasante de Ford en juin, « pratiquement rien n'a été abrogé », affirme Tanya Granic Allen, présidente de Parents As First Educators (PAFE) [Parents premiers éducateurs], un groupe membre de la CFA.

Les parents doivent exiger à M. Ford et son gouvernement « faîtes ce que vous avez promis ». Vous avez dit que vous alliez l'abroger. Abrogez-le », a-t-elle déclaré à LifeSiteNews.

De plus, les parents ne savent peut-être pas que le programme d'abrogation de M. Ford « est attaqué par les forces pour la sexualisation des enfants, aussi bien dans son parti qu'en dehors », a déclaré Jack Fonseca, directeur des opérations politiques de Campaign Life Coalition, un autre groupe membre de la FCA.

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Le Premier Ministre Viktor Orbán réforme les manuels scolaires d'histoire

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Parliament of Hungary/Wikimedia Commons

Ou du moins c'est ce que fait son gouvernement. Mais tout est là, qui tient l'école, tient l'avenir de son pays (c'est pourquoi le gouvernement du Québec ne lâchera pas l'école) et s'ils peuvent mettre un peu de vérité dans l'enseignement public, ce sera une excellente chose, tant qu'à avoir un système scolaire public.

Toujours est-il que d'après la gauche offusquée (qui pourrait être drôle si elle n'avançait des idées dangereuses), ces manuels d'histoire produits par le gouvernement Orbán seraient mauvais... pour une raison quelconque. Car, semblerait-il, Viktor Orbán chercherait à transformer le système éducatif et le pays en quelques choses chrétiennes et nationalistes, ce qui représente un crime gravissime à leurs yeux. Remarquez que la Hongrie est déjà chrétienne en bonne partie, et Viktor Orbán ne fera, en termes de réforme, que rendre son pays plus chrétien.

Autre chose reprochée au gouvernement Orbán, il a chassé une université américaine (financée par ailleurs par George Soros, grand agitateur milliardaire) qui donnait entre autres des cours d'« études du genre ». Extrait de CNN :

Feuilletez un livre d'histoire hongrois destiné aux élèves du secondaire, et vous n'aurez aucun doute quant à l'opinion du gouvernement sur les migrants.

La section "Multiculturalisme" s'ouvre sur une photo de réfugiés campés sous une gare de Budapest. Accompagnant l'image, s'étant un discours de l'homme fort, le Premier ministre Viktor Orbán, sur les dangers de la migration : "Nous considérons comme une valeur le fait que la Hongrie soit un pays homogène, dit-il.

Ces manuels scolaires approuvés par l'État s'inscrivent dans le cadre d'un remaniement gouvernemental du système éducatif hongrois, ce qui provoque un profond malaise chez certains enseignants et éditeurs.

Les critiques disent que les manuels scolaires ne sont que l'un des fronts de la croisade gouvernementale pour reformer le système éducatif — et le pays — à son image chrétienne et nationaliste. M. Orbán a également mis au rebut des programmes universitaires qui ne correspondaient pas à ses valeurs conservatrices, forçant ainsi l'une des principales [vraiment ?] universités hongroises [américaine] à transférer ses cours à l'étranger.

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La Chambre des représentants du Nouveau-Mexique vote un projet de loi sur l’avortement tardif

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Encore un État des États-Unis qui adopte un projet de loi pour l'avortement tardif. Dans le cas du Nouveau-Mexique, c’est un projet de loi qui ferait en sorte que l’avortement tardif resterait légal, même si le jugement Roe c. Wade était annulé. Il ne manque plus que l'approbation du Sénat. Extrait de LifeNews :

La Chambre des représentans du Nouveau-Mexique a approuvé mercredi un projet de loi radical en faveur de l’avortement qui garderait l’avortement légal durant tous les neuf mois de la grossesse, même si l’arrêt Roe c. Wade était annulé.

Le Santa Fe New Mexican rapporte que le projet de loi 51 de la Chambre des représentants a été adopté par un vote de 40 contre 29, après plus de trois heures de débat. Six démocrates se sont joints aux républicains pour s’opposer à cette loi.

Parrainé par le député républicain Joanne Ferrary, le projet de loi abrogerait une loi des années 1960 qui interdit l’avortement sauf en cas de viol, d’inceste ou de menaces pour la vie de la mère. La loi n’est pas en vigueur en raison de l’arrêt Roe c. Wade, mais si la Cour suprême annulait le jugement, elle entrerait à nouveau en vigueur.

Le projet de loi de Ferrary y apporterait ce changement; au lieu d’être l’un des neuf États qui criminaliseraient le meurtre d’un enfant à naître par un avorteur, le Nouveau-Mexique autoriserait l’avortement sans restriction. Essentiellement, les bébés à naître pourraient être avortés pour n’importe quelle raison jusqu’à la naissance.

[...]

Le projet de loi abrogerait également la protection de la conscience des professionnels de la santé qui croient qu’il est répréhensible d’avorter des bébés à naître.

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Un centre de grossesse de Virginie vandalisé après que l’Assemblée de l’État ait rejeté un projet de loi infanticide


« You hate women » (Vous haïssez les femmes) gribouillé sur une pancarte du Culpeper Pregnancy Center.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jon Russel

Encore un exemple de la haine des partisans de l’avortement. Extrait de LifeSiteNews :

Quelques jours à peine après que la Chambre des délégués de Virginie eût rejeté un projet de loi légalisant l’avortement jusqu’à la naissance, un centre d’aide aux femmes enceintes pro-vie de Culpeper, en Virginie, a été vandalisé avec des messages haineux peints au pulvérisateur tôt vendredi matin.

« You hate women » (Vous haïssez les femmes), dit l’un des messages sur le panneau du Culpeper Pregnancy Center, l’un des quatre établissements gérés par The Pregnancy Centers of Central Virginia.

Ce n’était pas tout. Le Culpeper Star-Exponent rapporte :

« Vous haïssez les femmes » et « Jesus hates this [vulgarité effacée] » (Jésus déteste ça) ainsi que « FAKE » (Faux) en grosses lettres noires ont été gribouillées à l’extérieur du petit office situé sur Sunset Lane, tout près du Culpeper Hospital et en face du Farmington Elementary School. Une vitre avant a été brisée et l’un des panneaux centraux a été recouvert de peinture rouge et un visage triste a été dessiné en dessous.

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La pilule contraceptive a-t-elle augmenté le nombre de grossesses hors mariage ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Flickr

Ça peut paraître paradoxal, mais c’est vrai. La pilule contraceptive, favorisant les relations extra-conjugales, favorise par le même coup le phénomène des mères élevant seules leur enfant (et l’avortement) et réduit la probabilité d’obtenir un diplôme secondaire. Extrait de CNA :

L’accès à la pilule contraceptive aux États-Unis a augmenté le nombre de naissances d’enfants hors mariage, en particulier chez les femmes pauvres et les femmes appartenant à des minorités, selon une nouvelle étude sur les effets historiques de la contraception.

« Nos conclusions s’ajoutent à une documentation de plus en plus abondante qui fait état de la capacité de la pilule à façonner la vie des femmes de manière largement hétérogène, les femmes des minorités et celles moins instruites étant les plus touchées par les préjudices, un phénomène que nous appelons le paradoxe de la pilule », ont déclaré les professeurs en économie Andrew Beauchamp et Catherine Pakaluk dans leur article « The Paradox of the Pill : Heterogeneous Effects of Oral Contraceptive Access ».

« Nous avons découvert des preuves solides que l’accès à la pilule a augmenté le nombre de grossesses hors mariage et réduit la probabilité d’obtenir un diplôme d’études secondaires », déclarèrent-ils.

La pilule ne semble pas avoir affecté les taux de mariages dans leur ensemble, mais son apport au taux de relations extra-conjugales a paradoxalement conduit à une augmentation des naissances hors mariage et à une « forte augmentation de la demande d’avortement », selon leurs découvertes.

Les naissances chez les femmes célibataires ont « augmenté rapidement » après 1960, passant de 5 % à 40 % de toutes les naissances. D’autres recherches ont révélé que le « plus grand prédicteur corrélatif unique » de la mobilité économique individuelle et communautaire est la fraction d’enfants élevés par des mères seules.

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Un adolescent catholique de Covington menace de poursuivre 54 médias, législateurs et célébrités


Nick Sandmann (à droite).

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran prise par LifeSiteNews

Le mois dernier encore, les grands médias avaient produit une fausse nouvelle des plus flagrantes, des célébrités et des personnalités politiques avaient embarqué dans la condamnation des jeunes élèves du Covington College que les médias avaient prononcée. Ces élèves avaient été accusés de s’être moqués d’un amérindien âgé.

La mode ces temps-ci est à la chasse aux fausses nouvelles et la gauche bien-pensante les recherche avec fébrilité. Or, l’affaire des élèves de Covington montre à quel point ces médias, célébrités et politiciens (gauchistes) ne prennent pas le temps de vérifier la véracité d’un fait et qui plus est, d'une accusation ; de même que cela nous a montré combien les médias peuvent monter en épingle un fait anodin, anodin aussi bien dans sa vraie version que dans sa fausse.

Ce que je voudrais surtout vous faire remarquer, c’est la réaction de ces élèves, et de leur famille, c’est le simple fait qu’ils réagissent, qu’ils se défendent, qu’ils prouvent aux médias, et autres entités influentes qu’elles ne peuvent pas agir impunément, qu’elles ne peuvent calomnier ou diffamer sans souci.

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Le Mississippi envisage l’interdiction de l’avortement quand le cœur du fœtus bat


Parlement du Mississippi.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : watkinswd/Pixabay

Si l’État du Mississippi réussissait à interdire l’avortement des enfants à naître dont le cœur bat, la Cour suprême se décidera-t-elle à légiférer ? Extrait du National Post :

Les législateurs du Mississippi envisagent ce qui pourrait devenir l’une des lois les plus strictes du pays en matière d’avortement. Les projets de loi qui ont été adoptés par les comités législatifs mardi interdiraient l’avortement dès que le battement de cœur fœtal est détecté, et ce, dès la sixième semaine de grossesse.

Le gouverneur républicain Phil Bryant a déclaré qu’il signera le projet de loi 732 de la Chambre ou le projet de loi 2116 du Sénat, qui seront soumis à l’ensemble de la Chambre et du Sénat pour un travail plus approfondi. Les partisans et les opposants s’attendent à un procès.

Un juge de l’Iowa a annulé une loi similaire le mois dernier.

Plusieurs États pourraient envisager de mettre en place des restrictions plus strictes en matière d’avortement pour que la Cour suprême des États-Unis, plus conservatrice, conteste la décision de 1973, qui a légalisé l’avortement à l’échelle nationale, et tente de casser ce jugement.

Le Mississippi a l’une des législations les plus strictes sur l’avortement aux États-Unis, comprenant une période d’attente de 24 heures et le consentement parental pour les mineurs. L’année dernière, l’État a promulgué une loi interdisant l’avortement après 15 semaines, et un juge fédéral l’a déclarée inconstitutionnelle.

[...] Le projet de loi permettrait toujours l’avortement si une grossesse met en danger la vie d’une femme ou l’une de ses principales fonctions corporelles.

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Le cardinal Müller et le problème des abus homosexuels dans l’Église


Cardinal Müller.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :

Voici une entrevue entre Riccardo Cascioli et le cardinal Müller, ancien préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Le cardinal Müller explique posément le problème des abus sexuels dans l’Église (phénomène qui a connu son sommet dans les années 70 et 80), faisant remarquer que « Parler d’abus de mineurs par des prêtres en ignorant que plus de 80 % sont des actes homosexuels signifie ne pas vouloir résoudre le problème », « le problème le plus grave de l’Eglise aujourd’hui est la tendance au compromis avec le monde, le renoncement à proclamer la vérité tout entière », d’après Benoît-et-moi. Extrait de Benoît-et-moi :

Cardinal Müller, dans vingt jours, il y aura le sommet au Vatican sur les abus sexuels, un scandale qui brouille l’image de l’Eglise, mais qui provoque aussi de nombreuses tensions...

Je crois qu’avant tout, cette question doit être comprise dans sa dimension réelle. Aussi grave que cela puisse être, il est injuste de généraliser, car les abus concernent un nombre très limité de prêtres. Et je voudrais remercier tous les évêques, prêtres, diacres et autres collaborateurs de l’Église catholique pour la manière dont ils se consacrent à la mission confiée par Jésus et dont ils vivent selon les critères de notre spiritualité chrétienne. Il est juste que l’opinion publique se rende compte de ce bon travail et des sacrifices que nos bons pasteurs font pour de nombreux hommes qui cherchent la vérité de leur vie, qui cherchent la vérité de Dieu en Jésus Christ. En second lieu, nous devons reconnaître qu’il s’agit d’un phénomène qui a atteint son pic dans les années 70 et 80 du siècle dernier, notamment comme effet de la révolution sexuelle. En outre, on peut se demander pourquoi l’opinion publique est incitée à ne parler que de cela et non de tous les abus et crimes contre les enfants et les adolescents qui existent dans le monde : non seulement les abus sexuels, qui dans la plupart des cas sont hors de l’Église, mais aussi d’autres crimes comme l’avortement, ou la possibilité que beaucoup se voient refuser de vivre avec leur propre père, mère, frère et sœur. Et ainsi de suite.

C’est vrai. Mais l’Église s’est trouvée confrontée à un phénomène inquiétant et, comme le montre le cas de l’ex-cardinal McCarrick, il est encore difficile de juger le passé.

Clairement, pour l’Église, il est terrible que des prêtres soient impliqués, des hommes qui, au lieu d’avoir une vie exemplaire, abusent de leur mission. Représentants de Jésus-Christ le bon pasteur, agissant comme des loups : c’est une perversion de leur mission.

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Le poids de l’avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Phnh Phng/Pixnio

Les partisans de l’avortement ont généralement l’habitude de nier que celui-ci ait des effets néfastes tant physiques que psychologiques (et spirituels) sur les femmes. Or, voici le témoignage, comme tant d’autres, d’une jeune femme qui montre la vraie face de l’avortement : le regret, l’angoisse, les problèmes psychologiques, etc.

La jeune femme, qui se présente sous le nom de Clém, a 26 ans et vit avec un homme de 41 ans avec lequel elle a eu un enfant. L’homme en question avait déjà une fille, aussi sont-ils quatre dans la même maison. Elle explique, d’après La Mariée en Colère :

Tout a commencé il y a un an, à cette période j’ai senti en moi un changement inhabituel, au fond de moi et étant passée par là l’année précédente, je savais plus ou moins qu’un petit être avait pris place en moi pour faire son nid pour les 9 prochains mois. Or dans ma tête j’avais le sentiment que ce n’était pas le bon moment pour l’accueillir pour de multiples raisons (financières, professionnelles) et je savais que Papa n’était pas prêt pour un 3ème enfant puisqu’il n’en désire plus à 41 ans.

La jeune femme prit un test de grossesse qui s’avéra être positif. Partagée entre la joie et l’inquiétude, elle se rendit chez son médecin, puis prit un rendez-vous pour une échographie qui lui révéla qu’elle était enceinte de jumeaux. Dans la même journée, elle révéla à celui avec qui elle vivait l’état des choses :

J’ai donc pris mon courage et annoncé « Je suis enceinte » sans réaction de sa part et une tête d’enterrement figée sur son visage, j’ai ajouté « Et ils sont 2 ». A ce moment-là, j’ai vu que cette nouvelle ne lui plaisait pas du tout. C’est alors avec le cœur serré et une boule dans la gorge que je l’ai rassuré « Ne t’inquiète pas je vais interrompre la grossesse » et là il m’a répondu « OK ça va aller alors ! ».

Quelques jours plus tard, elle avorta par le moyen de la pilule abortive :

Sans entrer dans les détails, sachez que j’ai mieux vécu mon premier accouchement que cette IVG.

Suite à ça, oui je suis passée par une période de soulagement, mais la réalité m’a très vite rattrapée : mon anxiété s’est accentuée, j’ai découvert les crises d’angoisse et les crises de nerfs […]

Je l’assume et le dis haut et fort, oui j’ai le sentiment d’avoir tué mes enfants ! Croiser une femme enceinte, une poussette ou un nouveau-né est devenu pour moi une terrible torture…

Aujourd’hui à l’âge de 26 ans je suis sous antidépresseur, somnifère, anxiolytique et consulte depuis plusieurs mois un psychiatre et psychologue qui tentent de m’apporter du soutien et des solutions pour retrouver ma joie de vivre et goût à la vie, mais pour moi ça semble peine perdue je n’arriverai pas à oublier, à les oublier…

Je n’ai pas osé dire ce que je désirais au fond de moi et je les ai perdus pour toujours…

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L’évêque de Spokane : les politiciens pro-avortement ne «devraient pas» recevoir la Communion dans mon diocèse


Mgr Thomas Daly, évêque de Spokane, aux États-Unis.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le meurtre d’un enfant à naître est un acte extrêmement grave. Extrait de LifeSiteNews :

Un évêque catholique a averti les politiciens pro-avortement qui se disent « catholiques » et qui résident dans son diocèse qu’ils « ne devraient pas » se présenter pour recevoir la Sainte Communion.

« Les politiciens demeurant dans le diocèse catholique de Spokane, et qui persévèrent obstinément dans leur soutien public à l’avortement, ne devraient pas recevoir la Communion sans avoir d’abord été réconciliés avec le Christ et l’Église », écrit Mgr Thomas Daly, évêque de Spokane, citant le n° 915 du Droit canon [...]

Dans un tweet, l’évêque a dit que « le meurtre délibéré d’enfants à naître est un mal grave » et a appelé les catholiques à lire sa lettre du 1er février.

Selon le n° 915 du Droit canon : « Ceux qui persistent obstinément dans un péché grave manifeste, ne doivent pas être admis à la Sainte Communion. »

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