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Regardez la Marche pour la vie à Washington de 2019 en direct


Photo : Claire Chrétien / LifeSiteNews

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

La Marche pour la Vie américaine assemble habituellement des centaines de milliers de personnes, de voir un tel déploiement pro-vie aide à continuer le combat. Extrait de LifeSiteNews:

Washington, D.C., 18 janvier 2019 (LifeSiteNews) — Aujourd'hui, les manifestants se rassemblent au National Mall de Washington, D.C., pour une série de discours et de prestations musicales avant que la marche ne s'ébranle pour marcher jusqu'au Palais de Justice, où le jugement Roe c. Wade a obligé les 50 états à autoriser l'avortement en 1973.

EWTN offre une couverture en direct de la Marche pour la vie 2019 à partir de 9h00.

Vous pouvez également regarder la retransmission en direct ici.

Les événements de la Marche pour la vie incluent :

10 h 00 - 11 h 00 radiodiffusion en direct de Ben Shapiro

11 h 00 - 11 h 45 Ouverture musicale avec les Sidewalk Prophets

12 h 00 Programme de la marche

13 h 00 Marche sur l'avenue Constitution jusqu'à la Cour suprême et l'édifice du Capitole.

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Richard Martineau : « Le regard de Dieu »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons

Oui ! Oui ! C’est Richard Martineau qui met un tel titre à sa chronique parue le 17 janvier. Bien sûr, ce n’est pas comme s’il parlait en bien de la religion (catholique en particulier), mais M. Martineau se livre à quelques réflexions intéressantes. Extraits du Journal de Montréal :

Denise Bombardier me parle souvent du rôle que la religion jouait, autrefois, dans la société.

Avant, les gens avaient peur de Dieu, du regard que Dieu portait sur leurs actions, me dit-elle. Ils avaient peur d’aller en enfer. Alors, ils faisaient attention à ce qu’ils faisaient.

Aujourd’hui, les gens ne croient plus en Dieu. Or, Dieu étant mort, comme l’écrivait Dostoïevski, tout est permis.

Même la maltraitance contre les personnes les plus vulnérables de notre société, c’est-à-dire les enfants, les vieux et les malades.

Ici, je me permets de dire que Dieu n’est pas mort, mais si les gens Le considèrent tout comme, hé bien ç’a n’est pas étonnant s’ils se comportent n’importe comment.

Puis, Richard Martineau place quelques mots malheureux sur la religion en général et la religion catholique en particulier, ressortant le mythe miteux des curés pédophiles (nous lui recommandons fortement de lire l’un de nos articles sur la question et de se demander s’il n’y aurait pas plus de pédophiles dans d’autres groupes que le clergé), et la curieuse idée selon laquelle les guerres les plus sanglantes ont été menées au nom d’une divinité ou d’une autre (les Première et Seconde guerres mondiales ont-elles été menées au nom d’une divinité ou d’une autre ? Les guerres provoquées par l’URSS, ont-elles été conduites au nom de la foi ? Hum, hum !).

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228 jeunes ont fait «changer» leur sexe sur les papiers de l’État civil au Québec

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere

Quand on pense à la contagion sociale virulente via internet de la théorie du genre, selon laquelle un homme peut prétendre être femme et l’inverse également, il n’est pas étonnant qu’il y ait déjà un certain nombre d’enfants et d’adolescents qui ont demandé de « transiter ». Ce qui est aberrant, c’est qu’un bon nombre de ces demandes aient eu des suites, non seulement officiellement sur papier mais au niveau médical.

Par ailleurs, il est affligeant que des médecins donnent des hormones masculines à des jeunes filles et des hormones féminines à des garçons. Jouer dans l’équilibre hormonal n’a jamais été une bonne chose et il n’est par conséquent pas surprenant si l’on observe une tendance marquée pour le suicide chez les « transgenres ».

Pour finir, il est impossible de changer de sexe, celui-ci étant inscrit jusque dans la génétique. Extrait du Journal de Montréal :

Les enfants transgenres peuvent officiellement changer de sexe depuis juin 2016. Selon les chiffres que J.E. a obtenus, il y a 228 mineurs qui ont fait modifier leur genre inscrit à l’État civil en deux ans seulement.

Depuis que la loi a été modifiée, les jeunes de 14 ans et plus peuvent faire une demande seuls à l’État civil pour un changement de sexe officiel. Pour les plus jeunes, ce sont les parents qui doivent remplir la demande, le tout doit être accompagné d’une lettre de spécialistes.

Selon les chiffres du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, 49 enfants de moins de 14 ans ont été autorisés à changer de sexe depuis que la loi le permet et 179 jeunes âgés de 14 à 17 ans.

Des chiffres qui n’étonnent pas au Centre de santé Meraki, la seule clinique au Québec dédiée aux enfants transgenres, dont la clientèle a explosé.

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Un père agenouillé en prière devant le berceau de son enfant


Victor, le père, et Ivan Calmon, le fils.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : victorcomichao/Instagram

Les photos d’un père agenouillé en prière devant le berceau de son enfant nouveau-né ont fait le tour du monde, visionnées des milliers de fois par des internautes qui n’ont sûrement pas manqué d’être émus. Le bambin, Ivan est le fils de Victor et Luana Calmon. Victor, peu après la naissance de son fils, se tenait plein d’émotions devant le berceau. Et c’est pour implorer Dieu que Victor s’est mis à genoux, pour lui demander de l’aider à être un bon père pour cet enfant qui venait de naître. Extrait d’Aleteia :

Victor a été interviewé par le magazine Crescer, où il a dit que c’était plutôt spontané :

« Je me voyais au centre d’une situation compliquée, vous savez, et tout était nouveau pour moi, et une peur incroyable m’envahissait. Maintenant, je ne m’inquiéterais plus seulement pour moi ; je devais m’occuper de cette nouvelle vie. Alors j’ai surmonté mon embarras et je me suis agenouillé et j’ai parlé à Dieu. Je lui ai demandé de m’aider à mûrir, à devenir un homme meilleur, un bon père, un bon mari, et à augmenter mon désir de grandir et de travailler, afin que mon enfant ne manque de rien. »

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Un groupe pro-avortement demande au conseil municipal d’interdire les images d’avortement… Mais lesquelles au fait ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée et modifiée) : Compte Facebook Umbert the Unborn

Grotesque pour le moins et inutile, surtout si cette demande vise le drapeau qui porte une image (qui représente Umbert the Unborn bien vivant) similaire à celle que vous pouvez voir plus haut, à moins que ce groupe ne veuille que la municipalité de Prince Albert remette en place son programme « drapeaux de courtoisie », qui permettait apparemment au gens de faire arborer un drapeau devant l’hôtel de ville. En effet, la ville avait décidé l’an dernier d’annuler ledit programme suite à une poursuite judiciaire, qui dure encore, lancée par un groupe pro-vie à qui le conseil municipal avait refusé de hisser son drapeau. Peut-être que le groupe pro-avortement voudrait pouvoir hisser son pavillon sans que les pro-vie puissent en faire autant. Extrait du Prince Albert Right Now :

Les conseillers municipaux ont décidé de ne pas donner suite à la demande d'un groupe national de défense du droit à l'avortement d'examiner les possibilités de faire en sorte que les drapeaux arborés soient moins crus à l'hôtel de ville.

L'Abortion Rights Coalition of Canada (ARCC) a demandé aux conseillers municipaux d'utiliser leurs propres règlements administratifs locaux et le Code canadien des normes de la publicité pour gérer l'affichage public, notamment des drapeaux de courtoisie. Le groupe a déclaré que « les images graphiques de fœtus avortés » — comme celle d'un fœtus de bande dessinée utilisée par le Prince Albert Right to Life Group — peuvent être traumatisantes pour le public et a suggéré que le code de la publicité peut être un guide efficace quand il s'agit de publicité potentiellement problématique.

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Google fait descendre les pro-vie dans les résultats de recherche

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Elvert Barnes/Flickr

Les vidéos You Tube pro-vie présentes parmi les 10 premiers résultats de recherche sur l’avortement ont été descendues et mises plus bas par la compagnie Google, alors que le président-directeur général de l’entreprise avait affirmé sous serment devant le Sénat américain que Google n’intervenait « manuellement sur aucun résultat de recherche ». Extrait de Breitbart :

Dans un témoignage sous serment, Sundar Pichai, PDG de Google, a déclaré au Congrès le mois dernier que son entreprise n’intervenait « manuellement » sur aucun résultat de recherche particulier. Pourtant, un fil de discussion interne divulgué à Breitbart News révèle que Google intervient régulièrement dans les résultats de recherche sur sa plate-forme vidéo YouTube — encore récemment. Il a mis des vidéos pro-vie hors des dix premiers résultats de recherche pour « avortement » (abortion).

Le terme « avortement » a été ajouté à un fichier « liste noire » pour les « controversial YouTube queries » (requêtes YouTube controversées), qui contient une liste de termes de recherche que l’entreprise considère comme sensibles. Selon la fuite, il s’agit notamment de certains de ces termes de recherche comme : abortion, abortions, the Irish abortion referendum, Democratic Congresswoman Maxine Waters, and anti-gun activist David Hogg (avortement, avortement, le référendum irlandais sur l’avortement, député démocrate Maxine Waters, et militant anti-armes à feu David Hogg).

L’existence de la liste noire a été révélée dans un fil de discussion interne de Google divulgué à Breitbart News par une source interne à l’entreprise qui souhaite rester anonyme. Une liste partielle de termes figurant sur la liste noire a également été divulguée à Breitbart par une autre source de Google.

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40 à 50 millions d’avortements dans le monde en 2018

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :

Quelle boucherie ! Nous ne sommes pas meilleurs que nos ancêtres, nous sommes pires… 40 à 50 millions d’enfants à naître tués, innocents, sans défense, mis à mort cruellement. Et ça n’est pas compté officiellement dans les décès. Pourquoi ? Parce que des gens considèrent ou veulent considérer que l’enfant à naître n’est pas une personne. Pourtant la science affirme que la vie commence à la conception. Extrait de Gènéthique :

En 2018, 41,9 millions d’avortements ont été pratiqués dans le monde, « soit davantage que le nombre de morts liés aux dix principales causes de décès à l’échelle globale », a publié le site de statistiques Worldometers, qui précise que les chiffres ne prenaient pas en compte les fausses couches. L’OMS avait même publié en 2014 le chiffre de 56 millions. « Selon les estimations de l’OMS, il y a chaque année dans le monde 40 à 50 millions d’avortements. Cela correspond approximativement à 125 000 avortements par jour ». Snopes, un site américain réputé pour sa traque aux fake news, confirme : « Si l’estimation de l’OMS de 56 millions d’avortements par an est restée stable jusqu’en 2016, lorsqu’elle a publié son étude sur le top 10 des principales causes de mort à l’échelle globale [2], il serait vrai que le nombre d’avortements dans le monde a surpassé le nombre de décès totaux liés aux maladies cardiaques et aux attaques cérébrales, les deux premières causes de décès cette année-là » (15,2 millions de personnes).

Mais Snopes joue avec le mot « mort » de telle sorte qu’il met en doute que l’avortement provoque la mort d’une personne, d’après Gènéthique :

... « dire que l’avortement est la “principale cause de mort” dans le monde est une affirmation problématique, parce que cette position revêt un aspect politique, en contradiction avec le monde scientifique et médical », puisque « les champs légaux, philosophique, religieux et scientifique ne donnent pas de réponses définitives quant au moment du début de l’identité individuelle ».

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Éducation sexuelle : qui est responsable des enfants, les parents ou l’État ?

Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Phillip Haussemer/Flickr

Ces derniers temps, les gros médias du Québec se sont agités autour d’une déclaration que l’archevêché aurait faite, plusieurs ont accusé l’archevêché de prôner le retrait des enfants des cours d’éducation sexuelle, ce qui n’aurait pas été mauvais s’il l’avait vraiment prôné.

Quel est le chef d’accusation ? Avoir relayé mercredi l'information annonçant un manuel rédigé par un médecin et un prêtre catholiques qui conseillerait, en gros, aux parents d’enseigner eux-mêmes l’éducation sexuelle à leurs enfants. Selon La Presse :

L’archevêché de Montréal a relayé hier une invitation à retirer les enfants de leurs classes d’éducation sexuelle afin de confier aux parents le soin de donner eux-mêmes le nouveau cours obligatoire en respectant « la pudeur naturelle » des jeunes.

Les autorités ecclésiastiques font la promotion d’un manuel destiné aux parents catholiques, qui compare le nouveau programme à une agression.

Ou selon le Huffpost :

L’archevêché de Montréal propose aux parents québécois opposés aux objectifs d’enseignement sexuel du ministère de l’Éducation de donner eux-mêmes la matière à leurs enfants en se procurant un outil pédagogique rédigé par un membre du clergé et un médecin cardiologue.

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L’avortement a tué 50 000 000 d'enfants à naître en 2015 et ça n’est pas compté comme cause de décès

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photos (rognées et modifiées) : byrev/Pixabay, Pixnio, FotoshopTofs

C'est ce que nous apprend Obianuju Ekeocha sur son compte Twitter.

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Marche pour la Vie 2019 de Paris

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Michael Bar Haim/Unsplash — Citation : Marche pour la vie

Le vingt janvier prochain aura lieu la Marche pour la Vie 2019 de Paris, où se rendent maintenant annuellement des dizaines de milliers de Français pro-vie pour manifester leur soutien à la cause des enfants à naître.

Cette marche, organisée par le groupe Marche pour la vie, aura pour thème la défense de l’objection de conscience des praticiens face à l’avortement.

Cette objection de conscience est en jeu, actuellement menacée par un projet de loi déposé par Mme Laurence Rossignol devant le Sénat de France en réaction (apparemment) aux propos du courageux Dr de Rochambeau, président du SYNGOF (Syndicat National des Gynécologues et Obstétriciens de France), qui disait lors d’une entrevue ne pas vouloir exécuter d’avortement, précisant sa pensée en affirmant : « Nous ne sommes pas là pour retirer des vies ».

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