Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Oui ! Oui ! C’est Richard Martineau qui met un tel titre à sa chronique parue le 17 janvier. Bien sûr, ce n’est pas comme s’il parlait en bien de la religion (catholique en particulier), mais M. Martineau se livre à quelques réflexions intéressantes. Extraits du Journal de Montréal :
Denise Bombardier me parle souvent du rôle que la religion jouait, autrefois, dans la société.
Avant, les gens avaient peur de Dieu, du regard que Dieu portait sur leurs actions, me dit-elle. Ils avaient peur d’aller en enfer. Alors, ils faisaient attention à ce qu’ils faisaient.
Aujourd’hui, les gens ne croient plus en Dieu. Or, Dieu étant mort, comme l’écrivait Dostoïevski, tout est permis.
Même la maltraitance contre les personnes les plus vulnérables de notre société, c’est-à-dire les enfants, les vieux et les malades.
Ici, je me permets de dire que Dieu n’est pas mort, mais si les gens Le considèrent tout comme, hé bien ç’a n’est pas étonnant s’ils se comportent n’importe comment.
Puis, Richard Martineau place quelques mots malheureux sur la religion en général et la religion catholique en particulier, ressortant le mythe miteux des curés pédophiles (nous lui recommandons fortement de lire l’un de nos articles sur la question et de se demander s’il n’y aurait pas plus de pédophiles dans d’autres groupes que le clergé), et la curieuse idée selon laquelle les guerres les plus sanglantes ont été menées au nom d’une divinité ou d’une autre (les Première et Seconde guerres mondiales ont-elles été menées au nom d’une divinité ou d’une autre ? Les guerres provoquées par l’URSS, ont-elles été conduites au nom de la foi ? Hum, hum !).
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