L’organisateur de la marche pour les enfants annonce de nouvelles manifestations nationales contre l’agenda LGBT
Kamel El-Cheik à la Marche 1 Million 4 Children.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : darstv/YouTube
11 octobre 2023 (LifeSiteNews) — L’organisateur de la Marche un million de personnes qui s’est tenue en septembre pour lutter contre les programmes LGBT radicaux enseignés dans les écoles publiques prépare une nouvelle manifestation pour le 21 octobre après avoir reçu plus de « 12 appels par jour » pour en organiser une autre.
Le « Worldwide Stop the War on Children Rally » (Manifestation mondiale « Stop à la guerre contre les enfants »), qui se tiendra dans tout le pays, envisagera d’adopter l’approche « mesurer deux fois, couper une fois », a déclaré Kamel El-Cheikh, principal organisateur de la manifestation de septembre, lors d’une récente émission avec Clyde Do Something.
Il a fait remarquer qu’il y a un « désir » intense « d’un bout à l’autre du pays » pour débarrasser les écoles canadiennes de l’endoctrinement en matière d’orientation sexuelle et d’identité de genre (OSIG).
« Nous voulons nous assurer que nous mesurons deux fois et que nous coupons une fois », a déclaré M. El-Cheikh, ajoutant que les organisateurs ne veulent pas simplement « protester pour protester ».
« La nation veut faire la fête ensemble et ce sera beaucoup plus grand, je le garantis », a-t-il ajouté.
La première Marche un million de personnes a eu lieu le 20 septembre et a inspiré des milliers de Canadiens d’un bout à l’autre du pays de descendre dans la rue pour exiger que les programmes LGBT radicaux soient exclus des écoles publiques canadiennes.
Lire la suiteUn professeur canadien affirme que montrer des parties intimes d’adultes à de « petits enfants » est une « excellente idée éducative pour les parents »
Katja Thieme.
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
4 août 2023 — Un professeur agrégé de l’Université de Colombie-Britannique (UBC) a suggéré que les parents exposent leurs enfants à des « pénis » et des « vulves » de différents « âges » pour les préparer à des rencontres potentielles avec des hommes confus dans les espaces féminins et vice versa.
Katja Thieme, du département d’anglais de l’UBC, a posé la question sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter : « Hé, tu veux connaître l’une de mes meilleures idées éducatives pour les parents ? »
« Laissez les petits enfants voir des pénis et des vulves de différents âges et tailles d’une manière décontractée, normalisée et totalement sûre », a-t-elle répondu, ajoutant que « le monde vous en remerciera. Et il en sera de même pour ces enfants lorsqu’ils grandiront ».
Les propos choquants du professeur étaient une réponse à un message posté sur les réseaux sociaux par la nageuse universitaire américaine Riley Gaines. La jeune athlète a acquis une grande popularité en ligne en défendant les sports féminins contre l’inclusion d’hommes tels que William « Lia » Thomas.
Selon True North, Thieme a d’abord répondu à un message de Gaines dans lequel cette dernière racontait l’histoire d’une nageuse de 16 ans qui aurait été « bannie du YMCA et expulsée de son équipe de natation pour s’être opposée à un homme nu dans leurs vestiaires ».
Lire la suiteUne jeune fille de 16 ans a été exclue du YMCA et renvoyée de son équipe de natation pour s’être opposée à la présence d’un homme nu dans les vestiaires.
Et pour ne rien arranger, sa sœur aînée a vécu exactement la même chose avec Lia Thomas. Mais ce n’est « pas vraiment en train de se produire »...
— Riley Gaines (@Riley_Gaines_) 9 juillet 2023
La clique LGBT continue à persécuter Mike Del Grande pour sa défense de la morale catholique
Michael Del Grande.
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Mike Del Grande, un conseiller scolaire catholique du district de Toronto, est persécuté par le lobby LGBT et les conseillers scolaires anticatholiques de son propre conseil.
Qu’a-t-il fait pour s’attirer l’ire de la clique arc-en-ciel ?
Motivé par sa foi catholique, le conseiller Del Grande a osé s’opposer à l’ajout de l’« identité de genre » et de l’« expression de genre » au code de conduite du conseil scolaire en tant que « motifs protégés contre la discrimination ». Deux autres termes, « statut familial » et « statut marital », devaient également être ajoutés.
Ses persécuteurs LGBT ont traîné son nom dans la boue dans la presse nationale, l’accusant d’être la pire sorte d’être humain dans tous les grands journaux, émissions d’information télévisées et émissions de radio.
Ils lui ont interdit de siéger dans des comités de la commission scolaire, lui ont ordonné de participer à un camp de rééducation LGBT et lui ont demandé de s’excuser auprès de la communauté LGBTTIQ2S+ pour l’avoir offensée. Par principe, il a refusé et se bat contre toutes ces sanctions devant les tribunaux.
Mike ne rampera pas.
Il ne ploiera pas le genou.
Il ne renoncera pas à sa foi.
De plus, un militant pro-LGBT a déposé une plainte auprès de l’Ordre des enseignantes et enseignants de l’Ontario (OCT) pour tenter de révoquer la licence d’enseignant de Mike, ce qui n’a rien à voir avec son travail de conseiller scolaire élu. Mike est également défendu par un avocat à l’OCT, où il a déjà eu six jours d’audience, la prochaine étant prévue pour le 19 juillet.
En bref, les intimidateurs LGBT cherchent à détruire totalement Mike Del Grande.
Je pense que c’est pour faire de lui un exemple pour les autres conseillers scolaires du Canada. « Ne vous avisez pas de vous opposer à notre programme, ou cela vous arrivera aussi », voilà le climat qu’ils veulent instaurer dans tous les conseils scolaires du Canada.
Lire la suiteUn rapport ambigu de la Commission internationale des juristes sur les rapports sexuels entre majeur et mineur
Par PM (reinformation.tv) — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
La commission internationale des juristes composée de 60 juristes éminents, ONG qui dépend de l’ONU et a son secrétariat à Genève, vient de rendre un rapport sur son « approche fondée sur les droits de l’homme » en matière de justice criminelle dont la partie concernant l’activité sexuelle des mineurs est au moins ambiguë, et plus probablement dangereuse.
On y lit en effet qu’une « activité sexuelle concernant des personnes qui n’ont pas l’âge légal fixé par la loi d’un Etat pour consentir peut être consensuelle en fait, sinon en droit ». Et de préciser que des individus « mineurs de 18 ans » ont le droit de « prendre une décision » à ce sujet et « d’être entendus dans une matière qui les regarde ».
Derrière les bonnes intentions affichées par ces « principes du 8 mars » se cache une inconnue déterminante : de quel âge parle-t-on ? La barrière des dix-huit ans n’est pas la question, l’âge légal du consentement étant de quinze ans en France, par exemple. Mais une fois « l’âge légal fixé par la loi d’un Etat » écarté, où les éminents juristes s’arrêteront-ils ? D’interprétation en interprétation et de glissement en glissement, ils ouvrent la porte d’abord à la mise sous emprise des adolescents, puis à la pédophilie. Que ce soit volontaire ou non. Et la personnalité du rédacteur du rapport, le Sud-Africain Edwin Cameron qui se définit comme « gay et fier de l’être » ne rassure pas. Pour lui, réprimer les relations entre adultes et mineurs revient à « codifier la discrimination » et produire « l’hostilité, l’exclusion, l’inégalité ». La démocratie inclusive supposerait-elle la pédophilie ?
PM
Elon Musk bannit de Twitter un compte en faveur de la pédophilie : « Non toléré sur cette plateforme »
Elon Musk.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
27 avril 2023 (LifeSiteNews) — Twitter a supprimé le compte d’un utilisateur qui faisait la promotion d’un drapeau célébrant les « personnes attirées par la jeunesse », également connues sous le nom de pédophiles.
« Non toléré sur cette plateforme », a écrit Musk en réponse à un autre utilisateur qui avait partagé les tweets du compte suspendu.
Cette suppression est le dernier signe en date d’un changement de culture au sein de Twitter. Sous la direction de M. Musk, l’entreprise a supprimé plus de 700 000 comptes qui faisaient la promotion de la pornographie enfantine.
La compagnie a également supprimé récemment sa politique interdisant d’utiliser des descriptions biologiquement exactes des personnes souffrant d’un trouble du genre. Auparavant, les utilisateurs pouvaient être sanctionnés pour avoir « mal identifié » quelqu’un, c’est-à-dire pour avoir utilisé son véritable genre — par exemple, en qualifiant Bruce « Caitlyn » Jenner d’homme.
Après l’acquisition, Musk s’est attelé à un certain nombre de réformes, notamment en licenciant plus de la moitié du personnel, en remplaçant les vérificateurs de faits par une fonction de notes communautaires gérée par les utilisateurs, et en publiant des tonnes d’informations sur les activités de censure de l’ancienne direction, comme LifeSiteNews l’a précédemment rapporté.
Toutefois, certains problèmes subsistent. Fin mars, des personnalités conservatrices ont vu leurs comptes temporairement suspendus pour avoir critiqué une « Journée de la vengeance trans » prévue après qu’une femme s’identifiant comme transgenre ait perpétré une fusillade brutale et « ciblée » contre une école chrétienne à Nashville, dans le Tennessee.
Les conservateurs sur les médias sociaux ont rapidement souligné le lien potentiel (bien que l’on ne sache pas encore si la tireuse était affiliée de quelque manière que ce soit au groupe), ce qui a conduit à une série de suspensions très médiatisées sur Twitter pour des violations supposées des « règles contre les discours violents » de la plateforme, a rapporté LifeSiteNews.
Selon une capture d’écran publiée par The Federalist, le PDG Sean Davis s’est vu interdire l’accès à son compte après avoir signalé dans un message sur Twitter que « le meurtre de masse commis de sang-froid dans une école chrétienne de Nashville par une personne apparemment transgenre est survenu quelques jours seulement avant une “journée de vengeance trans” organisée par le Trans Radical Activist Network ».
Mieux vaut tard que jamais : les législateurs de l’Indiana votent l’arrêt du financement de l’Institut Kinsey sur la sexualité
Alfred Kinsey.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons
Avertissement au lecteur : Ce texte contient la description explicite d’abus sexuels sur des enfants.
28 février 2023 (LifeSiteNews) — Ce titre a des décennies de retard, mais mieux vaut tard que jamais : « Les législateurs de l’Indiana soutiennent l’arrêt du financement de l’Institut Kinsey ». Le 22 février, la Chambre des représentants de l’Indiana a voté à 53 contre 34 pour interdire à l’Université de l’Indiana, siège de l’Institut Kinsey, d’utiliser des fonds publics pour ses recherches sur la sexualité. l'Associated Press a prétendu de façon ridicule que ce vote était dû à « un législateur d’extrême droite » qui « a dévoilé des allégations contestées d’exploitation d’enfants commises par son fondateur et célèbre chercheur du milieu du XXe siècle, Alfred Kinsey ».
En effet, le législateur démocrate Matt Pierce a déclaré que ces allégations étaient « basées sur de vieux soupçons non prouvées de conspirations qui n’ont pas existé » et les a qualifiées de « memes internet réchauffés qui reviennent sans cesse », insistant sur le fait que la noble mission de l’Institut Kinsey était de « mieux comprendre la sexualité humaine, y compris la façon de traiter les prédateurs sexuels et les pédophiles et de prévenir [leur apparition] ». l'Associated Press a expliqué que le parti républicain s’oppose au financement de l’Institut Kinsey parce qu’il « lui reproche de contribuer à la libéralisation des mœurs sexuelles, y compris une plus grande acceptation de l’homosexualité et de la pornographie ».
Pierce, apparemment, n’a pas pris la peine de lire les propres ouvrages de Kinsey, Sexuality in the Human Male et Sexuality in the Human Female, qui ont été publiés en 1948 et 1953. Les travaux de Kinsey ont « révélé » qu’entre 30 et 45 % des hommes avaient des liaisons, que 85 % des hommes avaient eu des relations sexuelles avant le mariage, qu’un pourcentage stupéfiant de 70 % des hommes avaient couché avec des prostituées et qu’entre 10 et 37 % des hommes avaient eu un comportement homosexuel. On parle beaucoup moins de ses autres « découvertes » troublantes — une étude approfondie du « comportement sexuel » des enfants, ainsi que des affirmations selon lesquelles près de 10 % des hommes ont eu des relations sexuelles avec des animaux (ainsi que 3,6 % des femmes), et que ce chiffre s’élève à 40-50 % en fonction de la proximité des fermes.
Lire la suiteLe ministre espagnol de l’Égalité déclare que les enfants « peuvent aimer ou avoir des relations sexuelles avec qui ils veulent »
Irene Montero.
Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Aea1994/Wikimedia Commons
27 septembre 2022, Madrid, Espagne (LifeSiteNews) — Dans ce qui semble être une tentative de normalisation de la pédophilie, le ministre espagnol de l’Égalité déclare maintenant que les enfants devraient être autorisés à se livrer à des actes sexuels tant qu’ils donnent leur « consentement ».
Lors d’une réunion de la Commission de l’égalité du Congrès des députés au Parlement espagnol mercredi dernier, Irène Montero, ministre de l’Égalité et membre du parti de gauche Podemos, a fait des commentaires sur l’éducation sexuelle des enfants, affirmant que les enfants ont le droit d’aimer ou d’avoir des relations sexuelles avec « qui ils veulent ».
« Parler d’éducation sexuelle est un droit des garçons et des filles, indépendamment des familles, tous ont le droit de connaître leur corps, de savoir qu’aucun adulte ne peut toucher leur corps s’ils ne le veulent pas eux-mêmes et de savoir que c’est une forme de violence », a déclaré Montero.
« Les enfants ont le droit de savoir qu’ils peuvent aimer ou avoir des relations sexuelles avec qui ils veulent, tant qu’elles sont basées sur le consentement... » a poursuivi la politicienne, ajoutant que « ce sont des droits qui doivent être reconnus ».
Montero a fait ces commentaires malgré le fait que l’âge du consentement en Espagne est actuellement de 16 ans, et malgré le fait que le 25 août 2022, le projet de loi organique pour la garantie intégrale de la liberté sexuelle a été adopté par le Congrès espagnol dans lequel il est clairement indiqué que le consentement est expressément nécessaire pour que les relations sexuelles puissent avoir lieu légalement.
Ces commentaires interviennent à un moment où la sexualisation des enfants devient de plus en plus courante dans la société occidentale, à tel point que divers militants sont allés jusqu’à dire que la pédophilie a été grandement « mal comprise ».
Lire la suiteLa Hongrie annonce un référendum sur la loi contre la promotion LGBT et la pédophilie
Parlement hongrois à Budapest, sur le Danube.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Comofoto/Adobe Stock
7 février 2022, Budapest, Hongrie (LifeSiteNews) — La Hongrie a annoncé la tenue d’un référendum sur une loi récente qui réprime la pédophilie et la promotion de l’idéologie LGBT auprès des enfants, alors que l’Union européenne a engagé une action en justice pour saboter la législation.
Le parti hongrois au pouvoir, le Fidesz, a déclaré le mois dernier que le vote aurait lieu le 3 avril, le même jour que les élections législatives du pays. Le premier ministre Viktor Orbán brigue un cinquième mandat et se présente contre un opposant pro-LGBT soutenu par les mondialistes.
La loi hongroise sur la protection de l’enfance, adoptée en juin 2021 et entrée en vigueur le mois suivant, interdit les thèmes LGBT dans le matériel scolaire et le contenu des médias, y compris les publicités. La loi interdit explicitement « le contenu qui dépeint la sexualité pour elle-même, ou qui promeut ou affiche des déviations de l’identité du sexe de naissance, le changement de sexe ou l’homosexualité ».
La mesure renforce également les sanctions pour pornographie enfantine, crée un nouveau registre des délinquants sexuels et limite l’éducation sexuelle aux organisations approuvées par le gouvernement hongrois.
Lire la suiteViktor Orbán annonce un referendum sur la loi protégeant les enfants contre la propagande LGBT
Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie.
Par le Visegrád Post — Photo : Facebook
Hongrie — Le premier ministre hongrois Viktor Orbán s’est adressé au pays ce mercredi 21 juillet pour annoncer — par une vidéo sur son compte Facebook — la tenue prochaine d’un référendum au sujet de la loi de protection des mineurs, aussi appelée loi anti-pédophiles ou loi anti-LGBT par certains de ses détracteurs. Cette annonce fait suite à un chantage de la part de la Commission européenne à propos de cette loi que les instances européennes considèrent comme discriminatoire vis-à-vis du mouvement LGBT.
Bruxelles veut obliger la Hongrie à accepter la propagande LGBT dans les écoles, « Bruxelles a clairement attaqué la Hongrie ces dernières semaines à propos de la loi sur la protection de l’enfance », a ainsi expliqué le chef du gouvernement. « Les lois hongroises n’autorisent pas la propagande sexuelle dans les jardins d’enfants, les écoles, les télévisions et les publicités. […] Bruxelles réclame désormais une modification de la loi sur l’instruction publique et des règles de protection de l’enfance […] Ils se plaignent que ce qui est déjà établi en Europe occidentale ne soit pas possible ici. Là-bas, les activistes LGBTQ vont dans les jardins d’enfants et les écoles et font l’éducation sexuelle. Ils veulent la même chose ici, alors les bureaucrates de Bruxelles menacent, ils lancent des procédures d’infraction, ils abusent de leur pouvoir ».
Un référendum pour dire non à la propagande LGBT à destination des mineurs
En conséquence, « le gouvernement [hongrois] lance un référendum sur cinq questions » :
- Êtes-vous favorable à la tenue d’exposés traitant d’orientation sexuelle dans l’enseignement public, sans accord parental, à destination des mineurs ?
- Soutenez-vous la promotion des traitements de changement de sexe auprès des mineurs ?
- Êtes-vous favorable à ce que les traitements de changement de sexe soient accessibles aux mineurs ?
- Êtes-vous favorable à ce que les mineurs soient exposés, sans restriction, à du contenu multimédia de nature sexuelle influençant leur développement personnel ?
- Êtes-vous favorable à ce que des contenus parlant de changement de sexe soient montrés aux mineurs ?
Viktor Orbán a conclu son intervention de la manière suivante :
« Je vous demande donc que nous disions ensemble non à ces questions, comme nous l’avons fait il y a cinq ans, lorsque Bruxelles a voulu forcer la Hongrie à accepter les immigrés ».
Selon le premier ministre hongrois, à l’époque, « un référendum et une volonté commune ont arrêté Bruxelles. Nous avons réussi une fois et nous réussirons à nouveau, ensemble ».
Un groupe « gai » chante : « Nous allons convertir vos enfants, nous venons les chercher » — ils sont sérieux
Le Gay Men's Chorus of San Francisco.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
8 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Bien que le compositeur et le parolier d’une chanson controversée du San Francisco Gay Men’s Chorus [Chœur des hommes gais de San Francisco] ─ chanson désormais universellement connue sous le titre de « We'll convert your children, we're coming for them » [« Nous allons convertir vos enfants, nous venons les chercher »] ─ déclare que celle-ci n’est qu’une parodie, le message est fort et clair : Nous avons gagné, nous sommes invincibles.
Or, cette chanson n’est pas une parodie. Il s’agit du pouvoir politique que les forces LGBT ont amassé, écrasant tous les aspects de la culture américaine.
Il ne s’agit pas de victimes d’une société hétéronormative implorant d’être acceptées ou laissées tranquilles ; cette chanson, publiée sur les médias sociaux le 1er juillet — le lendemain de la fin du mois des « fiertés » — est à la fois une danse de la victoire et un dernier coup de semonce.
Ce sont des conquérants arrogants qui, malgré leurs protestations après coup, font savoir que le drapeau arc-en-ciel a été fermement planté dans la culture américaine, éviscérant la science, la nature et la moralité par le rejet de la vérité immuable de la complémentarité.
Nous avons un message pour vous :
Vous pensez que nous allons corrompre vos enfants, si notre programme n’est pas contrôlé.
Bien. Juste pour cette fois, vous avez raison : nous allons convertir vos enfants... Il n’y a vraiment aucune échappatoire.
Pourquoi déclarent-ils inconsciemment « Il n’y a vraiment pas moyen d’y échapper » ?
Parce que c’est vrai. Les activistes homosexuels et transsexuels ont ostensiblement gagné cette guerre.
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