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Notre-Dame de Guadalupe, celle qui mit fin aux sacrifice humains


Notre-Dame de Guadalupe, Reine du Mexique et Impératrice des Amériques.

Billet de blogue d’Augustin (Campagne Québec-Vie) — Photos : angelofsweetbitter2009/Flicr, Missa Tridentina em Brasília/Wikimedia Commons et Nueva Basílica de Nuestra Señora de Guadalupe/Wikimedia Commons

L’image Notre-Dame de Guadalupe est, entre autres, un symbole de l’Apocalypse : la femme enveloppée de soleil, la lune sous les pieds, couronnée d’étoiles. La nature miraculeuse de l’image et tous les signes qui y sont présents ont fortement touché les Indiens. Extrait de Vers demain :

Lorsque les Indiens eurent appris la nouvelle des apparitions de Notre-Dame, un enthousiasme et une joie jamais connus se répandirent parmi eux. Renonçant à leurs idoles, à leurs superstitions, à leurs sacrifices humains et à la polygamie, beaucoup demandèrent le Baptême. Neuf ans après les apparitions, neuf millions d’entre eux se sont convertis à la foi chrétienne, soit presque 3000 par jour! Les détails de l’Image de Marie touchent profondément ces Indiens : cette femme est plus grande que le dieu-soleil puisqu’elle apparaît debout devant le soleil; elle surpasse le dieu-lune puisqu’elle tient la lune sous ses pieds; elle n’est plus de ce monde puisqu’elle est entourée de nuages et tenue au-dessus du monde par un ange; ses mains jointes la montrent en prière, ce qui signifie qu’il y a quelqu’un de plus grand qu’elle.

Au passage, pour ceux qui pourraient craindre que les Indiens ne se soient portés à quelques idolâtries envers Notre-Dame de Guadalupe, ils peuvent se rassurer, car l’Église ne les aurait sûrement pas baptisés sans leur avoir bien enseigné le catéchisme.

Notre-Dame_de_Guadalupe-Missa_Tridentina_em_Brasília-Wikimedia_Commons.jpgJuan Diego, dévoilant à toutes les personnes
présente et à lui-même l’image de Notre-Dame
de Guadalupe, le 12 décembre 1531.

L’image de Notre-Dame de Guadalupe

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Forte opposition à la légalisation de l’euthanasie en Nouvelle-Zélande

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : LifeSiteNews

Des dizaines de soumissions, requêtes et propositions ont été faites dernièrement sur le site du Parlement de Nouvelle-Zélande et la grande majorité d’entre elles s’opposent à l’euthanasie. Espérons que le gouvernement néo-zélandais écoutera son peuple. Extrait de Scoop Independent News :

Selon Peter Thirkell, secrétaire de l’organisme Care Alliance, l’opposition à la légalisation de l’euthanasie s’est considérablement accrue.

« Sur les 21 277 requêtes soumises à l’enquête du Comité spécial de la santé sur les questions de fin de vie, 77 pour cent étaient opposées à la légalisation », a déclaré le Dr Thirkell. « En revanche, plus de 36 000 requêtes ont été soumises au Comité spécial de la justice au sujet du projet de loi sur les choix de fin de vie, et l’analyse préliminaire montre que l’opposition s’élève à 92 pour cent. »

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Irlande : la loi sur l’avortement votée à la Chambre basse


Leinster House où siège l'Oireachtas, Assemblée nationale d'Irlande.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Clem/Flickr

Si le projet de loi passe la Chambre haute, le Seanad Éireann, il obligera les médecins généralistes à informer les patientes au sujet de l’avortement, de sorte qu’elles puissent s’en procurer un, s’ils refusent de l'accomplir ; le projet de loi permettra aux mineures de se faire avorter sans le consentement de leurs parents, et il autorisera l’expérimentation et la manipulation des bébés avortés. Le contribuable paiera bien sûr. Extrait de FSSPX.News :

La légalisation de l’avortement a franchi une nouvelle étape en République d’Irlande, avec le vote d’un projet de loi à la Chambre basse le 5 décembre 2018, sans que soient pris en compte les nombreux amendements déposés en faveur de la protection de la vie.

Les députés du Dáil Éireann — la chambre basse de l’Oireachtas, le parlement national — ont voté à 90 contre 15 et 12 abstentions le projet de régulation d’interruption de grossesse, c’est-à-dire l’avortement ou meurtre de l’enfant à naître.

Le texte approuvé ouvre l’accès à un avortement « sur demande » jusqu’à la 12e semaine de grossesse, en cas d’anomalie importante du fœtus ou en cas de danger pour la santé physique ou mentale de la mère. C’est une première conséquence du référendum du 25 mai 2018 ayant abrogé le 8e amendement de la Constitution.

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Le gouvernement américain suspend la vente de tissus fœtaux

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Laboratoire Luli X-Can/Flickr

Le gouvernement américain a par conséquent écourté ses contrats auprès de diverses firmes travaillant dans le domaine de la recherche sur tissus fœtaux. Extrait de Gènéthique :

Une ordonnance gouvernementale américaine a suspendu tous les achats de tissus fœtaux à des fins de recherche. Une disposition prise en septembre dernier, sans annonce publique. Cette ordonnance fait suite à la décision du gouvernement d’organiser une enquête approfondie sur la protection applicable aux fœtus humains dans le cadre des recherches financées par le gouvernement fédéral.

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Bonne fête de l'Immaculée Conception

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Francisco de Zubaràn/Wikimedia Commons

La Vierge Marie est appelée Immaculée Conception, car elle a été conçue sans la tache du péché originel. Celle qui devait porter Dieu devait être sans tache.

Ô Marie conçue sans péché priez pour nous qui avons recours à vous.

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Une femme de 85 ans menacée de poursuite pour avoir peint la Vierge Marie


Millie Francis et sa peinture de Notre-Dame de Guadalupe.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Il y a vraiment un peu partout dans le monde occidental des gens qui détestent les images catholiques. Cette femme de 85 ans habite dans un parc de maison mobile à Bradenton en Floride, et, pour avoir peint une image de Notre-Dame de Guadalupe sur sa devanture, elle se voit menacer de poursuite par la direction du parc parce qu'elle désire garder cette image sur le devant de sa maison. Extrait de LifeSiteNews :

Un parc de maisons mobiles menace d'intenter une action en justice contre une femme de 85 ans de Floride pour avoir peint l'image de la Sainte Mère sur le devant de sa maison.

Les avocats de Bradenton Tropical Palms ont envoyé un avis à Millie Francis le 9 novembre qu'elle avait 30 jours pour enlever une image de Notre-Dame de Guadalupe ou faire face à une poursuite, a déclaré le Bradenton Herald.

« Ils devront d'abord me tuer », avait dit Francis quelques jours avant de recevoir l'avis émanant de la gestion du parc qui lui enjoignait d'enlever l'image.

La date limite approchant, elle a dit au Herald mardi : « Ça ne s'en ira nulle part. »

La peinture de Notre Dame est située sur un morceau de contreplaqué où se trouvait autrefois la fenêtre avant de Francis.

En avril, elle a demandé et obtenu la permission de faire enlever la fenêtre parce que le personnel de sécurité du parc patrouillaient avec leurs lampes de poche pendant la nuit. Elle avait aussi une voisin qui pouvait voir dans sa maison par la fenêtre.

Francis, une pieuse catholique, a peint l'image récemment dans l'espoir d'encourager tous ceux qui la voyaient à prier.

« Parce que je pense qu'il est important de rappeler aux gens de prier tous les jours, pas seulement une fois par mois ou d'aller à l'église une seul fois par mois », a-t-elle dit au Bradenton Herald. « Et priez tous les jours parce que nous en avons terriblement besoin. »

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Des étudiants, des hommes, demandent un filtre contre la pornographie sur le réseau sans fil de leur université


University of Notre Dame du lac (Université Notre-Dame du lac), à South Bend en Indiana aux États-Unis.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Adawson8/Wikimedia Commons

Une réaction saine qui, espérons-le, se répandra au-delà des États-Unis où les faits se déroulent. Extrait du Daily Beast :

Les républicains et les féministes radicales l'ont pratiquement abandonné, mais la lutte contre la pornographie a de nouveaux champions improbables : les hommes d'université.

Combinant l'énergie du mouvement #MeToo avec une ferveur morale, les étudiants des universités de tout le pays ont dit au Daily Beast qu'ils s'efforçaient de bannir la pornographie de leurs campus.

La démarche a débuté à l'Université Notre-Dame en octobre, lorsque 80 étudiants ont rédigé une lettre ouverte demandant un filtre contre la pornographie sur le WIFI du campus. Depuis, le rédacteur principal de la lettre, Jim Martinson, a déclaré avoir reçu des courriels de plus de 40 étudiants d'autres universités qui souhaitent installer un filtre sur leur propre campus.

La doyenne de Georgetown Amelia Irvine, une ardente conservatrice, a déclaré au Daily Beast que la lettre de Martinson l'avait inspirée de faire pression pour obtenir quelque chose de semblable dans son université catholique. Elle a l'intention de recruter du soutien pendant les vacances d'hiver et de lancer une lettre ouverte ou une pétition au printemps.

Les étudiants d'écoles laïques comme Harvard, Princeton et l'Université de Pennsylvanie ont également déclaré qu'ils étaient enthousiasmés par l'idée, mais qu'ils cherchaient encore à savoir comment elle pourrait fonctionner sur leurs campus. À Princeton et à Penn, les étudiants ont dit qu'ils déposaient et distribuaient déjà des dépliants sur les dangers de la pornographie sur le campus.

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Union européenne : la Pologne et la Hongrie bloquent l'agenda LGBT

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Campus France/Flickr

Grâce à la Pologne et à la Hongrie, l'Union européenne n'aura pas de projet de directive LGBT. Extrait du Salon beige :

Jeudi 6 décembre, lors d’un conseil des affaires sociales à Bruxelles, la Hongrie et la Pologne ont refusé la référence aux LGBTIQ dans un projet de directive traitant de « l’égalité de traitement entre les personnes sans distinction de religion ou de convictions, de handicap, d’âge ou d’orientation sexuelle ».

Conséquence (rare) : les ministres des affaires sociales des Vingt-Huit n’ont pas pu adopter de « conclusions du conseil. »

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Facebook débloque l'image du Père Noël adorant l'Enfant Jésus après qu'un article de LifeSiteNews soit rendu viral

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jennifer Beahm Crawford/Facebook

Facebook avait rendu plus difficile l'accès de cette image du Père Noël* génuflectant devant l'Enfant Jésus, et ce, pour cause de « violente ou graphique »! C'est à n'y rien comprendre et les explications de Facebook sont nébuleuses. Extrait de LifeSiteNews :

Facebook avait censuré une image du Père Noël agenouillé devant l'Enfant Jésus qu'il avait jugée « violente ou graphique », ce qu'il a cessé de faire après qu'un article de LifeSiteNews sur ce sujet soit rendu viral le 5 décembre.

Facebook avait opacifié la photo, expliquant que « la photo était automatiquement masquée pour que vous puissiez décider si vous voulez la voir ».

Les utilisateurs devaient ensuite cliquer sur un bouton pour découvrir la photo. Les utilisateurs de Facebook peuvent désormais diffuser librement l'image sans qu'aucune étape supplémentaire ne soit nécessaire pour la voir.

Capture d'écran de Facebook censurant l'image du Père Noël et de l'Enfant Jésus.

Après que LifeSiteNews ait écrit le 5 décembre sur la censure de la photo par Facebook, l'histoire est devenue virale. En moins de 18 heures, l'histoire a été relayée sur Facebook plus de 42 000 fois par les lecteurs de LifeSiteNews et a été vue environ 60 000 fois.

L'histoire a reçu un coup de pouce lorsqu'elle a été reprise par le chroniqueur conservateur américain Todd Starnes et publiée sur son blog aujourd'hui. Il a également été repris par The Blaze dans un post aujourd'hui.

Il est intéressant de noter que l'image a été restaurée le jour de la fête de la Saint-Nicolas, appelé Père Noël, qui est vénéré pour sa gentillesse et sa générosité.

Facebook explique sur son site ce qu'il entend par « Violence et contenu graphique » :

« Nous savons aussi que les gens ont des sensibilités différentes en ce qui concerne le contenu graphique et violent. Pour cette raison, nous ajoutons une étiquette d'avertissement sur les contenus particulièrement graphiques ou violents afin qu'ils ne soient pas accessibles aux personnes de moins de dix-huit ans et que les gens soient conscients de la nature graphique ou violente avant de cliquer pour les voir », déclare le géant des médias sociaux.

« Nous péchons par excès d'indulgence en autorisant le contenu, surtout lorsque certains le trouvent répréhensible, » déclarent les normes communautaires de Facebook, affirmant qu'il le fait dans le but de maintenir un « environnement sûr » pour sa « communauté Facebook ».

On ne sait toujours pas pourquoi l'image de l'Enfant Jésus et du Père Noël a été considérée par Facebook comme un « contenu violent et graphique. »


*Une petite note, En anglais le « Père Noël » c'est Santa Claus (appellation qui n'est d'ailleurs pas de l'anglais) ou Saint Nicolas. Il est un peu difficile de savoir comment traduire Santa Claus, pour la bonne raison qu'il faut savoir s'il s'agit de Saint Nicolas ou de sa version protestantisée et même laïcisée (Santa Claus), le Père Noël. Je ne l'appellerai pas Saint Nicolas puisque sur l'image ce n'est manifestement pas un évêque. Mais comme il est dans une position digne (il adore Dieu), s'il n'est Saint Nicolas, ce pourrait être un bon Père Noël. — CQV

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Des euthanasies précipitées

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : tOrange.biz

Ainsi, des Québécois se feraient euthanasier sans avoir vraiment exploré les diverses possibilités de soins ou de soulagements offerts par la médecine. C’est proprement honteux ! Les chercheuses qui ont mené l’étude, qui nous apprend ces faits, disent aussi que normalement les patients devraient être informé des soins auxquels ils droits avant d’envisager de les euthanasier.

Vers la fin de l’article de La Presse qui rapporte leur étude, on voit que les chercheuses sont manifestement pour l’euthanasie et posent quelques questions rhétoriques ayant pour but de faciliter l’accès à l’euthanasie (dans le jargon moderne Aide médicale à mourir, AMM).

Rappelons-le, l’euthanasie est intrinsèquement mauvaise. Il n’est même pas nécessaire si l’on ne considère que le côté de la souffrance, la sédation palliative (qui peut facilement tourner à l’euthanasie si l’on n’y prend garde) est là pour ça, et il était déjà possible d’échapper à l’acharnement thérapeutique avant la légalisation de l’euthanasie.

Extrait de La Presse :

Des patients québécois ont reçu l’aide médicale à mourir (AMM) sans avoir pris le temps d’explorer toutes leurs autres options de soins de fin de vie. Dans certains cas, la question des soins palliatifs a été abordée seulement après qu’ils eurent demandé l’AMM, révèle une étude inédite que La Presse a obtenue.

C’est ce qu’ont découvert trois chercheuses en éthique – Lori Seller et Véronique Fraser, du Centre universitaire de santé McGill (CUSM), ainsi que Marie-Ève Bouthillier, du CISSS de Laval – après avoir épluché 80 dossiers de patients qui ont demandé l’AMM depuis 2015 dans la province.

« Lorsque l’AMM a été légalisée au Québec il y a trois ans, les directives cliniques recommandaient que l’AMM demeure une option exceptionnelle », expliquent les chercheuses, qui viennent de publier les résultats de leur étude dans une publication scientifique britannique, le Journal of MedicalEthics.

« Ce n’est pas une obligation légale que les patients passent à travers toutes leurs autres options avant d’avoir recours à l’AMM », explique Mme Seller, conseillère en éthique au CUSM, en entrevue avec La Presse.

« Mais selon les directives cliniques, les médecins et les patients souffrants en fin de vie sont incités à considérer l’ensemble des interventions de soins et de traitements qui peuvent être opportuns, afin que le recours à l’AMM demeure exceptionnel. »

— Lori Seller, chercheuse en éthique

L’étude révèle également que les patients qui demandent l’AMM sont atteints en grande majorité d’un cancer, ont en moyenne 70 ans et vivent de grandes souffrances physiques. Les hommes sont un peu plus nombreux (54 %) que les femmes (46 %) à en faire la demande.

Parmi les 80 cas étudiés, la moitié des patients (43) ont reçu l’AMM. Il s’est écoulé en moyenne six jours entre leur requête et leur mort.

Dans la majorité des cas, les patients ont obtenu une consultation en soins palliatifs moins de sept jours avant de faire leur demande d’AMM. Dans certains cas, la consultation en soins palliatifs est survenue carrément après la demande d’AMM.

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