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Un ministre qui n'a pas sa langue dans sa poche, il mènera une politique étrangère sans idéologie marxiste

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Flickr/CC BY 2.0

Le nouveau ministre de l'Itamaraty (Ministère des Affaires étrangères du Brésil), Ernesto Araújo, qui prendra fonction le 1er janvier 2019 (espérons qu'il ne lui arrivera rien d'ici-là) s'exprime sur la Gazetta do povo s'adressant à ses critiques qui aimeraient voir le Ministre de l'Itamaraty contrecarrer le président dans son désir de nettoyer ce ministère de l'idéologie marxiste. Le nouveau ministre est pro-vie, pour la famille normale et contre l'idéologie LGBT qui découle du marxisme. Extrait de la Gazetta do povo :

Lecteur, vous dites que vous voulez mettre fin à l'idéologie du ministère de la politique étrangère? Je le veux aussi. C’est la mission principale que le président Bolsonaro m’a confiée: « libérer l’Itamaraty », comme il l’a dit dans son discours la nuit de la victoire. Mais savez-vous quelle est l'idéologie qu'il faut éliminer? Vous dites que c'est l'idéologie, mais quand je dis que je suis contre le marxisme sous toutes ses formes, vous vous plaignez. Lorsque je me positionne, par exemple, contre l'idéologie du genre, contre le matérialisme, contre la restriction de la liberté de pensée et d'expression, vous m'appelez fou. Mais si ce n'est pas le marxisme, ni ceux-ci ni les autres parmi ses nombreux développements, alors quelle idéologie voulez-vous extirper de la politique étrangère? « L'idéologie du PT » [Parti travailliste], me direz-vous. Et l'idéologie du PT ne serait pas le marxisme?

Vous avez appris à l'école que le marxisme prêche la propriété collective des moyens de production et vous en déduisez que si le PT ne prêche pas la fin de la propriété privée, c'est qu'il ne peut donc pas être marxiste. C'était peut-être la position du marxisme en 1917 — vous avez 100 ans de retard dans votre conception du marxisme. Vous êtes satisfait de ce que vous a dit votre professeur d'histoire dans une classe de lycée, vous n'avez plus jamais étudié le marxisme ni aucun autre courant idéologique, et venez maintenant pontifier et essayer de me dire quelle est ou quelle n'est pas cette idéologie? Les marxistes culturels d'aujourd'hui disent que le « marxisme culturel » n'existe pas et vous les croyez, tout simplement parce que vous n'avez pas les éléments de jugement et les connaissances nécessaires. Le fait est que le marxisme a depuis longtemps cessé de rechercher le contrôle des moyens de production matérielle et a commencé à rechercher le contrôle des moyens de production intellectuelle — fondamentalement les moyens de production du discours public : les médias et le monde universitaire. Qui contrôle le discours public dans les journaux et les universités contrôle la vie sociale beaucoup plus efficacement que par le contrôle des usines ou des fermes. Débordant de l'économie, l'idéologie marxiste a pénétré insidieusement au cours des dernières décennies dans la culture et le comportement, dans les relations internationales, dans la famille et ailleurs.

Les choses que je critique, je les critique parce que je sais qu'elles font partie intégrante de l'idéologie que vous dites vouloir voir répudiée. Alarmisme climatique [...] tiers-mondisme automatique et autres arrangements faussement anti-hégémoniques, adhésion à des régimes d'avortement et antichrétiens dans des forums multilatéraux, destruction de l'identité des peuples par une immigration illimitée, le transfert brutal du pouvoir économique en faveur des pays non démocratiques et marxistes, le ramollissement du traitement réservé à la dictature vénézuélienne sont tous des éléments de « l'idéologie du PT, » c'est-à-dire du marxisme...

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Une mère a choisi la vie pour sa fille qui n'avait qu'un demi-cœur

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Heureusement, que nombreuses encore sont mères qui choisissent la vie pour leurs enfants, même handicapé. Extrait de LiveActioNews :

Si Demi Goodman avait écouté ses médecins, sa fille ne serait pas ici en ce moment. En 2016, Goodman, qui vit au Royaume-Uni, a appris qu'elle était enceinte. Elle était excitée à l'idée d'accueillir un nouvel enfant. Mais lorsqu'une échographie de routine leur révéla un problème, les médecins lui ont dit d'avorter — et au lieu de cela, elle a choisi la vie.

Lors du scan anatomique des 20 semaines, Goodman a découvert que sa fille souffrait d'une pathologie qui avait fait en sorte que seule la moitié de son cœur s'était développée. Par-dessus cette nouvelle dévastatrice, on lui a affirmé que le cerveau de sa fille pourrait être endommagé, qu'elle ne marcherait peut-être jamais et qu'elle aurait besoin de plusieurs chirurgies pour survivre.

« Je n'arrivais pas à croire ce qu'on me disait », dit-elle. « J'avais le cœur brisé. Le médecin a dit qu'il valait probablement mieux d'interrompre la grossesse. » Au lieu de cela, elle a choisi la vie pour sa fille, et en août 2017, elle accoucha du petit bébé Beau. « Quand j'ai regardé son petit visage, je l'ai tout de suite aimé », a dit Goodman.

Beau subit une opération à cœur ouvert après sa naissance, ainsi qu'une autre chirurgie à l'âge de quatre mois, deux interventions auxquelles elle a survécu. Elle a ensuite subi une troisième intervention chirurgicale au début de 2018, et maintenant, à l'âge de 14 mois, Beau est en bonne santé, heureuse et épanouie. Loin du scénario terrible que les médecins ont peint pour Goodman, Beau est capable de jouer et de marcher comme les autres enfants de son âge.

« C'est un bébé très heureux et elle rit tout le temps », dit-elle. « Je suis content d'avoir écouté mon instinct et de l'avoir gardée en sécurité. Je suis si fière d'elle parce qu'elle fait tout ce que les docteurs ont dit qu'elle ne ferait pas. »

Bébé Beau est loin d'être le seul enfant à survivre - et à s'épanouir - avec son handicap.

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Irlande : Les sages-femmes et les infirmières refusent aussi de participer à l’avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixabay

Espérons qu’ils seront assez nombreux pour embarrasser le gouvernement irlandais. Ces infirmières et sages-femmes refusent tout comme les médecins de participer aux avortements de quelque façon que ce soit, y compris référer une femme voulant se faire avorter à un autre professionnel de la santé enclin à le réaliser. Extrait de Gènéthique :

En Irlande, un groupe d’infirmières et de sages-femmes a rejoint les médecins et déclare ne pas vouloir participer aux services d’avortement. Elles expliquent que dans le cas d’avortements par méthode chirurgicale, elles devront donner les soins préopératoires, ce qu’elles refusent.

Le mois dernier, des centaines de médecins ont élevé la voix contre l’avortement et ont manifesté leurs préoccupations à propos de la nouvelle loi. Ils ont demandé au ministre de la Santé, Simon Harris, de ne rien précipiter.

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Grande-Bretagne — enfants autistes poussés à s’identifier comme transgenres ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Voici un témoignage poignant d’une enseignante qui dénonce la puissance des groupes de pression LGBT. Extrait de Pour une école libre :

Le Daily Mail britannique a récemment publié une histoire choquante. Un enseignant lanceur d’alerte y affirme qu’on y convainc des enfants autistes vulnérables qu’ils seraient dysphoriques du genre. Le Mail on Sunday a révélé que 17 écoliers d’une même école britannique suivent une « thérapie » de changement de sexe. La plupart de ces enfants qui subissent cette transformation sont autistes, selon un enseignant, qui a déclaré que les enfants vulnérables souffrant de problèmes de santé mentale étaient « leurrés » en leur faisant croire qu’ils étaient du mauvais sexe. On trouvera ci-dessous des extraits de cette enquête du Mail on Sunday.

La lanceuse d’alerte dit que peu de ces enfants « transgenres » souffrent de dysphorie de genre — le terme médical pour quelqu’un qui se sent né dans le mauvais corps — mais qu’ils sont facilement influençables, s’accrochant à la croyance erronée qu’ils seraient du mauvais sexe, y voyant un moyen de faire face aux problèmes causés par l’autisme.

Plus tôt cette année, le Mail on Sunday a révélé qu’un tiers des jeunes envoyés à la seule clinique d’identité sexuelle pour enfants du NHS [Santé publique] présentait des « traits autistiques modérés à sévères ».

Cela signifie que 150 adolescents autistes ont reçu des médicaments bloquant la puberté qui empêchent leur corps de mûrir.

L’enseignante dit qu’elle s’est sentie obligée de s’exprimer pour protéger ses élèves, dont beaucoup, selon elle, pourraient déjà prendre des médicaments puissants et subir une chirurgie qui pourrait changer leur vie.

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Un projet de loi pour interdire les pro-vie des alentours des avortoirs au Manitoba


Embryon humain à 14 semaines de grossesse.

Billet de blogue d’augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : X.Compagnion/Wikimedia Commons

Un député provincial du Manitoba a déposé un projet de loi visant à placer des « zones bulles » de 150 mètres autour des lieux où sont pratiqués les avortements, et ce, pour y interdire les pro-vie, sous prétexte que des pro-vie harcèleraient les femmes se rendant dans ces établissements pour un avortement. C’est plutôt les pro-vie, manifestant paisiblement devant ces boucheries, qui sont l’objet de harcèlement, injures, menaces, vol, détérioration de matériels et violences physiques.

Il existe déjà des « zones bulles » au Québec, en Ontario et en Colombie-Britannique. Extrait de LifeSiteNews :

Un politicien tente de faire adopter une loi de « zones bulles » pour tenir les pro-vie à l’écart des cliniques d’avortement, prétendument pour les empêcher de harceler les femmes qui vont se faire avorter.

Mais Maria Slykerman, présidente de la section manitobaine de Campaign Life Coalition et organisatrice des veillées de prière annuelles des 40 Jours pour la vie, affirme qu’il n’y a pas eu de harcèlement.

Slykerman et habituellement deux autres personnes organisent leurs veillées de prière pro-vie en septembre, chaque année devant le Health Sciences Women’s Hospital.

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Mgr Robert Morlino, évêque bien-aimé des États-Unis, meurt soudainement


Mgr Robert Charles Morlino, évêque du diocèse de Madison au Wisconsin.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le courageux évêque du diocèse de Madison, Mgr Robert Morlino, était un exemple pour ses ouailles et ses confrères. Il a notamment envoyé des directives aux prêtres de son diocèse concernant les personnes décédées en étant dans une « union » homosexuelle ou « notoire ». Ces directives, qui ont fuité vers le grand public, ordonnaient aux prêtres de refuser les funérailles auxdits défunts sous trois conditions réunies : ces personnes devaient être des pécheurs publics notoires ; elles devaient n’avoir montré aucun signe de repentir ; et finalement, leurs funérailles pourraient causer scandale parmi les fidèles. Et Mgr Morlino a tenu bon quand ses directives ont été divulguées dans les médias. Extrait de LifeSiteNews :

Mgr Robert Charles Morlino, évêque du diocèse catholique romain de Madison au Wisconsin, est décédé à la suite d’un « accident cardiaque ».

Selon le diocèse de Madison, Mgr Morlino est décédé le samedi 24 novembre à 21 h 15 à l’hôpital St. Mary. Il avait 71 ans.

Une veillée de prière nocturne a été organisée pour Mgr Morlino au séminaire Holy Name Heights de Madison, alors qu’il était mourant, et s’est terminée ce matin à 8 heures.

L’évêque a été hospitalisé pour un « accident cardiaque » dont il a souffert mercredi alors qu’il subissait un examen médical planifié, et le diocèse s’est tourné vers les médias sociaux pour que l’on prie pour lui. Bien que le pronostic ait été optimiste à l’origine, l’état de l’évêque s’est aggravé samedi. Le vicaire général du diocèse, Monseigneur James Bartylla, écrivit aux prêtres de Mgr Morlino pour leur demander de prier pour un miracle.

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Justice : l’hôpital qui refusait de soigner Léah, si s’en présentait le besoin, y sera obligé

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Le CHU de Caen refusait la possibilité d’admettre à nouveau Léah, jeune femme de 19 ans, atteinte du syndrome de l’hémiplégie alternante de l’enfance qui est cause de crises d’épilepsie ainsi que de retards moteurs et mentaux. Extrait de France bleu :

Le 2 novembre dernier le CHU de Caen faisait savoir aux parents de Léah qu’il ne l’accueillerait plus en réanimation en cas de nouvelle crise. Un coup de massue pour le couple de Fourneville, parent de la jeune handicapée de 19 ans. Trois semaines plus tard, son recours engagé auprès du tribunal administratif de Caen lui offre un soulagement. La justice ordonne à l’hôpital caennais de traiter la jeune handicapée comme n’importe quel autre malade.

[…] Le CHU de Caen a encore la possibilité de contester la décision devant le Conseil d’Etat.

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Le danger de suicide est plus élevé chez les femmes qui prennent la pilule

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wheeler Cowperthwaite/Flickr

Encore un danger de la pilule contraceptive. Extrait de 20 minutes :

Les femmes qui prennent la pilule courent un risque plus élevé de devenir dépressives et, par conséquent, de s'ôter la vie. C'est le résultat d'une étude danoise [...] Forte de ses constatations, l'Agence européenne des médicaments demande que la notice d'emballage de ce moyen de contraception hormonal soit adaptée afin de mettre en garde contre les risques de dépression et de suicide.

[...]

Quelques informations sur l'étude

L'étude a été réalisée en 2017 par des gynécologues de la clinique universitaire de Copenhague. Les données de près de 500 000 femmes ont été prises en compte. Parmi elles, 69 999 ont tenté de se suicider et 71 se sont suicidées. L'étude a également révélée que le taux de suicide ou de tentative de suicide était presque deux fois plus élevé auprès des femmes qui prennent la pilule.

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Une école du Texas abandonne la partie et permet aux élèves de prier ouvertement

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixnio

De tant à autre ça arrive qu'une école lâche le morceau et donne raison aux parents des élèves (pour de bonnes raisons s'entend). Extrait de LifeSiteNews :

Le christianisme n’est pas une maladie — mais une école du Texas était déterminée à le traiter comme tel. À l’école intermédiaire de Honey Grove, un groupe d’élèves a été « surpris » en train de prier à l’heure du dîner à la cafétéria — et mis en quarantaine.

« Vous ne recommencez pas ça », a déclaré le directeur Lee Frost, qui s’est approché du groupe et les a interrompus. Si les élèves voulaient continuer à prier, leur a-t-il dit le lendemain, ils feraient mieux de passer derrière une cloison, d’être seuls dehors ou de se cacher dans le gymnase. En d’autres termes, ils ne pouvaient pas être quelque part où n’importe qui pourrait les voir. Mais les enfants ne faisaient rien de mal - et leurs parents ont fait appel au First Liberty Institute pour le prouver.

Dans une lettre au district scolaire de Honey Grove, les avocats ont souligné que les élèves ne devraient être obligés de s’« exiler » pour prier les uns pour les autres [...]

La semaine dernière, Honey Grove a reçu le message. Keisha Russell, l’avocate de First Liberty, a expliqué dans le « Washington Watch » de vendredi que l’école avait « répondu immédiatement ». Bien qu’il y ait eu quelques inquiétudes quant à la perturbation causée* par la prière à la cafétéria, ils ont accepté de laisser Hannah et ses amies poursuivre leur tradition du dîner. Désormais, dit Keisha, ils ne seront plus « obligés de se cacher ou de s’isoler pour exercer leur foi ».


*Dérangement ? prier avant son repas est une chose tout à fait calme et qui ne pourrait être remarquer (surtout dans une école à l'heure du dîner) que par son calme, bref, c'est bien chrétien (quand ce sont des chrétiens qui prient). — CQV

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Le nouveau ministre des Affaires étrangères du Brésil contre l’idéologie mondialiste


Ernesto Enrique Fraga Araújo.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : GlobalTies2015/YouTube

Ernesto Enrique Fraga Araújo, tout nouvellement nommé ministre des Affaires étrangères du Brésil, est catholique, philosophe aristotélico-thomiste et a les idées en ordre. Il entrera dans sa fonction le 1er janvier 2019. J’ai mis ci-dessous le texte (dans la section « À propos ») qu’il a écrit pour se présenter et pour expliquer son objectif. Dommage que nous n'ayons pas un ministre comme celui-là! Extrait de Metapolίtica :

Je suis Ernesto Araújo.

J’ai 28 ans de service public et je suis aussi écrivain.

Je veux aider le Brésil et le monde à se libérer de l’idéologie mondialiste.

Le globalisme est une mondialisation économique pilotée par le marxisme culturel.

Il s’agit essentiellement d’un système anti-humain et anti-Chrétien.

Foi en Christ signifie aujourd’hui lutter contre le mondialisme, dont le but ultime est de rompre le lien entre Dieu et l’homme et qui a fait de l’homme un esclave et Dieu quelque chose sans importance.

Le projet métapolitique signifie essentiellement s’ouvrir à la présence de Dieu dans la politique et l’histoire.

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