Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gage Skidmore/Flickr
Mike Pence, vice-président des États-Unis, était déjà la cible des pro-avortement et ceux-ci ne manquaient pas de le vilipender. Maintenant j'ai appris, par l'article dont se trouve un extrait ci-dessous, que les « défenseurs des droits des homosexuels » n'étaient pas contents que la femme d'un homme si haut placé dans l'administration américaine enseignât l'art dans une école, où les pratiques « sexuelles » hors mariage (mariage entre un homme et une femme cela va de soi) étaient interdites. Ah bon ! Je trouve ça plutôt bien que Mme Pence enseigne dans une école où l'on prend le mariage au sérieux. D'après Yahoo News :
À la page 11 d'une demande de travail dans une école chrétienne privée en Virginie, on demande sans ambages aux enseignants de s'engager à « entretenir un style de vie basé sur les normes bibliques de conduite morale. »
Le formulaire poursuit en précisant que les comportements interdits comprennent, sans toutefois s'y limiter : « activité hétérosexuelle hors mariage (p. ex. relations sexuelles avant le mariage, cohabitation, relations extraconjugales), activité sexuelle homosexuelle ou lesbienne, polygamie, identité transgenre » ou « toute autre violation des rôles uniques de l'homme et de la femme. »
Les élèves de l'école Immanuel Christian School, âgés de 5 à 14 ans, ne peuvent pas non plus se livrer à des « activités homosexuelles ou bisexuelles », selon un accord que les parents doivent signer avant de pouvoir les inscrire.
L'épouse du vice-président Mike Pence, Karen, enseigne une fois de plus l'art à l'école de la banlieue de Washington, suscitant le courroux des défenseurs des droits des homosexuels qui disent que cela envoie un mauvais message des cercles internes du pouvoir américain.
« Nous laisserons les critiques se déchaîner », a déclaré Pence dans un entretien accordé à la chaîne de télévision catholique EWTN. Mais il a ajouté : « Le dénigrement de l'éducation chrétienne aux États-Unis doit cesser. »
Bien sûr, le conservatisme religieux de la famille Pence est exactement la raison pour laquelle Donald Trump l'a choisi comme colistier en juillet 2016.
Pro-prière, anti-avortement.
|