Les gouverneurs pro-vie du Texas et du Mississippi lèvent le port obligatoire du masque !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Le gouverneur Greg Abbott du Texas et le gouverneur Tate Reeves du Mississippi ont signé un décret levant le port obligatoire du masque.
Au Texas, selon le site de Guy Boulianne :
Le gouverneur Greg Abbott a publié aujourd’hui un décret (GA-34) levant le mandat du masque au Texas et augmentant la capacité de toutes les entreprises et installations de l’État à 100 %. Le gouverneur a fait cette annonce au restaurant mexicain de Montelongo à Lubbock dans une allocution à la chambre de commerce de Lubbock.
Au Mississippi, selon un autre article du site de Guy Boulianne :
Le gouverneur républicain du Mississippi, Tate Reeves, a annoncé mardi qu’il levait les mandats de masque pour tous les comtés (décret 1549). Reeves a déclaré que son bureau cessait de dire aux gens ce qu’ils pouvaient et ne pouvaient pas faire. « La raison pour laquelle le gouvernement ne vous dit plus cela, c’est à cause des mesures que nous avons prises au cours des 12 derniers mois, nous a amenés à un point où le total de nos hospitalisations aujourd’hui, le deuxième jour de mars 2021, est à peu près là où nous étions à la fin du mois de mai. », a déclaré le gouverneur.
Dans ce dernier cas, le masque restera malheureusement obligatoire dans certains établissements et dans certaines conditions (comme l’impossibilité d’observer la distanciation antisociale).
Lire la suiteJoe Scheidler, grande figure du mouvement pro-vie
Joe Scheidler, pro-vie américain influant.
Par Doug Mainwaring ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Shrine of Our Lady of Guadalupe/YouTube
Chicago, Illinois, 19 janvier 2021 (LifeSiteNews) — Joe Scheidler, une figure prédominante du mouvement pro-vie aux États-Unis, s’est éteint le 18 janvier à l’âge de 93 ans.
Vrai parrain du mouvement pro-vie, Monsieur Scheidler était réputé pour son activisme de rue. « Il apprit ses techniques d’action directe lors des mouvements pour la défense des droits civils des années 1960, lorsqu’il marcha avec le Dr Martin Luther King, Jr. », selon Celebrate Lifes, une publication de l’American Life League, l’organisation fondée par Monsieur Scheidler en 1980.
Joe Scheidler apprit ses techniques d’action directe lors des mouvements pour la défense des droits civils des années 1960, lorsqu’il marcha avec le Dr Martin Luther King, Jr.
— American Life League (@AmerLifeLeague) January 18, 2021
Joe Scheidler s’est fait connaître à l’échelle nationale à titre de défendeur principal lors de la poursuite historique NOW v. Scheidler, déposée par la National Organization for Women (NOW ― Organisation nationale pour les femmes), qui l’accusait de faire partie « d’une conspiration nationale visant à bloquer l’accès des femmes aux cliniques d’avortement au moyen d’un plan d’activité de tromperie, impliquant des menaces de violence, réelles ou implicites. » L’affaire s’est rendue jusqu’à la Cour suprême des États-Unis à trois reprises.
En 2003 et en 2006, c’est par 8 voix contre 0 que les juges lui ont donné raison, marquant une victoire majeure pour le droit de manifester des Américains.
« La réalisation dont mon père est le plus fier est le travail de défense du “droit à la vie” de ceux et celles qu’il a encouragés à assumer un rôle actif dans la bataille contre l’avortement », mentionne Eric Scheidler, le fils aîné de Joe, qui agit à titre de directeur général de l’American Life League.
Lire la suitePlanned Parenthood tue plus d’enfants à naître que jamais, et est le second plus grand fournisseur de «transitions» aux É.-U.
Par Jonathon Van Maren ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : AdobeStock
1er mars 2021 (LifeSiteNews) ― La semaine dernière, le Family Research Council (FRC) a publié son rapport annuel The Real Planned Parenthood : Leading the Culture of Death. Il s’agit d’un regard qui donne à réfléchir sur la plus grande entreprise d’avortement d’Amérique, qui a non seulement perpétré plus de la moitié de tous les avortements signalés aux États-Unis de 2018 à 2019, mais qui s’est également développée sur le marché en pleine expansion de l’hormonothérapie transgenre. Au cours de l’année fiscale 2019-2020, Planned Parenthood a tué 354 871 bébés.
Selon le FRC, Planned Parenthood a reçu 38 % de son financement — 618,1 millions de dollars — du gouvernement américain, la majeure partie par le biais du Medicaid. « Le revenu total de Planned Parenthood pour 2019-2020 était de 1,6 milliard de dollars, le plus élevé de son histoire », rapporte le FRC. « Planned Parenthood a fait état de 888,3 millions de dollars d’actifs nets non affectés, dans lesquels il peut puiser s’il venait à perdre le financement gouvernemental. »
Selon l’auteur du rapport, directrice du Center for Human Dignity du FRC, Mary Szoch : « Sur la base de l’augmentation annuelle du nombre d’avortements pratiqués par Planned Parenthood et de la diminution du nombre d’avortements pratiqués au niveau national, il appert que Planned Parenthood devient de plus en plus un monopole de l’avortement ». Dans des séquences filmées sous couverture par David Daleiden et ses collègues du Center for Medical Progress, des propriétaires de cliniques d’avortement indépendantes ont été filmés en train de se plaindre du fait que Planned Parenthood les poussait de plus en plus à la faillite.
Le rapport du FRC souligne également que la thérapie hormonale transgenre est maintenant disponible dans 200 centres de Planned Parenthood dans 31 États, faisant du géant de l’avortement le deuxième plus grand fournisseur de « traitements » transgenres (si on peut appeler ça ainsi) dans le pays.
Lire la suiteTrump est de retour
Le président Donald Trump.
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo : Trump White House Archived/Flickr
Le président pro-vie Trump (président, car ses adversaires ont triché aux élections) est de retour ! « “Nous nous engageons à défendre la vie des innocents et à faire respecter les valeurs judéo-chrétiennes¹ de nos fondateurs et de notre fondement”, déclarait le président Trump, incriminant les républicains d’extrême gauche et l'“anti-famille” Maison-Blanche, sous le règne de Biden », rapporte LifeSiteNews. ― A. H.
The Donald n’aura pas laissé beaucoup de répit aux démocrates, ni aux quelques républicains qui avaient cru en avoir fini avec lui.
Le voilà de retour dans un show qui sonne son retour dans l’arène politique. Devant le rassemblement annuel des conservateurs, l’ex-président des Etats-Unis est sorti de sa retraite pour promettre un avenir radieux au « trumpisme ».
« La Maison-Blanche ? Qui sait, je pourrais décider de gagner pour la troisième fois » [car il a en réalité gagné les dernières élections²] lance-t-il devant les membres du Grand Old Party réunis le 28 février à Orlando, en Floride pour la Conservative Political Action Conference.
Et puis :
« Je ne suis pas en train de créer un nouveau parti : c’était une fake news. »
Le retour sur la scène politique de l’ancien président au Hyatt Regency d’Orlando où il monte sur scène pour clôturer les travaux de la Conférence des conservateurs américains (CPAC), est un véritable spectacle dans le parfait style Trump. Et son message est sans équivoque : je suis toujours le leader.
Il est prêt à reprendre le Grand Old Party et à lancer le New America First Agenda, en dictant les thèmes sur lesquels construire la plateforme qui permettra aux républicains de regagner du terrain au Congrès en prévision des élections de mi-mandat de 2022, puis de viser la reconquête de la Maison-Blanche en 2024. « Plus le défi est grand, plus la tâche est difficile, plus nous devons être déterminés à réussir et à gagner », a déclaré Trump. Les priorités indiquées dans son discours sont celles qui ont toujours été au cœur de sa ligne politique : l’immigration, la sécurité publique et le commerce.
Lire la suiteL’«Equality Act», un projet de loi pour faire de l’avortement un «droit» et imposer l’idéologie LGBT aux États-Unis
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : SSG Christofer Klutts/Public domain photograph from defenseimagery.mil/Wikimedia Commons
La Chambre des représentants des États-Unis a adopté récemment, le 25 février 2021, l’Equality Act, ou loi sur l’égalité, par 224 voix contre 206. Le projet de loi en question ferait de l’avortement un « soin de santé » et donc un « droit », ferait du refus d’embaucher un homosexuel impénitent comme professeur ou même de l’ordonner prêtre un crime de « discrimination », érigerait en « droit » ― autrement plus durable que ceux garantis par les décrets de Joe Biden ― la participation d’hommes se prétendant femmes (« transgenre ») aux compétitions féminines, et interdirait les thérapies réparatives. L’Equality Act doit être approuvé ou rejeté par le Sénat des États-Unis, les républicains, susceptibles de s’y opposer, ayant assez de sénateurs pour empêcher son approbation par les deux tiers de l’assemblée, mais les démocrates, majoritaires aussi bien qu’à la Chambre des représentants, ayant apparemment la possibilité de faire adopter le projet de loi à la simple majorité (les démocrates n’hésitent aucunement à employer des moyens inusités quand il s’agit de leurs intérêts, mais ne se gênent absolument pas d’accuser de danger pour la démocratie quiconque aurait voulu se servir des prérogatives de sa charge pour mener à bien ses projets ― comme lorsque Donald Trump a nommé Amy Coney Barrett à la Cour suprême des États-Unis juste avant les élections présidentielles). Le président Bidon apposera volontiers sa signature à l’Equality Act, celui-ci devait-il se rendre que jusqu’à son bureau.
Il s’agirait rien moins que l’inscription dans le marbre de la loi du funeste jugement Roe c. Wade selon nombre d’organismes pro-vie aux États-Unis, rapporte LifeSiteNews :
Lire la suiteSelon de nombreux groupes pro-vie, l’Equality Act, en codifiant effectivement l’arrêt Roe c. Wade, constituerait également une victoire majeure pour les fournisseurs d’avortements.
La Chambre du Dakota du Nord vote l’interdiction du masque obligatoire
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (côtés flous rajoutés) : Freepik
Hier lundi, la Chambre des représentants du Dakota du Nord a voté par 50 voix contre 44 un projet de loi rendant illégal tout décret qui rendrait le port du masque obligatoire dans l’État.
Le Dakota du Nord n’« est pas un camp de prisonniers », affirme le député Jeff Hoverson, rapporte The Gateway Pundit :
« Notre État n’est pas un camp de prisonniers », déclara le parrain du projet de loi, le député Jeff Hoverson.
Le gouverneur républicain Doug Burgum avait rendu le masque obligatoire par un décret il y a trois mois, mais avait auparavant exprimé des doutes quant à la pertinence de ce décret.
Le Grand Forks Herald rapporte que Hoverson a qualifié l’obligation du masque de « bêtise diabolique », les qualifiant de conspirations dirigées par « des bureaucrates nantis et non élus qui volent nos libertés et perpétuent des tromperies ».
Soit dit en passant, le représentant Jeff Hoverson est un député pro-vie qui avait présenté par le passé un projet de loi qui aurait tout simplement chargé du chef de meurtre les avorteurs. Le projet de loi n’a bien sûr jamais passé…
Ceci montre le lien qui existe entre une certaine rectitude morale et un sain scepticisme face à l’hystérie du covid actuelle ; le même courage que cela prend pour combattre l’avortement se retrouve à l’œuvre pour combattre un mensonge monstrueux. Oui, dès qu’il y a un amour pour la vérité, et le courage nécessaire pour la défendre, celui-ci cherche à voir clair à travers les nouvelles aberrations.
Les personnes comme Jeff Hoverson, qui par exemple défendent l’enfant à naître, sont à mon avis bien plus fiables que les partisans de l’avortement, surtout les gros médias qui promeuvent l’avortement, l’euthanasie, la contraception, le transgenrisme, l’idéologie LGBT, le libertinage, la pornographie (dite modérée), le laïcisme, le relativisme, l’athéisme, etc. Si à ces derniers vous ne confieriez pas votre âme, pourquoi donc leur confieriez-vous votre raison ?
Ceci dit, il y a évidemment des exceptions, aussi bien dans un sens que dans l’autre, certain pro-vie croiront à la dangerosité suprême du covid-19, tandis que d’autres qui sont peut-être pro-avortement n’y croient pas. Cependant ces derniers sont sur un chemin qui mène éventuellement à la Vérité, car ils combattent déjà un mensonge, et ne tarderont pas, je l’espère, à comprendre la malice des autres.
Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, dans l’eau chaude pour dissimulation de « décès covid »
Andrew Cuomo.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo :
Le gouverneur démocrate de l’État de New York, Andrew Cuomo, loué par les gros médias au début du confinement pour sa gestion de la « pandémie », est maintenant cloué au pilori jusque par les membres de son parti, par les républicains de l’État qui veulent lancer le processus de destitution à son encontre, et peut-être bientôt par le gouvernement fédéral qui a entamé une enquête sur ladite gestion. Le crime reproché à Cuomo ? Outre le pourcentage élevé de « décès covid » de son État par rapport aux autres, il a sciemment dissimulé environ 50 % des décès provenant des maisons de soins, les laissant confondus dans la masse du total de l’État.
Les républicains veulent partir une commission de destitution contre Cuomo, selon LifeNews :
Les membres républicains de l’Assemblée de l’État de New York ont annoncé jeudi qu’ils prévoyaient présenter la semaine prochaine une résolution visant à former une commission de destitution chargée d’enquêter sur le gouverneur démocrate Andrew Cuomo.
Le chef de la minorité républicaine, Will Barclay, a déclaré que la commission rassemblerait « des faits et des preuves » concernant la manière dont Cuomo a géré la pandémie de COVID-19 et la sous-déclaration présumée des décès dans les maisons de soins, selon Fox News.
[…]
Si la commission est autorisée par la législation, elle aurait le pouvoir de contraindre l’État à divulguer tous les documents relatifs à l’enquête. Elle aurait également le pouvoir d’assigner (subpoena) des fonctionnaires du gouvernement tels que le commissaire à la santé, le Dr Howard Zucker, et le principal collaborateur de Cuomo, Melissa Derosa, à témoigner devant les législateurs, selon le New York Post :
Comme si ce n’était pas assez, son propre parti s’est mis contre lui, plusieurs personnalités démocrates de l’État de New York demandant de retirer au gouverneur le pouvoir d’émettre des mesures d’urgence, tandis que le FBI et le gouvernement américain ont lancé une enquête de sur la gestion de Cuomo, rapporte The New York Times :
Lire la suiteLes dirigeants démocrates du Sénat de l’État de New York s’apprêtent à retirer au gouverneur Andrew Cuomo les pouvoirs d’urgence unilatéraux qui lui ont été accordés pendant la pandémie, mettant ainsi en place un remarquable blâme pour le gouverneur de la part des membres de son propre parti.
Les mesures du Sénat, qui pourraient être votées dès la semaine prochaine, soulignent l’aggravation de la division entre M. Cuomo et les législateurs de l’État depuis que le gouverneur a admis avoir intentionnellement caché à l’assemblée législative des données critiques sur les décès liés au virus.
Cette décision a été prise alors même qu’il est apparu que le FBI et le procureur fédéral du district Est de New York avaient ouvert une enquête sur la manière dont l’administration Cuomo avait géré les maisons de retraite pendant la pandémie. On ne sait si l’enquête, confirmée par trois personnes connaissant bien le dossier, portait sur M. Cuomo ou sur une autre personne, mais on sait seulement qu’elle en est à ses débuts.
Joe Biden refuse de dénoncer le génocide des Ouïghours et la répression de Hong Kong
Joe Biden.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr/Wikimedia Commons
L’inénarrable Joe Biden a déclaré lors d’une émission de CNN qu’il ne s’élèverait pas contre le génocide que les peuplades ouïghoures subissent en Chine communiste, pas plus qu’il ne dénoncera la répression dont les Hongkongais font l’objet, car, là-bas, dans ce lointain pays d’extrême Orient, il y a des « normes culturelles » différentes… et après tout, les États-Unis doivent également faire le ménage chez eux avant de pointer du doigt un pays étranger. Je ne sais trop à quels problèmes récurrents américains auxquels le président Bidon fait référence, mais ce n’est sûrement pas à ceux auxquels je pense.
Ce qu’il dit n’a pas grand sens, si ce n’est d’affirmer que parce que les Chinois sont différents cela veut dire qu’ils peuvent commettre des génocides et tyranniser des populations entières…
LifeNews rapporte :
Lire la suiteLors d’un forum organisé par CNN hier soir, Joe Biden déclara qu’il ne « parlerait pas contre » les avortements forcés et le génocide qui ont lieu en Chine contre les Ouïghours, car il s’agit de leurs « normes culturelles ». Biden déclara aussi qu’il ne dénoncerait pas le génocide de la minorité ethnique ouïghoure en Chine, ajoutant que le président chinois Xi Jinping « comprend ».
Biden déclara également qu’il refusait de dénoncer l’oppression de la population de Hong Kong, la fin brutale de la « politique d’une seule Chine » entre la Chine et Taiwan, et le génocide des musulmans ouïghours, un groupe ethnique minoritaire, affirmant que « culturellement, il y a différentes normes que chaque pays, et eux, leurs dirigeants, sont censés suivre ».
La Chine a été « victime du monde extérieur », expliqua Biden, et il déclara qu’il ne critiquerait pas les violations flagrantes aux droits de l’homme commises par le régime communiste, parce qu’« elles n’ont pas été unifiées chez nous » [j’imagine qu’il veut dire par là qu’il y a des problèmes aux États-Unis*].
La pro-avortement Kamalas Harris bientôt à la tête des États-Unis ?
Kamala Harris.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
Le fait est que la vice-présidente des États-Unis, Kamala Harris, activiste forcenée de l’avortement, remplit des fonctions présidentielles dans les tous débuts de l’administration Biden, elle passe des appels auprès de chefs d’État étrangers pour traiter avec eux. Le fait est qu’il est inhabituel que le vice-président des États-Unis se chargeât d’une telle tâche, surtout au début d’une nouvelle administration. Une réponse toute simple, Joe Biden est de moins en moins apte à remplir ses fonctions et Kamala Harris est tout simplement en train de le remplacer dans la pratique… avant sans doute de s’y substituer en invoquant quelque chose comme le 25e Amendement. Selon LifeSiteNews :
Lire la suiteCela n’a pas pris beaucoup de temps. Elle n’est même pas seulement depuis quatre semaines dans l’administration Biden, et Kamala est déjà en train d’assumer l’une des fonctions clés du président : traiter avec les dirigeants étrangers.
Hier, la Maison-Blanche a publié un document intitulé « Lecture de l’appel de la vice-présidente Kamala Harris avec le président français Emmanuel Macron ». La « lecture » précise :
[...]
Harris s’est également entretenu récemment avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau sur le covid, le changement climatique et la diversité [...]
Il est étrange qu’un vice-président passe des appels, habituellement réservés au chef d’État, à des alliés clés des États-Unis et à d’autres personnes quelques semaines à peine après le début d’une nouvelle administration. Pouvez-vous imaginer Dick Cheney faisant de tels appels au cours des premières semaines de l’administration George Bush, ou Joe Biden lui-même réalisant des appels présidentiels pour son homologue Barack Obama au début de 2009 ?
Si cela s’était produit, les médias auraient rapidement commencé à remettre en question les capacités du président en question face à la tâche.
Dans le cas de Joe Biden, cependant, ses capacités — telles qu’elles sont — ne sont pas vraiment remises en question. Il est évident depuis le début de sa campagne présidentielle qu’il était en déclin cognitif et que, s’il était élu, il aurait besoin d’un « premier ministre » de facto pour l’aider à s’acquitter des tâches quotidiennes de sa fonction.
Mario Sigaut : qui promeut la « sexualité » à l’école ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : shangarey/Freepik
Qui enseigne la « sexualité » ou en fait la promotion à l’école en France et plus généralement dans le monde ? Qu’est-ce que cette « sexualité », qui n’en est pas, a pour conséquence pour les particuliers et la société ? Qu’est-ce que les enfants se font enseigner et de quelle façon ?
Autant de questions auxquelles répond Marion Sigaut, historienne, sinon en tout du moins en partie, dans une nouvelle vidéo.
(Avertissement : les sujets abordés sont pour des oreilles adultes, bien que hélas beaucoup de jeunes soient visés dans les faits par les aberrations dont il est question.)
Soulignons quelques points :
- L’« éducation “sexuelle” » comme on l’entend dans les pays occidentaux et la « science » portant sur la « sexualité » ont pour origines l’étude d’Alfred Kinsey, entomologiste de formation et pervers (comme c’est pertinent…), financée par la Fondation Rockfeller (dans un projet de réduction et de soumission des populations), et protégée par la CIA (que Donald Trump à démantelée en 2020).
- Le rapport Kinsey, sur lequel repose la promotion de toutes les aberrations « sexuelles » possibles, a été bâti sur des expériences et des tortures exercées sur des enfants, des bébés, d’où le sinistre Kinsey a tiré sa « conclusion » comme quoi les enfants avaient une « sexualité ». Ses sondages sur la fidélité conjugale des femmes ont été menés auprès de prostituées, et ceux sur la sodomie et la masturbation auprès des détenus et de personnages évoluant dans les bars « gay ».
- Aucune enquête officielle ou vérification n’a été menée sur ces abominables expériences et ses conclusions aux conséquences désastreuses pour la civilisation occidentale.
- De là découlent la promotion et la légalisation des « sexualités » (il n’y en a qu’une seule, celle qui a trait aux relations entre homme et femme, naturellement procréatives), comprenez par-là a minima l’homosexualité, la séparation de la « sexualité » de la procréation, les « droits “sexuels” », etc.