L’Utah interdit les « transitions de genre » pour les mineurs et limite les bloqueurs de puberté
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Natali/Adobe Stock
30 janvier 2023, Salt Lake City (LifeSiteNews) — Le gouverneur de l’Utah a signé la semaine dernière un projet de loi qui empêche réellement les mineurs souffrant de confusion de genre d’accéder à des opérations mutilantes et aux bloqueurs de puberté et hormones transsexuelles.
Le gouverneur républicain Spencer Cox, qui soutient ouvertement le programme LGBT, a signé la loi SB 16, qui protège les mineurs victimes du mensonge selon lequel ils peuvent « passer » au sexe opposé.
Le projet de loi, intitulé « Transgender [sic] Medical Treatments and Procedures Amendments », a été parrainé par le sénateur républicain Michael Kennedy et prend effet immédiatement.
Le SB 16 « interdit à un prestataire de soins de santé de fournir un traitement hormonal transgenre [sic] à de nouveaux patients qui n’ont pas reçu de diagnostic de dysphorie de genre avant une certaine date » et « interdit de pratiquer des procédures chirurgicales portant sur les caractéristiques sexuelles d’un mineur dans le but d’effectuer un changement de sexe [sic] ». La loi impose un moratoire indéfini sur les médicaments hormonaux.
Les personnes « peuvent intenter une action pour faute professionnelle médicale » en réponse à des procédures qui altèrent leur vie et « désavouer leur consentement » aux opérations chirurgicales et aux hormones mutilantes.
La législation insiste également pour qu’un « examen systématique des preuves médicales concernant les traitements hormonaux des transsexuels » soit effectué par le ministère de la Santé et des Services sociaux afin de proposer d’autres « recommandations à la législature ».
Lire la suite« Je n’abandonnerai pas » : un député finlandais poursuivi pour avoir défendu le vrai mariage promet de se battre en appel
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : wolfhound911/Adobe Stock
25 janvier 2023 — Dans l’épisode de cette semaine du Van Maren Show, Jonathon s’entretient avec Päivi Räsänen, une députée finlandaise qui a été ciblée pendant des années par un procureur pro-LGBT en raison de ses convictions chrétiennes franches sur l’homosexualité et le mariage.
Pour la petite histoire : Räsänen a publié un tweet en 2019 dans lequel elle dénonce le soutien de l’Église évangélique luthérienne à l’événement « LGBT Pride » d’Helsinki. Räsänen est connue depuis longtemps pour sa défense du mariage et de la sexualité bibliques, ce qui a fait d’elle une cible parmi les gauchistes radicaux pro-LGBT qui veulent la punir pour ses croyances chrétiennes.
Bien que Mme Räsänen ait été déclarée non coupable de trois accusations d’« incitation contre un groupe minoritaire » l’année dernière, le procureur pro-LGBT à l’origine de l’affaire, Raija Toiviainen, a fait appel de la décision, ce qui signifie que l’affaire est toujours en cours.
Mme Räsänen déclare à Jonathon que toute cette situation est « choquante », car la Finlande a une longue tradition de défense de la liberté d’expression et de religion.
« Je n’aurais jamais imaginé que mes convictions et mes opinions sur le christianisme et la Bible conduiraient à ce genre de processus », dit-elle, ajoutant que la police l’a interrogée sur la signification du « péché » et l’enseignement de saint Paul sur l’homosexualité.
« Je n’ai parlé que de ce que la Bible enseigne et de ce que Dieu représente, du mariage, c’est-à-dire entre un homme et une femme, et aussi de ce qu’elle enseigne sur l’homosexualité. »
Räsänen note également que Toiviainen n’est pas seulement militante pro-LGBT, son objectif principal déclaré est « le ciblage, la lutte et les discours de haine ».
Heureusement, Räsänen a reçu une avalanche de soutien de la part des organisations et des chefs religieux finlandais, y compris de ceux de divers pays du monde. Malgré l’épreuve ardue et les difficultés de sa situation, Räsänen voit quelques bons côtés.
« L’Association finlandaise pour la liberté d’expression et de religion a été fondée dès le début pour soutenir cette affaire et éventuellement d’autres similaires à l’avenir », dit-elle. « Et je dois dire que je suis particulièrement heureuse pour les personnes homosexuelles qui m’ont dit avoir trouvé Jésus dans leur vie grâce à cette affaire ».
Un ex-gay est menacé d’emprisonnement et d’amendes pour avoir témoigné de son abandon de l’homosexualité
Matthew Grech.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Christian Legal Centre
23 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Un travailleur caritatif chrétien qui s’est détourné de l’homosexualité à la suite de sa conversion au Christ, a livré son puissant témoignage lors d’une émission de radio. Peu de temps après, les forces de l’ordre l’ont menacé d’une possible peine de prison et d’une forte amende pour avoir prétendument enfreint la loi de son pays interdisant les « pratiques de conversion » LGBT.
L’action du gouvernement maltais à l’encontre de Matthew Grech, 33 ans, serait la première du genre et elle est considérée comme un test par les groupes de défense de la liberté d’expression et les organisations chrétiennes qui visent à protéger les droits des anciens gays et lesbiennes à raconter leur histoire et à vivre librement sans être harcelés par les groupes LGBT. Certains de ces derniers affirment que l’enseignement chrétien sur le mariage et le débat sur les modes de vie LGBT doivent être traités comme des infractions pénales.
Le message de Grech est simple : il y a dix ans, il s’est converti au Christ, a réalisé que les actes sexuels en dehors du mariage homme/femme sont des « péchés » et a choisi librement d’abandonner la vie homosexuelle qu’il menait.
S’il est reconnu coupable, il risque jusqu’à cinq mois de prison et une amende de 5 000 euros.
Grech fait partie d’un nombre non négligeable d’anciens homosexuels et de transsexuels, hommes et femmes, qui se heurtent à l’opposition croissante des médias et du gouvernement lorsqu’il s’agit de raconter au public leurs histoires souvent héroïques.
Criminalisation des convictions chrétiennes
Le Christian Legal Centre (CLC), basé à Londres, qui participe à la défense de M. Grech, a expliqué l’importance de l’affaire judiciaire qui se profile :
Lire la suiteCe qui se passe à Malte sur ces questions a une portée internationale, car Malte est devenu le premier pays de l’Union européenne à interdire en 2016 ce que les groupes de pression LGBT décrivent comme une « thérapie de conversion ».
Un drame hollywoodien aux procès de Del Grande
Par Campaign Life Coalition — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sergign/Adobe Stock
Ce que vit Mike Del Grande, conseiller scolaire du Toronto Catholic District School Board (TCDSB), a tout d’un drame judiciaire hollywoodien !
Il se défend à la fois devant la Cour supérieure de justice de l’Ontario et devant l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario ! CLC a organisé le financement communautaire de ces deux défenses juridiques distinctes pour Del Grande.
Dans les deux cas, il est attaqué pour avoir utilisé une rhétorique forte jugée « offensante » par les militants LGBT.
Ils n’ont pas apprécié le fait qu’il se soit opposé à une motion visant à ajouter une idéologie transgenre radicale au code de conduite officiel du TCDSB. À savoir, ajouter « l’identité de genre » et « l’expression de genre » comme motifs protégés de non-discrimination, ce qui ouvrirait la porte à toutes sortes de comportements anti-chrétiens dans les murs des écoles « catholiques » de Toronto.
Devant la Cour supérieure, M. Del Grande a demandé à un panel de trois juges d’annuler les sanctions qui lui ont été imposées par une majorité des membres du conseil d’administration lors d’un vote illégal tenu le 11 novembre 2020.
Les sanctions comprenaient la participation à un camp de rééducation pour changer sa vision de « l’équité » et l’obliger à ramper pour obtenir le pardon en présentant des excuses publiques forcées à la « communauté LGBT ».
Vous ne saviez pas que la justice soviétique faisait son retour, n’est-ce pas ?
Aujourd’hui, j’ai une nouvelle de dernière minute...
Del Grande vient de recevoir la décision de la Cour supérieure, ce vendredi 13 janvier. Elle a été rédigée par la juge Sandra Nishikawa, qui a été nommée à la magistrature en 2018 par Justin Trudeau. Serait-ce vous gâcher la surprise de sa décision si je vous disais que pendant l’audience de révision judiciaire diffusée en direct, les pronoms woke et ostentatoires « She/Her » étaient affichés juste à côté du nom de la juge Nishikawa ?
Lire la suiteUne étoile de la NHL refuse de porter un maillot LGBT et reçoit un soutien massif de son entraîneur et de ses admirateurs
Ivan Provorov.
Par Stephen Kokx — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Philadelphia Flyers/YouTube
20 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Les amateurs de sport sont venus en aide au joueur de hockey russe orthodoxe Ivan Provorov, qui a subi les foudres des commentateurs libéraux pour avoir refusé de porter des vêtements d’échauffement aux couleurs de l’arc-en-ciel avant un match de la « Nuit de la fierté » cette semaine.
Selon le Daily Wire, le maillot n°9 de Provorov, qui joue pour les Flyers de Philadelphie, est presque épuisé dans plusieurs boutiques en ligne.
Le maillot d’Ivan Provorov est maintenant complètement épuisé sur NHL Shop et Fanatics à l’exception des très petites tailles.
— Greg Price (@greg_price11) 19 janvier 2023
« En date de jeudi après-midi, sur les sites Fanatics et NHL Shop, le maillot ne semblait pas être disponible en coupe homme et ne pouvait être acheté qu’en coupe femme », rapporte le média. Fanatics et NHL Shop disaient tous deux que les maillots étaient « presque épuisés ».
Mardi, Provorov a déclaré aux journalistes qu’il voulait simplement « rester fidèle à moi-même et à ma religion » lorsqu’on lui a demandé pourquoi il n’avait pas participé aux exercices pro-LGBT d’avant-match.
La décision de Provorov de vivre sa foi a déclenché une tempête de commentaires dans le monde du sport. Des journalistes d’ESPN, de Sports Illustrated et d’ailleurs l’ont immédiatement condamné pour ne pas s’être plié à l’ordre du jour woke. E.J. Hradek, de NHL Network, l’a dégoûté en l’exhortant à « retourner en Russie » où il pourrait « peut-être » se battre dans la guerre avec l’Ukraine.
Lire la suiteCe n’est pas une théorie du complot : des séducteurs veulent vraiment sexualiser nos enfants
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : davit85/Adobe Stock
13 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Lorsque les gens vous disent qui ils sont, croyez-les. Quand les gens vous disent ce qu’ils font et ce qu’ils veulent, croyez-les aussi.
Comme indiqué dans un essai pour The European Conservative l’année dernière, le terme « séducteur » (« groomer »), lorsqu’il est appliqué aux révolutionnaires sexuels qui souhaitent inculquer leur idéologie aux enfants, n’est pas une injure. La sexualisation des enfants était l’objectif explicitement déclaré des premiers révolutionnaires sexuels — seul le contrecoup social conservateur des années 1980 les a temporairement arrêtés. Aujourd’hui, ils ont repris là où ils en étaient, depuis l’éducation sexuelle explicite jusqu’aux événements drag queens pour enfants.
L’activiste conservateur Christopher Rufo a récemment exposé un autre exemple de ce phénomène :
Le théoricien queer C.A. Conrad, affilié à Columbia, a mené une expérience de rue dans laquelle il a attiré des enfants avec des bulles colorées, puis a dit à leurs parents : « Ce sont des bulles queer et elles vont rendre vos enfants queer. »
Détails choquants ici
Le type aux cheveux longs avec des ongles peints en bleu et brillants est le théoricien queer affilié à Columbia, C.A. Conrad, qui utilise les pronoms « ils/eux » [au neutre en anglais] et qui, comme le note Rufo, a été « encensé par des universités prestigieuses, avec des postes d’enseignement, des bourses et des conférences à Columbia, Brown, UMass, Wheaton, Bates, Evergreen State et d’autres institutions prestigieuses ». « Corruption intellectuelle sur toute la ligne ». Rufo a expliqué le contexte de la « théorie queer ».
Lire la suiteUn archevêque hongrois dénonce la franc-maçonnerie, l'idéologie LGBT et la montée de l'islam en Europe
Mgr Gyula Màrfi, archevêque de Veszprém en Hongrie.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Szerafin Zoltàn
9 janvier 2023, Veszprém, Hongrie (LifeSiteNews) — Un prélat hongrois s’est récemment élevé contre la montée de l’idéologie LGBT, de l’islam et du sentiment antichrétien en Europe, ainsi que contre l’influence de la franc-maçonnerie sur les dirigeants de l’Union européenne.
Dans une interview accordée le mois dernier au journal hongrois conservateur Magyar Jelen, Mgr Gyula Márfi, archevêque émérite de Veszprém a mis en garde contre un assaut sur plusieurs fronts contre le christianisme européen de la part des forces de gauche au sein de l’UE.
« L’un des signes les plus frappants de l’antichristianisme de l’Union européenne, a-t-il déclaré, est que sa constitution ne commémore pas les racines chrétiennes de l’Europe », un point sur lequel les papes saint Jean-Paul II et Benoît XVI ont également insisté.
« Ils écrivent sur les traditions gréco-romaines et les lumières, mais pas sur le christianisme », a déclaré Mgr Márfi, faisant référence à la Constitution de l’UE. « Pourtant, la culture et l’art antiques ont survécu précisément grâce aux chrétiens : les écrits de Virgile, Tacite, Homère et d’autres ont été copiés par des moines au fond de leurs cellules. »
Il a également cité l’anticléricalisme vicieux dirigé contre le pape Benoît XVI, qui a insisté sur l’importance du christianisme pour la civilisation européenne.
L’archevêque a en outre déploré l’effacement de Noël sur la place publique, notant la tendance croissante à remplacer le mot « Noël » par « fêtes ».
Il a rappelé comment la ville de Bruxelles, la capitale de l’UE, a refusé d’installer un arbre de Noël en 2012 par crainte d’offenser sa population musulmane.
Plus récemment, la Commission européenne a fait l’objet de critiques virulentes en 2021 à propos de directives de communication interne qui suggéraient d’éliminer l’expression « période de Noël ». La Commission a fini par retirer ces directives.
Lire la suiteDes représentants de Biden critiquent le président ougandais au sujet de son opposition au programme LGBT
Yoweri Museveni, président d'Ouganda.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Chatham House/Flickr
9 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Des représentants de l’administration Biden ont interpellé le président de l’Ouganda, Yoweri Museveni, au sujet de ses positions et de celles de son pays sur les questions LGBT lors d’une récente réunion censée discuter de commerce, de faim et de climat, ce qui montre une fois de plus où se situent les priorités de la Maison-Blanche.
The Grio rapporte qu’au milieu du mois dernier, Museveni a rencontré plusieurs membres du département d’État américain, qui ont profité de l’occasion pour l’interpeller sur la criminalisation des actes homosexuels et des unions de même sexe en Ouganda. Une loi, abrogée depuis, que Museveni a signée en 2014 rendait les rapports sexuels entre membres du même sexe passibles de prison à vie.
Une source au fait de l’échange a déclaré à The Grio qu’en réponse, Museveni a maintenu que les personnes LGBT étaient « affreuses » et que les chefs religieux ougandais étaient « entièrement contre elles », mais qu’il a accepté de ne plus les faire arrêter.
« L’administration Biden-Harris a placé la promotion du respect des droits de l’homme des personnes LGBTQI+ — et de toutes les personnes, dans le cadre d’une démocratie forte et inclusive — au centre de sa politique étrangère », a déclaré au journal un porte-parole du département interrogé sur la réunion. « Les États-Unis poursuivront leurs efforts pour faire progresser la démocratie et promouvoir le respect des droits de l’homme et félicitent les membres de la société civile ougandaise qui travaillent en première ligne pour sensibiliser et chercher à mettre fin aux violations continues des droits de l’homme. »
La ligne dure de l’Ouganda l’a longtemps mis en porte-à-faux avec les États-Unis et une grande partie de l’Europe. En novembre, les Ougandais ont rejeté un projet d’accord commercial avec l’Union européenne en raison de ce que le vice-président du Parlement, Thomas Tayebwa, a appelé des « clauses cachées » relatives à la sexualité, à la « promotion des LGBT » ou homosexuels et à l’avortement. « L’UE exige que nous prenions une certaine voie ; elle devrait aussi connaître le caractère de notre société », avait-il déclaré alors.
L’administration Biden, qui est résolument pro-LGBT, n’a pas toujours su critiquer d’autres pays au nom des droits de l’homme, notamment en adoptant une approche plus souple à l’égard de la Chine communiste, qui asservit sa population musulmane ouïgoure et pratique la politique de l’enfant unique, avec avortement et stérilisation forcés.
Combien d’autres victimes mutilées de l’idéologie transgenre choisiront l'euthanasie ?
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lightfield Studios/Adobe Stock
15 décembre 2022 (LifeSiteNews) — Quelques heures avant sa mort, le 30 septembre 2013, « Nathan » Verhelst, quarante-quatre ans — une femme anciennement nommée Nancy qui tentait de faire une transition masculine depuis des années — a expliqué pourquoi elle avait demandé l’euthanasie. Après avoir commencé un traitement hormonal en 2009, elle avait subi une double mastectomie, puis une opération visant à créer un pénis pour achever la transition. Mais lorsqu’elle s’est vue, elle a été remplie de désespoir. « J’étais prête à célébrer ma nouvelle naissance », a-t-elle confié à un média belge. « Mais quand je me suis regardée dans le miroir, j’étais dégoûtée de moi-même ».
La Belgique autorise l’euthanasie en cas de « douleur physique ou psychologique constante et insupportable » résultant d’un « accident ou d’une maladie incurable », et l’état de Verhelst répondait aux critères. « Mes nouveaux seins ne correspondaient pas à mes attentes et mon nouveau pénis présentait des symptômes de rejet », dit-elle tristement. « Je ne veux pas être... un monstre. » Au lieu de cela, elle a porté sa souffrance à un médecin. Elle a été tuée par injection létale.
C’était il y a près de dix ans, avant que le mouvement transgenre n’ait conquis la culture et avant la flambée de jeunes s’identifiant comme transgenres et les légions de jeunes suivant une hormonothérapie et optant pour des opérations de changement de sexe. C’était aussi avant l’arrivée de la tendance à la « détransition » — d’abord au goutte-à-goutte et maintenant, semble-t-il, en vague. Ce qui m’a frappé dans les regrets et le dégoût de Nancy Verhelst, c’est la similitude de ses propos avec les témoignages de nombreux transsexuels qui s’expriment maintenant publiquement et racontent comment l’industrie transgenre a détruit leur corps, ainsi que le désespoir et le dégoût de soi que beaucoup d’entre eux ressentent en conséquence.
Lire la suitePatinage Canada supprime les mots « homme » et « femme » du vocabulaire officiel pour les couples de patineurs
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Luu/Wikimedia Commons
19 décembre 2022 (LifeSiteNews) — L’organisme directeur du patinage artistique au Canada a été critiqué pour son adhésion totale à la prétendue « idéologie » du genre après avoir annoncé qu’il avait banni l’utilisation des mots « homme » et « femme » de son vocabulaire officiel pour les équipes de patinage en couple et de danse sur glace.
Le Comité opérationnel sur l’équité, la diversité et l’accessibilité de Patinage Canada affirme maintenant que sa définition d’« équipe » n’est plus une femme et un homme, car ces termes sont discriminatoires. Le terme « équipe » signifie plutôt « deux patineurs » et c’est maintenant la définition qui doit être utilisée.
La présidente de Patinage Canada, Karen Butcher, a déclaré dans un communiqué de presse du 12 décembre que le changement vise à « éliminer les obstacles à la participation au patinage, et nous croyons qu’il aura un impact significatif en garantissant que toutes les identités sexuelles sont reconnues et acceptées de manière égale et sans préjudice ».
Patinage Canada affirme que le changement permettra désormais « à de nouveaux et passionnants partenariats dans les disciplines du patinage en duo et de la danse sur glace de concourir au niveau national ».
Essentiellement, les hommes ou les femmes biologiques qui se disent transgenres seront désormais ouvertement autorisés à concourir en tant que « paires ».
Les nouvelles règles de patinage de Patinage Canada ont immédiatement été remises en question par de nombreuses personnes, dont Jamie Salé, médaillée d’or canadienne en couple.
« Je vais juste laisser ça ici », écrit Salé sur Twitter.
D’autres, dont Jamie Salé, ont raillé Patinage Canada en évoquant le film de 2006 « Blades of Glory », qui se moquait de l’idée de faire concourir deux patineurs masculins en couple.
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