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Ottawa encourage de plus en plus de pays à répandre l'avortement et la contraception


Marie-Claude Bibeau, ministre du Développement international du Canada.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : LeBabi,net

Remarquer que l’un des arguments employer pour justifier l'avortement et la contraception est la réduction de la pauvreté. Mais, éliminer les pauvres réduira-t-il la pauvreté ? Le gouvernement canadien ferait mieux, tant qu’à dépenser de l’argent, d’aider les familles habitant les pays pauvres, non à éliminer leurs membres mais à les nourrir, à les soigner et à les élever. Extrait du Canadian Inquirer :

Le Canada encouragera d’autres pays à offrir davantage de services de planification familiale, y compris la contraception et l’avortement, car ils sont essentiels à la lutte contre la pauvreté, a déclaré dimanche le ministre du Développement international du Canada.

Marie-Claude Bibeau a déclaré que le Canada continuera de parler « franchement » avec d’autres pays de la nécessité de tels services, même si cela demeure controversé dans certains milieux.

Mme Bibeau est arrivée au Rwanda dimanche pour une conférence internationale de quatre jours sur la planification familiale [...]

Le gouvernement fédéral s’est engagé à verser jusqu’à 20 millions de dollars pour financer des initiatives de santé sexuelle et de planification familiale en 2017 dans le cadre d’une campagne internationale visant à combler un vide créé par la décision du président Donald Trump d’interdire le financement par les États-Unis de projets liés à l’avortement.

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Le Kansas cherche à contraindre les agences d’adoption qui placent les enfants uniquement dans des familles normales

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : CNA

Les enfants ont besoin d’un père et d’une mère, et de tristes individus voudraient les priver de la possibilité d’en avoir.

Le nouveau gouverneur du Kansas veut empêcher les agences de placement d’enfants en adoption de les mettre uniquement dans des familles normales, ayant un père et une mère, c’est-à-dire, de pouvoir ne pas les envoyer dans des duos d’homosexuels, par exemple. Extrait de CNA :

« S’il y a moyen d’enjoindre à l’agence de ne pas le réaliser, je le ferai », a déclaré Laura Kelly, le nouveau gouverneur, lors d’une conférence de presse à l’Assemblée nationale, selon l’Associated Press.

Kelly, une démocrate, a déclaré que son personnel examine si l’État peut bloquer l’application d’une nouvelle loi préservant les agences d’adoption d’être forcées de placer des enfants dans des maisons, et ce d’une façon qui irait à l’encontre de la croyance religieuse des agences.

Cette loi a été adoptée à l’issue d’un débat concernant les organismes religieux qui placent les enfants maltraités et négligés, et qui ne placeraient pas les enfants dans des foyers où vivent des couples homosexuels.

Chuck Weber, directeur général de la Conférence catholique du Kansas, est sûr que la loi sera maintenue, selon l’Associated Press. Les auteurs du projet de loi ont pris soin de le rédiger avec soin pour s’assurer qu’il résisterait à une contestation constitutionnelle, a-t-il dit.

D’autres États ont connu des débats similaires ces dernières années. Les prestataires de services de protection de l’enfance confessionnels de plusieurs États, dont le Massachusetts, l’Illinois, la Californie, New York et le District de Columbia, ont été forcés de fermer leurs services d’adoption et de placement familial parce qu’ils croyaient que les enfants devraient être placés chez un père et une mère mariés.

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Des milliers de Polonais clament : « Salut ! Salut ! Christ Roi ! »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Réinformation.TV

C’est ce qu’ont crié des milliers de Polonais, en latin « Ave ! Ave ! Christus Rex ! », lors de la marche du centenaire de l’indépendance de la Pologne qui a rassemblé 250 000 personnes, d’après le compte Twitter de Matthew Schmitz.

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Le gouvernement hongrois demande l'avis des familles sur ses politiques familiales


Parlement de Hongrie à Budapest.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Voilà un gouvernement qui a soin de sa population. Extrait de Church Militant :

La Hongrie intensifie sa lutte contre le déclin démographique et le remplacement de la population

Cette semaine [dernière], le gouvernement hongrois a lancé une consultation nationale sur la manière dont les citoyens réagissent aux politiques profamille du Premier ministre Viktor Orbán. Dans les prochains jours, plus de huit millions de ménages à travers le pays recevront un document en 10 questions appelé « Défense des familles » demandant leur opinion sur l’approche de l’administration face aux défis démographiques de la Hongrie.

Commentant cette initiative, le secrétaire d’État de la Famille, de la Jeunesse et des Affaires internationales, Katalin Novak, a affirmé sans ambages : « L’Europe est le continent des berceaux vides, il n’y a pas assez d’enfants. »

Depuis son arrivée au pouvoir en 2010, Orbán s’est battu pour inverser des décennies de déclin démographique en mettant en place de nouvelles mesures pour stimuler le taux de natalité en Hongrie, au lieu d’ouvrir les portes du pays aux vagues de migrants musulmans, comme l’ont fait les pays d’Europe occidentale.

« En dépit de l’importante migration massive entrant en Europe, la Hongrie veut compter sur ses ressources internes », a déclaré Mme Novak. « Nous voyons l’avenir dans les enfants hongrois. »

[...]

Le questionnaire demande aux personnes interrogées si elles sont d’accord pour dire que « le déclin de la population ne devrait pas être combattu par l’immigration, mais par un soutien plus fort aux familles ». Parmi les autres questions posées, l’une d’elles demande si le rôle de mère de famille devrait être reconnu comme un emploi à temps plein, si le droit des enfants à une mère et à un père doit être protégé par la Constitution et si « le développement intellectuel, spirituel et physique des enfants est une valeur que l’État doit défendre ».

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La Commission irlandaise rejette l'amendement exigeant des enterrements dignes pour les bébés avortés


L'Oireachtas (assemblée nationale d'Irlande), Dublin.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jean Housen/Wikimedia Commons

Les partisans de l'avortement ne veulent même pas accepter un amendement à leur projet de loi sur l'avortement qui exigerait l’inhumation ou l'incinération (la seule façon digne de traiter le corps d'un défunt c'est de l'enterrer sans être brûlé auparavant) des enfant à naître tuer par avortement. LifeSiteNews rapporte :

Les dernières progressions du nouveau régime d'avortement de l'Irlande révèle qu'il se transforme en quelque chose de plus radical que ce que les militants de la légalisation avaient laissé entendre; un comité de l'assemblée législative irlandaise a rejeté mercredi un amendement qui aurait exigé des funérailles dignes pour les enfants tués par avortement.

Un comité mixte de la santé de l'Oireachtas (assemblée législative) examinait un amendement au projet de loi sur la Réglementation de l'interruption de grossesse, qui établira les nouvelles lois du pays en matière d'avortement suite à la révocation de mai du huitième amendement qui protégeait le droit à la vie des enfants à naître.

Pro-life TDs cherchaient à obtenir que les bébés avortés soient enterrés ou incinérés plutôt que d'être traités comme des déchets médicaux, a rapporté The Journal. Ils ont fait valoir que la loi actuelle ne donne pas de directives au personnel médical quant à la manipulation des fœtus morts, ce qui peut aggraver le stress des mères post-abortives.

Par ailleurs, toujours selon LifeSiteNews :

L'Irish Pro-Life Campaign a également publié un sondage selon lequel 80 % de la population s'opposent à ce que les médecins et autres travailleurs de la santé soient forcés de pratiquer des avortements, 79 % sont pour que l'on fournisse des échographies aux femmes avant un avortement, 69 % désirent que les médecins soignent les enfants survivants à l'avortement, et 60 % sont contre les subventions publiques, et une faible majorité est contre la redirection obligatoire [si le médecin refuse] d'une demande d'avortement.

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La question la plus importante sur la mort, absente du Salon de la mort

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : MrsBrown/Pixabay

Noémie Brassard, étudiante à la maîtrise en cinéma de l'Université de Montréal et blogueuse pour le site Le Verbe, a visité comme bien des gens le Salon de la mort qui ouvrait ses portes le 3 novembre, au Palais des congrès de Montréal.

Dans les diverses expositions, le réconfort des endeuillés est une note dominante, les détails techniques par rapport à la mort comme le cercueil est bien représenté, une conférence pour un plaidoyer du suicide assisté tenait séance, et même, une touche d'ésotérisme s'ajoutait au tout par la présence d'un kiosque où il est question de yoga pour faciliter le deuil (quelle absurdité).

Noémie Brassard relève avec justesse que l'aspect le plus important de la mort y était absent, à savoir, ce qui nous attend après. Aussi, vers la fin de son billet de blogue, nous suggère-t-elle, nous invite-t-elle et même nous défie-t-elle, ainsi que d'autres organismes et l'Église catholique, à venir présenter à un éventuel Salon de la mort n°2 une vision sur la vie éternelle. Après tout pourquoi pas ? ce ne serait pas une mauvaise idée que Campagne Québec-Vie vienne y mettre un grain de bon sens...

Extrait du Verbe :

... Les médias ont multiplié les entrevues avec Phoudsady Vanny, organisatrice de l’évènement (même Tout le monde en parle a saisi l’occasion). Au cœur du discours véhiculé, il y avait ce leitmotiv : il ne faut plus que la mort soit taboue.

Soit!

Les questions liées à la mort sont effectivement fondamentales et tout le monde s’y intéresse. La preuve : nous sommes très nombreux à avoir passé le tourniquet du Palais des congrès, en fin de semaine.

[...]

Le Salon de la mort est un bel effort, mais a toutefois quelque chose d’une mascarade, d’un détournement du regard.

La mort demeure tout aussi taboue, tout aussi insensée pour notre société. J’écris cela en ayant en tête une réminiscence de ce moment où un gentil monsieur m’a invitée à me déposer de tout mon long dans un beau grand cercueil bien luisant… sur l’air de The Show Must Go On. N’est-ce pas une parfaite image du décalage entre ce qui importe et ce sur quoi on insiste?

Ce n’est pas en banalisant la mort, en l’enrobant de sucre, d’artifices ou de stylos gratuits qu’elle sera moins scandaleuse, moins terrifiante, moins irrémédiable.

S’il y a une deuxième édition du Salon de la mort, je lance le défi à l’Église catholique de Montréal, à Vivre dans la dignité, à Campagne Québec-Vie, aux maisons de soins palliatifs (Maison Michel-Sarrazin, l’Oasis de Paix, etc.) et à d’autres de se réserver un kiosque.

Pour que ce Salon réponde aux soifs profondes des gens, on a besoin qu’il soit audacieux et nous parle de vie et d’immortalité.

Je propose même comme slogan pour l’an prochain : « Ô mort, où est-elle ta victoire? » (1 Co 15, 55).

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Trump est-il le président américain le plus pro-vie de notre temps ?


Donald Trump, président des États-Unis.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Time (capture d'écran)

Voici pourquoi les pro-vie apprécient tant Donald Trump et pourquoi les pro-vie américains votent pour lui. Extrait du The Washington Post :

Trump a défendu l’humanité de l’enfant à naître comme aucun de ses plus récents prédécesseurs ne la fait. Et c’est pourquoi tant de conservateurs chrétiens restent avec lui. Voyez plutôt l’ovation debout que le président a reçu mardi soir [en mai] lors du gala annuel de la Campaign for Life de l’organisme pro-vie Susan B. Anthony List (SBA List). Non seulement Trump aura-t-il été le premier président à s’adresser à cet incroyable organisme au cours de ses 26 ans d’existence, mais en aura-t-il profité pour tenir une autre promesse pro-vie que ses prédécesseurs républicains ne pouvaient ou ne voulaient pas tenir : il a annoncé un nouveau règlement visant à mettre fin au financement indirect de l’avortement par les contribuables via le programme de planification familiale du Titre X (Title X).

[...]

Depuis son arrivée au pouvoir, Trump a pris quantité de mesures pour s’assurer que l’argent des contribuables ne servait pas à subventionner le fauchage de vies humaines innocentes. Il a obtenu la confirmation d’un nombre record de juges conservateurs au cours de sa première année de mandat ; il a permis aux États d’annuler le financement de Planned Parenthood ; il a annulé le financement du Fonds des Nations unies pour la population en faveur de l’avortement ; il a rétabli et élargi la politique de Mexico interdisant l’utilisation des fonds publics pour les groupes qui pratiquent des avortements à l’étranger ; il a exempté du mandat des Obamacare Health and Human Services les organismes ayant des objections morales contre la fourniture de produits abortifs. Il est, comme l’a dit Marjorie Dannenfelser, présidente de la SBA List, « le président le plus pro-vie de l’histoire de notre pays ».

« Chaque vie est sacrée, et chaque enfant est un cadeau précieux de Dieu », a déclaré Trump mardi soir [en mai]...

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Robert Rumilly : L'infiltration gauchiste au Canada français

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photos : Andy Langager/Flickr et Etsy

Robert Rumilly, né le 23 octobre 1897 à Fort-de-France en Martinique et mort le 8 mars 1983 à Montréal, est un historien québécois, ami de Duplessis et notamment célèbre pour son œuvre colossale : Histoire de la province de Québec (en 41 volumes).

Dans son livre « L’infiltration gauchiste au Canada français », Robert Rumilly dénonce les réseaux gauchistes qui ont préparé la Révolution tranquille, ruinant ainsi l’essor des Canadiens français.

Le livre est disponible sur le site internet Etsy.

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Trump perd la majorité à la Chambre des représentants mais conserve le Sénat avec gains


Donald Trump, président des États-Unis.

Blog d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Aaron P. Bernstein/Getty Images (trouvée sur LifeSiteNews)

Il sera désormais plus difficile pour le président de faire avancer un agenda pro-vie, et ce jusqu’à la fin de son mandat. Extrait du Figaro :

Les démocrates reprennent de justesse la Chambre des représentants aux républicains. Ils comptent désormais 219 élus contre 193 lors de la précédente mandature, la majorité étant à 218 sièges. Les républicains conservent toutefois le Sénat avec 51 sièges contre 45 pour les démocrates. Mieux, ils progressent de deux sièges par rapport à 2016. Cinquante postes de gouverneurs étaient en jeu. Les républicains en remportent 25 contre 22 pour les démocrates.

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Une mère montre les photos émouvantes de son enfant mort-né à 14 semaines de grossesse


La minuscule main est celle du petit Miran.

Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran d'une photo du site Incroyable

L'humanité de l'enfant à naître saute au yeux à cet âge-là, même s'il ne peut pas encore survivre par lui-même en-dehors du ventre de sa mère. Et dire que tant d'entre eux sont avortés... Extrait du site Incroyable:

Devenir mère est une expérience merveilleuse. Il y a beaucoup de rêves, d'espoirs et d'attentes d'un parent pendant la grossesse. Le pire cauchemar de chaque mère est de perdre son bébé. Malheureusement, cela arrive trop souvent.

Sharren et Michael, du Missouri, aux États-Unis, étaient aux anges quand ils ont découvert qu'ils attendaient leur deuxième enfant. Malheureusement, Sharren, 40 ans, a perdu son bébé à la 14 ͤ semaine.

En Amérique, un enfant ne peut être considéré comme tel qu'après la 20e semaine de gestation, écrit The Sun. Pour les médecins, le petit Miran, décédé à 14 semaines, n'était qu'un « déchet médical ».

Sharren a décidé de partager les photos de son fils décédé qui mesurait de 10 cm et ne pesait que 26 grammes, pour montrer à tout le monde qu’à 14 semaines, le fœtus était déjà parfaitement formé.

Les images du petit Miran nous montrent un nouveau-né parfaitement formé. Miran avait déjà un visage, des mains, des pieds et des ongles bien formés.

Dans certains États américains, les enfants sont considérés comme des êtres humains formés seulement après la 20e semaine de grossesse. Si ses parents n'étaient pas intervenus, Miran aurait été jeté comme un vulgaire déchet médical…

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