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La Commission irlandaise rejette l'amendement exigeant des enterrements dignes pour les bébés avortés


L'Oireachtas (assemblée nationale d'Irlande), Dublin.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jean Housen/Wikimedia Commons

Les partisans de l'avortement ne veulent même pas accepter un amendement à leur projet de loi sur l'avortement qui exigerait l’inhumation ou l'incinération (la seule façon digne de traiter le corps d'un défunt c'est de l'enterrer sans être brûlé auparavant) des enfant à naître tuer par avortement. LifeSiteNews rapporte :

Les dernières progressions du nouveau régime d'avortement de l'Irlande révèle qu'il se transforme en quelque chose de plus radical que ce que les militants de la légalisation avaient laissé entendre; un comité de l'assemblée législative irlandaise a rejeté mercredi un amendement qui aurait exigé des funérailles dignes pour les enfants tués par avortement.

Un comité mixte de la santé de l'Oireachtas (assemblée législative) examinait un amendement au projet de loi sur la Réglementation de l'interruption de grossesse, qui établira les nouvelles lois du pays en matière d'avortement suite à la révocation de mai du huitième amendement qui protégeait le droit à la vie des enfants à naître.

Pro-life TDs cherchaient à obtenir que les bébés avortés soient enterrés ou incinérés plutôt que d'être traités comme des déchets médicaux, a rapporté The Journal. Ils ont fait valoir que la loi actuelle ne donne pas de directives au personnel médical quant à la manipulation des fœtus morts, ce qui peut aggraver le stress des mères post-abortives.

Par ailleurs, toujours selon LifeSiteNews :

L'Irish Pro-Life Campaign a également publié un sondage selon lequel 80 % de la population s'opposent à ce que les médecins et autres travailleurs de la santé soient forcés de pratiquer des avortements, 79 % sont pour que l'on fournisse des échographies aux femmes avant un avortement, 69 % désirent que les médecins soignent les enfants survivants à l'avortement, et 60 % sont contre les subventions publiques, et une faible majorité est contre la redirection obligatoire [si le médecin refuse] d'une demande d'avortement.

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