Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Ce serait une première en la matière qu’un père poursuive un avortoir pour l’avortement sans son consentement de son enfant à naître, la mère ayant décidé autrement. Un juge du comté de Madison en Alabama a autorisé la poursuite, ce qui est un premier pas. Outre l’humanité de l’enfant à naître que les pro-avortement ignorent souvent superbement, la volonté du père et ce qu’il ressent passent pour du beurre à leurs yeux, à côté du « droit à l’avortement » de la femme. Extrait de LifeNews :
Un père en deuil d’Alabama a remporté une première victoire cette semaine dans un procès défiant l’avortoir qui avait avorté son enfant à naître.
Ryan Magers poursuit l’Alabama Women’s Center de Huntsville après que sa « petite amie » y ait avorté leur bébé à naître contre son gré. Mardi, le juge du comté de Madison, Frank Barger, a fait droit à la requête de Magers de représenter la cause de son enfant, « Baby Roe », et, en conséquence, de poursuivre l’établissement en avortement au nom de son enfant décédé, selon Vice News.
L’avocat Brent Helms, qui représente Magers, a déclaré que la décision du juge est une première victoire pour leur affaire.
« C’est la première fois que je suis au courant de ce qui a été ouvert pour un bébé avorté », a dit Helms à WAAY News.
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« La vie innocente de Baby Roe a été engloutie par le mercantilisme de l’Alabama Women’s Center et bien qu’aucun tribunal ne puisse ramener Baby Roe à la vie, nous demanderons justice au nom de Baby Roe et du père de Baby Roe, » a déclaré Helms dans une déclaration.
« Le temps est venu d’uniformiser la jurisprudence de l’Alabama : soit nous reconnaissons pleinement la personnalité de l’enfant à naître, soit nous sélectionnons les innocents que nous protégerons et ceux que nous jetterons pour le profit », a-t-il poursuivi.
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