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Des médecins belges en procès : l'euthanasie d'une jeune femme trop rondement menée


Tine Nys entre ses sœurs Lottte et Sophie.

Extrait d'un article de la Society for the Protection of Unborn Children — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :

Des médecins belges en procès pour avoir certifié qu'une femme était autiste, mais qui n'avait qu'une peine de cœur, afin qu’elle puisse recevoir une injection létale

La première poursuite de ce type depuis que l’euthanasie a été légalisée en 2002.

Un autre exemple horrible des conséquences des lois belges sur l’euthanasie, trois médecins sont accusés d’avoir certifié qu’une femme était autiste pour qu’elle puisse être euthanasiée.

Tine Nys est morte par injection létale en 2010, à l’âge de 38 ans. Elle avait dit à deux médecins et à un psychiatre que sa souffrance était « insupportable et incurable » afin de pouvoir prétendre à l’euthanasie selon le droit belge.

Aucune tentative de traitement, seulement la mort.

Cependant, sa famille dit que sa souffrance était due à une peine de cœur que lui a causé la fin d’une relation, et non à l’autisme. De plus, ils disent que la loi a été enfreinte parce que Nys n’a jamais été traitée pour autisme et qu’il n’a donc pas été établi que sa souffrance était « incurable ». Elle est décédée seulement deux mois après le diagnostic d’autisme, et le dernier traitement qu’elle avait reçu pour des problèmes psychologiques remonte à 15 ans avant son décès.

Les sœurs de Nys, Lotte et Sophie, ont accusé les médecins de prendre une décision précipitée sans la traiter pour autisme. Ils risquent d’être jugés pour non-respect des lois sur l’euthanasie et pour empoisonnement, pour la première fois depuis que l’euthanasie a été légalisée en Belgique en 2002.

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