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Un futur juge de la Cour suprême des États-Unis ?


Cour suprême des États-Unis.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pycril/Pixabay

Le juge de la Cour d’appel du 7e circuit, Amy Coney Barrett, serait sur les premiers rangs dans les choix du président américain Donald Trump pour le prochain remplacement de juge à la Cour suprême, si tant est qu’il en ait l’occasion.

Professeur en droit à l’Université Notre-Dame-du-Lac avant d’être juge, Mme Barret est catholique, mère de sept enfants dont deux adoptés, et semble être tout indiquée pour un futur poste à la plus haute cour des États-Unis.

D’après une vidéo de Fox News (ci-dessous), Mme Barret ne craint pas de répondre par l’affirmative quand on lui demande si elle est une catholique orthodoxe. Elle précise que son affiliation à une église ou sa foi ne pèserait pas sur ses décisions judiciaires. J’imagine qu’il faut entendre par là qu’elle appliquerait la loi, jusqu’au point où celle-ci irait contre sa foi, auquel cas elle démissionnerait. Un catholique ne doit pas mentir, mais il ne peut rendre de mauvais jugements, aussi conformes soient-ils à la loi du pays :

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Le seul symbole canadien-français au Salon bleu de l’Assemblée nationale : le crucifix

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : LeStudio1 - 2019/Flickr

Eh oui ! Le seul symbole canadien-français au Salon bleu de l’Assemblée nationale est le crucifix, promis au relèguement à une position obscure, au lieu de surplomber le trône et les députés. Du moins c'est le seul qui occupe une position aussi importante. Et le gouvernement du Québec a voté pour qu'il soit retiré une fois la charte sur la laïcité votée, tout cela pour imiter vaguement une certaine « laïcité républicaine française », qui n’est pas notre modèle.

Vous pourrez remarquer que de nombreux insignes de la monarchie britannique ornent cette salle, dont deux à des places d'honneur, qui ne représentent sûrement pas le Canadien-Français, d'où l'étrange idée d'enlever le crucifix¹. Or, les monarques britanniques étant aussi chef de l'église anglicane, devrait-on y voir là de la partialité de la part du gouvernement en terme de symboles religieux (si on peut les considérer comme anglicans²) ?

N'oublions pas que le gouvernement n'a pas l'intention d'interdire les insignes religieux des autres religions à l'Assemblée nationale.

Au fait, la prochaine croix visée sera-t-elle celle du Mont-Royal ou celle du drapeau du Québec ? Ainsi, d’après Horizon Québec Actuel :

Au lieu de s’attaquer aux symboles de la domination coloniale britannique, ces laïcards débridés ont décidé de mener une guerre sans merci à l’unique symbole de la présence canadienne-française dans notre Assemblée nationale.

Des « souverainistes » veulent rejeter le crucifix catholique, mais laissent des symboles anglicans :

Steve E. Fortin a été le premier à mener la charge dans les colonnes du Journal de Montréal :

La laïcité institutionnelle ne saurait faire d’exception en ces lieux aussi symboliques que l’Assemblée nationale, même au nom du patrimoine. Il existe nombre d’endroits qui accueilleront avec dignité et respect cet élément important de notre histoire.

Péchant par ignorance — ou peut-être par omission, ce qui serait plus grave — M. Fortin ne dit rien sur les symboles monarchistes britanniques se trouvant au-dessus de la chaise du président de l’Assemblée. Pour la forme, rappelons que la devise de la Grande-Bretagne est « Dieu et mon droit »².

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Lettre d’un missionnaire au New York Times : la pédophilie et l’Église

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Nicolas Esposito/Flickr

Un prêtre missionnaire en Angola, le Père Martin Lasarte, a écrit une lettre au New York Times, qui ne l’a d’ailleurs pas publiée, mais qui fut mise en article par le site argentin Enfoques Positivos. Aleteia l’a publiée en français de son côté. La lettre commence par traiter de la question des prêtres pédophiles dont il est tant question dans les divers grands médias. Entre parenthèses, les cas d’agressions sexuelles, commis par des ecclésiastiques sur des mineurs, sont perpétrés sur des mineurs pubères ou post-pubères et principalement à l’encontre de garçons, aussi nous sommes plutôt en face d'hébéphilie, d'éphébophilie et d’un problème d’homosexualité. Le Père Lasarte, tout en condamnant les actes abominables commis par certains prêtres, déplore que la presse ne s’occupe que de ceux qui font scandale et que les médias biaisent souvent l'information…

Par contre, fait remarquer le Père Lasarte, les journaux ne se soucient pas des prêtres qui se sacrifient au service des pauvres, des malades, des illettrés, souvent au péril de leur vie et parfois au prix de celle-ci. Extrait d’Aleteia :

Cher frère journaliste,

Je suis un simple prêtre catholique. Je me sens heureux et fier de ma vocation et cela fait vingt ans que je vis en Angola comme missionnaire.

Faisant remarquer la large couverture que les médias donnent aux scandales concernant l’Église, le père Lasarte écrit :

Certaines présentations journalistiques sont pondérées et équilibrées. D’autres exagèrent, causent un préjudice, sèment la haine. Je ressens moi-même une grande douleur pour le mal immense que provoquent ces personnages qui devraient être des signes vivants de l’Amour de Dieu. Ils infligent un coup de poignard à la vie de trop d’êtres innocents. Il n’y a pas de mots pour justifier de tels actes. Il n’y a pas de doute non plus sur le soutien que l’Église prodigue aux faibles et aux plus démunis […]

Je m’étonne de lire si peu de nouvelles au sujet de ces milliers de prêtres qui sacrifient leur vie et s’épuisent pour des millions d’enfants et d’adolescents, riches ou pauvres, choyés ou défavorisés, aux quatre coins du monde.

Je pense que le New York Times ne sera donc pas intéressé d’apprendre :

Que j’ai dû transporter des dizaines d’enfants faméliques par des chemins minés à cause de la guerre de 2002, entre Cangumbe et Lwena (Angola), car le gouvernement ne pouvait le faire et les ONG n’y étaient pas autorisées ;

[…]

Que nous ayons sauvé la vie de milliers de personnes dans le Moxico grâce au seul centre de santé existant dans une zone de 90 000 km2, en distribuant de la nourriture et des semences ;

Que nous ayons pu fournir éducation et écoles à plus de 110 000 enfants au cours de ces dix dernières années ;

Il demeure sans intérêt qu’avec d’autres prêtres, nous ayons eu à secourir près de 15 000 personnes dans les campements de la guérilla, après qu’ils aient rendu les armes, parce que les aliments du gouvernement et de l’ONU n’arrivaient pas ;

[…]

Ce n’est pas une information non plus que près de 60 000 prêtres — sur les 400 000 prêtres et religieux du monde — aient quitté leurs pays et leurs familles pour servir leurs frères dans une léproserie, des hôpitaux, des camps de réfugiés, des orphelinats.

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La 1ère personne reconnue non-binaire aux États-Unis reconnaît qu’il est un homme et avoue qu’il avait des problèmes mentaux

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : TeroVesalainen/Pixabay — Mise à jour : 10 janvier 2020

La première personne aux États-Unis à s’être fait reconnaître non-binaire par un tribunal avoue maintenant que ses décisions étaient prises sous l’impulsion de ses problèmes mentaux. Cet homme qui pendant un temps croyait être une femme, après une grave crise mentale, puis, ne se croyant plus femme, voulait être reconnu comme non-binaire. Dernièrement, il a voulu revenir à son statut d’homme, qu’il a d’ailleurs toujours été.

James Shupe (Jamie étant son nom de « non-binaire ») explique lui-même qu’il souffrait de stress post-traumatique, ayant servi dans l’armée pendant 18 ans, qu’il a été agressé sexuellement par un homme de sa famille pendant sa jeunesse, qu’il a été influencé par de la propagande transgenre en ligne, qu’il a regardé de la pornographie durant des années, et que des médecins pensaient qu’il avait un trouble bipolaire ou un trouble de la personnalité. Il nous fait donc comprendre que ces sentiments d’être ou autre n’étaient dusqu’à ses problèmes mentaux.

Tous les médecins, infirmières, thérapeutes, sauf un, et juges l’ont confirmé dans la voie du transgenrisme, craignant pour le moins les groupes de pression LGBT. Extrait de Contre info :

Lorsque le fantasme d’être une femme a pris fin, j’ai demandé à deux de mes médecins de me permettre de devenir non binaire au lieu d’être une femme pour me sortir de l’ordinaire. Les deux ont accepté facilement. Après m’avoir rempli d’hormones — l’équivalent de 20 pilules contraceptives par jour — ils ont chacun écrit une lettre de changement de sexe. (…) Pour échapper à l’illusion d’être devenu une femme, j’ai fait quelque chose de tout à fait sans précédent dans l’histoire américaine. En 2016, j’ai convaincu un juge de l’Orégon de déclarer mon sexe non binaire — ni homme ni femme (…) La décision historique du tribunal m’a catapulté vers une renommée instantanée au sein de la communauté LGBT. Dix jours après, les médias ne m’ont pas laissé dormir (…) Devenir une femme m’avait fait entrer dans le New York Times. Convaincre un juge que mon sexe n’était pas binaire, mes photos et mon histoire ont été publiées dans des publications du monde entier. Puis, avant même que l’encre du juge n’ait séché sur sa décision de justice en Orégon, un organisme d’aide juridique LGBT basé à Washington DC m’a contacté. « Nous voulons vous aider à changer votre certificat de naissance », ont-ils proposé. En quelques mois, j’ai remporté une autre victoire historique après que le Department of Vital Records m’ait délivré un tout nouvel acte de naissance de Washington DC, où je suis né. Un groupe local, Whitman-Walker Health, a fait passer mon statut de sexe sur mon acte de naissance en « inconnu ». C’était la première fois dans l’histoire des actes de naissance qu’un acte de naissance était imprimé avec une mention autre qu'homme ou femme.

(…)

Ce n’est que lorsque j’ai dénoncé en 2017 la stérilisation et la mutilation d’enfants et de militaires transgenres que les organisations LGBT ont cessé de m’aider. La plupart des médias se sont retirés avec eux. Du jour au lendemain, je suis passé d’un libéral chéri à un paria conservateur.

[…]

(…) Je n’ai aucun trouble de développement sexuel. Toute ma confusion sexuelle était dans ma tête. J’aurais dû être soigné. Au lieu de cela, à chaque étape, des médecins, des juges et des groupes de défense des droits se sont livrés à ma fiction.

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L'Assemblée nationale retirera le crucifix du Salon bleu

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Assembléetest, Wikimedia, CC BY-SA 3.0

Une vraie débâcle, l'Assemblée nationale du Québec a voté sur la motion du premier ministre François Legault « permettant aux députés de débattre de la question. La sainte Croix serait déplacée, après l’adoption du projet de loi sur la laïcité, dans un endroit qui permettrait de la "mettre en valeur dans l’enceinte du Parlement" », rapporte le site Le Peuple.

Tous les députés présents ont voté comme un seul homme pour le retrait, d'après La Presse :

Les députés de l’Assemblée nationale ont voté à l’unanimité jeudi une motion pour que le crucifix soit retiré du Salon bleu une fois le projet de loi sur la laïcité de l’État adopté.

[…]

Les 103 députés présents ont appuyé la motion ; il n’y a eu aucun vote contre ni aucune abstention.

Le Peuple explique :

Le gouvernement du Québec, en allant de l’avant avec cette mesure, se conformerait ainsi aux recommandations de la commission Bouchard-Taylor. Il s’agit d’un revirement de situation, car le Premier ministre avait déjà déclaré qu’il ne toucherait pas à ce symbole datant de l’époque de Maurice Duplessis. « Je veux être ouvert en général, mais, en même temps, je veux que vous compreniez que j’ai été élu avec un certain programme, et, dans mon programme, on garde le crucifix », avait-il allégué.

Soulignons que Montréal a déjà annoncé qu’elle allait emboîter le pas et retirer le crucifix qui trône dans la salle du conseil municipal, alors que la Ville de Québec, elle, a fait comprendre qu’elle n’avait pas l’intention de se débarrasser de son Christ en croix.

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Moins d’argent pour l’International Planned Parenthood Federation et l’industrie de l’avortement dans le monde

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Encore un geste pro-vie de l’administration Trump, qui a, par ailleurs, fait un geste similaire (bien que moindre) pour le financement à l'intérieur du pays. Extrait de LifeNews :

Au cours de sa première semaine au pouvoir, le président Donald Trump a publié un décret connu sous le nom de Mexico City Policy ou le Protecting Life in Global Health Assistance Act qui a révoqué le financement fédéral pour l’International Planned Parenthood Federation (IPPF), véritable industrie de l’avortement.

Le décret interdit l’utilisation de l’argent des contribuables pour les groupes internationaux qui font la promotion de l’avortement, ou qui en fournissent à l’étranger, dont le plus important est l’IPPF. Le décret garantit que les fonds américains continuent d’aller aux soins de santé, à l’aide humanitaire [...] elle ne fait que bloquer le financement de groupes comme l’IPPF qui pratiquent ou encouragent l’avortement dans d’autres pays. En fin de compte, cela a coûté 100 millions de dollars à la société internationale en avortement Planned Parenthood.

Aujourd’hui, le secrétaire d’État Mike Pompeo et l’administration Trump ont annoncé un nouveau mécanisme d’application conçu pour élargir le plus possible ce décret exécutif. Pompeo a annoncé que le département d’État des États-Unis refusera de travailler avec toute organisation non gouvernementale (ONG) étrangère engagée dans le domaine de l’avortement. Le département d’État refusera également de financer les ONG étrangères qui donnent de l’argent à d’autres ONG étrangères engagées dans l’industrie internationale de l’avortement.

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Le Canada n’interdira pas les thérapies de conversion

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Bien qu’Ottawa semblât laisser l’affaire à regret.

Nous avons là un bel exemple de propagande radio-canadienne au service des groupes LGBT+++++. L’article ne cite que des homosexuels étant passés par des « thérapies de conversion », ou des organismes s’y opposant, d’où l’on peut voir le manque d’impartialité que Radio-Canada prétend sans doute avoir. Toujours est-il que si certaines « thérapies de conversion » sont probablement à bannir, l’idée de thérapie de conversion est tout à fait bonne en soi. L’homosexualité est un problème pour la personne qui en est atteinte.

Le gouvernement fédéral a rejeté une demande, provenant de militants LGBT, exigeant que les thérapie de conversion soit interdite. Extrait de Radio-Canada :

[Ottawa] Qualifie la pratique d’« immorale », mais affirme que ce domaine est en grande partie une question provinciale et territoriale.

[…]

« Nous sommes déçus que nous n’ayons pas de loi pour l’instant », affirme Devon Hargreaves, militant de l’Alberta. « Mais nous continuerons à défendre ceux qui n’ont pas de voix. »

Hargreaves, qui travaille avec la communauté LGBTQ, parle de la pratique controversée connue sous le nom de thérapie de conversion. [...]

Il a lancé une pétition à la fin de 2018 demandant au gouvernement fédéral d’interdire la thérapie de conversion, en particulier en ce qui concerne les mineurs [...]

Bien que le Canada n’ait pas d’interdiction nationale de cette pratique, certaines provinces ont des restrictions :

L’Ontario a rendu cette pratique illégale en imposant une interdiction totale.

Le Manitoba a interdit aux professionnels de la santé d’offrir une thérapie de conversion.

Vancouver a adopté une loi restreignant les entreprises de l’offrir.

La Nouvelle-Écosse a rendu illégal pour les professionnels de la santé d’offrir une thérapie de conversion aux mineurs.

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Dès l’état fœtal, les cerveaux des filles et des garçons sont différents

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Et pour le professeur Moriah Thomason, principal auteur de l’étude rapportant les faits et chercheur à l’Université de New York, cette découverte lui suffit pour voir que les garçons et des filles naissent dissemblables (bien qu’à mon avis il n’y ait pas besoin d’aller si loin pour le découvrir). Extrait de Gènéthique :

Le professeur Thomason affirme que la principale différence réside dans la connectivité entre les zones distantes dans le cerveau : les cerveaux des filles fabriqueraient des réseaux « de plus longue portée », quand les cerveaux masculins seraient « plus sensibles aux influences environnementales ». L’étude américaine, publiée dans la revue Developmental Cognitive Neuroscience, conclut que « les différences cérébrales entre les sexes commencent dès l’utérus ».

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Un eurodéputé polonais : « Nous voulons défendre les valeurs chrétiennes avec Vox »


Abbaye du mont-St-Michel, France.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Diliff/Wikimedia Commons

Vox est ce parti espagnol assez récent qui, ayant été formé le 12 décembre 2013, remporta d’un seul coup ses douze premiers sièges au parlement andalous, semant l’inquiétude parmi les partis de gauche du pays. Vox s’oppose à un certain nombre de choses, dont l’avortement.

Le PiS, Prawo i Sprawiedliwość (Droit et justice), est le parti au pouvoir en Pologne. Les deux partis se sont rencontrés et songent apparemment à s’allier en prévision des élections européennes, et ils ont tous deux ceci en commun : la défense des valeurs chrétiennes. D’après Countingstars :

Le président de Vox, Santiago Abascal, s’est rendu en Pologne accompagné d’Iván Espinosa de los Monteros, le vice-secrétaire aux relations internationales de Vox, qui connaît bien ce pays slave, y ayant travaillé pendant quelques années [...]

Mercredi matin, Abascal et Espinosa de los Monteros ont été reçus à la Chancellerie du Premier ministre, de sorte que le parcours des dirigeants Vox a acquis les caractéristiques d’une visite institutionnelle de haut niveau. Ils y ont rencontré Adam Lipiński, secrétaire d’État à la Chancellerie du Premier ministre, et Łukasz Schreiber, secrétaire d’État responsable des relations avec le Cortes [Assemblée nationale d’Espagne]. Selon M. Schreiber, Marek Suski, chef du cabinet politique du Premier ministre polonais, et l’eurodéputé Kosma ont également assisté à la réunion, ainsi que M. Kosma Złotowski [...]

PiS veut « défendre les valeurs chrétiennes avec Vox ».

Après la rencontre à la Chancellerie du Premier ministre, les dirigeants des Vox ont été reçus à la Chancellerie du ministère des Affaires étrangères, où ils ont rencontré le vice-ministre des Affaires étrangères et de la Politique européenne, Szymon Szynkowski vel Sęk. Vox a indiqué qu’ils ont traité avec lui « des questions liées à l’avenir de l’Union européenne, au contrôle de l’immigration illégale, aux relations avec l’OTAN et à la défense des États-nations ». Enfin, en fin de matinée, Abascal et Espinosa de los Monteros se sont rendus au siège national du PiS, rue Nowogrodzka, où Jarosław Kaczyński les a reçus. L’eurodéputé Złotowski, qui a également assisté à cette réunion, a déclaré : « Nous voulons défendre les valeurs chrétiennes conjointement avec Vox au Parlement européen et renforcer le rôle des États nationaux dans l’UE. » Le bilan d’Abascal est très similaire : « Tisser des alliances pour défendre la seule Europe possible, fondée sur le respect de la souveraineté de ses États et de ses racines culturelles chrétiennes ». Il semble qu’il y ait une bonne harmonie entre le PiS et Vox.

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Bonne fête de l'Annonciation : l'incarnation de Dieu


Annonciation de l'archange Gabriel à la Vierge Marie, par Fra Angelico.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Web Gallery of Art/Wikimedia Commons

Aujourd'hui, neuf mois avant Noël, nous fêtons l'Annonciation, c'est-à-dire, le jour où Christ S'est incarné pour nous sauver. L'archange demanda à Marie si elle voulait devenir la mère du Sauveur, et elle répondit avec une si grande humilité qu'elle était « la servante du Seigneur », se confiant en Dieu pour veiller sur elle et l'Enfant qu'elle devait porter pendant neuf mois.

Dieu S'est fait homme, et ce, depuis Sa conception en la très sainte Vierge.

Que Dieu veille sur les enfants à naître et leur mère.

Et que Notre-Dame nous protège pendant les 40 jours pour la Vie.

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