Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Bien qu’Ottawa semblât laisser l’affaire à regret.
Nous avons là un bel exemple de propagande radio-canadienne au service des groupes LGBT+++++. L’article ne cite que des homosexuels étant passés par des « thérapies de conversion », ou des organismes s’y opposant, d’où l’on peut voir le manque d’impartialité que Radio-Canada prétend sans doute avoir. Toujours est-il que si certaines « thérapies de conversion » sont probablement à bannir, l’idée de thérapie de conversion est tout à fait bonne en soi. L’homosexualité est un problème pour la personne qui en est atteinte.
Le gouvernement fédéral a rejeté une demande, provenant de militants LGBT, exigeant que les thérapie de conversion soit interdite. Extrait de Radio-Canada :
[Ottawa] Qualifie la pratique d’« immorale », mais affirme que ce domaine est en grande partie une question provinciale et territoriale.
[…]
« Nous sommes déçus que nous n’ayons pas de loi pour l’instant », affirme Devon Hargreaves, militant de l’Alberta. « Mais nous continuerons à défendre ceux qui n’ont pas de voix. »
Hargreaves, qui travaille avec la communauté LGBTQ, parle de la pratique controversée connue sous le nom de thérapie de conversion. [...]
Il a lancé une pétition à la fin de 2018 demandant au gouvernement fédéral d’interdire la thérapie de conversion, en particulier en ce qui concerne les mineurs [...]
Bien que le Canada n’ait pas d’interdiction nationale de cette pratique, certaines provinces ont des restrictions :
L’Ontario a rendu cette pratique illégale en imposant une interdiction totale.
Le Manitoba a interdit aux professionnels de la santé d’offrir une thérapie de conversion.
Vancouver a adopté une loi restreignant les entreprises de l’offrir.
La Nouvelle-Écosse a rendu illégal pour les professionnels de la santé d’offrir une thérapie de conversion aux mineurs.
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