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Le gouvernement britannique donnera 42 millions £ pour répandre l’avortement à l’étranger


Penny Mordaunt, secrétaire d’État au Développement international.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

L'industrie de l'avortement, dans la présence de deux consortiums comprenant l’International Planned Parenthood Federation et Marie Stopes, deux gros géants de l’industrie de l’avortement, recevra 42 millions £ pour répandre l’avortement « sûr » dans les pays en développement. Extrait de la Society for the Protection of Unborn Children :

« Le Royaume-Uni a été un meneur mondial dans ce domaine et continuera de l’être avec fierté. » 

La secrétaire d’État au Développement international, Penny Mordaunt, a annoncé hier un programme de 42 millions de livres sterling pour examiner la « question négligée » de l’avortement sûr dans les pays en développement.

Mme Mordaunt a dévoilé les nouvelles dépenses du Royaume-Uni lors d’un discours à la Chambre des communes du Canada sur le rôle de meneur du Royaume-Uni de concert avec le Canada en matière d’égalité des sexes […] « Un nouveau programme de 42 millions de livres sterling visant les Santé et droits sexuels et reproductifs supportera deux consortiums d'ONG partenaires sur ce thème, et je suis heureux d'annoncer que ceux-ci seront dirigés par Marie Stopes International et l'International Planned Parenthood Federation. »

[...] Theresa May avait promis 200 millions de livres sterling pour la planification familiale l’année dernière. Ceci malgré un sondage ComRes qui montre que 65 % du public s’oppose à ce que l’argent des contribuables britanniques soit dépensé pour des avortements à l’étranger.

Ignorer les scandales

Au cours des cinq dernières années, Marie Stopes a reçu à elle seule 163,01 millions de livres sterling, et le rapport financier de l’organisation a révélé que le DFID était le principal donateur, avec 44 millions de livres sterling. Et ce, malgré le scandale de 2016 où les inspecteurs de la Care Quality Commission ont trouvé les conditions si mauvaises qu’ils ont été forcés de suspendre les services d’avortement. Le rapport le plus récent de la clinique MSI Maidstone a révélé, en plus de douzaines de violations de la santé et de la sécurité, que le personnel qualifiait le centre de « marché aux bestiaux » et recevait des primes en raison des pressions exercées sur les femmes, qui avaient décidé de ne pas avorter, pour aller de l’avant.

L'International Planned Parebthood Federation a reçu 132 millions de livres du budget de l’aide alors que les enquêtes sur les allégations d’inconduite sexuelle et de corruption à l’égard du géant de l’avortement étaient en cours, ce qui montre également à quel point les fournisseurs d’avortements sont peu soumis au contrôle avant de recevoir l’argent des contribuables.

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Planned Parenthood est derrière la loi californienne visant à faire payer aux églises l’avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Americain League Life/Flickr

Non seulement Planned Parenthood (la mal nommée) veut pratiquer l’avortement, veut recevoir les petits sous de l’État, mais en plus veut que ceux qui sont directement opposés à l’avortement le payent via les couvertures d’assurance de leurs employés. Extrait de CNA :

Une loi californienne de 2014 obligeant les groupes religieux, y compris les églises, à couvrir les avortements pour les employés étaient le résultat de pressions directes de la part de Planned Parenthood, ont révélé des courriels internes.

Le 4 avril, trois églises ont déposé un avis de recours contre cette mesure qui, selon elles, viole la liberté religieuse fondamentale et la protection de la conscience. A l’appui de ce recours, les avocats d’Alliance Defending Freedom, qui représentent les églises, ont présenté des courriels internes entre les employés de Planned Parenthood et le Département d’État de la Santé et des Services sociaux.

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Brésil : Le gouvernement français refuserait-il des marchés industriels par idéologie ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Picryl 

Le gouvernement français refuserait-il de traiter avec le gouvernement brésilien de Jair Bolsonaro parce que celui-ci est pro-vie, opposé aux groupes LGBT, contre le marxisme, etc. ? Ce qui est sûr, c’est que la France qui vendait dernièrement de l’armement au Brésil semble maintenant délaisser ce marché. Extrait de La Tribune :

Après avoir réalisé de très belles opérations au Brésil (sous-marins, hélicoptères, satellite), la France s’est mise en retrait depuis l’élection de Jair Bolsonaro. Ce dont les industriels français très impliqués au Brésil s’inquiètent.

L’inquiétude grandit au sein des industriels français au Brésil. Et le récent échec de Naval Group, face à l’allemand ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS), qui a remporté à la grande surprise des observateurs l’appel d’offres sur la vente de quatre corvettes, n’a évidemment pas remonté leur moral à LAAD, le salon de l’armement de Rio de Janeiro. Plus de trois mois après l’arrivée du nouveau président brésilien, Jair Bolsonaro, la relation bilatérale entre Paris et Brasilia ressemblent désespérément à un encéphalogramme plat.

Depuis l’élection de Jair Bolsonaro, les ministres français ont jusqu’ici soigneusement évité le Brésil. L’absence de la France au moment de la mise à l’eau du premier sous-marin Scorpène « Made in Brazil » en décembre dernier — un événement historique pour le Brésil — a été naturellement remarquée par les Brésiliens. A LAAD, le vice-président brésilien, le général Hamilton Mourao, a inauguré mardi le salon en compagnie du ministre de la Défense, le général Fernando Azevedo e Silva, en remerciant nommément les pays étrangers d’avoir envoyé des délégations. La France, qui n’a envoyé aucune délégation de haut niveau, n’a pas été bien sûr citée. La posture de Paris est en complète contradiction avec son choix d’il y a plus de dix ans de développer un partenariat stratégique avec le Brésil en renforçant la base industrielle technologique et de défense (BITD) brésilienne à travers de nombreux transferts de technologies (ToT).

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L’Assemblée législative d’Arkansas adopte une période d’attente de 72 heures pour l’avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

L’utilité de cette période d’attente, entre une consultation pour un avortement et son exécution, est que la femme peut mieux y réfléchir, loin de la pression de proches ou même d’employés de l’avortoir. En effet, les périodes d’attente sauvent la vie à bien des enfants à naître. Extrait de LiveActionNews :

La semaine dernière, l’Assemblée législative d’Arkansas a adopté un projet de loi visant à porter à 72 heures la période d’attente de 48 heures entre la consultation en matière d’avortement et la procédure d’avortement. Le projet de loi a été approuvé par le Sénat par un vote de 29 à 5, et le gouverneur Asa Hutchinson a déclaré qu’il prévoyait de le signer. Selon l’Associated Press, ce projet de loi est considéré comme « l’un des plus stricts » du pays. Seuls six autres États ont une période d’attente de 72 heures : le Missouri, la Caroline du Nord, l’Oklahoma, le Dakota du Sud et l’Utah.

En mars, l’Arkansas a également adopté une interdiction d’avorter à partir de 18 semaines, qui était aussi, à l’époque, appelée « la plus stricte du pays ». Mais la plupart des Américains préféreraient limiter l’avortement au premier trimestre ou aux trois premiers mois (12 semaines).

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Une jeune mère dans le coma donne vie à son enfant, quelques heures avant sa mort

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixnio

Catarina Sequeira, la jeune mère, avait 26 ans quand elle devenue enceinte de son premier enfant et hélas le dernier. En décembre dernier, elle eut une grave crise d’asthme. Extraits de Sudinfo :

Son état s’est très rapidement dégradé et les médecins n’ont eu d’autres choix que de la placer dans un coma artificiel pour tenter de la soigner. En vain. L’état de Catarina s’est détérioré et le lendemain de Noël, la jeune femme a été déclarée en état de mort cérébrale alors qu’elle était enceinte de dix-neuf semaines à cette époque.

Encore la notion mortifère de « mort cérébrale », rien de plus ridicule. Car comme l’indique cette appellation, on se base sur le cerveau pour définir si la personne est morte, or une personne morte ne donnerait pas la vie… D’après l’article de Sudinfo, ce serait grâce à la loi du Portugal sur le don d’organe que les médecins auraient gardé Catarina Sequeira… en vie ! Car donner la vie serait dans ce cas considérer comme donner un organe, et comme au Portugal tout le monde est considéré comme donneur à moins d’avis contraire.

Vous pourrez remarquer que le prélèvement d’organe se fait sur des personnes dites en état de « mort cérébrale », donc se faisant on les tue. Ensuite, il n’est pas nécessaire d’une loi sur le « don d’organe » pour que les médecins aient pu faire ce qu’ils ont fait. Du moins auront-ils sauvé l'enfant. L’article continue :

Alors, lorsque les fonctions respiratoires de Catarina se détériorent jeudi [18 mars] dernier, ils ont décidé de donner naissance avec un peu d’avance au petit garçon par césarienne. Prématuré, le bébé, qui porte le nom de Salvador, pèse 1,7 kg mais se porte bien. Il doit toutefois encore rester hospitalisé pour au moins trois semaines. « C’est un bébé miracle », a déclaré son père dans les médias portugais.

Catarina Sequeira a été débranchée quelques heures après la naissance.

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Université de la vie : cycle de formation bioéthique

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Du 9 au 23 avril, en passant par le 16, auront lieu à Montréal 3 soirées de formation en bioéthique sur des sujets tels que la procréation artificielle, la Gestation pour autrui (GPA), l’acharnement thérapeutique, la fragilité, le handicap, l'avortement, etc.

Les soirées, commençant à 20 h sont organisées par l’organisme Alliance VITA, plusieurs experts et témoins prendront part à ces conférences, en visioconférence ou en direct, dont Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA.

L’adresse du lieu des soirées de formations est : 999 Avenus McEachran, Outremont

Code postal : H2V 3EV

Pour contacter : [email protected]

Ont peut s'inscrire en suivant le lien suivant.

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Cardinal Robert Sarah : la crise de l’Occident et du monde tient dans leur rejet de Dieu

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Malacañang Photo Bureau/Wikimedia Commons

Le cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, a récemment publié son troisième livre d’entretien avec Nicolas Diat Le soir approche et déjà le jour baisse. Ce livre décrit la crise actuelle du monde, une crise de foi, de rejet de Dieu, d’athéisme qui trouve sa source en Occident. Mgr Sarah aborde dans son livre la question de la société catholique, de la vérité et de la liberté, du sacerdoce et du célibat, des scandales dans l’Église et de leur remède, du relativisme et de l’athéisme qui contaminent le langage de certains ecclésiastiques, de la culture de mort et d’autodestruction occidentale, de l’athéisme par rapport à l’islamisme, enfin du chemin à suivre pour sauver une civilisation et pour une vraie évangélisation.

Le cardinal Robert Sarah a accordé un entretien à la revue La Nef, où il présente les différents aspects que l’on rencontre dans son ouvrage.

Il commence par expliquer que la crise spirituelle concerne le monde entier, mais qu’elle a sa source en Occident. Extraits de La Nef :

L’effondrement spirituel a donc des traits proprement occidentaux. Je voudrais relever en particulier le refus de la paternité. On a convaincu nos contemporains que pour être libre il fallait ne dépendre de personne. Il y a là une erreur tragique. Les Occidentaux sont persuadés que recevoir est contraire à la dignité de la personne. Or l’homme civilisé est fondamentalement un héritier, il reçoit une histoire, une culture, un nom, une famille. C’est ce qui le distingue du barbare. Refuser de s’inscrire dans un réseau de dépendance, d’héritage et de filiation nous condamne à entrer nus dans la jungle de la concurrence d’une économie laissée à elle-même. Parce qu’il refuse de s’accepter comme héritier, l’homme se condamne à l’enfer de la mondialisation libérale où les intérêts individuels s’affrontent sans autre loi que celle du profit à tout prix.

Mais dans ce livre, je veux rappeler aux Occidentaux que la raison véritable de ce refus d’hériter, de ce refus de la paternité est au fond le refus de Dieu. Je discerne au fond des cœurs occidentaux un profond refus de la paternité créatrice de Dieu. Nous recevons de lui notre nature d’homme et de femme. Cela devient insupportable aux esprits modernes. L’idéologie du genre est un refus luciférien de recevoir de Dieu une nature sexuée. L’Occident refuse de recevoir, il n’accepte que ce qu’il construit lui-même. Le transhumanisme est l’ultime avatar de ce mouvement. Même la nature humaine, parce qu’elle est un don de Dieu, devient insupportable à l’homme d’Occident.

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Un militant chrétien condamné à une amende de 55 000 $ pour avoir appelé un homme, homme


Bill Whatcott.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : de David Cooke sur YouTube

Apparemment, en Colombie-Britannique, si vous appelez un homme, qui prétend être une femme, homme, vous risquez de recevoir une amende assez salée. Extrait de Mass Resistance :

La semaine dernière, le Tribunal des droits de la personne de Colombie-Britannique a condamné le militant chrétien Bill Whatcott à une amende de 55 000 $ pour le crime d’« attribution du mauvais genre » (mis-gendering). Il lui a été ordonné de « s’abstenir de commettre la même infraction ou une infraction similaire ».

[...]

Lors des élections de Colombie-Britannique au printemps 2017, l’activiste chrétien Bill Whatcott a distribué des centaines de dépliants informant les gens que l’un des candidats locaux, Morgane Oger — qui prétendait être une femme et s’habillait en femme — était en fait un homme nommé Ronan Oger. (En fait, il y a cinq ans, Oger vivait relativement normalement comme père avec sa femme et ses deux enfants.)

Le dépliant de Whatcott comprenait des citations bibliques affirmant la dignité de notre création par Dieu, de tous en tant qu’homme ou femme. Il décrivait ensuite les dangers médicaux associés aux modes de vie « transgenres » et homosexuels.

Oger a perdu l’élection […]

Oger a par la suite déposé une plainte en matière de droits de la personne auprès du Tribunal des droits de la personne de Colombie-Britannique contre Whatcott, alléguant que les dépliants avaient exposé Oger à la discrimination, à la haine et au mépris en vertu de l’article 7 du Human Rights Code de la Colombie-Britannique.

[...]

Au cours de l’audience, M. Whatcott a refusé de céder et a continué de qualifier M. Oger d’homme dans son témoignage, bien que les juges l’aient réprimandé à plusieurs reprises. Whatcott portait aussi un chandail à manches courtes portant un message décrivant Oger comme homme, additionné d’une citation biblique. (Homme et femme, il les créa — Genèse 5:2) Il s’adressait aux blogueurs et à ses alliés pendant les pauses tout au long de la procédure. Il a appelé le Tribunal un « tribunal kangourou ». En fin de compte, le Tribunal lui a imposé des amendes supplémentaires pour ce « comportement inapproprié ». (Ironiquement, l’un des juges s’est trompé [par rapport à ce qu’il voulait dire] et a qualifié Oger d’homme pendant l’audience, mais il n’a pas été condamné à une amende !)

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Un père chrétien fuit la Suède avec ses trois filles : elles avaient été placées dans une famille musulmane

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Max Pixel

Le père, chrétien, d’origine russe, s’était fait enlever ses filles par les services sociaux de Suède, sous un prétexte passablement futile, pour les voir être placées dans une famille d’accueil musulmane ! Un an après le début de ce drame, le père décida de s’enfuir avec ses filles en Russie. La famille fut arrêtée à l’aéroport de Varsovie en Pologne, aussi, le père demanda l’asile en sol polonais et obtint gain de cause.

Denis Lisov s’était installé en Suède voilà sept ans. En 2017, sa femme tomba malade et les services sociaux suédois décidèrent de retirer leurs trois jeunes filles, prétextant que M. Lisov n’avait pas d’emploi à temps plein et par conséquent était incapable de prendre soin de ses filles. Celles-ci furent placées dans une famille d’accueil musulmane, les Lisov gardant officiellement la garde de leurs filles, mais ne pouvant les voir que 6 h par semaine. Extrait de Sputnik News :

Selon Babken Khanzadyan, qui représente les Lisov, ils n’ont pas eu la possibilité de défendre leurs droits et les filles ne voulaient pas y rester [dans la famille d’accueil].

Après que ses filles eussent passé plus d’un an dans la famille musulmane, à environ 300 kilomètres de leur vrai père, Denis en eut assez. Il prit ses filles et décida de retourner en Russie. Cependant, il fut arrêté à l’aéroport de Varsovie, les autorités suédoises ayant signalé la disparition de ses filles. Par conséquent, il a plutôt demandé l’asile en Pologne.

Un tribunal polonais a jugé que le service social suédois avait violé une convention de l’UE qui interdit le placement des enfants dans des environnements culturels étrangers. La cour nota également que les droits de paternité de Lisov n’avaient pas été révoqués, c’est pourquoi les enfants pouvaient rester avec leur père.

« Les enfants ont un lien très fort avec le père, et quand je leur ai parlé, ils m’ont dit qu’ils voulaient rester avec leur père et l’aimaient, et qu’ils ne voulaient pas être séparés de lui », a dit la juge Janeta Seliga-Kaczmarek, citée par Samhällsnytt.

Selon Lisov, les plus jeunes filles ne comprenaient rien, mais l’aînée avait du mal à s’adapter à l’environnement difficile de la famille musulmane.

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Une mère : Les médecins détruisent ma fille s'identifiant comme transgenre en lui donnant des « soins affirmatifs »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo :

Les « soins affirmatifs » ne sont autres que de la maltraitance, bourrage d’hormones provoquant un déséquilibre dans ce système, conduisant le corps de la personne qui se les fait administrer à développer certains traits du sexe opposé au sien, ou à empêcher le développement des traits particuliers au sien propre. N’oublions pas les mutilations d’organes sains, exécutés dans le but de faire sembler la personne comme étant du sexe opposé. Et dans ces cliniques où se donnent ces « traitements », la volonté de l’enfant déboussolé est roi, les parents comptent pour du beurre. Extrait de LifeSiteNews :

Je suis une mère dont la fille s'est identifiée comme transgenre depuis l'âge de 14 ans, je l'aime et je me préoccupe profondément d'elle et des autres enfants qui se perçoivent comme transgenres.

Il y a des jeunes, comme ma fille, qui sont dans la détresse et qui ne reçoivent pas les soins compatissants dont ils ont besoin et qu'ils méritent.

Je vais vous expliquer ce qui se passe lorsque des parents demandent l'avis d'un expert pour aider leurs enfants s'identifiant comme transgenres à explorer leurs sentiments et leur inconfort face à leur sexe.

La norme actuelle de traitement promue par les associations médicales et psychologiques s'appelle « soins affirmatifs ». Bien que cela semble sonner agréablement, les soins affirmatifs conduisent directement à mettre les enfants sur la voie de la transition médicale avec peu de chance de faire marche arrière.

Laissez-moi vous expliquer comment ça marche.

Si vous emmenez votre enfant dans une clinique pour obtenir de l'aide, les soins affirmatifs signifient que le thérapeute doit suivre la volonté de l'enfant. Les professionnels doivent accepter l'identité sexuelle déclarée par l'enfant. En fait, c'est la loi dans de nombreux États.

En vertu des interdictions des « thérapie de conversion », la remise en question de l'identité sexuelle professée d'un enfant est désormais illégale.

Ainsi, si un petit garçon a 5 ans et croit qu'il est du sexe opposé, les soins affirmatifs signifient suivrent ses croyances.

Les parents sont encouragés à le considérer comme leur « fille » et à le laisser choisir un nom féminin. On dit aux enseignants de lui laisser utiliser les toilettes des filles à l'école. Les thérapeutes rassureront les parents que la transition sociale est inoffensive et réversible.

Est-il vraiment inoffensif de dire à un enfant qui croit encore à la fée des dents qu'il est du sexe opposé ? N'est-il pas tout à fait probable que cet enfant soit juste confus ?

Si une fillette de 10 ans se sent mal à l'aise avec son corps en développement et insiste soudainement qu'elle est un garçon, les soins affirmatifs signifient bloquer la puberté de cette fille avec des médicaments puissants.

[...]

Il s'agit de traitements hormonaux graves qui ont un impact sur le développement du cerveau, la santé cardiovasculaire et peuvent augmenter le risque de cancer.

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