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Le Premier ministre de Hongrie : Sans culture chrétienne, il n’y aura pas de vie libre en Europe

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : European People's Party/Flickr

C’est ce qu’affirmait le Premier ministre de Hongrie, Viktor Orbán, dans un discours prononcé au Musée national de Budapest. La Hongrie est l’un de ces pays d’Europe qui met des bâtons dans les jambes de l’Union européenne affairée à ses obscurs projets, notamment LGBT. Extrait du Website of the Hungarian Governement :

Sans culture chrétienne, il n’y aura pas de vie libre en Europe, si nous ne défendons pas notre culture chrétienne, nous perdrons l’Europe et l’Europe n’appartiendra plus aux Européens.

Dans le Jardin du Musée national de Budapest, vendredi, le Premier ministre Viktor Orbán a déclaré : « Nous voulons que les écailles tombent des yeux des peuples européens et qu’ils comprennent ceci : sans culture chrétienne, il n’y aura plus de vie libre en Europe et que si nous ne défendons plus notre culture chrétienne, nous perdrons l’Europe et elle ne sera plus aux Européens ».

Lors d’une cérémonie marquant la commémoration annuelle de la Révolution de 1848-1849 et de la lutte pour la liberté, le Premier ministre a souligné que sans culture chrétienne, il n’y a pas de liberté hongroise, ni de Hongrie libre [...]

M. Orbán a souligné que « Nous voulons que les écaillent tombent des yeux des peuples d’Europe », afin qu’ils réalisent que dans un empire européen libéral, chacun perd sa liberté.

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La Presse : « Des militants antiavortement [pro-vie] veulent manifester près des cliniques [avortoirs] »

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Brian Jenkins, organisateur des 40 Jours pour la Vie à Montréal.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : CampagneQuebecVie/Flickr

Dernièrement, Campagne Québec-Vie a déposé une plainte devant la Cour supérieure du Québec, afin qu’elle annule la loi québécoise de 2016 qui interdit les manifestations pro-vie dans un périmètre de 50 mètres autour des avortoirs. Le journal La Presse a donc écrit un article pour rapporter à sa manière les faits.

Soulignons qu’il nous désigne d’entrée de jeu comme « antiavortement », nous affublant du nom inventé par nos opposants au lieu de mettre celui que nous nous donnons, à savoir « pro-vie ». On peut donc voir le parti pris de l’article.

Ensuite, ce n’est pas nouveau que nous voulons être présents près des avortoirs, ce qui est nouveau c’est que nous contestions la loi votée en 2016 à notre encontre, interdisant à tout pro-vie (le montrant) d’approcher de moins de 50 mètres des lieux où se perpètrent les avortements. L’article explique que ladite zone a été instaurée pour protéger le libre accès des femmes :

La loi avait été adoptée en 2016 pour protéger le libre accès des femmes, mais les militants disent qu’elle brime leur liberté d’expression.

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Six mois d'enquête de la part de la police pour l'utilisation du «mauvais» pronom au sujet d’un transgenre

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Laszlo Ilyes/Flickr

Il devient problématique de parler de transgenres quand ceux-ci s’offusquent que l’on n’utilise pas le pronom qu’ils veulent que l’on emploie à leur égard, ou que leurs proches en prennent le mors aux dents. Ce n’est pas la première fois que la police en Grande-Bretagne fait régner le désordre en poursuivant de leurs enquêtes les délinquants du mauvais pronom. Vous pourrez remarquer que c’est uniquement l’emploi d’un « mauvais pronom » qui aurait été le seul motif des six mois d’enquête, d’après le compte Twitter de Caroline Farrow. Selon The Telegraph :

Lorsque Caroline Farrow, commentatrice catholique, et Susie Green, militante des droits des transgenres, se sont mises d’accord pour débattre dans un débat télévisé sur une politique controversée des Girl Guides, les producteurs auraient dû s’attendre à des divergences de vues.

Mais si la conversation sous l’œil des caméras a certainement été animée, c’est du moins ce qui s’est passé hors des ondes lorsque les deux femmes ont poursuivi le débat sur Twitter qui a donné lieu à une enquête policière de six mois.

Mme Farrow, mère de cinq enfants avec de fortes convictions religieuses, aurait utilisé le mauvais pronom pour désigner la fille transgenre de Mme Green.

Mme Green a été tellement fâchée par ce qu’elle a décrit comme une attaque « pénible et malveillante » qu’elle en ait déposé une plainte officielle auprès de la police de Surrey...

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Vancouver : un refuge pour femmes menacé parce qu’il refuse les transgenres

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Patricia Keith/PublicDomainPictures

Il est pourtant évident qu’un refuge pour femmes ne devrait pas accueillir des hommes « transgenres » (qui sont toujours des hommes). Extrait du site Le Peuple :

Le Vancouver Rape Relief & Women’s Shelter ne recevra plus de financement de la ville de Vancouver.

L’administration de Vancouver a décidé de couper les vivres à un refuge pour femmes victimes de viol parce qu’il refuse d’accepter la clientèle transgenre. Pour les responsables du Vancouver Rape Relief & Women’s Shelter, seules les personnes nées femmes peuvent être admises au refuge, une position que Vancouver juge discriminatoire.

La ville évoque à ce titre une loi provinciale adoptée en 2016 et une autre fédérale de 2017 qui interdisent toute discrimination basée sur l’identité de genre. Ces textes juridiques, jumelés à un lobbying intense des transactivistes, aura donc fait plier Vancouver.

Le refuge ne cédera pas à cette pression.

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2 prêtres, 7 pro-vie prennent le risque d’être arrêtés en entrant dans deux avortoirs ce matin


Lauren Handy, l'une des pro-vie participant au Red Rose Rescue, une tentative pacifiquement de faire découvrir aux femmes, songeant à avorter, la vie qu'elles portent.

Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Suivant l’exemple de Mary Wagner, des catholiques menés par des prêtres entrent dans deux avortoirs de Washington, pour porter pacifiquement témoignage auprès des femmes pensant à avorter leur enfant, afin qu'elles considèrent l’humanité de leur bébé et la grâce de Dieu ; la conversion des avorteurs fait aussi partie des buts de cette opération. Extrait de LifeSiteNews :

Ce matin, des prêtres catholiques menaient des militants pro-vie, entrant dans deux centres d’avortement de la capitale nationale, où ils risquent l’arrestation en offrant pacifiquement des roses rouges et des conseils aux femmes qui sont résolues à avorter et refusent de partir quand on le leur demande.

Appelée « Red Rose Rescue » et inspirée par la militante canadienne Mary Wagner, cette méthode d’activisme est en quelque sorte un renouveau du mouvement « Rescue » des débuts [...]

Le père Stephen Imbarrato de LifeMinistriesUS et quatre autres sont entrés à la Washington Surgi-Clinic, un centre d’avortement tardif situé dans un quartier chic de Washington. Le Dr Cesare Santangelo, avorteur à ce cabinet, a été attrapé en 2013 étant d’accord pour refuser les soins médicaux à un enfant viable qui survit à un avortement. Le Père Imbarrato a mené un « sauvetage » dans ce centre d’avortement le 20 décembre ; un tribunal fédéral a ensuite abandonné les accusations d’intrusion portées contre lui et deux autres personnes.

Un autre groupe de pro-vie s’est chargé d’un autre avortoir :

Le Père Fidelis Moscinski des Frères franciscains du Renouveau, accompagné de quatre pro-vie, conduit l’autre sauvetage de DC ce matin […]

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Un drag queen qui fait la lecture aux enfants dans les bibliothèques est un agresseur d’enfants reconnu


Albert Alfonso Garza, se faisant appeler quand il est en Drag Queen Tatiana Mala-Niña.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :

Les parents devraient être plus méfiants et ne pas emmener leurs enfants à des événements animés par des hommes habillés en femmes, bizarrement en plus, qui tiennent des propos déconcertants pour les enfants à propos de la sexualité, parlant de la théorie du genre. Franchement, avec des personnes aussi étranges, je me méfierais un peu plus avant d’emmener mes enfants les voir. Extrait d’un article de Jonathon Van Maren de LifeSiteNews :

... la bibliothèque publique de Houston vient d’être forcée de s’excuser publiquement et d’interdire un drag queen qu’elle avait invité pour faire la lecture aux enfants pendant l’événement Drag Queen Storytime, ayant été révélé qu’il avait déjà été inculpé pour l’agression sexuelle d’un enfant.

Albert Alfonso Garza, un homme de 32 ans qui a été vu pour la dernière fois en train de lire à des enfants à la bibliothèque de Montrose en septembre 2018, se fait appeler Tatiana Mala-Niña, la drag queen. La bibliothèque n’a pas vérifié les antécédents de Garza ni ceux des autres travestis qu’elle a invités à interagir avec les enfants des autres personnes. Je suis prêt à parier que les autres bibliothèques qui parrainent ce programme n’ont pas non plus procédé à des vérifications des antécédents. C’est un groupe d’activistes, MassResistance, qui a fait la recherche tout seul, et c’est alors qu’on a découvert que Garza avait été reconnu coupable d’agression sexuelle sur un garçon de 8 ans en 2008.

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Saint Joseph, protecteur de la sainte famille

Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons

Aujourd’hui, 19 mars 2019, est la fête de saint Joseph chaste époux de la Vierge Marie, mère du Dieu incarné.

Il y aurait tellement de choses à dire au sujet du si discret saint Joseph, dont on ne rapporte aucune parole dans l’Évangile, et de la sainte famille dont il était le chef bien que le moins digne de ses trois membres. Je relèverais surtout donc sa grande pureté, lui qui étant l’époux de la sainte Vierge demeura avec elle comme frère et sœur, respectant son épouse comme Mère de Dieu fait Homme. Un grand modèle pour notre époque où la chasteté est une vertu si délaissée.

Il est aussi le père adoptif du Christ, recevant ainsi Son obéissance et Son respect en tant que fils.

D’après la tradition (qui est très véridique dans ses précisions), saint Joseph serait mort à l’âge de 60 ans entre Jésus et Marie, raison pour laquelle on l’invoque comme « Patron de la bonne mort ». À une époque où l’euthanasie devient si courante dans notre société, son secours me semble très nécessaire.

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Malgré l’avis contraire des électeurs, Taïwan légalisera probablement l’«union» des homos

Par Gontran Paume (Medias-Presse.info) — Photo : tingyaoh/Pixabay

Le 24 novembre 2018, les conservateurs taïwanais organisaient une pétition officielle (avec passage dans un bureau de vote) pour tenter d’empêcher le mariage homo que la Cour Constitutionnelle avait imposé à Taïwan par sa décision 748 prise en 2017, décision qui donnait un délai de 2 ans (soit jusqu’en mai 2019) au gouvernement pour faire voter une loi en ce sens.

La Constitution taïwanaise permet sous certaines conditions d’organiser des pétitions officielles. Les opposants au « mariage » homo sont parvenus à organiser une pétition contre ce « mariage ». Cette pétition a recueilli plus de 7 millions de voix alors qu’une pétition en sens contraire organisée le même jour (pour le « mariage » homo) n’a recueilli que 6 millions de voix.

Malgré le résultat de ces deux votes qui donne une nette majorité aux partisans du mariage traditionnel (entre un homme et une femme), le gouvernement a annoncé le 21/2/2019 qu’il allait déposer un projet de « loi » en faveur du dit « mariage ». Le pire est que même si le parlement taïwanais suivait la même voie de la sagesse que les électeurs en rejetant ce projet de « loi », le mariage entrerait quand même directement dans le Code civil, sans « loi ».

Cette entrée dans le Code civil est prévue fin mai 2019 si le projet n’est pas voté.

Et Taïwan prétend encore être le défenseur de la démocratie face à la dictature de la Chine communiste ! Le problème est que si les dirigeants de Taïwan continuent à diriger leur île indépendante de manière de plus en plus immorale, Taïwan perdra ses ressorts vitaux et ne pourra probablement pas résister longtemps aux manœuvres chinoises pour conquérir leur île.

Par ailleurs, de quel droit la Cour constitutionnelle de la République de Chine (nom officiel de Taïwan, à ne pas confondre avec la République populaire de Chine, le régime communiste) prétend-elle que le « mariage » homo est un droit constitutionnel alors même que probablement personne n’avait ne serait-ce qu’évoqué cette possibilité en 1949 au moment de la constitution de Taïwan comme pays indépendant de la Chine communiste ?

A Taïwan comme ailleurs, on ne peut rien construire dans la durée sans le respect des commandements de Dieu.

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Les démocrates se battent pour la vie des chatons après avoir ignoré celle des bébés nés vivants d'un avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Si ! Si ! Si ! Les démocrates au Sénat américain ont demandé la protection des chatons 17 jours après qu’ils aient refusé pour la 17e fois, par leur opposition, que les bébés nés d’un avortement raté soient spécialement protégés par une loi. S'il n'y a pas de l'incohérence dans cette position... Miaou ! Extrait de LifeSiteNews :

Qu’est-ce que les chats possèdent que les nouveau-nés n’ont pas ? Le soutien des démocrates. Dans un mouvement d’une ironie des plus folles dont personne ne parle, les libéraux du Sénat ont choisi ce moment — 17 jours après avoir voté pour tuer les bébés américains en parfaite santé [c’est-à-dire qu’ils se sont opposés à un projet de loi visant à protéger les enfants nés vivants d’un avortement raté] — pour se battre pour le traitement humain des chatons. Peut-être que les stratèges du Comité national démocrate sont sortis déjeuner, ou peut-être que la gauche est vraiment aussi éhontée qu’elle en a l’air, mais j’ai hâte de voir certains de ces politiciens se tenir debout sur les plates-formes de débat l’année prochaine pour dire au peuple américain que quand il s’agit de protéger les êtres vivants : On a préféré les chats aux enfants.

Le point de vue du sénateur Jeff Merkley (délégué démocrate d’Orégon) est plutôt écœurant. Le voici, soutenant que l’Amérique « doit cesser de tuer les chatons », alors qu’il y a trois semaines, il s’est tenu au Capitole américain et a convenu avec 43 démocrates que des êtres humains devraient être éliminés. « La décision de l’USDA d’abattre des chatons après leur utilisation dans la recherche est une pratique archaïque et un traitement horrible, et nous devons y mettre fin », a déclaré M. Merkley avec une passion que lui et ses collègues n’ont pas pu rassembler pour une génération de nouveau-nés parfaitement sains. Son Kittens in Traumatic Testing Ends Now — ou KITTEN — Act n’arrêterait pas la recherche, mais préserverait ces animaux de la destruction.

« La loi KITTEN Act protégera ces animaux innocents contre l’euthanasie inutile dans les tests gouvernementaux, a dit M. Merkley aux journalistes, et fera en sorte qu’ils puissent être adoptés par des familles aimantes. » Est-ce qu’il s’entend au moins ? Ils devraient être traités et adoptés ? C’est exactement ce que les Américains ont demandé pour des bébés vivants et respirants. Les démocrates ont dit non. Tuer un enfant est une « décision personnelle », disaient-ils, et le Congrès ne devrait pas s’en mêler. Quel réconfort pour les survivants de l’avortement comme Melissa Ohden de savoir que, s’ils avaient le choix, les démocrates sauveraient un chat errant plutôt qu’elle.

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Féminisme, hétérophobie, et antichristianisme : trois des maladies du monde scientifique

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Ecole polytechnique/Flickr

Même le monde de la science expérimentale, si révérée de nos jours, semble manquer d’un certain sens scientifique quand il s’agit de donner des postes ou d’accorder du financement pour la recherche. Car quand on est « homme blanc, hétérosexuel et chrétien » comme le fait remarquer un astrophysicien, justement victime du « politiquement correct », on a moins de chance d’obtenir des avantages substantiels. Extrait de Pour une école libre au Québec :

Extraits de l’hebdomadaire Le Point :

L’ère de l’investigation scientifique factuelle est-elle terminée ? Dans les labos, la frontière entre discrimination positive et harcèlement idéologique ne cesse de s’effacer. Mais privilégier les opinions et l’identité des scientifiques à la qualité de leurs recherches entrave des carrières et génère de véritables persécutions.

« Pour le moment, je préfère rester anonyme. Je n’en suis pas fier, mais il faut que je mange et je suis aussi responsable des opportunités de recherche de mes étudiants et de mes postdocs. » L’astrophysicien qui me dit cela n’a tué personne, il vient simplement de me raconter qu’il a choisi de quitter l’Australie, le pays où il a été diplômé et où s’est déroulé le gros de sa carrière, pour la Chine. Pourquoi ? Parce que, en tant que chercheur, il s’y sent plus libre. C’est sans doute un comble, mais c’est la réalité. Pour de plus en plus de scientifiques, les pressions et la mise au pas du « politiquement correct » (faute de meilleure formule) au sein des universités et autres établissements de recherche sont telles que s’exiler dans un pays non démocratique, où les opposants disparaissent et les minorités religieuses sont parquées dans des camps de rééducation, devient un pis-aller si vous souhaitez travailler normalement. « J’ai quitté l’Australie parce que j’en avais marre de voir les postes et les financements se réduire comme peau de chagrin pour les vrais astrophysiciens », résume, dépité, ce spécialiste de radioastronomie.

[...]

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