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Six mois d'enquête de la part de la police pour l'utilisation du «mauvais» pronom au sujet d’un transgenre

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Laszlo Ilyes/Flickr

Il devient problématique de parler de transgenres quand ceux-ci s’offusquent que l’on n’utilise pas le pronom qu’ils veulent que l’on emploie à leur égard, ou que leurs proches en prennent le mors aux dents. Ce n’est pas la première fois que la police en Grande-Bretagne fait régner le désordre en poursuivant de leurs enquêtes les délinquants du mauvais pronom. Vous pourrez remarquer que c’est uniquement l’emploi d’un « mauvais pronom » qui aurait été le seul motif des six mois d’enquête, d’après le compte Twitter de Caroline Farrow. Selon The Telegraph :

Lorsque Caroline Farrow, commentatrice catholique, et Susie Green, militante des droits des transgenres, se sont mises d’accord pour débattre dans un débat télévisé sur une politique controversée des Girl Guides, les producteurs auraient dû s’attendre à des divergences de vues.

Mais si la conversation sous l’œil des caméras a certainement été animée, c’est du moins ce qui s’est passé hors des ondes lorsque les deux femmes ont poursuivi le débat sur Twitter qui a donné lieu à une enquête policière de six mois.

Mme Farrow, mère de cinq enfants avec de fortes convictions religieuses, aurait utilisé le mauvais pronom pour désigner la fille transgenre de Mme Green.

Mme Green a été tellement fâchée par ce qu’elle a décrit comme une attaque « pénible et malveillante » qu’elle en ait déposé une plainte officielle auprès de la police de Surrey...

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