Un ex-policier britannique objet d’une enquête pour prétendu «discours haineux» dans ses critiques de l’idéologie du genre
Harry Miller.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Christian Concern/YouTube
Harry Miller, ancien policier britannique, a fait l’objet d’une enquête de la police anglaise, se basant sur une plainte l’accusant de « discours haineux » envers les transgenres. Il n’avait fait que publier sur Twitter quelques critiques de l’idéologie du genre. Extrait de LifeSiteNews :
Un père de quatre enfants a intenté une action en justice contre l’association de la police anglaise et le corps de police local après avoir fait l’objet d’une enquête pour « discours haineux », car il avait publié des commentaires dans les médias sociaux remettant en cause le principe LGBT selon lequel un homme peut devenir une femme par le biais d’hormones et d’opérations.
Harry Miller, âgé de 54 ans, ancien policier de Lincoln, est le fondateur de « Fair Cop », une organisation qui se consacre à faire respecter la liberté d’expression par la police britannique. Il était aujourd’hui devant la Haute Cour de Westminster, le deuxième jour d’un contrôle judiciaire sur l’utilisation des « directives » d’influence transgenre, c’est-à-dire des lignes directrices rédigées par le College of Policing and Humberside Police.
Selon Lincolnshire Live, l’avocat de Miller, Ian Wise QC (Queen’s Counsel, pas Québec), a déclaré hier que son client était « profondément préoccupé » par les réformes proposées à la loi sur la reconnaissance du genre, et avait utilisé Twitter pour « engager un débat sur les questions transgenres ».
Me Wise a soutenu que la police de Humberside, s’appuyant sur les conseils du College of Policing, avait tenté de « dissuader » Miller d’exprimer son opinion sur le sujet à l’avenir. Ce qui est « contraire à son droit fondamental à la liberté d’expression », déclara Me Wise.
L’avocat ajouta que Miller « n’a jamais exprimé de haine envers la communauté transgenre, ni cherché à inciter les autres à la haine, il avait simplement remis en question (parfois de façon provocante et avec humour) la croyance que les femmes transgenres sont des femmes et devraient être traitées comme telles à toutes fins ».
Cependant, Jonathan Auburn, l’avocat du College of Policing, a fait valoir qu’il n’était pas déraisonnable qu’une personne transgenre lisant les messages [de Miller], les considère comme motivés par une hostilité ou un préjugé contre une personne transsexuelle.
Auburn a également soutenu que les directives concernant les incidents haineux sont légales et ne portent pas atteinte à la liberté d’expression de Miller.
Le juge Julian Knowles prend maintenant le temps de réfléchir à sa décision et espère rendre un jugement avant Noël.
Miller a été contacté par un « agent de cohésion communautaire » en janvier dernier après qu’une personne se soit plainte à la police de messages qu’il avait affichés ou partagés sur Twitter et qui étaient critiques de l’idéologie transgenre.
Paris : mise en place d’une police LGBT !
Par Antoine Béllion (Avenir de la Culture) — Photo : Pixabay
La Préfecture de police de Paris a été frappée le 3 octobre 2019 par un attentat islamiste commis par l’un de ses membres. Plutôt que de tout mettre en œuvre pour qu’un tel événement ne se reproduise plus, le ministère regarde ailleurs et vient de créer un nouveau poste : celui d’officier de liaison LGBT ! Il faut dire que l’idée était promue depuis un petit temps déjà par l’inénarrable Marlène Schiappa.
Le fonctionnaire sera chargé de prendre soin des victimes des « actes homophobes. » Pourquoi ce privilège pour les homosexuels ? « Les victimes d’actes homophobes peuvent avoir peur d’être mal reçues dans un commissariat et de faire face à des commentaires, des quolibets de la part des policiers », prétend le policier « spécial » à BFMTV, qui n’hésite pas à calomnier ses collègues pour justifier ses nouvelles fonctions.
« Cette appréhension n’est parfois pas justifiée mais reste nourrie par des préjugés », ajoute-t-il. L’officier de liaison va également suivre les procédures « pour s’assurer que le caractère aggravant d’homophobie ou de transphobie apparaisse bien dans les plaintes, car cela arrivait qu’il ne soit pas retenu ». Tous les dossiers liés à des actes homophobes lui seront d’ailleurs automatiquement transmis rapporte Valeurs Actuelles.
Mais le fonctionnaire ne souhaite pas s’arrêter là, et veut aussi « assurer le lien entre le tissu associatif LGBT et la préfecture de police de Paris ». Le but est de « faire remonter les éventuelles difficultés que rencontreraient les associations LGBT sur l’accueil des victimes au sein de l’institution policière ».
On ignore encore si cet individu aura aussi pour mission d’espionner – et de dénoncer – les opposants au mouvement homosexuel, mais c’est incontestablement le début d’une police politique qui est en train de se mettre en place. Déjà un poste similaire a été créé à Marseille et d’autres pourraient bientôt voir le jour dans toutes les grandes villes de notre pays. Comment s’en étonner ? Chaque dictature dispose de sa police et c’est peu dire que le lobby LGBT en exerce une en France.
Une journaliste catholique harcelée et menacée de prison pour avoir dénoncé les mutilations des «transitions»
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Press.info) — Photo : PxHere
Royaume-Uni – La journaliste catholique Caroline Farrow est actuellement menacée de prison pour avoir simplement osé dire la vérité biologique sur les hommes et les femmes.
Le 15 octobre, elle sera convoquée au tribunal par une activiste transgenre qui la poursuit. Caroline Farrow et sa famille sont harcelées depuis des mois. La militante transgenre lui demande de payer des dizaines de milliers de livres sterling de dommages et veut l’envoyer en prison.
Différentes actions sont heureusement menées pour soutenir cette courageuse mère de cinq enfants dans les semaines à venir et l’aider dans le cadre de cet abus de droit.
Une pétition adressée au procureur général, Monsieur Cox, l’exhorte à examiner les faits et la loi et non « l’hystérie » des militants radicaux LGBT.
La saga de Caroline Farrow a commencé en mars 2019 lorsqu’elle a fait l’objet d’une enquête de la police après avoir décrit la chirurgie de changement de sexe effectuée sur un garçon de 16 ans comme une « castration », une « mutilation » et un « abus d’enfant ».
Caroline Farrow critiquait la décision de Susie Green, leader d’un groupe de pression transgenre britannique radical, de faire opérer son fils le jour de ses seize ans. Madame Green a dû emmener son fils en Thaïlande parce que l’opération était illégale au Royaume-Uni.
Depuis lors, Caroline Farrow a été la cible d’organisations transgenres agressives et déterminées à faire tout ce qui est possible pour la faire taire, elle et tous ceux qui s’opposent à leur « idéologie ».
Lorsque la police a décidé d’abandonner les poursuites contre Caroline Farrow, une autre activiste transgenre agressive, Stephanie Hayden, a décidé de la cibler et a lancé une campagne d’abus contre elle, sur plusieurs plateformes de médias sociaux.
Lire la suiteLa police d’Ontario ne révélera plus l’identité sexuelle des suspects
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Ni non plus celle des victimes de ces suspects, et ce, pour raison de respect de la vie privée et pour se mettre à la mode sur la question de l’identité du « genre ». Extrait de CTV.News :
Le porte-parole de la Police provinciale de l’Ontario, le sergent Carolle Dionne, a déclaré lundi que lors d’un récent examen de la réglementation la police a conclu que la Loi sur les services policiers n’exige pas que cette information soit rendue publique.
Le corps policier a donc pris l’initiative de cesser de publier les informations concernant le genre, par prudence et s’efforcer d’« être progressiste dans le changement des temps », précisa-t-il.
Le Sergent Dionne fait remarquer que les permis de conduire et autres pièces d’identité ne requièrent plus la mention du sexe, et que les agents ne devraient pas faire d’hypothèses fondées sur l’apparence d’une personne.
Mais si les agents de police ne peuvent pas faire de supposition sur l’apparence, sur quoi fonderont-ils leurs enquêtes ? pourront-ils du moins dire (par exemple) : Cette personne ressemblait à un homme ? L’article continue :
« Nous utilisons les termes “l’individu”, “l’accusé”, “le conducteur”, “le suspect” ou “une personne d’intérêt” pour rester neutres sur le plan du genre », révéla-t-il.
Toutefois, des données sur le sexe [de la personne] seront toujours recueillies à des fins d’analyse, et d’autres renseignements personnels — comme le nom, l’âge et la ville natale — seront rendus publics, indiqua-t-il.
Pourquoi fournirait-on l’information au sujet du nom, de l’âge et de la ville natale, et pas du sexe ? Grotesque ! Et si on s’en venait aux « transâges », ne donnerait-on plus d’informations sur l’âge de la personne incriminée, et les policiers ne devront-ils plus faire d’estimation devant des cheveux blancs ?
Six mois d'enquête de la part de la police pour l'utilisation du «mauvais» pronom au sujet d’un transgenre
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Laszlo Ilyes/Flickr
Il devient problématique de parler de transgenres quand ceux-ci s’offusquent que l’on n’utilise pas le pronom qu’ils veulent que l’on emploie à leur égard, ou que leurs proches en prennent le mors aux dents. Ce n’est pas la première fois que la police en Grande-Bretagne fait régner le désordre en poursuivant de leurs enquêtes les délinquants du mauvais pronom. Vous pourrez remarquer que c’est uniquement l’emploi d’un « mauvais pronom » qui aurait été le seul motif des six mois d’enquête, d’après le compte Twitter de Caroline Farrow. Selon The Telegraph :
Lorsque Caroline Farrow, commentatrice catholique, et Susie Green, militante des droits des transgenres, se sont mises d’accord pour débattre dans un débat télévisé sur une politique controversée des Girl Guides, les producteurs auraient dû s’attendre à des divergences de vues.
Mais si la conversation sous l’œil des caméras a certainement été animée, c’est du moins ce qui s’est passé hors des ondes lorsque les deux femmes ont poursuivi le débat sur Twitter qui a donné lieu à une enquête policière de six mois.
Mme Farrow, mère de cinq enfants avec de fortes convictions religieuses, aurait utilisé le mauvais pronom pour désigner la fille transgenre de Mme Green.
Mme Green a été tellement fâchée par ce qu’elle a décrit comme une attaque « pénible et malveillante » qu’elle en ait déposé une plainte officielle auprès de la police de Surrey...
Des policiers aident à un accouchement!
Le journal Le Soleil du 20 février 2012 nous apporte cette anecdote:
(Québec) Répondant à un appel d'urgence, des policiers de la Ville de Québec ont aidé une femme à accoucher chez elle.
Lorsque les agents sont arrivés au 905, 1re Avenue, dans le quartier Limoilou, la tête de l'enfant était déjà sortie. Quelques secondes plus tard, c'est un petit garçon qui a vu le jour.
La mère et son bébé ont été transportés à l'hôpital, raconte Marie-Ève Painchaud, agente aux communications de la Police de Québec. «Toute la petite famille va bien», a-t-elle pris soin de préciser.
Des policiers comme on les aime!