Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : kfulhert/Pixabay
Avec l’influence de l’internet, de l’endoctrinement LGBT+ dans les écoles, de la propagande de ces groupes et de l’atmosphère de « respect » des théories les plus farfelues régnant dans nos sociétés, pourquoi serait-il étonnent de voir une augmentation d’enfants ayant des doutes sur leur sexe ? Ils sont très influençables.
Quoi de plus ridicule que cette théorie fumeuse selon laquelle une personne pourrait se sentir, par exemple, fille coincée dans le corps d’un garçon et avoir raison ? La notion d’homme et de femme est bien physique et il est strictement impossible de changer de sexe, alors qu’il est inscrit jusque dans l’ADN. Aussi, au lieu de « soigner » ces enfants troublés en leur donnant des hormones (très mauvais de jouer dans l’équilibre hormonal) ou en les mutilant, il vaudrait mieux les conforter dans leur état physique naturel. Extrait de LifeSiteNews :
Alors que les taux de transgenres sont déjà en hausse aux États-Unis et au Royaume-Uni, Radio-Canada (SRC), le radiodiffuseur d’État du Canada, a récemment constaté une forte augmentation du nombre d’enfants demandant une « transition » du sexe au Canada. Selon la SRC, les cliniques pour enfants connaissent une « croissance exponentielle des demandes de traitement de la part d'adolescents qui ne s’identifient pas au sexe avec lequel ils sont nés. »
Malgré le fait que ce pic soit sans précédent, des médecins comme le Dr Stephen Feder ne semblent pas trop s’inquiéter de ses causes. Feder est codirecteur d’une « clinique sur la diversité des sexes au CHEO, un hôpital pour enfants d’Ottawa, et il a fait remarquer que voilà dix ans de cela, l’hôpital n’aurait accueilli qu’un ou deux enfants par année qui « voulaient changer de sexe ou avaient des questions sur leur identité sexuelle. » En 2018, ce nombre est passé à 180.
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Il est important de noter ici qu’il n’y a pas eu de recherche au cours de la dernière décennie qui indique que les opérations de « réassignation » du genre aidassent réellement les personnes aux prises avec une confusion sexuelle. L’Université de Birmingham a analysé 100 études réalisées sur des personnes ayant subi des opérations de changement de sexe et n’a trouvé « aucune preuve concluante que ces opérations ont eu des avantages psychologiques. L’une des seules études à long terme existantes a été réalisée par l’Hôpital universitaire et l’Université de Berne en Suisse, qui s’est penchée sur la qualité de vie des patients ayant subi une opération de changement de sexe. L’étude a révélé que, presque partout, les personnes ayant subi un changement de sexe ont manifesté une qualité de vie inférieure ainsi que de nombreux effets secondaires physiques négatifs.
En fait, une étude suédoise réalisée en 2011 a révélé que les personnes qui subissent une chirurgie de changement de sexe courent un « risque considérablement plus élevé de mortalité, de comportement suicidaire et de morbidité psychiatrique, » ce qui indique que l’opinion du Dr Stephen Feder selon laquelle les enfants transgenres ont désespérément besoin de se faire réassigner leur sexe à sa clinique ne correspond pas à la plupart des preuves disponibles [...]
Quant à la raison de la hausse du taux de transgenre chez les enfants, le Dr Margaret Lawson, endocrinologue de la même clinique, affirme qu’il n’y a « aucune explication à cette croissance ». (Le Dr Lisa Littman a signalé que « la dysphorie du genre à déclenchement rapide, qui touche surtout les filles, est devenue une contagion sociale » — elle a été immédiatement attaquée et diabolisée par des militants transgenres à la suite de ses recherches). Il n’y a aucune mention de l’endoctrinement et de la promotion grandissants et incessants du transgenrisme, des vedettes transgenres YouTube furieusement populaires, des livres pour enfants, ou du fait que scientifiquement parlant, une fille ne peut pas devenir un garçon et vice versa [...]