Un député du NPD affirme que « les droits parentaux n’existent pas au Canada »
Randall Garrison.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : X
12 février 2024 (LifeSiteNews) — Si vous êtes un parent vivant au Canada, veuillez prendre un moment pour regarder cette vidéo :
"There's no such thing as parental rights in Canada," says NDP MP Randall Garrison in response to Alberta's plans for a parental rights bill.
— Rebel News (@RebelNewsOnline) February 8, 2024
"Children have rights in Canada, and these kinds of policies restrict the rights children have."https://t.co/AY8uVnohmI pic.twitter.com/2Fvtcy8B4t
Pour résumer : un journaliste hors caméra demande à Randall Garrison, le député du Nouveau Parti démocratique d’Esquimalt-Saanich-Sooke, s’il est préoccupé par les droits parentaux au Canada dans une série de questions sur les récentes politiques de droits parentaux de la première ministre d’Alberta Danielle Smith : « Considérez-vous qu’il s’agit d’une question de droits parentaux ? ».
La réponse de Garrison a été admirablement précise : « Eh bien, j’aimerais dire tout d’abord que les droits parentaux n’existent pas au Canada — il y a des responsabilités parentales. Dans le droit canadien de la famille, la responsabilité première est de soutenir et d’affirmer ses enfants. Les enfants ont des droits au Canada, et ce type de politique restreint les droits des enfants au Canada. »
Il y a plusieurs choses importantes à noter à propos de cette déclaration. Tout d’abord, qui est Garrison pour dire ce que signifie « soutenir et affirmer » ? Ce qu’il pense est clair : si un garçon dit qu’il est une fille ou qu’une fille dit qu’elle est un garçon, il est important d’« affirmer » leur croyance déclarée plutôt que la réalité de leur sexe naturel. Je suis d’accord pour dire que les parents doivent affirmer et soutenir leurs enfants, mais dans ce contexte, ce que Garrison suggère est exactement le contraire de l’affirmation d’un enfant.
Lire la suiteLa guerre non déclarée contre les parents
Par Liam Gibson (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gajus/Adobe Stock
Le 28 février 1395, Isidore Glabas, évêque de Thessalonique, en Grèce du Nord, prononça un sermon dans lequel il commença par poser la question suivante :
« Que dois-je dire et comment dois-je considérer l’ampleur du malheur présent ? ... J’ai entendu le dur décret concernant nos êtres les plus chers, et je tremble comme quelqu’un devant un feu trop chaud pour en être approché, ou comme quelqu’un qui se trouve face à un escrimeur invincible. ... Mes lèvres se transforment en lamentations, mon esprit se voile d’un nuage de découragement et je suis presque fou. Mes yeux sont remplis de larmes et je ne peux plus supporter de voir mes bien-aimés. » (1)
Ce qu’il raconte ensuite est l’une des premières descriptions que nous ayons du devshirme (du mot turc signifiant « rassemblement »), également connu sous le nom d’impôt sur le sang : le tribut sur les enfants exigé des peuples de Roumanie, de Grèce et des Balkans. Tous les cinq ans environ, sur les terres chrétiennes de l’Empire ottoman, les garçons âgés de huit à quinze ans étaient « rassemblés » et les plus grands, les plus forts et les plus beaux étaient ramenés en Anatolie en tant qu’esclaves. Là, ils étaient convertis de force à l’islam et recevaient des noms musulmans. Ils étaient soumis à des travaux forcés pour les endurcir avant de suivre une formation militaire. Les meilleurs et les plus brillants rejoignaient les rangs privilégiés des janissaires, les troupes d’élite du sultan. Fanatiquement fidèles à leur nouveau maître, ils étaient utilisés pour soumettre leur propre peuple et conquérir de nouveaux territoires pour les Turcs. C’est ainsi que les fils de parents chrétiens ont contribué à perpétuer le régime qui les avait réduits en esclavage ainsi que les générations de garçons qui leur ont succédé.
Lire la suiteÉnorme succès : Journée nationale de protestation contre le drapeau de la « fierté »
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
« Mais là où la faute a abondé, la grâce a surabondé. » — Romains 5:20
Comme vous le savez, le système éducatif canadien est devenu un cloaque de propagande sexuelle et d’idéologie destructrice de l’âme et du corps.
Pire encore, une majorité de conseillers scolaires élus dans la plupart des districts soutiennent le programme de perversion sexuelle de la prochaine génération.
Mais alors que la situation n’a jamais été aussi sombre, Dieu apporte un rayon de lumière et d’espoir. Laissez-moi vous raconter une histoire...
À la fin du mois de mai, une mère catholique du sud-ouest de l’Ontario a téléphoné à Campaign Life Coalition et nous a demandé si nous pourrions recruter quelques parents dans sa région pour participer avec sa famille à ce qu’elle décrivait comme « une marche de protestation » le 1er juin, pour protester contre la levée du drapeau de la « fierté » LGBT.
Cette « maman ours » en avait assez de la propagande LGBT qui visait ses jeunes enfants à l’école. Elle voulait protéger ses « oursons » du drapeau sexualisé de la « Fierté », symbole du pouvoir politique des LGBT, qui serait bientôt à nouveau suspendu au-dessus de la tête de ses enfants dans leur école primaire catholique.
Nous avons tellement aimé son idée que nous lui avons dit : « Oubliez votre unique ville. CNV va reprendre votre idée à son compte et l’étendre à l’ensemble du Canada ! Essayons de protéger tous les enfants ! »
C’est ainsi qu’est née la toute première Journée nationale de protestation contre le drapeau de la fierté.
Nous avons préparé une simple affiche et une page internet pour promouvoir le geste de protestation, et nous avons commencé à passer le mot aux familles des écoles publiques et catholiques.
Elle a eu lieu le jeudi 1er juin, date à laquelle la plupart des écoles hissent le drapeau de la « fierté » gay pour donner le coup d’envoi d’un mois complet d’endoctrinement LGBT en classe visant à séparer les enfants des croyances religieuses de leur famille et à en faire des adeptes enthousiastes de la dernière révolution sexuelle : la fluidité des genres.
Lire la suiteLes écoles publiques canadiennes endoctrinent les enfants dans le transgenrisme sans le consentement des parents
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
11 janvier 2023 (LifeSiteNews) — Le 5 janvier, le National Post a publié un reportage extraordinaire qui a suscité très peu d’attention — une réaction révélatrice. Écrit par Tom Blackwell, il est intitulé « Voici comment les écoles canadiennes aident à la transition de genre des étudiants sans le consentement des familles », et il expose les détails de ce qui devient une pratique courante dans les écoles publiques canadiennes à travers le pays. Nous publions ici des articles sur cette tendance depuis plusieurs années, mais le reportage de Blackwell comprend des histoires vraiment étonnantes.
L’article commence par décrire comment un enseignant de Calgary a dit à une classe de 6e année que leur camarade avait dévoilé son identité transgenre, mais qu’ils « ne devaient pas révéler la nouvelle identité de genre de leur camarade à ses parents », qui ne savaient pas que l’élève avait commencé à s’identifier de cette manière. En bref, une mère a déclaré à Mme Blackwell : « On apprend aux enfants à mentir à leurs parents » — des enfants de 11 ans. Ce scénario, cependant, est en fait maintenant une pratique courante dans le système scolaire public, a noté Mme Blackwell :
Lire la suiteMais d’une certaine manière, l’enseignement découlait naturellement de ce qui est devenu une politique commune dans tout le Canada. Les conseils scolaires, les ministères de l’Éducation et même l’Agence de la santé publique du Canada incitent les écoles à honorer automatiquement la demande d’un élève en transition de changer son nom et ses pronoms, et à ne pas communiquer cette information aux parents qui le demandent.
Ce n’est là qu’une des façons dont le système d’éducation est devenu intimement lié au processus de transition, qui touche un nombre de jeunes Canadiens en croissance « exponentielle ». Les écoles acceptent les préférences en matière de noms et de pronoms, fournissent des toilettes non sexistes et enseignent dès le plus jeune âge l’identité sexuelle. Dans certains cas, elles peuvent même orienter les élèves directement vers des cliniques de traitement de l’identité sexuelle.
Des parents néo-zélandais se voient retirer la tutelle de leur bébé pour avoir refusé du sang contaminé par le vaccin covid pour l’opération au cœur de celui-ci
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie
7 décembre 2022 (LifeSiteNews) — La Haute Cour de Nouvelle-Zélande a pris la tutelle d’un bébé de quatre mois après que ses parents soient restés fermes en demandant que seul du sang non contaminé par le « vaccin » COVID-19 soit utilisé lors de l’opération chirurgicale visant à réparer la malformation cardiaque de leur fils.
Le juge Ian Gault a décrété que le bébé resterait sous la tutelle du tribunal jusqu’à ce qu’il se soit remis de l’opération, selon un article de CNN.
La simple demande des parents du bébé a été rejetée par l’hôpital Starship d’Auckland et son chirurgien cardiaque pédiatrique, ainsi que par le Service néo-zélandais du sang [NZBS], qui l’ont jugée inutile et « irréalisable », bien que les parents aient identifié 20 personnes non vaccinées prêtes à donner de leur sang pour l’intervention qui sauverait la vie de l’enfant.
« C’est une histoire désespérée où les pouvoirs de l’hôpital soutiennent la banque de sang, et les parents se sont sentis absolument impuissants », a déclaré Liz Gunn lors d’un entretien vidéo dans une chambre d’hôpital avec les parents du petit garçon.
« Nous ne voulons pas de sang contaminé par la vaccination », a déclaré le père du petit garçon. « Nous sommes d’accord avec tout ce que ces médecins veulent faire d’autre ».
« C’est une question si facile à éclaircir, et vous ne le faites pas », a poursuivi le père, adressant ses commentaires au responsable de la NZBS.
« Cela ressemble un peu à une action criminelle pour moi », a-t-il ajouté.
« Nous ne pouvons pas prendre de risque avec un garçon qui a déjà un problème cardiaque », a expliqué la mère de l’enfant.
« Je suis horrifiée et dégoûtée que vous n’ayez même pas la décence de nous parler », a déclaré la mère, qui s’est également tournée vers le responsable de NZBS, « alors que vous empêchez de toute évidence notre bébé de recevoir le sang dont il a besoin pour cette opération cardiaque ».
Elle a déclaré qu’elle s’était sentie « intimidée » par ceux qui faisaient obstruction à leur demande de sang non contaminé, racontant comment un médecin avait essayé de la contraindre à signer un document autorisant l’intervention avec du sang contaminé, puis l’avait menacée d’un avocat et avait suggéré qu’elle avait besoin de l’aide d’un psychiatre parce qu’elle refusait.
L’entrevue de Gunn avec les parents de l’enfant est devenue virale, ayant été vue par plus de 57 000 personnes à ce jour.
Lire la suiteLe ministre espagnol de l’Égalité déclare que les enfants « peuvent aimer ou avoir des relations sexuelles avec qui ils veulent »
Irene Montero.
Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Aea1994/Wikimedia Commons
27 septembre 2022, Madrid, Espagne (LifeSiteNews) — Dans ce qui semble être une tentative de normalisation de la pédophilie, le ministre espagnol de l’Égalité déclare maintenant que les enfants devraient être autorisés à se livrer à des actes sexuels tant qu’ils donnent leur « consentement ».
Lors d’une réunion de la Commission de l’égalité du Congrès des députés au Parlement espagnol mercredi dernier, Irène Montero, ministre de l’Égalité et membre du parti de gauche Podemos, a fait des commentaires sur l’éducation sexuelle des enfants, affirmant que les enfants ont le droit d’aimer ou d’avoir des relations sexuelles avec « qui ils veulent ».
« Parler d’éducation sexuelle est un droit des garçons et des filles, indépendamment des familles, tous ont le droit de connaître leur corps, de savoir qu’aucun adulte ne peut toucher leur corps s’ils ne le veulent pas eux-mêmes et de savoir que c’est une forme de violence », a déclaré Montero.
« Les enfants ont le droit de savoir qu’ils peuvent aimer ou avoir des relations sexuelles avec qui ils veulent, tant qu’elles sont basées sur le consentement... » a poursuivi la politicienne, ajoutant que « ce sont des droits qui doivent être reconnus ».
Montero a fait ces commentaires malgré le fait que l’âge du consentement en Espagne est actuellement de 16 ans, et malgré le fait que le 25 août 2022, le projet de loi organique pour la garantie intégrale de la liberté sexuelle a été adopté par le Congrès espagnol dans lequel il est clairement indiqué que le consentement est expressément nécessaire pour que les relations sexuelles puissent avoir lieu légalement.
Ces commentaires interviennent à un moment où la sexualisation des enfants devient de plus en plus courante dans la société occidentale, à tel point que divers militants sont allés jusqu’à dire que la pédophilie a été grandement « mal comprise ».
Lire la suiteDavid contre Goliath : un conseiller scolaire chrétien affronte seul les idéologues LGBT devant la Cour suprême du Canada
Barry Neufeld, conseiller à la commission scolaire de Chilliwack.
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie
21 septembre 2022 (Campaign Life Coalition) — Un conseiller scolaire chrétien qui siège au conseil d’administration d’une commission scolaire publique en Colombie-Britannique se rendra devant la Cour suprême du Canada en octobre pour tenter de se disculper des accusations selon lesquelles il a encouragé la « haine » et s’est livré à un « discours haineux » lorsqu’il a exprimé publiquement ses préoccupations au sujet d’un programme « d’orientation sexuelle et d’identité de genre » proposé à des enfants d’âge scolaire aussi jeunes que 5 ans.
Barry Neufeld est un conseiller scolaire du Conseil de l’éducation de Chilliwack. Il est l’un des conseillers scolaires ayant le plus d’ancienneté au Canada, car il représente les préoccupations des parents auprès du conseil depuis 1992. L’enjeu de l’affaire Neufeld est le droit à la liberté d’expression des personnes occupant une charge publique qui soulèvent des préoccupations valables au sujet de programmes qui endoctrinent les enfants dans des idéologies sexuelles dangereuses.
« Cela fait plus de cinq ans que je me bats pour m’opposer à un programme qui a détruit le corps de milliers d’enfants, et retourné plusieurs milliers d’enfants contre leurs parents », a déclaré Barry Neufeld, administrateur du district scolaire de Chilliwack, à Campaign Life Coalition, ajoutant que la décision de la Cour suprême « déterminera si les parents et les enseignants sont autorisés à “former un enfant dans la voie qu’il doit suivre” ».
L’affaire a commencé à l’automne 2017 lorsque Neufeld a publiquement fait part de ses préoccupations, au nom des parents qui l’ont élu pour les représenter, au sujet d’un programme « d’orientation sexuelle et d’identité de genre » (SOGI 1-2-3) destiné aux écoliers, de la maternelle à la 12e année.
De nombreux parents, ainsi que quelques organismes parentaux de vigilance, ont critiqué le programme SOGI 1-2-3 pour sa promotion flagrante auprès des enfants de théories non scientifiques selon lesquelles le sexe biologique d’une personne ne détermine pas si elle est un homme ou une femme et, par conséquent, que les gens peuvent changer de sexe grâce aux hormones et à la chirurgie. Les parents s’opposent également à la forte promotion par le programme de la propagande LGBT selon laquelle les enfants peuvent être aussi bien élevés par deux hommes ou deux femmes que par une mère et un père.
M. Neufeld, qui est un conseiller scolaire fiable et respecté depuis près de trente ans, a fait valoir à l’époque que ce n’était pas le rôle des écoles ni des enseignants de promouvoir l’idéologie du genre auprès des écoliers. Il a publié sur ses pages de médias sociaux des arguments selon lesquels l’idéologie du genre est scientifiquement fausse, la qualifiant de « biologiquement absurde », ajoutant qu’elle est nuisible aux enfants. Il a qualifié ses promoteurs de « nihilistes culturels radicaux ».
Lire la suiteLe gouvernement canadien recommande aux enseignants de cacher aux parents l’« identité transgenre » de leur enfant
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wayhome Studio/Adobe Stock
Vous est-il déjà arrivé de jeter un coup d’œil sur la page du site officiel du gouvernement du Canada, intitulée « Questions et réponses : L’identité sexuelle à l’école – Que dois-je faire si un étudiant me révèle son identité transgenre ? » Sa lecture édifiante vous apprendra, entre autres velléités progressistes, que le gouvernement fédéral se permet de recommander aux personnes travaillant dans le domaine de l’instruction de cacher aux parents l’« identité transgenre » de leur enfant, s’il advenait que ce dernier confiât auxdits éducateurs un tel sentiment et qu'il ne l'eût pas révélé à ses parents.
Pourquoi ? Parce que « Le milieu familial n’est pas toujours sécuritaire pour les jeunes transgenres », proclame l’auteur de la page. Selon le site du Gouvernement du Canada :
Le milieu familial n’est pas toujours sécuritaire pour les jeunes transgenres. Il est important de ne pas faire appel aux parents et aux personnes responsables des jeunes transgenres à moins que les jeunes eux-mêmes n’aient déjà divulgué leur identité sexuelle à leurs familles ou vous avez l’obligation légale de déclarer une telle identité s’il y a des risques de blessures volontaires. Les jeunes transgenres peuvent être exposés à des risques à la maison si l’école s’adresse aux parents et aux personnes responsables alors qu’ils ne sont pas au courant de l’identité sexuelle de leur enfant.¹
Les parents sont toujours (que je sache) les premiers responsables de leurs enfants, les dernières personnes en fait à qui cacher une telle révélation, et surtout pas a priori. En effet, en quoi un professeur devrait-il systématiquement cacher aux premiers responsables de l’enfant un secret de ce type sous prétexte que le « milieu familial n’est pas toujours sécuritaire » ? Ce n’est pas parce que le milieu familial « pourrait » être insécuritaire qu’il faut par défaut le sauter. Cette généralité est symptomatique d’un gouvernement qui désire s’arroger les prérogatives parentales. A priori, un éducateur ne devrait pas cacher aux parents l’état de l’élève qu’ils lui ont confié, puisque c’est d’eux qu’il a reçu autorité pour enseigner à l’enfant.
C’est un peu comme si le fédéral s’ingérait dans les autres paliers gouvernementaux : « surtout n’allez pas dire au gouvernement provincial… »
Suivant les conseils gouvernementaux, l’enseignant pourrait même décourager l’élève de se confier à ses parents :
Lire la suiteNe parlez pas de l’identité de l’étudiant avec les personnes auxquelles il n’a pas encore révélé son identité sexuelle, y compris les parents et les personnes responsables.
La divulgation de leur identité sexuelle est l’une des annonces les plus difficiles et les plus importantes que les personnes transgenres communiquent aux autres. Pour un grand nombre d’entre elles, cela peut représenter la fin d’une très longue lutte intérieure pour tenir leur identité secrète par peur ou par honte. L’action de divulguer son identité est un jalon qui peut signifier que la personne accepte son identité, et marquer le début d’une « nouvelle vie ». Il est toutefois important de parler au jeune transgenre de la gamme de réactions que la divulgation pourrait susciter au sein de la collectivité scolaire et au sein de la famille. Discutez avec lui de la possibilité qu’il soit victime de rejet, de harcèlement, de violence verbale, de violence physique, et de violence sexuelle, et aidez-le à acquérir des mécanismes d’adaptation.
Les élèves de l’école secondaire Trafalgar d’Oakville, exposés à l’obscénité d’un professeur transgenre
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
Les élèves de l’école secondaire Trafalgar D’Oakville, en Ontario, sont exposés depuis la rentrée scolaire à l’obscénité d’un de leur professeur qui se déclare maintenant femme — il arbore des prothèses de seins de taille grotesquement disproportionnée, aux mamelons saillants, et qui n'ont absolument rien de féminin soit dit en passant. J’ai traduit ci-dessous un large extrait d’un courriel de Josie Luetke de Campaign Life Coalition. — A.H.
Libs of TikTok est un compte consacré à la dénonciation des absurdités qui sont devenues monnaie courante en Amérique du Nord, notamment dans les écoles.
Je regarde beaucoup de vidéos ridicules d’enseignants socialement libéraux se réjouissant d’endoctriner les enfants dans l’idéologie LGBTQ, mais vendredi, cette absurdité a touché de près — de très près — la maison.
Presque tous mes camarades de l’école primaire ont été à l’école secondaire Trafalgar d’Oakville, qui se trouve à moins de 5 minutes en voiture de la maison de mon enfance.
L’école a fait les manchettes à l’échelle internationale parce que son professeur d’atelier masculin, qui s’est récemment identifié en tant que femme, est retourné en classe cet automne en portant du maquillage, une perruque et des prothèses mammaires géantes — de taille grotesque — avec des mamelons saillants. […]
Il semble que cet homme prenne plaisir à exposer des jeunes — dont certains n’ont que 13 ans — à son fétichisme sexuel grossier. Je ne sais pas si cet homme est un cynique, ou s’il est authentiquement perturbé mentalement.
Quoi qu’il en soit, c’est complètement et totalement inacceptable. Dans un monde sain, c’est évident. Je ne devrais pas avoir besoin de le dire.
Malheureusement, les individus avec des inclinaisons sexuelles bizarres se comptent par dizaines de nos jours.
Ce qui est bien plus déplorable, c’est le fait que cet homme ait été autorisé à revenir à l’école jour après jour et à continuer à enseigner aux élèves.
Aucun collègue enseignant ou administrateur de l’école ne l’a arrêté.
Lire la suite«Il faut sortir les enfants du système scolaire» - Dr Ann E. Gillies, PhD avertit les parents sur l'endoctrinement du genre
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Montage Photo : Joanne D’Arc
Le genre et le sexe sont des termes qui sont utilisés de manière interchangeable dans la société d’aujourd’hui, mais avant 1950 le genre ne s’appliquait qu’à la grammaire et non aux personnes.
Présentement, on entend souvent les gens parler de changement de genre, alors qu’ils se réfèrent au changement de sexe.
La définition scientifique du sexe biologique serait, pour la quasi-totalité des humains, claire, binaire et stable, reflétant une réalité biologique sous-jacente qui n’est pas contredite par les exceptions de comportement sexuel et ne peut pas être modifiée par la chirurgie ou le conditionnement social.
La définition du genre, soit la conscience et le sentiment d’être un homme ou une femme, est un concept sociologique et psychologique, et non un concept biologique.
Personne ne naît avec un genre, mais chacun naît avec un sexe biologique.
La science nous permet de conclure que le sexe humain est une dichotomie; il est binaire — homme et femme — et non un continuum. Plus de 99,98 % des humains naissent soit mâles, soit femelles.
Malheureusement, le système d’éducation présent, les médias de masse, les réseaux sociaux ainsi que les politiciens utiliseraient un langage qui porterait à confusion à ces propos non seulement la majorité des adultes, mais les plus petits membres de notre société : nos enfants.
Suite à l’annonce récente du financement impressionnant de 100 $ millions par le premier ministre Justin Trudeau pour les groupes 2ELGBTQI+ nous avons discuté avec Dr Ann E. Gillies qui est thérapeute et conférencière d’Ottawa, spécialisée entre autres en Genre et Sexualité.
Dr Ann E. Gillies nous permet de mettre les choses au clair. Elle a passé plus de 25 ans dans un cabinet privé, travaillant intensivement avec des survivants de traumatismes, voyant des vies restaurées et transformées. Ann s’est retirée de la pratique en 2019 pour se concentrer sur la défense des droits et la réforme politique, pour les personnes traumatisées, surtout celles qui luttent contre les attirances sexuelles non désirées et pour les plus vulnérables — les enfants.
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