Le CDC publie des données montrant une baisse de la mortalité maternelle depuis le renversement de l’arrêt Roe
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
Des données provisoires publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) montrent que, contrairement aux affirmations des partisans de l’avortement selon lesquelles les femmes mourraient si elles n’ont pas accès à l’avortement, la mortalité maternelle semble avoir diminué depuis la chute de l’arrêt Roe v. Wade en juin 2022, pour revenir aux chiffres antérieurs au covid.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit le décès maternel comme « le décès d’une femme enceinte ou le décès dans les 42 jours suivant une interruption de grossesse, quels que soient la durée et le lieu de la grossesse, pour toute cause liée ou aggravée par la grossesse ou sa prise en charge, mais non pour des causes accidentelles ou fortuites. »
Lire la suitePlus de 10 000 femmes britanniques ayant pris la pilule abortive à domicile en 2020 ont été hospitalisées, selon une nouvelle étude
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : yanalya/Freepik
30 novembre 2021 (Society for the Protection of Unborn Children) — La vérité « dévastatrice » sur l’auto-avortement à domicile par pilule abortive a été révélée après que des demandes d’accès à l’information aient dévoilé que plus de 10 000 femmes ont dû être hospitalisées en Angleterre en 2020 après avoir souffert de complications graves.
Une enquête, qui comprenait 85 demandes soumises au National Health Service (NHS), a montré qu’une femme sur 17 ayant utilisé des services d’avortement par pilules-reçues-par-la-poste en 2020 a souffert d’effets secondaires si graves qu’elle a dû être hospitalisée.
L’enquête a révélé que 5,9 % des femmes ont dû être traitées en raison d’avortements incomplets, ces femmes conservant [en elles] des parties de leur bébé avorté.
- 3 % des femmes ont dû subir une évacuation chirurgicale des restes de leur enfant à naître après l’échec de la pilule abortive.
- 2,3 % des femmes ont été traitées pour des hémorragies.
Le taux de complication reflète des études et des rapports similaires, l’enquête concluant que : « Nous pouvons dire que les complications, résultant de l’échec du procédé d’avortement par pilules, sont fréquentes et doivent être prévues. »
Vous pouvez accéder à l’intégralité de l’étude et des conclusions ici.
Les complications sont « courantes », mais ne sont toujours pas signalées
L’enquête, menée par Percuity LTD et dirigée par le consultant Kevin Duffy, a également révélé que les prestataires de services d’avortement et le Department for Health and Social Care (DHSC) ne signalaient pas l’échec de la pilule abortive comme une complication, bien que de tels échecs entraînent un traitement hospitalier ─ ce qui signifie que moins d’une complication sur cinq était signalée.
Lire la suiteNon, la légalisation de l’avortement ne réduit pas la mortalité maternelle !
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) — Photo : Joa Souza/Adobe Stock
« [C’est avec] l’un des principaux arguments en faveur de la légalisation de l’avortement dans les pays en voie de développement [que l’on] tente de contourner le statut moral du fœtus en faisant appel à des considérations pratiques : l’interdiction de l’avortement n’empêche pas les avortements, mais elle expose les femmes au risque d’avortements clandestins dangereux, tuant des femmes dans grands nombres. Puisque la légalisation de l’avortement réduit considérablement les avortements à risque, sans augmenter le nombre global d’avortements, l’avortement devrait être légal. »
Ce qui est un argument phare pour légaliser l’avortement est mis à mal par une étude récente, publiée dans le Journal of Medical Ethics.
L’auteur, Calum Miller, commence par fustiger les statistiques, bien souvent déformées.
Par exemple, commente-t-il, « la Fédération internationale de gynécologie et d’obstétrique affirmait que les avortements à risque représentaient 13 % des mortalités maternelles mondiales ».
Or, l’étude de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) incluait notamment dans ces 13 %, « les décès dus à une grossesse extra-utérine, à une fausse couche ».
De même, le Collège royal des obstétriciens et gynécologues a récemment relayé une information selon laquelle « 12 000 femmes au Malawi meurent d’avortements à risque chaque année. Mais la dernière estimation du nombre total de décès maternels au Malawi chaque année est de 1 150, soit moins de 10 % de ce chiffre ». Il semble que « 6 à 7 % de ces décès sont dus à une fausse couche et à un avortement provoqué combinés ». Ce qui revient à surestimer le nombre de décès par 100, ce qui est loin d’être négligeable !
Lire la suiteDes études montrent que les complications liées à l’avortement sont fréquentes
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : motortion/Adobe Stock
Dans ses mémoires, l’ancienne avorteuse Dr Patti Giebink, parle des complications de l’avortement. Elle décrit les répercussions de l’avortement sur les organes reproducteurs de la femme, ce qui révèle à quel point il est vraiment facile de blesser une femme :
Le premier passage avec la canule d’aspiration permet idéalement de recueillir tous les tissus ─ la plupart, sinon tous. Une curette (un instrument en forme de cuillère [dont les bords sont tranchants]) est utilisée après l’aspiration... Un grattage trop fort laisse des cicatrices. Si l’on gratte trop doucement, les tissus laissés derrière peuvent provoquer une infection et des saignements...
Une fois que la cavité utérine est propre et que tous les instruments chirurgicaux ont été retirés de la patiente, l’utérus devrait visiblement se contracter pour retrouver sa taille normale. Si ce n’est pas le cas, il y aura des saignements, ce qui signifie que des tissus sont restés en place ou, pire, que l’utérus pourrait être perforé. [1]
Tissus retenus, infection et hémorragie
Dans son rapport de 2018 sur la sécurité de l’avortement, l’Académie nationale des sciences, de l’ingénierie et de la médecine a déclaré que 8 % des avortements par aspiration laissent des tissus derrière eux. Selon elle, ce chiffre est « lié à la gestation, à l’expérience du médecin et à l’utilisation ─ ou non ─ d’un guidage par ultrasons ». [2]
Les tissus retenus peuvent provoquer une infection. L’étude intitulée « Prevention of infection after induced abortion » (Prévention de l’infection après un avortement provoqué), publiée dans la revue « Contraception », indique que 30 % des décès liés à un avortement sont dus à des infections. Une étude a révélé que le taux d’infection après un avortement était de 5,8 % si la femme recevait des antibiotiques et de 9,4 % si elle n’en recevait pas. [3] Une étude britannique intitulée « A randomised comparison of strategies for reducing infective complications of induced abortion » [Comparaison randomisée de stratégies visant à réduire les complications infectieuses de l’avortement induit] a révélé un taux d’infection de 5-10 %.
Lire la suiteUne nouvelle étude évaluée par des pairs confirme que l’attirance involontaire pour le même sexe peut changer
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Stanislaw Mikulski/Adobe Stock
21 octobre 2021 (LifeSiteNews) — Une étude à grande échelle, évaluée par des pairs, et venant d’être publiée, confirme qu’il est possible de diminuer de manière significative les phénomènes sexuels non désirés à l’égard de personnes du même sexe tout en améliorant le bien-être psychologique général.
Ce qui est le plus intéressant dans cette nouvelle recherche, c’est que les thérapeutes n’ont pas abordé directement l’attirance pour le même sexe des participants masculins. Au lieu de cela, ils ont utilisé la « Thérapie de réintégration », une méthode de traitement qui vise à identifier et à résoudre les souvenirs traumatiques du passé.
« Plutôt que d’utiliser la thérapie pour changer la sexualité, cette thérapie traite les souvenirs traumatiques. Les changements sexuels en sont un sous-produit », explique le Dr Joseph Nicolosi Jr, psychologue clinicien agréé et fondateur de la Reintegrative Therapy Association, une organisation scientifique à but non lucratif. « Tenter activement de changer sa sexualité peut interférer avec ce processus. Nous encourageons plutôt nos clients à résoudre les souvenirs qu’ils considèrent comme traumatisants. Tout en les soutenant dans ce cheminement, nous laissons ce qui se passe se produire naturellement. »
Le Dr Nicolosi a fait référence à une étude pilote publiée dans le Journal of Psychology and Psychotherapy, qui explorait le traitement réussi de la frénésie alimentaire à l’aide d’une méthode de traitement identique. « La plupart des thérapeutes ne proposent pas à leurs clients d’explorer la fluidité de l’attirance sexuelle parce qu’on leur a dit qu’il n’y avait pas assez de recherches sur sa sécurité ou son efficacité. Nous savons maintenant, grâce à cette nouvelle recherche, qu’une telle approche est à la fois sûre et efficace. »
L’étude, fondamentale, s’est concentrée sur 75 hommes adultes qui ont déclaré avoir des attirances envers le même sexe et ont choisi d’explorer leur « fluidité d’attraction sexuelle ».
Lire la suiteNouvelle étude : Les mesures gouvernementales contre la « pandémie » de covid-19 au Canada sont responsables de milliers de décès...
Le Pr Denis Rancourt.
Par Guy Boulianne (Guy Boulianne)
J’ai reçu aujourd’hui même — par courriel — une autre étude qui démontre qu’il n’y a eu aucune pandémie au Canada en 2020. Cette nouvelle étude a été préparée par Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin et Dr Jérémie Mercier. Je partage avec vous la version courte telle que je l’ai reçue. Vous pouvez aussi la télécharger ci-dessous. La version intégrale peut être consultée sur le site Web du Pr Denis Rancourt.
Lundi le 9 août 2021
Chers amis, collègues, scientifiques, lanceurs d’alerte et citoyens,
Nous venons de publier avec Jérémie Mercier et Denis Rancourt un nouvel article démontrant qu’aucune pandémie n’a eu lieu au cours de la dernière décennie au Canada, y compris en 2020.
L’article est accessible au lien suivant : https://denisrancourt.ca/entries.php?id=104.
Veuillez trouver ci-dessous (version courte) et en pièce jointe (version longue) le communiqué de presse relatif à cette étude.
N’hésitez pas à partager nos travaux autour de vous.
Contacts presse :
Marine Baudin : [email protected]
Jérémie Mercier : [email protected]
Denis Rancourt : [email protected]
Les réponses gouvernementales à une pandémie de COVID-19 inexistante au Canada sont responsables de milliers de décès chez les personnes âgées et chez les jeunes hommes en 2020
Un article scientifique écrit par Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin and Dr Jérémie Mercier publié sur denisrancourt.ca démontre après analyse de la mortalité toutes causes confondues au Canada depuis 2010 (chiffres de StatCan) que :
- Il n’y a eu aucune pandémie au Canada en 2020.
- Un « pic-covid » d’environ 12 000 morts est arrivé tardivement, à un moment jamais vu dans l’histoire de l’épidémiologie canadienne (maximum du pic à fin avril 2020). Ce « pic-covid », présent dans certaines juridictions de moyenne latitude de l’hémisphère Nord (mais pas toutes et avec des intensités très variables d’une juridiction à l’autre) ne peut pas être simplement une épidémie, et selon l’hypothèse la plus probable a été généré par les mesures politiques et médicales consécutives à la déclaration de pandémie par l’OMS le 11 mars 2020.
- Les mesures politiques mises en place supposément pour juguler la propagation du SARS-CoV-2, le virus à l’origine du COVID-19, ont été responsables, selon l’étude, d’une accélération de la mortalité des plus de 85 ans de mars à mai 2020 et d’une mortalité inédite (environ 2 000 morts en plus) des jeunes hommes canadiens (moins de 45 ans) à l’été 2020.
La médiatisation du COVID-19 depuis près d’un an et demi est en décalage total avec la réalité épidémiologique observée. L’importance de cette maladie sur la mortalité des Canadiens est exagérée, alors que l’impact sur la mortalité des mesures politiques mises en place supposément pour contrer cette maladie est catastrophique (environ 12 000 décès accélérés, principalement chez les plus de 85 ans, de mars à mai 2020 ; et mortalité inédite d’environ 2 000 jeunes hommes à l’été 2020). Au vu des résultats de leur étude, les auteurs appellent à revoir les nouvelles politiques « sanitaires » et à évaluer leurs conséquences dans la transparence et la responsabilité.
Lire la suiteSelon une étude, l’avortement augmente de 50 % le risque de décès prématuré chez la femme
Amy Sobie (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ruben/AdobeStock
L’avortement légal contribue à une augmentation de cinquante pour cent du risque de décès prématuré chez les femmes, selon une nouvelle revue systématique de 989 études sur les décès associés aux dénouements de grossesse.
Comme l’indique la Figure 1, les taux de décès plus élevés que l’on observe après un avortement, commencent dans les 180 premiers jours qui suivent et se poursuivent pendant au moins dix ans.
Au cours des 180 premiers jours, le risque de décès, toutes causes confondues, est plus de deux fois plus élevé après un avortement qu’après un accouchement. Le risque de décès précoce reste élevé pendant au moins dix ans (figure 1).
Figure 1 : Taux de mortalité après un accouchement ou un avortement pendant les 180 premiers jours et chacune des années suivantes
L’avortement et la fausse-couche sont tous deux liés à des taux de mortalité élevés, mais l’effet est plus fortement associé aux avortements provoqués.
La plus grande partie des décès prématurés consécutifs à une interruption de grossesse sont dus à des suicides, des accidents, des homicides et certaines causes naturelles, comme les maladies circulatoires, dont on sait qu’elles sont associées au stress.
Les chercheurs ont conclu que ces résultats s’expliquent le mieux par les effets psychologiques de la perte de grossesse, qui contribuent à des niveaux élevés de stress, d’abus de substances, de prise de risques et de comportements autodestructeurs.
Lire la suiteDes femmes parlent de leurs traumatismes post-avortement tandis que les partisans de l’avortement en nient l’existence
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : The VisualsYouNeed/AdobeStock
L’avortement est censé donner du pouvoir aux femmes, et pourtant, les femmes ayant subi un avortement révèlent de plus en plus souvent combien celui-ci les a affectées négativement. Après des années de déni, les médias donnent enfin la parole à ces femmes ─ mais non sans tenter de rassurer le public sur le fait que ces femmes ne regrettent pas réellement leur avortement. Un nouvel article de l’Australian Broadcasting Corporation (ABC) a dressé le portrait de certaines des femmes qui ont ressenti du chagrin après leur avortement. Pourtant, malgré le témoignage de ces femmes, c’est l’industrie de l’avortement qui prétend que le regret suivant l’avortement est rare, voire inexistant, que c’est une croyance plutôt.
« Je me demande si c’était mon fils »
Le premier témoignage est celui de Jessie O’Brien, qui est devenue enceinte de son deuxième enfant alors que son premier n’avait que 10 mois. « Passer d’un à deux si tôt était très intimidant. La naissance de mon premier enfant ne s’était pas très bien passée, donc cela restait dans mon esprit », a-t-elle déclaré à ABC, et elle a dit avoir décidé d’avorter. « C’est un processus assez physique ; vous êtes toujours très consciente que votre corps avorte un fœtus. C’est une période de règles sous stéroïdes, essentiellement ».
Mais aujourd’hui, O’Brien dit que même des années plus tard, elle a toujours du mal à accepter l’avortement. « Lorsque les symptômes physiques disparaissent, on se demande toujours : et si… », a-t-elle admis. « J’ai eu trois filles et je me demande toujours, au fond de moi, et si c’était mon fils… Je me demande si c’était un garçon. Mais je ne le saurai jamais. »
Le « regret... devient de plus en plus profond »
Une autre femme, Sarah, a déclaré à ABC qu’elle regrette carrément de plus en plus sa décision d’avorter au fur et à mesure que le temps passe. « [Je me suis sentie] soulagée au début, juste parce que les nausées matinales avaient disparu », a-t-elle dit. « Mais depuis, j’ai beaucoup de regrets et d’émotions. C’est une chose tellement complexe, c’est vraiment difficile à traduire en mots... c’est presque comme si plus le temps passe, plus c’est profond. »
Lire la suiteUne étude étendue sur dix ans montre que l’avortement légal ne diminue pas la mortalité maternelle
Par Laura Nicole (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Les restrictions à l’avortement n’entraînent pas une augmentation du nombre de femmes décédant en raison d’un manque d’avortements « sécures », selon une nouvelle étude mise en évidence par l’Association américaine des obstétriciens et gynécologues pro-vie (AAPLOG).
Dans un tweet récent, l’AAPLOG a cité une étude publiée dans la revue médicale BMJ Open, qui a examiné la mortalité maternelle dans 32 États mexicains sur une période de 10 ans, entre 2002 et 2011. L’étude a commencé par reconnaître l’argument pro-avortement selon lequel « le statut juridique de l’avortement est un facteur qui influence la santé maternelle. » Ils ont également reconnu l’argument courant selon lequel on pense que les restrictions à l’avortement entraînent la pratique d’« avortements clandestins, illégaux ou non sécurisés » conduisant à une augmentation des décès maternels.
Mais au lieu de découvrir des données à l’appui de cet argument, l’étude a plutôt constaté que « les États dotés d’une législation moins permissive sur l’avortement présentaient un TMM [taux de mortalité maternelle] plus faible (je souligne) que ceux où les lois sur l’avortement sont plus permissives ». En d’autres termes, les restrictions pro-vie sur l’avortement n’ont pas entraîné de taux de mortalité maternelle plus élevés.
Même dans les États mexicains qui ont adopté des amendements constitutionnels interdisant l’avortement, la santé des femmes n’a pas souffert : « Aucune preuve d’effet délétère ou bénéfique [sur la mortalité maternelle] n’a été trouvée pour la présence d’amendements constitutionnels protégeant les enfants à naître, sur une période d’étude de 4 ans ».
Pour être clairs, les auteurs de l’étude mexicaine n’ont pas trouvé de preuve que les restrictions à l’avortement étaient la cause de meilleurs résultats en termes de maternité. Des variables indépendantes entre les États expliquaient la plupart des différences de résultats. Comme l’indiquait le tweet de l’AAPLOG, « des facteurs non législatifs (alphabétisation des femmes, poids à la naissance, assistance qualifiée à la naissance, eau potable, etc.) étaient les principales causes » de la baisse des taux de mortalité maternelle dans les États où l’avortement était plus restrictif.
Lire la suiteLe nouveau sondage Gallup est loin d’être ce que les partisans de l’avortement pensent être, voici pourquoi
Par Michael J. New (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : bearfotos/Freepik
Avertissement : les opinions exprimées qui suivent n’engagent que l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles de Live Action ou de Live Action News.
Dernièrement, Gallup a publié un grand nombre de nouvelles données de sondage sur les questions relatives au caractère sacré de la vie. Il s’agit de l’une des premières enquêtes nationales sur l’avortement réalisées depuis le début de l’administration Biden. Dans l’ensemble, les attitudes sur le caractère sacré des questions sont restées stables. Le sondage Gallup a révélé que 47 % des Américains s’identifient comme « pro-vie » et 49 % comme « pro-choix ». Ce résultat est très cohérent avec les récents sondages Gallup. Sur les six sondages Gallup réalisés depuis 2016, le sentiment pro-vie était en moyenne de 47 %. Les médias vont probablement retourner un peu les informations de ce récent sondage afin d’argumenter qu’il a eu une diminution du sentiment pro-vie. Cependant, les pro-vie ne doivent pas être induits en erreur.
Le sentiment « moralement acceptable » est largement inchangé
Tout d’abord, il est vrai que cette enquête révèle que le pourcentage d’Américains qui pensent que l’avortement est « moralement acceptable » a atteint un niveau record. Cependant, si l’enquête révèle que 47 % des Américains pensent que l’avortement est « moralement acceptable », cela ne représente qu’un gain de 3 points de pourcentage par rapport à la dernière enquête Gallup de 2020. En outre, le nombre de personnes qui considèrent l’avortement comme « moralement mauvais » n’a diminué que d’un point de pourcentage.
Roe v. Wade et le soutien aux lois pro-vie dépendent de la formulation du sondage
Deuxièmement, le sondage révèle que 32 % des personnes souhaitent l’annulation de la décision Roe v. Wade, tandis que 58 % ne le souhaitent pas. Cependant, ce sondage Gallup souffre des deux mêmes problèmes que presque tous les autres sondages sur la décision Roe v. Wade.
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