Une étude révèle que les hommes en transition de genre ont un taux de cancer des testicules 27 fois plus élevé après la prise d'hormones
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pcess609/Adobe Stock
26 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Une étude récente a révélé que les hommes ayant pris sur une période prolongée des hormones féminines ou des bloqueurs de puberté dans le cadre de ce que l’on appelle les « transitions de genre » étaient près de 27 fois plus susceptibles de développer un cancer des testicules.
Comme le notent les auteurs de l’étude évaluée par des pairs, « cette étude remet en question les affirmations précédentes selon lesquelles il n’y a pas de lien entre le cancer des testicules et l’utilisation d’hormones », soulignant les insuffisances des méthodologies de recherche antérieures.
En termes simples, les hommes ayant reçu des hormones féminisantes de sexe opposé pendant plus de deux ans présentaient un risque nettement plus élevé de cancer du testicule.
Bien que la corrélation n’indique pas nécessairement la causalité, les auteurs du rapport suggèrent que cette augmentation de l’incidence « peut être due à un prétraitement à long terme avec des hormones ou des bloqueurs ».
Les interventions de « transition », telles que les bloqueurs de puberté, les hormones et les opérations chirurgicales, ne sont jamais des traitements médicaux authentiques, car le sexe immuable d’une personne, donné par Dieu, [et inscrit dans le code génétique de chaque cellule du corps], n’est pas une maladie.
Lire la suiteUne nouvelle étude révèle que l’avortement augmente la probabilité que les femmes recherchent un traitement de santé mentale
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
15 octobre 2024 (LifeSiteNews) — Le fait d’avoir avorté est en effet corrélé à un effet négatif sur la santé mentale, a découvert une nouvelle étude danoise, contredisant une étude précédente du même pays et corroborant d’autres données qui trouvaient des raisons de s’inquiéter.
L’étude, publiée dans Issues in Law & Medicine et dirigée par David Reardon de l’Elliot Institute, réévalue les données d’une étude de 2011 qui n’avait pas révélé de risque accru de troubles mentaux après un avortement du premier trimestre. Cette conclusion, écrivent les auteurs de la nouvelle étude, était « incompatible avec des études similaires utilisant des périodes plus longues », et ils ont donc choisi de réexaminer les mêmes données « sur des périodes légèrement plus longues ».
Ils ont ainsi constaté qu’un an après l’avortement, les femmes présentaient une probabilité 50 % plus élevée de recevoir un premier traitement psychiatrique et une probabilité 87 % plus élevée de souffrir de troubles de la personnalité et du comportement.
« Notre nouvelle analyse a révélé que les données danoises sont cohérentes avec l’ensemble des études basées sur les registres et les enquêtes lorsqu’elles sont examinées sur des périodes d’observation d’au moins neuf mois », écrivent les auteurs. « Des périodes d’observation plus longues sont nécessaires pour saisir à la fois les réactions d’anniversaire et l’épuisement des mécanismes d’adaptation qui peuvent retarder l’observation des effets post-avortement ».
Lire la suiteUne étude québécoise révèle que plus de 10 % des bébés avortés au cours du deuxième trimestre naissent vivants
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : SciePro/Adobe Stock
6 août 2024 (LifeSiteNews) — Une étude québécoise a révélé que plus d’un bébé sur dix avortés au cours du deuxième trimestre naît vivant, mais que seulement 10 % d’entre eux vivent plus de trois heures.
En juin, l’American Journal of Obstetrics and Gynecology a publié « Second-Trimester Abortion and Risk of Live Birth », une étude québécoise qui a révélé que 11,2 % des avortements pratiqués au cours du deuxième trimestre ont donné lieu à des naissances vivantes.
« Il est plus fréquent que l’on ne croit que des enfants naissent vivants à la suite d’un avortement », a écrit Melissa Ohden, militante pro-vie, dans sa lettre d’information hebdomadaire. « Malheureusement, la plupart des gens ne savent même pas que des bébés survivent à des avortements, ou bien ils sont amenés à croire que nous ne sommes qu’un petit nombre ».
« Les termes “survivant d’un avortement” et “enfant né vivant” sont souvents des termes polarisants, assimilés à des histoires fictives fabriquées pour restreindre les “droits reproductifs”, » poursuit-elle, « Pourtant, ces circonstances sont simplement une réalité relativement bien comprise, peu rapportée et peu étudiée ».
En effet, l’étude québécoise a révélé qu’un nombre stupéfiant de bébés naissent vivants après que l’on ait tenté de les avorter. L’étude a analysé 13 777 avortements pratiqués sur des bébés au cours du deuxième trimestre, entre 15 et 29 semaines de gestation, dans les hôpitaux du Québec entre le 1er avril 1989 et le 31 mars 2021.
« L’avortement du deuxième trimestre comporte un risque de naissance vivante, en particulier entre la 20e et la 24e semaine de gestation, bien que l’injection de produits fœticides puisse empêcher ce résultat », conclut l’étude.
Lire la suiteLe cours de Culture et citoyenneté québécoise imposera l’idéologie du genre à la rentrée
Jean-Léon Laffitte, président de l'Association des parents catholiques du Québec.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton — (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jordaniste/YouTube
Le nouveau cours Culture et citoyenneté québécoise, qui remplacera l’ancien cours d’ÉCR à la prochaine rentrée, comprendra dans son volet d’éducation sexuelle (déjà néfaste) l’idéologie du genre.
Dans une entrevue avec Michel Lizotte, journaliste indépendant, Jean-Léon Laffitte, président de l’Association des parents catholiques du Québec (APCQ), explique les fondements de l’idéologie du genre, qui prétend que le sexe est « assigné » à la naissance et est une construction sociale.
La théorie du genre est-elle fondée scientifiquement ? M. Laffitte nous parle du tout récent rapport Cass produit en Grande-Bretagne, où des milliers de personnes ayant subi une « transition de genre » regrettent maintenant d’avoir suivi cette procédure irréversible, qui affirme qu’aucune étude probante ne soutient les prétentions de la théorie du genre, à savoir que les « traitements » comme les bloqueurs de puberté, les hormones transsexuelles ou les opérations sont bénéfiques aux enfants atteints de dysphorie du genre.
Le suicide des jeunes à qui on ne procurerait pas de transition est souvent brandi comme argument pour forcer les parents à approuver la transition de leur enfant atteint de dysphorie. Pour répondre à cet argument, M. Laffitte mentionne une autre étude qui démontre que le taux de suicide chez les jeunes n’est pas plus élevé si on s’occupe de leur santé mentale plutôt que de les transitionner.
Le gouvernement britannique, sur le fondement du rapport Cass est en train de revenir sur l’expérience de l’idéologie du genre. Pourtant, au Québec, souligne M. Laffitte, nous ne profitons pas de l’expérience britannique et persévérons dans la même erreur (Errare humanum est, perseverare diabolicum...).
Lire la suiteLa transition du genre ne règle aucun problème chez les mineurs, selon une méta-étude
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Freepik
Quoi qu’en dise la gauche, les interventions hormonales et chirurgicales sur les transgenres ne règlent pas les problèmes de santé mentale des enfants souffrant de dysphorie de genre, révèle une nouvelle évaluation de la littérature scientifique disponible sur le sujet. L’analyse d’une soixantaine d’études par l’American College of Pediatricians l’affirme carrément : « Il n’existe pas d’études à long terme démontrant les avantages ni d’études évaluant les risques associés aux interventions médicales et chirurgicales pratiquées sur ces adolescents. Il n’existe aucune preuve à long terme que les problèmes de santé mentale diminuent ou s’atténuent après une thérapie d’affirmation du genre. » Avant comme après la thérapie, les jeunes concernés, dont l’« identité de genre » ne correspondrait pas au sexe dit « biologique », présentent un risque plus élevé de psychopathologie que ceux ne souffrant pas de cette discordance. Le traitement ne change rien à leur mal-être, en somme…
L’étude note une véritable explosion du nombre de jeunes qui se disent eux-mêmes « bisexuels, gays ou en questionnement », en se fondant sur les statistiques des Centers for Disease Control : le pourcentage est passé de 11 % en 2015 à plus du double (25 %) en 2021. Parmi ceux-ci, les mineurs diagnostiqués comme souffrant de « dysphorie de genre » sont ceux qui présentent des taux plus élevés de problèmes de santé mentale, allant jusqu’aux tendances suicidaires. L’étude Adolescent Brain Cognitive Development Study a étudié les cas de plus de 11 000 enfants de 9 et 10 ans…
Lire la suiteEntre 1,52 et 4,06/1000 avortements sont suivis de complications selon une étude britannique
Par réinformation.tv — Photo : katemangostar/Freepik
C’est la fourchette des « complications » après un avortement relevées par l’étude que vient de publier le gouvernement britannique, selon que l’on se fonde sur les données ANS (c’est-à-dire selon les notifications des praticiens) ou les relevés HES (les passages à l’hôpital) fournis par le système de santé national du Royaume-Uni. Selon les données HES, en cas d’avortements « incomplets » (une partie des tissus de la grossesse restant dans l’utérus), le taux de complication monte à 18,6. Et surtout, même pour des avortements qui « se passent bien », ceux qui sont pratiqués après la vingtième semaine ont un taux de complications de 2,4 %, ce qui rend très inquiétantes les tentatives récurrentes d’autoriser des avortements de plus en plus tardifs. En outre, l’étude du gouvernement britannique juge peu fiables et sous-estimées les données des avortements pratiqués à domicile par médicaments, car il est « peu probable que la personne qui remplit le formulaire sache si la femme a connu une complication ». C’est d’autant plus grave que l’immense majorité des avortements est pratiquée par médicaments à domicile (en France : 78 %). En somme, sur un sujet aussi important pour les femmes et la santé publique que l’avortement, on demeure, malgré les lois successives, dans le flou statistique.
Un tiers des femmes souffre de dépression après l’avortement
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Cavan for Adobe/Adobe Stock
Une nouvelle méta-analyse de la littérature psychiatrique confirme que les femmes risquent de souffrir de dépression après avoir eu un avortement, malgré les fréquentes affirmations contraires de l’industrie de l’avortement.
Dans l’étude publiée le mois dernier par BMC Psychiatry, les auteurs de l’étude notent que la dépression post-avortement est un « problème commun à toutes les femmes en âge de procréer ». Afin de vérifier si ces tendances se confirment à l’échelle mondiale, ils ont analysé 15 études réalisées dans le monde entier, notamment en Chine, en Allemagne, en Iran, en Australie, au Kenya, en Jordanie, au Kosovo, au Danemark, en Lituanie, en Turquie et aux Pays-Bas.
Lire la suiteLe CDC publie des données montrant une baisse de la mortalité maternelle depuis le renversement de l’arrêt Roe
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
Des données provisoires publiées par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) montrent que, contrairement aux affirmations des partisans de l’avortement selon lesquelles les femmes mourraient si elles n’ont pas accès à l’avortement, la mortalité maternelle semble avoir diminué depuis la chute de l’arrêt Roe v. Wade en juin 2022, pour revenir aux chiffres antérieurs au covid.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit le décès maternel comme « le décès d’une femme enceinte ou le décès dans les 42 jours suivant une interruption de grossesse, quels que soient la durée et le lieu de la grossesse, pour toute cause liée ou aggravée par la grossesse ou sa prise en charge, mais non pour des causes accidentelles ou fortuites. »
Lire la suiteUne étude révèle que les opérations transgenres mutilantes ont presque triplé aux États-Unis sur une période de trois ans
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : rocketclips/Adobe Stock
24 août 2023 (LifeSiteNews) — Une nouvelle étude publiée cette semaine montre une augmentation alarmante du nombre d’opérations chirurgicales dites de « changement de sexe » pratiquées aux États-Unis. Plus précisément, ces procédures radicales ont presque triplé entre 2016 et 2019, un nombre important de jeunes gens obtenant une mutilation ou une reconstruction de la poitrine.
Trois médecins affiliés à l’Université de Columbia et à l’Université de Californie du Sud ont publié une étude de cohorte examinant le nombre d’interventions chirurgicales pratiquées au nom de l’« affirmation du genre » aux États-Unis au cours d’une période de trois ans. Cette étude a été publiée mercredi dans la revue JAMA Network Open.
La « chirurgie mammaire et de la poitrine » aurait été « la catégorie d’interventions la plus courante dans l’ensemble », tandis que moins d’« interventions de reconstruction génitale » ont été pratiquées, ces dernières étant le plus souvent « pratiquées sur des personnes plus âgées ». Bien que la plupart des Américains confus quant au sexe inclus dans l’étude soient de jeunes adultes, les chercheurs ont noté que « 3 678 (7,7 %) étaient âgés de 12 à 18 ans », ce qui contredit les affirmations de certains militants LGBT selon lesquelles de telles procédures irréversibles ne sont pas pratiquées sur des mineurs.
L’étude, intitulée « National Estimates of Gender-Affirming [sic] Surgery in the US » (Estimations nationales de l’opération d’affirmation du genre aux États-Unis), porte sur 48 019 Américains qui ont subi une forme ou une autre de procédure mutilante entre 2016 et 2019. Les chercheurs ont pris en compte « les données de 2016 à 2020 dans l’échantillon de chirurgie ambulatoire à l’échelle nationale et l’échantillon national de patients hospitalisés. »
Lire la suiteUne nouvelle étude lie avortement et problème de santé mentale
Par Bettina di Fiore (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : stokkete/Adobe Stock
Une nouvelle étude évaluée par des pairs et rédigée par des chercheurs du Charlotte Lozier Institute (CLI) et de l’American Association of Pro-Life Obstetricians and Gynecologists (AAPLOG) suggère que les femmes dont la première grossesse se termine par un avortement ont une moins bonne santé mentale que celles dont la première grossesse se termine par un accouchement.
L’étude s’est concentrée sur les bénéficiaires de Medicaid admissibles sans interruption qui avaient 16 ans en 1999 et a suivi l’historique de leurs demandes en matière de santé mentale jusqu’en 2015. Au total, 1 331 femmes ont vu leur première grossesse se terminer par un avortement, tandis que 3 517 femmes ont vu leur première grossesse se terminer par un accouchement. L’étude des taux d’utilisation des services de santé mentale par les femmes a permis d’éviter les limites méthodologiques liées aux enquêtes auprès des patientes.
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