Sondage : 60 % des femmes auraient refusé l’avortement avec plus de soutien affectif ou financier
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : ryanking999/Adobe Stock
L’étude du Charlotte Lozier Institute (CLI), institut de recherche et d’éducation pro-vie à but non lucratif, a révélé, lundi, à la suite d’un sondage auprès de femmes ayant eu recours à l’avortement que 60 % des participantes auraient poursuivi leur grossesse si elles avaient reçu plus de soutien affectif ou financier. 24 % des sondées ont déclaré que leur décision avait été « contrainte » ou « non désirée ». Des chiffres qui font sûrement frémir les gardiennes du Planning Familial, mais qui n’en sont pourtant pas moins vrais : dans une longue publication, l’institut explique de manière concrète ses méthodes de sondage. Une transparence qui n’a pas été l’apanage de toutes les études sur le « libre choix » et les conditions psychologiques de ces femmes, au seuil de leur avortement.
C’est très clair : avec un minimum de soutien, la majorité d’entre elles seraient aujourd’hui mères de ces enfants disparus.
L’avortement : la bonne décision pour 99 % des femmes ?!
On nous a pourtant longtemps soutenu l’inverse. Les femmes veulent l’avortement, les femmes avortent, et les femmes sont heureuses d’avoir avorté. Si sont constamment évoqués les risques de l’avortement quand il n’est pas légalisé, les risques de l’avortement légalisé n’existent pour ainsi dire pas : la femme n’en sera jamais triste, n’en portera pas les conséquences à court et long terme.
Lire la suiteUne étude affirme à tort que l’interdiction de l’avortement entraîne des taux de mortalité maternelle plus élevés
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : gpointstudio/Adobe Stock
Une nouvelle étude largement diffusée est utilisée pour dénigrer les lois pro-vie en établissant un lien entre les États qui protègent les bébés à naître et des taux de mortalité maternelle plus élevés.
L’étude provient du Commonwealth Fund, un groupe de recherche pro-avortement qui a suggéré que le problème pourrait être résolu en autorisant la mise à mort d’un plus grand nombre de bébés à naître lors d’avortements volontaires.
Laurie Zephyrin, coauteur de l’étude, a déclaré à USA Today que les États devraient élargir l’accès aux avortements s’ils veulent améliorer la santé maternelle et infantile.
Publiée mercredi, l’étude a trouvé que le taux de mortalité maternelle en 2020 était 62 % plus élevé dans les États ayant des lois pro-vie qui limitent ou interdisent les avortements, selon l’article. De plus, en 2019, les décès de nourrissons dans les États pro-vie étaient 15 % plus élevés dans la première semaine de leur naissance, selon l’étude.
Les chercheurs ont également découvert un accès moindre aux soins médicaux maternels dans les États pro-vie par rapport aux États pro-avortement, « notamment 32 % d’obstétriciens en moins pour les naissances et 59 % d’infirmières sages-femmes certifiées en moins pour les naissances », selon USA Today.
Les chercheurs ont prédit que le problème pourrait s’aggraver maintenant que Roe v. Wade n’existe plus, car « certains prestataires de soins de maternité seraient réticents à travailler dans des États où ils pourraient être confrontés à des contestations juridiques de leur pratique ».
Cependant, l’année dernière, au Nouveau-Mexique, certains ont mis en garde contre le contraire : les médecins et les infirmières quitteraient l’État après l’abrogation par le corps législatif d’une loi pro-vie prévoyant des protections de conscience pour les travailleurs médicaux qui s’opposent à l’avortement. En outre, très peu de gynécologues-obstétriciens pratiquent des avortements facultatifs, car ils savent que tuer des bébés à naître ne relève pas des soins de santé.
Lire la suiteUne étude montre que les femmes qui avortent leur première grossesse ont 53 % de risques de fausses couches en plus
Par le Charlotte Lozier Institute (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : katemangostar/Freepik
Des chercheurs, analysant 17 ans de données complètes sur les demandes de remboursement de Medicaid, ont découvert que les femmes dont la première grossesse se termine par un avortement sont susceptibles d’avoir plus de grossesses, plus d’avortements et plus de fausses couches que les femmes dont la première grossesse se termine par une naissance vivante.
Dans une récente entrevue accordée à CBS News, l’ancienne présidente de Planned Parenthood, Cecile Richards, a présenté l’avortement comme un avantage pour les femmes dans la poursuite de leurs objectifs, par exemple « cela les aide à terminer leurs études, (ou) à poursuivre une carrière jusqu’à ce qu’elles veuillent avoir leurs enfants ». Le membre du Congrès Donald Norcross (démocrate-New-Jersey) a écrit plus tôt cette année que les femmes qui ont eu recours à l’avortement « ont souvent continué à avoir un enfant par choix lorsqu’elles étaient plus sûres financièrement, améliorant ainsi les résultats pour la mère et l’enfant ».
Pourtant, selon une nouvelle étude, la première du genre, menée par Charlotte Lozier Institute (CLI), les femmes dont la première grossesse se termine par un avortement ont eu en moyenne :
- 53 % plus de fausses couches que les femmes dont la première grossesse a abouti à une naissance vivante.
- 35 % de grossesses supplémentaires au cours de leur vie reproductive
- Plus de quatre fois plus d’avortements
- Seulement la moitié du nombre de naissances vivantes
Une étude révèle que 6 femmes sur 10 ayant pris la pilule abortive ont souhaité obtenir de l’aide ou un soutien émotionnel par la suite
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Syda productions/Adobe Stock
12 octobre 2022 (LifeSiteNews) — Une nouvelle étude d’un groupe de soutien pro-vie aux femmes ayant avorté a révélé que la plupart des femmes qui ont subi un avortement chimique ont cherché ou désiré recevoir de l’aide après avoir tué leur bébé à naître.
L’étude est présentée au moment où l’on s’attend à ce qu’augmente le recours aux avortements chimiques (ou avortements à la cuvette des toilettes), car les États limitent les avortements dits « chirurgicaux » et les femmes se tournent vers Internet pour se procurer des produits abortifs.
L’étude Support After Abortion a interrogé plus de 14 000 femmes, dont 114 ont pris des « médicaments » abortifs — comme le RU-486 — pour avorter leur bébé, et leur a posé une série de questions.
Les chercheurs ont constaté que « 24 % d’entre elles ont cherché de l’aide après leur expérience d’avortement », tandis que « 39 % n’ont pas cherché d’aide, mais ont déclaré qu’il leur aurait été utile de parler à quelqu’un ».
« Ces résultats contrastent fortement avec les études menées par Planned Parenthood et d’autres prestataires d’avortement qui rapportent que les réactions émotionnelles négatives à l’avortement sont extrêmement rares », note le groupe.
« Si certaines femmes ont exprimé leur soulagement, beaucoup ont été traumatisées par l’avortement médicamenteux, une expérience qui, selon elles, était bien plus douloureuse, physiquement et émotionnellement, qu’elles ne l’avaient imaginé », écrit l’équipe de recherche. « L’étude renforce la nécessité d’une information franche et transparente sur l’impact de l’avortement chimique et l’accès aux soins de guérison. »
Parmi les femmes interrogées, 34 % « ont signalé un changement négatif en elles-mêmes, notamment une dépression, une anxiété, une toxicomanie et des pensées suicidaires ».
L’étude a reçu des éloges pour sa conception de la part d’un grand spécialiste pro-vie des sondages et de la recherche universitaire.
Le document de recherche « fournit des preuves solides qu’un pourcentage significatif de femmes qui obtiennent des avortements chimiques éprouvent réellement des sentiments de regret », a écrit Michael New, professeur à l’Université catholique d’Amérique (CUA), dans National Review.
Lire la suiteTucker Carlson : les études montrent que les opérations transgenres entraînent « 19 fois plus de risques de suicides »
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
21 septembre 2022 (LifeSiteNews) — L’animateur de Fox News Tucker Carlson a démenti l’affirmation selon laquelle les chirurgies transgenres préviennent les suicides, affirmant que les personnes qui sont passées par ces opérations destructrices sont en fait beaucoup plus susceptibles de se suicider que celles qui n’en ont pas obtenu.
Dans un clip publié sur les médias sociaux par le Daily Caller lundi, Carlson a déclaré que des militants « avec un agenda sexuel, pas un agenda politique, ont poussé si fort pour rendre » la chirurgie transgenre « légale et ensuite à la mode que nous n’y avons pas fait attention. Mais les chiffres sont là ».
Dans son monologue, Carlson a fait référence à une étude de cohorte suédoise publiée en 2011. Selon le résumé de l’étude, « les personnes atteintes de transsexualisme, après une réassignation sexuelle, présentent des risques considérablement plus élevés de mortalité, de comportement suicidaire et de morbidité psychiatrique que la population générale. »
Carlson a expliqué que, d’après les recherches qui ont porté sur les résultats réels sur trois décennies, les personnes qui ont obtenu ce qu’on appelle des « chirurgies d’affirmation du genre » étaient « 19 fois plus susceptibles de se suicider que les personnes qui n’en avaient pas eu ; la population générale. »
Tucker Carlson: "People that underwent 'gender-affirming surgery' were 19 times more likely to kill themselves than people who hadn't." pic.twitter.com/xXG0fwn2BR
— Daily Caller (@DailyCaller) September 20, 2022
« Ce n’est pas une histoire ? Vraiment ? », a dit Carlson, en soutenant que les médias traditionnels « ne couvrent pas du tout cela. Ils l’encouragent. »
Le populaire animateur de Fox News a en outre noté que les défenseurs de l’idéologie transgenre « cachent la réalité » des opérations chirurgicales destructrices permanentes « derrière des euphémismes », faisant passer la castration réelle pour des « soins d’affirmation du genre ».
Alors que les défenseurs des transgenres citent souvent des statistiques pour affirmer que les soins dits « d’affirmation du genre » contribuent à réduire les idées suicidaires, une étude du JAMA de 2021 a révélé que les efforts « pour démontrer empiriquement les avantages pour la santé mentale de la chirurgie d’affirmation du genre ont généré des résultats mitigés ».
Lire la suiteUne étude révèle un lien étroit entre la consommation de pornographie et la dépression et l’anxiété chez les étudiants
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : drobotdean/Freepik
20 juillet, 2022 (LifeSiteNews) — Une étude menée auprès d’étudiants d’universités catholiques a révélé une forte association entre l’utilisation de la pornographie et la dépression et l’anxiété.
L’étude, menée par la Franciscan University of Steubenville et publiée dans Frontiers of Psychology l’année dernière, a révélé que les niveaux moyens de dépression, d’anxiété et de stress des étudiants ayant déclaré avoir utilisé de la pornographie au cours de leur vie étaient « significativement plus élevés » que ceux qui ont déclaré n’avoir jamais regardé de pornographie.
En outre, ceux qui avaient regardé de la pornographie au cours de l’année écoulée présentaient des niveaux de dépression significativement plus élevés que ceux qui avaient regardé de la pornographie plus d’un an avant l’enquête.
Il est intéressant de noter que la corrélation entre la consommation de pornographie et les niveaux de dépression, d’anxiété et de stress était plus forte chez les femmes que chez les hommes.
Les différences dans les mesures de santé mentale, au niveau de la dépression, de l’anxiété et du stress, étaient plus prononcées entre les utilisateurs hebdomadaires de porno et les « non-utilisateurs ».
Sur les 1 031 étudiants interrogés par l’université, 34 % étaient des hommes et 66 % des femmes, et 87,6 % des jeunes hommes ont déclaré avoir utilisé du porno au cours de leur vie, contre 40,9 % des jeunes femmes.
L’étude n’a pas permis d’établir clairement le lien de causalité derrière la corrélation, c’est-à-dire de déterminer si la consommation de pornographie est à l’origine de la dépression et de l’anxiété ou si ces déficits de santé mentale incitent à la consommation de pornographie. Toutefois, les réponses aux questions supplémentaires concernant les effets pratiques de la consommation de pornographie et les états physiques et émotionnels qui précèdent cette consommation ont incité les chercheurs à supposer que la causalité est bidirectionnelle.
Lire la suiteUne étude révèle que l’utilisation de bloqueurs de puberté et d’hormones sexuelles augmente le taux de suicide chez les jeunes
Par Everyday for Life Canada — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Basicdog/Adobe Stock
Une étude récente de Jay P. Greene, chargé de recherche principal au Center for Education Policy de la Heritage Foundation, devrait inquiéter les parents et tous ceux qui proposent des hormones sexuelles à des jeunes souffrant de confusion de genre. L’étude s’intitule « Puberty Blockers, Cross-Sex Hormones, and Youth Suicide ». Greene constate que l’accès facile aux bloqueurs de puberté et aux hormones n’a pas réduit le risque de suicide, mais l’a plutôt augmenté. Cette constatation est d’autant plus inquiétante que les commissions scolaires, les gouvernements et même les médecins encouragent l’utilisation généralisée de ces substances. Ce mois-ci, les écoles de l’Ontario célèbrent le mois de la fierté, arborant l’arc-en-ciel et faisant la promotion de toutes les lettres de lgtbq, où le « t » signifie transgenre. (Nous refusons intentionnellement de mettre en majuscules cet acronyme).
La présente recherche soulève cette question importante : comment aidons-nous les plus vulnérables si notre intervention, en fournissant des bloqueurs de puberté et des hormones transsexuelles, fait augmenter le taux de suicide chez les 12-23 ans ? Nous ne le faisons pas. On nous dit pourtant que c’est le contraire qui se produit. Ces produits sont censés sauver la vie des enfants et prévenir les suicides. C’est la seule véritable raison pour laquelle un parent prendrait la décision difficile d’accepter d’utiliser ces substances qui altèrent la vie et peuvent arrêter le développement naturel d’un enfant.
Au lieu de cela, sommes-nous en train d’expérimenter avec des enfants souffrant de confusion de genre et de les exposer à un risque plus élevé ? Les résultats de cette étude sont tristes et effrayants, oui. Nous devrions mettre un terme à ce qui s’apparente à de la maltraitance d’enfants. Les parents doivent faire ce qu’ils peuvent pour protéger leurs enfants de cette dangereuse thérapie d’affirmation du transgenre.
Dans une série de Tweets, Greene décrit ses conclusions. Ce sont tous des messages informatifs qui méritent d’être lus. Les lecteurs peuvent également souhaiter examiner les graphiques dans le lien, et lire l’étude dans son intégralité. Dans cet article, nous publions les Tweets de Greene :
Lire la suiteMa nouvelle étude, publiée aujourd’hui, révèle que la facilitation de l’accès aux bloqueurs de puberté et aux hormones transsexuelles a en fait augmenté les taux de suicide chez les jeunes, contrairement aux affirmations de l’administration Biden, des défenseurs de la cause et des recherches antérieures erronées. 1/
La nouvelle étude examine une expérience politique naturelle qui s’est produite parce que certains États ont des dispositions permettant aux mineurs de recevoir des soins de santé sans le consentement parental, du moins dans certaines circonstances, tandis que d’autres États ne le permettent pas. 2/
Les décès maternels ont augmenté depuis la légalisation de l’avortement en Éthiopie
Par Ivan Ssekigudde — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : United States Navy/Wikimedia Commons
30 mai 2022, Addis Abeba, Éthiopie (LifeSiteNews) — L’avortement légal en Éthiopie a entraîné la mort de mères et de bébés.
L’Ethiopian Medical Journal a récemment publié une analyse choquante du Dr Calum Miller qui montre que la légalisation de l’avortement en Éthiopie en 2005 n’a pas entraîné une diminution, mais plutôt une augmentation de la morbidité et de la mortalité maternelles.
Le Dr Miller mène des recherches approfondies dans trois pays africains, l’Éthiopie ayant été choisie comme étude de cas.
Dans une lettre adressée à la revue médicale éthiopienne, M. Miller écrit : « Au lieu d’être une solution miracle pour réduire les décès dus à l’avortement, la légalisation de l’avortement a entraîné une augmentation considérable du nombre d’avortements, sans diminution notable de la mortalité due à l’avortement ou de la mortalité maternelle. Certains éléments indiquent que la mortalité, et certainement la morbidité, ont même augmenté depuis la légalisation.
“Les progrès de l’Éthiopie en matière de réduction des décès maternels ont été considérablement moins importants que prévu, notamment en ce qui concerne l’avortement”, poursuit Miller.
“Il est possible que, comme dans d’autres pays, l’accent disproportionné mis sur la planification familiale, sur la base d’affirmations exagérées sur la mortalité par avortement [clandestins ?], ait détourné les ressources des soins obstétriques d’urgence et n’ait donc pas réussi à réduire la mortalité maternelle de manière plus significative.”
La loi pénale éthiopienne sur l’avortement, Art. 528, Section II, prévoit des sanctions pour ceux qui mettent en danger la vie des enfants à naître. Toutefois, des révisions ont été entreprises en 2005 par le ministère éthiopien de la Santé afin de conformer la législation éthiopienne sur l’avortement à l’Objectif du Millénaire pour le développement 5 de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Cette mesure était en décalage avec le sentiment public conservateur dominant ainsi qu’avec la position anti-avortement explicite de la très influente Église orthodoxe d’Éthiopie.
Dans un essai publié par le St. Paul Hospital Millennium College d’Addis Abeba, posté le 17 janvier 2022, un groupe de 12 éminents chrétiens orthodoxes et musulmans ont affirmé leur soutien à la défense du droit à la vie. Les chrétiens ont déclaré :
L’Homme (personne) est créé à l’image et à la ressemblance de Dieu.
La vie humaine commence dès la conception, biologiquement et spirituellement.
Personne n’a l’autorité de prendre la vie d’un innocent (créature de Dieu).
Tuer le don de Dieu qui est innocent est moralement inacceptable.
Par conséquent, l’avortement est mauvais et condamné car il s’agit d’un péché grave.
“Les dirigeants de la foi chrétienne orthodoxe suivent une politique de porte fermée sur la question de l’avortement provoqué”, écrit l’auteur de l’essai, Demelash Bezabih Ew
Un médecin britannique de renom constate que la légalisation de l’avortement ne réduit ni la souffrance ni les décès maternels
Dr Calum Miller.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
11 avril 2022 (LifeSiteNews) — Le médecin et éthicien britannique pro-vie, Calum Miller est l’un des plus éloquents défenseurs des enfants à naître de son pays. J’ai découvert son travail après qu’il ait brillamment défendu la loi texane Heartbeat Act dans une interview presque entièrement hostile de la BBC (il est venu sur mon podcast pour discuter de son travail peu après). Récemment, le Dr Miller a publié un article dans l’Ethiopian Medical Journal, le journal officiel de l’Association médicale éthiopienne. Contrairement aux affirmations des militants de l’avortement qui font pression pour décriminaliser l’avortement dans le monde entier, les recherches du Dr Miller montrent que la légalisation de l’avortement n’a rien fait pour prévenir la morbidité et la mortalité dues à l’avortement illégal, mais a, au contraire, aggravé le problème.
Le Dr Calum Miller a exposé ses conclusions dans une entrevue.
Qu’est-ce qui vous a poussé à vous lancer dans cette étude ?
J’ai commencé à m’intéresser à ce sujet parce que j’ai souvent entendu dire que l’interdiction de l’avortement ne sauverait aucun bébé, mais qu’elle tuerait des femmes. Bien sûr, l’interdiction de l’avortement sauve des bébés — c’est aussi empiriquement établi que possible — mais il est toujours aussi déchirant que des femmes meurent d’avortements illégaux. J’ai remarqué que la plupart des pro-vie ont une réponse de principe — même si des femmes meurent d’avortements illégaux, les bébés à naître sont des êtres humains et méritent donc une protection légale. C’est vrai, mais j’ai commencé à remarquer que nous concédions trop facilement les affirmations empiriques — et en fait, en lisant davantage, j’ai découvert qu’elles étaient presque toujours fausses. Mais très peu d’universitaires s’étaient penchés sur la question en détail. J’ai donc voulu examiner en détail un exemple moderne et voir si l’avortement légal avait tenu ses promesses — malheureusement, tout ce qu’il a obtenu, c’est plus de vies brisées et plus de femmes hospitalisées.
Lire la suiteLes autopsies montrent que des personnes meurent à cause des vaccins covid
Par Joel S. Hirschhorn (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Yuttana Studio/Adobe Stock
Campagne Québec-Vie aborde le sujet des vaccins du covid-19, dont l’imposition est le sujet ici, car il a un impact sur nos sujets habituels comme l’avortement. En effet, les vaccins du covid-19 actuellement disponibles sont liés à l’avortement par les lignées cellulaires issues de bébés avortés, comme HEK 293, dans leur développement, leur production ou leur testage. Voici un texte plus détaillé sur la question de notre implication dans ce débat. — A.H.
25 février 2022 (TrialSiteNews) — Imaginez des parents trouvant leurs fils adolescent mort dans son lit le matin, sans aucune indication préalable qu’ils étaient sérieusement malades. Imaginez le chagrin des parents qui se sont laissés convaincre par la coercition et la propagande pour faire vacciner leurs enfants, malgré toutes les données du CDC montrant que le COVID présente peu de risques d’effets graves sur la santé des enfants. Aujourd’hui, leurs enfants sont morts dans leur sommeil peu après avoir été vaccinés.
Notez qu’un excellent article paru en juin 2021 était intitulé : « Si les vaccins Covid-19 peuvent provoquer une inflammation cardiaque, la prudence s’impose chez les personnes à risque ». Il disait ceci : « Bien que la plupart des cas rapportés à ce jour soient légers et se résolvent sans conséquence, la myocardite peut être une affection grave. Elle peut entraîner un déclin important de la fonction cardiaque, nécessiter une hospitalisation, une pompe cardiaque artificielle, voire une transplantation cardiaque, et peut même être fatale ». Les médecins auteurs ont noté : « Pourtant, en tant que prestataires de soins de santé, nous ne devons pas donner l’impression de minimiser les complications graves comme la myocardite chez les personnes potentiellement à risque ». Mais qui est à risque ? Il semble maintenant clair que les jeunes hommes sont à risque. Ce qui est moins clair, c’est de savoir quels adultes sont à risque, sauf que nous savons que ce sont les hommes qui sont le plus à risque.
Un article médical récent a présenté des données sur la fréquence de la myocardite ; voici ses conclusions : « Dans cette étude descriptive de 1626 cas de myocardite dans un système national de déclaration passive, les taux bruts de déclaration dans les 7 jours suivant la vaccination ont dépassé les taux attendus dans de multiples strates d’âge et de sexe. Les taux de myocardite étaient les plus élevés après la deuxième dose de vaccination chez les adolescents de sexe masculin âgés de 12 à 15 ans (70,7 par million de doses du vaccin [Pfizer]), chez les adolescents de sexe masculin âgés de 16 à 17 ans (105,9 par million de doses du vaccin [Pfizer]) et chez les jeunes hommes âgés de 18 à 24 ans (52,4 et 56,3 par million de doses du vaccin [Pfizer] et du vaccin [Moderna], respectivement)… Ce risque doit être considéré dans le contexte des avantages de la vaccination par le COVID-19. » Mais les avantages sont minimes pour les jeunes gens en bonne santé.
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