Une nouvelle étude portant sur le Québec montre que les femmes ayant avorté ont plus de problèmes mentaux que celles ayant accouché

Par reinformation.tv — Photo : fizkes/Adobe Stock
Une étude publiée dans le Journal of Psychiatric Research et portant sur 1 228 807 femmes ayant accouché dans des hôpitaux du Québec entre 2006 et 2022 et 28 721 femmes ayant avorté à la même période établit que les avortées présentent un risque nettement plus élevé de troubles mentaux que les accouchées. « Les taux d’hospitalisation étaient élevés pour tous les types de troubles mentaux après un avortement. Comparativement aux autres grossesses, les patientes ayant subi un avortement présentaient des taux d’hospitalisation plus élevés pour tout trouble mental (104,0 contre 42,0 pour 10 000 personnes-années), les troubles psychiatriques (85,1 contre 37,1 pour 10 000 personnes-années), les troubles liés à la consommation de substances (56,7 contre 15,0 pour 10 000 personnes-années) et les tentatives de suicide (14,7 contre 4,4 pour 10 000 personnes-années). (…) L’avortement était plus fortement associé aux troubles du comportement alimentaire, aux troubles liés à la consommation d’hallucinogènes et aux troubles liés à la consommation de cocaïne. »
Cela ne signifie pas forcément que l’avortement produit l’instabilité mentale, le contraire est possible, et l’étude précise : « Bien que ces résultats ne prouvent pas l’existence d’un lien de causalité entre l’avortement et les séquelles à long terme en matière de santé mentale, ils étayent l’hypothèse selon laquelle l’avortement pourrait être un marqueur d’un risque accru de troubles mentaux au cours de la vie. Le dépistage des troubles mentaux au moment de l’avortement pourrait permettre d’identifier les femmes susceptibles de bénéficier d’un soutien psychologique et social, en particulier celles présentant des troubles mentaux préexistants, âgées de moins de 25 ans et ayant déjà accouché ou subi un avortement. »
Il faut noter que cette étude portant sur un échantillon très important est rédigée par des auteurs non identifiés au mouvement pro-vie et publiée par une revue médicale grand public évaluée par des pairs.
La vraie raison pour laquelle l’Occident n’a pas d’enfants (ce n’est pas seulement le coût de la vie)

Par Steven Mosher — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pvproductions/Freepik
24 juillet 2025 (LifeSiteNews) — Les taux de natalité lamentables des États-Unis sont souvent attribués à l’économie. Mais le coût de la grossesse et de l’éducation des enfants n’est qu’une partie de la raison pour laquelle le taux de fécondité total américain, à 1,6 enfant par femme, est historiquement bas.
L’apocalypse à venir est une cause tout aussi importante de découragement chez les jeunes à se marier et à avoir des enfants.
Quelle apocalypse, me demanderez-vous ?
Ici, vous pouvez choisir à votre guise, puisqu’il y en a une demi-douzaine qui flottent dans l’atmosphère. Et de temps à autre un nouveau fantasme apparaît, apparemment sorti de nulle part, coïncidant généralement avec une baisse du battage médiatique autour du précédent.
L’apocalypse qui a duré le plus longtemps est — vous l’avez deviné — celle de la surpopulation.
Depuis la fin des années soixante et jusqu’à aujourd’hui, il y a eu un battement de tambour constant de propagande avertissant que nous nous reproduisions jusqu’à l’extinction sur la surface de la planète.
L’apocalypse des années quatre-vingt était quelque chose appelé « refroidissement mondial ». L’activité humaine mettait tellement de particules dans l’air, nous ont dit les experts, qu’elle bloquait les rayons du soleil et conduisait à une nouvelle ère glaciaire. Dans quelques décennies, nous allions être tous blottis dans des igloos.
Lire la suiteUn rapport confirme les dommages « irréversibles » causés par la « transition » de genre chez les enfants

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
1er mai 2025 (LifeSiteNews) — Le ministère américain de la Santé et des Services sociaux a publié le 1er mai un « Examen complet des interventions médicales pour les enfants et les adolescents atteints de dysphorie de genre », il s’agit d’une mise en accusation dévastatrice du soi-disant modèle de « soins d’affirmation du genre » qui a nui à des milliers de mineurs au cours de la dernière décennie.
Selon le résumé, l’étude « met en évidence un nombre croissant de preuves indiquant des risques importants — y compris des préjudices irréversibles tels que l’infertilité — tout en trouvant de très faibles preuves de bénéfices », et que cette « faiblesse a été une constatation constante des examens systématiques des preuves dans le monde entier ». Le président Donald Trump avait déclaré que l’examen serait à venir lorsqu’il a signé le décret « Protéger les enfants des mutilations chimiques et chirurgicales » le 28 janvier.
« Notre devoir est de protéger les enfants de notre pays — et non de les exposer à des interventions médicales non prouvées et irréversibles », a déclaré le Dr Jay Bhattacharya, directeur des NIH. « Nous devons suivre l’étalon-or de la science, et non les agendas des activistes ». Les contributeurs à l’étude représentaient « un large éventail de points de vue politiques » et comprenaient des médecins, des éthiciens médicaux et un méthodologiste.
Lire la suiteLes avortements chimiques ont grimpé en flèche en Ontario depuis l’introduction de la mifépristone
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Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pixel-Shot/Adobe Stock
9 avril 2025 (LifeSiteNews) — Les avortements chimiques utilisant la mifépristone ont grimpé en flèche en Ontario depuis l’introduction du médicament en 2017.
Selon une recherche publiée le 6 avril par le Journal de l’Association médicale canadienne (JAMC), les avortements utilisant le médicament mifépristone sont passés de 8 % en 2017 à 56 % en 2022.
« L’impact de ce changement rapide dans la pratique de l’avortement, sur la disponibilité des services d’avortement, en particulier pour les communautés rurales et éloignées, n’est pas bien compris », explique la recherche. « La disponibilité de la mifépristone a entraîné une augmentation rapide du nombre de prestataires de services d’avortement, y compris dans les zones rurales ».
Selon la recherche, sur les 175 000 femmes qui demanderont un avortement entre 2017 et 2022, 84 000 d’entre elles subiront un avortement chimique.
Lire la suiteLes étudiants n’évitent pas les États pro-vie après tout

Par Micaiah Bilger (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Drazen/Adobe Stock
(The College Fix) Il s’avère que les jeunes ne fuient pas les États qui protègent les enfants à naître en interdisant les avortements électifs.
En fait, il semble que ce soit plutôt le contraire. Selon un nouveau rapport d’Axios, « les étudiants du nord-est se dirigent vers le sud pour aller à l’université » où — bien que le rapport ne mentionne pas cet aspect — la plupart des États limitent ou interdisent strictement les avortements.
Outre le « climat chaud », le « plaisir », les « bourses d’études » et l’« accessibilité financière », Axios suggère que la politique est un facteur important pour les étudiants lorsqu’ils choisissent un établissement d’enseignement supérieur. Il souligne que les États dirigés par des républicains ont mis fin plus rapidement a confinement covid-19 et, plus récemment, que les violentes émeutes pro-palestiniennes dans les universités d’un certain nombre d’États du nord, dirigés par des démocrates, sont des facteurs qui expliquent la tendance à la baisse des inscriptions dans les États septentrionaux.
Selon Axios, c’est en Louisiane, au Tennessee, au Mississippi, en Floride, en Géorgie et au Texas que l’on observe les plus grands déplacements d’inscriptions des universités du nord vers celles du sud entre 2014 et 2023. Cette période est importante, car, au cours de cette décennie, les six États ont commencé à appliquer des lois pro-vie.
La Géorgie, par exemple, interdit les avortements après que les battements de cœur de l’enfant à naître sont détectables, c’est-à-dire à environ six semaines de grossesse.
Lire la suiteUne nouvelle étude montre comment la pornographie violente peut transformer les hommes en psychopathes

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Lundi 10 mars 2025 (LifeSiteNews) — Une étude récente publiée dans la revue Psychology of Violence a affirmé, une fois de plus, que la pornographie alimente la montée de l’agression sexuelle chez les hommes.
Intitulée Pornography Exposure Profiles Differentiate Sexual Aggression and Its Risk Factors: A Person-Centered Approach, l’étude a été réalisée par Wenqi Zheng, Travis N. Ray et Michele R. Parkhill auprès de 491 hommes américains âgés en moyenne de 30 ans. L’étude confirme les preuves de plus en plus nombreuses que la pornographie et la violence sexuelle sont inextricablement liées. Comme le rapporte le PsyPost :
Les chercheurs ont identifié trois modèles distincts d’utilisation de la pornographie, un groupe — ceux qui ont regardé de la pornographie violente — présentant des taux plus élevés d’agression sexuelle, d’acceptation de mythes nuisibles sur le viol, d’hostilité envers les femmes, de relations sexuelles occasionnelles, de psychopathie et de difficultés de régulation émotionnelle. Ces résultats contribuent à clarifier la relation entre les différents types de pornographie et l’agression sexuelle, un sujet qui a suscité un débat ces dernières années.
De nombreuses études ont été menées sur les liens entre la violence sexuelle et la pornographie au cours des dernières années — j’en ai parlé ici, ici, ici, ici et ici. Lors de cette étude, les participants ont été invités à remplir un questionnaire leur demandant de détailler leurs habitudes de consommation de pornographie et de catégoriser les contenus qu’ils consomment, notamment les « images ou films non violents », les « films dégradants » et les « films violents ».
Lire la suiteUne étude d’Oxford indique que l’opération de transition augmente les taux de dépression et d’idées suicidaires

Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik
3 mars 2025 (LifeSiteNews) — Une étude publiée dans l’Oxford Journal of Sexual Medicine a révélé que le fait de subir une chirurgie dite de « changement de sexe », loin de réduire les taux de dépression chez les personnes dysphoriques, augmentait considérablement les taux non seulement de dépression, mais aussi d’anxiété, d’idées suicidaires et de troubles liés à la consommation d’alcool et de drogues.
Les hommes ayant subi une opération transgenre présentaient un taux de dépression de 25,4 %, contre 11,5 % pour ceux qui n’avaient pas subi d’opération. De même, les femmes ayant subi une intervention chirurgicale présentaient un taux de dépression de 22,9 %, contre 14,6 % pour celles qui n’avaient pas subi d’intervention.
L’étude note que les hommes qui subissent des interventions chirurgicales « féminisantes » présentent un risque particulièrement élevé de dépression et de troubles liés à l’utilisation de substances [psychoactives].
« Sur 107 583 patients, des cohortes appariées ont démontré que ceux qui subissaient une intervention chirurgicale présentaient un risque significativement plus élevé de dépression, d’anxiété, d’idées suicidaires et de troubles liés à l’utilisation de substances que ceux qui ne subissaient pas d’intervention chirurgicale », ont constaté les chercheurs.
Plutôt que de conclure que la chirurgie dite « d’affirmation du genre » est une pratique dangereuse et inutile qui devrait être abandonnée parce qu’elle met la vie des patients en danger, les chercheurs suggèrent plutôt que leurs résultats montrent la nécessité « après une chirurgie d’affirmation du genre, d’un soutien à la santé mentale qui soit attentif aux particularités de genre, pour traiter les risques psychologiques post-chirurgicaux ».
Lire la suiteUne étude évaluée par des pairs confirme que les vaccins COVID à ARNm traversent le placenta et atteignent l’enfant à naître

Par Nicolas Hulscher, MPH (republié sur LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
25 février 2025 (Focal Points) — L’étude intitulée « mRNA-1273 is placenta-permeable and immunogenic in the fetus » vient d’être acceptée pour publication dans la revue Molecular Therapy Nucleic Acids après avoir été examinée avec succès par les pairs :
Résumé
... Dans cette étude, l’ARNm-1273 administré par voie intramusculaire à des souris gravides circule rapidement dans le sang maternel et traverse le placenta en une heure pour se répandre dans la circulation fœtale. Bien que l’ARNm de spicule disparaisse de la circulation fœtale dans les 4 à 6 heures, il peut s’accumuler dans les tissus fœtaux, principalement dans le foie, et être traduit en protéine de spicule. L’ARNm-1273 transplacentaire s’est révélé immunogène chez les fœtus, dotés après la naissance d’IgM anti-spicule, d’IgG2a parentales allotypiques anti-spicule et d’une immunité cellulaire anti-spicule accrue. Administré par voie gestationnelle, l’ARNm-1273 a eu un effet dose-dépendant sur son transfert transplacentaire et son immunogénicité chez les fœtus, des doses plus élevées d’ARNm-1273 entraînant un passage transplacentaire accru de l’ARNm-1273 et des titres sériques plus élevés d’IgM/IgG anti-spicule endogènes générés par les fœtus. Ainsi, la vaccination maternelle gestationnelle à l’ARNm-1273 pourrait conférer aux nouveau-nés une immunité anti-spicule non seulement passive mais aussi active.
Voici les principales conclusions :
- Transfert placentaire rapide : L’étude a démontré que l’ARNm-1273 traverse le placenta dans l’heure qui suit la vaccination maternelle dans un modèle de souris.
- Accumulation dans les organes fœtaux : L’ARNm et ses nanoparticules lipidiques (LNP) ont été détectés dans le sang et les tissus fœtaux (principalement le foie), où ils ont persisté au-delà de la clairance initiale de la circulation maternelle.
- Traduction de l’ARNm en protéine de spicule chez le fœtus : Les tissus fœtaux ont activement traduit l’ARNm du vaccin en protéine de spicule, ce qui soulève des inquiétudes quant aux réponses immunitaires involontaires ou aux effets biologiques à long terme.
- Persistance dans le foie et la rate du fœtus : l’ARNm est resté dans le foie et la rate du fœtus pendant au moins trois semaines après la naissance.
Cette étude confirme pour la première fois in vivo que les injections d’ARNm traversent le placenta et atteignent directement le fœtus. Elle contribue également à expliquer pourquoi ces injections de matériel génétique présentent des risques aussi graves pour les femmes enceintes et leurs enfants à naître.
Les lignes directrices actuelles du CDC, qui affirment que « la vaccination par le COVID-19 pendant la grossesse est sûre et efficace », devraient être IMMÉDIATEMENT révoquées. Nos agences de réglementation ont rendu un très mauvais service aux générations futures. L’absorption généralisée d’ARNm par le fœtus à la suite d’une injection maternelle entraîne des conséquences inconnues et potentiellement catastrophiques pour le développement humain et la fonction immunitaire. Les risques à long terme de l’exposition in utero n’ont pas encore été étudiés, mais ces injections expérimentales ont été imprudemment pratiquées sur des femmes enceintes sans données de sécurité adéquates.
Les femmes qui ont avorté sont deux fois plus susceptibles de tenter de se suicider

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
6 février 2025 (LifeSiteNews) — La recherche a révélé que les femmes qui ont subi un avortement sont deux fois plus susceptibles d’avoir tenté de se suicider que les autres femmes.
Selon une étude publiée le 21 janvier par le Journal of Psychosomatic Obstetrics & Gynecology, les femmes ayant avorté sont deux fois plus susceptibles de tenter de se suicider que les femmes qui n’ont pas subi d’avortement.
« Les femmes ayant avorté, en particulier celles qui ont subi un avortement forcé ou non désiré, étaient beaucoup plus susceptibles de dire que l’issue de leur grossesse avait directement contribué à leurs pensées et comportements suicidaires que les femmes de tous les autres groupes », indiquent les résultats de l’étude.
L’étude explique que beaucoup affirment que le risque accru de suicide chez les femmes ayant subi un avortement est le résultat de facteurs de santé mentale déjà existants. Cependant, elle souligne que cette hypothèse est « incompatible avec les auto-évaluations des femmes quant à la mesure dans laquelle leur avortement a directement contribué à des comportements suicidaires et autodestructeurs ».
Lire la suiteUne étude révèle que les hommes en transition de genre ont un taux de cancer des testicules 27 fois plus élevé après la prise d'hormones

Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pcess609/Adobe Stock
26 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Une étude récente a révélé que les hommes ayant pris sur une période prolongée des hormones féminines ou des bloqueurs de puberté dans le cadre de ce que l’on appelle les « transitions de genre » étaient près de 27 fois plus susceptibles de développer un cancer des testicules.
Comme le notent les auteurs de l’étude évaluée par des pairs, « cette étude remet en question les affirmations précédentes selon lesquelles il n’y a pas de lien entre le cancer des testicules et l’utilisation d’hormones », soulignant les insuffisances des méthodologies de recherche antérieures.
En termes simples, les hommes ayant reçu des hormones féminisantes de sexe opposé pendant plus de deux ans présentaient un risque nettement plus élevé de cancer du testicule.
Bien que la corrélation n’indique pas nécessairement la causalité, les auteurs du rapport suggèrent que cette augmentation de l’incidence « peut être due à un prétraitement à long terme avec des hormones ou des bloqueurs ».
Les interventions de « transition », telles que les bloqueurs de puberté, les hormones et les opérations chirurgicales, ne sont jamais des traitements médicaux authentiques, car le sexe immuable d’une personne, donné par Dieu, [et inscrit dans le code génétique de chaque cellule du corps], n’est pas une maladie.
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