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La Chine tente de réduire le nombre d’avortements pour redresser sa natalité

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : chikala/Adobe Stock

La Chine, le pays le plus peuplé du monde, « fait face à la fois à un ralentissement, mais aussi à un vieillissement démographique ». « Avec seulement 10,62 millions de naissances en 2021 contre 12 millions en 2020 et même 17,86 millions en 2016, » rapporte Le Monde

En 1980 le gouvernement communiste imposa la politique de l’enfant unique et la maintint jusqu’en 2016. Maintenant « Pour enrayer ce déclin, le pays autorise, depuis fin mai 2021, les couples chinois à avoir trois enfants. » ; amélioration qui ne résout pas le mal du contrôle de la population.

Avec de telles politiques, la pratique de l’avortement ne se fait certainement pas rare en Chine. Mais récemment, la « même association pour le planning familial qui, pendant des années, s’est immiscée dans l’intimité des couples et a contraint nombre de femmes à avorter, va désormais mener la politique inverse. Elle va “intervenir”, a-t-elle indiqué début février, pour contribuer à réduire le nombre d’avortements, en prônant le respect des “valeurs traditionnelles” auprès des femmes non mariées et des adolescentes qui souhaitent interrompre une grossesse. »

Déclaration surprenante pour une association qui a pour but le contrôle des naissances, n’hésitant pas à employer l’avortement comme moyen de supprimer les enfants non désirés !

Selon RFI « … il n’est pas question d’interdire l’avortement en Chine ». Par contre, la société de planification familiale chinoise explique que, « Nous voulons orienter davantage la façon dont les jeunes gens voient le mariage et la famille, réapprendre à élever plusieurs enfants dans une famille, promouvoir une nouvelle culture positive du mariage et de la parentalité ».

Ce changement d’attitude permettra-t-il un redressement de la natalité en Chine ?

Les précédentes politiques antinatales plus restrictives ont engendré une mentalité au sein de la population peu propice à un regain des naissances. En effet, rapportait la BBC « les citoyens chinois qui ont grandi sans frères ni sœurs n’apprécient pas l’idée d’avoir plus d’un ou deux enfants, estimant qu’ils sont trop difficiles ou trop chers à entretenir. Alors que les Chinois quittent de plus en plus la campagne, où les enfants sont appréciés pour leur capacité à aider les agriculteurs, et vont s’installer dans les villes, ils considèrent les enfants comme un handicap économique ».

Le gouvernement chinois ne manifeste d’ailleurs pas une grande cohérence dans cet apparent effort pour faire remonter la natalité, tant il est vrai qu’il continue à opprimer des portions entières de sa population : « au cours de la dernière décennie, et davantage ces quatre dernières années, le gouvernement chinois a mené ce que les critiques appellent une politique “génocidaire” à l’égard de sa minorité musulmane ouïgoure », souligne LifeSiteNews.

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39 % de la « génération Z » aux États-Unis s’identifierait en tant que « LGBTQ »

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock

Selon une étude du professeur George Barna sur les milléniaux (nés entre 1984 et 2002) aux États-Unis, 39 % des 18-24 ans ainsi que 30 % de la génération des milléniaux dans le même pays s’identifieraient en tant LGBTQ.

Paul Bond de Newsweek rapporte que « George Barna attribue le nombre inhabituellement élevé qu’il a trouvé à la couverture des médias sociaux et des nouvelles qui rend “sûr et sympathique” [cool] pour les jeunes Américains le fait de s’identifier comme LGBTQ... »

De même un article de Jonathan Van Maren affirme que « S’identifier comme LGBT est à la mode et garantit l’approbation de ses pairs et des hordes de médias sociaux qui passent comme tels ces temps-ci. »

Alors que l’agenda LGBTQ s’est infiltré radicalement dans les programmes d’éducation et même jusque dans les campagnes publicitaires des grandes compagnies, est-il surprenant que les jeunes adhérent à cette idéologie et se conforment à ses codes sociaux ? En raison de sa prédominance, rentrer dans le moule en 2022 équivaut à rentrer dans le subjectivisme LGBTQ, et conséquemment, à nier la nature humaine.

Cette fausse idéologie revendique le droit de se définir, et ce faisant, tente de dépasser les lois objectives de la nature.

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Une journaliste infiltrée pro-avortement chez Enceinte et Inquiète

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : motortion/Adobe Stock

En septembre 2021, une journaliste pro-avortement d’Urbania s’est présentée au service Enceinte et Inquiète sous le couvert d’une femme enceinte en difficulté qui envisageait l’avortement.

Elle voulait découvrir « l’autre visage du mouvement anti-avortement ». Référée à une consultante de grossesse, la journaliste rapporte son expérience chez la consultante dans un article.

« Je retiens de ma visite chez Thérèse [la consultante] son discours qui, sous une apparente bienveillance, était en fait fortement orienté... Comment peut-on encore laisser de telles “conseillères” œuvrer en 2022 ? Combien de femmes qui se posaient des questions sur la grossesse ont obtenu, dans ce salon de sympathique mamie, des informations inexactes ? »

N’est-il pas tout à fait normal qu’une consultante de grossesse oriente sa patiente vers le choix de la vie et qu’elle lui donne l’aide et l’information nécessaire pour poursuivre sa grossesse au lieu de l’encourager à tuer son enfant ?

La journaliste n’explique d’ailleurs pas pourquoi elle qualifie les informations données par la consultante révélant les dangers de l’avortement d’« inexactes ».

Suite à une enquête sur les dons offerts à deux centres de grossesse par deux députés caquistes, la journaliste d’Urbania a réaffirmé dans un autre article son étonnement que des centres de grossesse et leurs conseillères soient pro-vie.

« Au fil de mes recherches et de mes entrevues, j’ai constaté qu’une partie du mouvement anti-avortement au Québec est incarnée par des centres de grossesse qui, sous un vernis de neutralité, découragent les femmes d’avoir recours à l’avortement en usant de divers moyens... Par exemple, les intervenantes parlent de “bébé” et d’“enfant à naître” au lieu de parler de fœtus. L’accent est mis sur les bienfaits de la grossesse, et si une femme pose des questions sur l’avortement, la question est détournée vers la grossesse ou l’adoption. »

Les termes « enfants à naître » ou « fœtus » ne font qu’indiquer les différentes étapes de développement du même être humain et ne changent pas son humanité. Comme l’affirme Claude Tresmontant, « Il n’y a pas une différence de nature entre l’enfant qui vient de naître et l’enfant qui était un jour ou un mois plus tôt dans la matrice. Si tuer un enfant dans son berceau est un meurtre, un crime, un assassinat, alors tuer le même enfant dans la matrice, un mois, deux mois, six mois plus tôt, c’est toujours et exactement le même crime, le même assassinat. »

Un centre ou une consultante de grossesse qui encourage la vie, n’est-ce pas simplement du bon sens ?

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Au Québec l’État empiète sur le droit parental

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Kostia/Adobe Stock

Le projet de loi 15 adopté le 1er février à l’Assemblée nationale du Québec, a bousculé la structure des familles québécoises.

Le 10 février dans une lettre publique transmise au gouvernement sur le projet de loi 15, qui modifie la Loi sur la protection de la jeunesse, les Directeurs de la protection de la jeunesse et Directeurs provinciaux du Québec ont affirmé que, « L’intérêt de l’enfant doit venir en premier, avant même le droit de ses parents, dans toutes les décisions qui le concernent. »

Voici ce qu’en pense Alain Pilote dans un article de Vers Demain (page 4) :

« La primauté de l’intérêt de l’enfant ». Ces paroles ont soulevé beaucoup d’inquiétude parmi les familles, à savoir si Québec allait remettre en question la primauté parentale. Eh bien, la conférence de presse du ministre Carmant le 1er décembre n’a pas dissipé ces craintes mais les a plutôt confirmées. On ne parle plus de primauté parentale, mais de « la primauté des intérêts de l’enfant ». Le ministre a déclaré :

« L’élément clé de ce projet de loi consiste à placer l’intérêt de l’enfant au centre, comme élément prioritaire de toute décision le concernant... Ça ne veut pas dire que les parents n’ont plus leur rôle à jouer. Bien au contraire, ils demeurent les acteurs principaux dans le développement et le bien-être de leurs enfants... Cependant, et j’insiste lourdement, le bien-être de l’enfant et ce qui doit être considéré en premier lieu... »

[L’]article 2.2 de l’ancienne loi est tout simplement supprimé dans le nouveau projet de loi. Cet article 2.2 se lisait comme suit : « la responsabilité d’assurer le soin, l’entretien, et l’éducation d’un enfant et d’en assurer la surveillance incombe en premier lieu à ses parents ». Voilà donc un « obstacle » d’éliminé dans l’optique du ministre.

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12 mai prochain : Marche pour la Vie à Ottawa

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)

Voulez-vous défendre le droit à la vie de tous les Canadiens ? Sans exception.

Voulez-vous porter un acte public en défense des enfants à naître ?

Rendez-vous le 12 mai à 12 h 30 sur la colline parlementaire à Ottawa pour manifester contre l’injustice de l’avortement !

Depuis 25 ans des milliers de Canadiens se rassemblent dans la capitale nationale pour demander à nos représentants politiques de défendre le droit à la vie.

En 1969, l’avortement a été légalisé au Canada, permettant le meurtre de dizaines de milliers d’enfants à naître chaque année. Puis, en 1988, la Cour suprême du Canada a invalidé cette loi, créant un vide juridique dans lequel environ 300 enfants à naître sont tués chaque jour en ce pays qui « garantit » le droit à la vie.

« Chacun a droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de sa personne » affirme l’Article 7 de la Charte canadienne des droits et libertés mais pourquoi les enfants à naître sont-ils injustement exclus de ce droit ?

En tant que Canadiens conscients de cette injustice, n’avons-nous pas le devoir d’agir ?

Venez nombreux à cette Marche pour la Vie !

Venez être une voix pour ceux qui n’ont pas de voix !

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L’histoire tragique d’une « trans » mutilée, qui ne peut donc plus « détransitionner »

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Photoboyko/Adobe Stock

D’une part les thérapies de conversion sont illégales, d’autre part on martèle la théorie du genre dans la tête des enfants, et pourtant la réalité nous montre que les « transitions » sont un véritable poison.

Les victimes sont parfois brisées pour toujours comme le montre cette histoire tragique.

Ce témoignage, d’une femme qui se croyait homme et qui regrette de s’être mutilée, vaut mille études :

Je n’ai pu en parler à personne, c’est pourquoi je le fais ici. Je pense que je regrette d’avoir transitionné. J’ai commencé la T à 19 ans, j’en ai maintenant 28. J’ai passé une opération supérieure à 21 ans, je crois. J’étais l’une des premières dans ma province à l’obtenir parce qu’ils venaient juste de commencer à offrir des opérations trans…

Maintenant, je réalise la raison pour laquelle j’ai changé de sexe en premier lieu. J’ai été molestée par mon père à un très jeune âge, je ne me souviens toujours pas de tout et je suis sur une liste d’attente pour une thérapie. Je suis presque certaine que la transition était un mécanisme de défense pour repousser les abus. Et ça a un peu trop bien marché parce que maintenant personne ne veut de moi...

Je continue de voir des gens que je connais publier en ligne des photos de leurs enfants, ce que j’aurais tellement envie de faire. J’ai toujours voulu adopter et accueillir des enfants, à cause de mon éducation je sais qu’il y a tellement d’enfants qui ont besoin d’amour et je veux les aider. Mais je veux aussi avoir mon propre enfant. Et maintenant je ne peux pas. Je n’ai jamais eu une enfance normale. Et maintenant, je n’aurai jamais une vie d’adulte normale non plus.

Honnêtement, il devrait y avoir plus d’obstacles à la transition. C’était beaucoup trop facile, j’étais beaucoup trop jeune et je n’ai pas vraiment réalisé dans quoi je m’engageais. Et maintenant je le regrette…

Je ne ressens plus aucun lien avec mon genre.

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Reprotection : un organisme pro-vie lutte pour fermer les avortoirs

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : standret/Adobe Stock

L’histoire de Reprotection débute lorsque Cathie Hambarger fut témoin de négligences inquiétantes dans l’un des avortoirs du fameux Ulrich Klopfer en Indiana. Devant les violations de nombreux codes médicaux, elle décida de passer à l’action.

La PDG de Reprotection « et son équipe ont déposé plus de 2000 plaintes contre l’avorteur Klopfer, entraînant la fermeture de ses trois centres d’avortement dans l’Indiana », rapporte le site. L’œuvre ne s’est pas arrêtée là. « Cela a conduit à des enquêtes sur l’industrie de l’avortement à travers le pays et sur la manière dont elle continue d’échapper à l’examen que la loi exige. Il fallait réagir au niveau national. »

Lancé en janvier 2020, l’organisme pro-vie mène des enquêtes légales pour dénoncer les crimes de l’industrie de l’avortement et « la tenir responsable devant les autorités ».

Même si à travers le monde des organismes pro-vie, tels que Reprotection, luttent courageusement pour la défense de la vie et la fin de l’injustice qu’est l’avortement, leur combat est souverainement méprisé par l’élite de gauche au Québec.

Récemment, la ministre responsable de la Condition féminine, Isabelle Charest, a excusé les dons de deux députés à des organismes pro-vie comme étant une erreur de « bonne foi » qui « ne se reproduira plus ».

TVA Nouvelles rapporte que « Selon une enquête réalisée par Urbania, deux députés caquistes... ont fait des dons à des organismes pro-vie œuvrant sous le couvert de centres de grossesse depuis 2018. »

Suite à l’enquête, Isabelle Charest a « réitéré que tous les députés du gouvernement étaient “résolument pro-choix”. » De plus, « une note leur sera envoyée à tous pour leur rappeler l’importance d’effectuer des vérifications approfondies avant d’accorder des dons à des organismes, a ensuite précisé son attachée de presse. »

Ainsi, deux simples dons ont été utilisés comme prétexte pour réaffirmer et renforcir la haine de nos dirigeants envers un combat qui défend la dignité des plus petits.

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Les mots « père » et « mère » sont « offensants » pour l’administration Biden

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Yuttan studio/Adobe Stock

L’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) a émis des lignes directrices au personnel travaillant dans le secteur de l’éducation pour « intégrer les considérations … LGBTQI+ dans l’élaboration de programmes ».

Le document de 31 pages énumère les « Meilleures pratiques pour l’inclusion LGBTQI+ dans l’éducation », dont l’une est de « promouvoir la connaissance de la terminologie préférée par les étudiants et éducateurs LGBTQI + et expliquer quels termes sont considérés comme offensants ou inappropriés dans un milieu scolaire. » Cela inclut « père » et « mère » (qui ne seraient pas exactes pour des étudiants avec des parents de même sexe).

Cette tentative d’interdire des mots précis n’est qu’une tentative volontaire de supprimer les idées représentées par les mots. Le mot « père » et « mère » sont bannis sous les « lois » d’une fausse idéologie qui cherche à abolir le sexe, la nature, et la structure de la famille.

Comme le cardinal Robert Sarah l’a rappelé au cours d’un entretien avec Nicolas Diat, l’un des éléments déclencheurs de l’effondrement spirituel du monde est le « refus de la paternité ».

Il précise que le « refus de la paternité est au fond le refus de Dieu. Je discerne au fond des cœurs occidentaux un profond refus de la paternité créatrice de Dieu. Nous recevons de lui notre nature d’homme et de femme. Cela devient insupportable aux esprits modernes … Même la nature humaine, parce qu’elle est un don de Dieu, devient insupportable à l’homme d’Occident. »

Notre société éprouve de la répulsion pour la nature humaine précisément parce qu’elle déteste l’ordre établi par son Créateur. Elle désire arracher aux enfants le point de repère et la fondation primordiale qu’est l’ordre naturel par des programmes « éducatifs » LGBT, et par des modifications du vocabulaire pour satisfaire le bilan de leur idéologie destructrice.

« Les barbares sont tous ceux qui haïssent la nature humaine, tous ceux qui bafouent le sens du sacré, tous ceux qui méprisent la vie » affirme le cardinal Sarah. Et notre société ne fait pas exception à cette triste réalité.

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Groupe d’adoration perpétuelle à l’église Notre-Dame-de-l’Amour Divin de Laval

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Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons

Alors que les gouvernements s’éloignent de plus en plus de l’ordre naturel, alors qu’ils érigent une société anti-Dieu par leurs lois visant à détruire toute trace du christianisme, le désordre se fait de plus en plus présent.

Seul le triomphe de la Vérité renversera cette négation de la loi naturelle, ce tumulte de l’erreur.

À Campagne Québec-Vie nous croyons, entre autres, que « le respect en société de la famille et de la vie humaine, de la conception à la mort naturelle, dépend d’un retour à la pratique publique et privée d’un christianisme en harmonie avec la raison. »

C’est pourquoi nous sommes heureux de relayer cette invitation des organisateurs du groupe de l’Adoration eucharistique de l’église Notre-Dame-de-l’Amour Divin de Laval, qui expliquent que parmi les privilèges accordés à ceux qui s’unissent au Saint-Sacrement par la prière, sont les grâces nécessaires aux luttes quotidiennes. « Le groupe de l’Adoration eucharistique de l’Église Notre-Dame-de-l’Amour Divin de Laval, vous invite à vous joindre à son équipe d’adorateurs perpétuels à sa chapelle ouverte 24 heures par jour, sept jours par semaine. »

« C’est aux pieds du Saint-sacrement que vous trouverez la paix et le courage dont vous avez besoin pour affronter vos difficultés quotidiennes. C’est peut-être à cet endroit que vous découvrirez une nouvelle vocation, un désir de le servir à votre façon. Prendre une heure par semaine pour vivre cet éveil portera des fruits inespérés dont une plus grande paix intérieure, une joie de vivre, un désir de se rapprocher d’une communauté de croyants et de servir les plus vulnérables. »

Pour communiquer avec les organisateurs, pour connaître les horaires disponibles ou pour des renseignements généraux :

Groupe d’adorateurs Notre-Dame-de-l’Amour Divin
755, rue Roland-Forget, Laval (Qc) H7E 4C1
https://adoradoresdivinoamor.org/
514 743-4540

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Le cardinal Antonio Cañizares : « Les propos de Macron sur l’avortement sont une voie ouverte vers l’enfer »


Le cardinal Antonio Cañizares, archevêque de Valence.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Achidiócesis de Valencia/YouTube

« Le cardinal-archevêque de Valence, Mgr Antonio Cañizares, a estimé que “les propos d’(Emmanuel) Macron sur l’avortement sont une voie ouverte vers l’enfer”, suite à la déclaration du président français au Parlement européen, visant à réformer la Charte européenne des droits fondamentaux pour y inclure notamment la reconnaissance du droit à l’avortement », rapporte Le Salon Beige.

Il explique que, « La raison par elle-même devient froide et perd ses critères. Elle devient cruelle parce qu’il n’y a rien au-dessus d’elle... La science sans conscience se retourne contre l’homme et le détruit. Nous voyons donc la route de l’enfer est ouverte. »

Comme le cardinal souligne, l’avortement prétend surpasser toute conscience humaine pour excuser son inhumanité. Sous l’étendard de la « science », les pro-mort affirment que l’enfant à naître n’est pas une personne, ou qu’il n’est pas en vie, et ils s’accordent ainsi le « droit » de le tuer. Cependant, leur « science sans conscience » est branlante et invalide puisqu’elle promeut des faits non scientifiques.

Ce même Mgr Cañizares a descendu en flammes le projet de loi en Espagne visant à punir ceux qui « harcèlent ou restreignent la liberté d’une femme qui entend exercer son droit à l’interruption volontaire de grossesse ». Ce projet de loi attaquerait notamment « ceux qui informent ou prient pour la vie » devant les avortoirs.

« La société laïque qui est présentée aujourd’hui est, en réalité, laïciste et porte une pensée unique, qui considère la défense de la vie humaine dans toutes les phases de son existence comme une imposition morale, quel que soit sa taille [l’être humain] ou le nombre de cellules qui le composent », a déclaré le cardinal.

En effet, la nature et la vie humaine ne tiennent pas compte de la taille ni du nombre de cellules ; elles existent dès le moment de la conception. Mais le combat pro-avortement nie cette réalité pour pouvoir cracher sur toute défense de la vie à ses premiers instants.

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