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Fin du régime étendu d’avortement à domicile en Grande-Bretagne

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : dragonstock/Adobe Stock

« Suite à une puissante campagne populaire menée par la Society for the Protection of Unborn Children (SPUC), le gouvernement britannique a annoncé que la mesure temporaire permettant aux femmes de prendre à la fois la première et la deuxième dose de l’avortement “médical” à domicile prendra fin à minuit le 29 août 2022. » annonce Voice of the Family.

Non seulement l’avortement médical à domicile tue l’enfant à naître, mais il représente un danger pour la mère. Mettre fin à la permission d’avorter chez soi est ainsi une double victoire — bien que la « pilule abortive », deux pilules en fait, l’une pour tuer l’enfant à naître et l’autre pour l’expulser, continuera à être utilisée comme auparavant, l’administration de la première pilule se faisant désormais, dans un futur rapproché, uniquement en milieu médical, mais la mort de l’enfant à naître lui-même survenant souvent à domicile.

« Fin mars 2020, le secrétaire d’État à la Santé et à la Protection sociale a approuvé des mesures temporaires en Angleterre, pour autoriser ce que l’on appelle “l’avortement par télémédecine”, dans lequel des pilules abortives sont envoyées par la poste, après une consultation téléphonique, et prises en privé, sans assistance médicale. »

Pourtant le gouvernement avait interdit une telle mesure à peine une semaine plus tôt, mais le lobby pro-avortement eut raison de ses réticences, selon l’organisation catholique.

Même si le gouvernement britannique met fin à ces mesures pro-avortement, il demeure aussi pro-mort qu’avant comme la conclusion de son communiqué de presse le confirme, « Le bien-être et la sécurité des femmes ayant besoin d’accéder à des services d’avortement ont été et continueront d’être notre priorité. »

L’avortement peut-il vraiment représenter un besoin pour les femmes ? La procédure de l’avortement enterre non seulement la maternité de la femme, met sa santé en danger, et imprime une marque indélébile sur sa conscience, mais elle viole le droit à la vie de son enfant. Après, on la nomme responsable du « bien-être et la sécurité des femmes » alors que la mort d’un être humain est tout le contraire d’une procédure sécuritaire.

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Ketanji Jackson : candidate pro-avortement à la Cour suprême des États-Unis


Ketanji Brown Jackson.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons

La nouvelle candidate à la Cour suprême des États-Unis, Ketanji Brown Jackson, désignée par le président américain le 25 février, ne fait que porter le flambeau pro-avortement de son prédécesseur, le juge Stephen Breyen.

En vue de la décision cruciale de l’affaire Dobbs v. Jackson Women’s Health Organization, les combattants pro-avortement considèrent que cette nomination est une victoire.

Dans un communiqué, la présidente du plus grand fournisseur d’avortements aux États-Unis, Planned Parenthood, a déclaré que « Cette nomination arrive alors que nos libertés et nos libertés civiles sont en crise ». « Maintenant plus que jamais, nous avons besoin d’un juge de la Cour suprême qui comprend l’impact des décisions de la Cour sur les personnes — en particulier sur les droits reproductifs et LGBTQ + — et l’importance de protéger les libertés individuelles pour les générations à venir ».

La déclaration d’indépendance américaine ne dit-elle pas que, « tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains Droits inaliénables, parmi lesquels figurent la Vie, la Liberté et la Recherche du Bonheur. » ? Ne précise-t-elle pas que le droit à la vie appartient à tous les hommes ? Les « libertés », entre autres celle de l’avortement, qu’Alexis McGill Johnson défend violent ce droit fondamental à la vie.

Marjorie Dannenfelser, la présidente de l’organisme pro-vie américain SBA List, a affirmé que « Ketanji Brown Jackson est soutenu par de nombreux groupes pro-avortement parmi les plus radicaux d’Amérique ».

Rien d’étonnant puisqu’« Elle s’oppose officiellement au droit à la liberté d’expression des défenseurs pro-vie qui plaident pour sauver des vies devant les centres d’avortement et soutient la fausse affirmation selon laquelle l’avortement est un “soin de santé”. » « Nous ne doutons pas qu’elle travaillera avec l’administration la plus pro-avortement de l’histoire pour enchâsser l’avortement dans la loi à l’échelle nationale », conclut Dannenfelser.

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Le rôle des pères : l’autre côté de l’avortement

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : H Ko/Adobe Stock

H. de Balzac affirme qu’« En coupant la tête de Louis XVI, la République a coupé la tête à tous les pères de famille ». Et en supprimant leur autorité, ils ont corrompu leur responsabilité. Surtout dans le cas de l’avortement, une pratique d’ailleurs acceptée par les philosophes des Lumières, les pères assument moins leur responsabilité.

Une étude de Lifeway Research, menée sur 1000 Américains, rapporte le rôle des pères dans l’avortement. Les statistiques démontrent que l’impact de l’avis du père n’est pas négligeable. Malheureusement, cet avis ne favorise pas toujours la vie.

Selon l’étude, dans 74 % des cas les femmes ont discuté avec les pères de l’enfant à naître avant de prendre la décision d’avorter. Mais 30 % des hommes ont suggéré à la femme d’avorter alors que seulement 19 % lui ont suggéré de ne pas avorter, et 31 % ne lui ont même pas donné de dernier conseil.

Bien que le « droit » de tuer l’enfant à naître n’appartient pas plus à la mère qu’au père, ce sont toujours les féministes qui font entendre leur voix en criant « Mon corps, mon choix », mais pourquoi la voix des hommes, des pères des enfants à naître, se fait si rarement entendre ?

63 % des hommes questionnés considéraient que l’avortement était le choix de la femme. 63 % des hommes ont rejeté toute responsabilité, et ainsi, n’ont pas assumé leur rôle de père.

La raison pour laquelle 46 % des hommes conseillaient aux femmes d’avorter était qu’ils « ne pouvaient pas se permettre » d’avoir l’enfant à ce moment-là. 39 % des hommes ne « se sentaient pas prêts à être père ».

Une chose est certaine : que ce soit sous prétexte d’études, ou de manque de moyens financiers, le « choix » de tuer son propre enfant ne sera jamais responsable.

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Discours du Trône du gouvernement d’Alberta: «Nous veillerons à ce que cette province défende la valeur et la dignité de toute vie»

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : RS Photography/Adobe Stock

La dignité et le respect de la personne humaine sont-ils encore défendus par les têtes dirigeantes du Canada ? Bien que l’avortement soit légal au Canada, le combat pour la vie n’est pas éteint semble indiquer le discours du Trône donné le 22 février par la lieutenante-gouverneure de l’Alberta.

Soins palliatifs

« Le gouvernement mettra en œuvre les recommandations d’un rapport du député de Peace River sur l’amélioration de l’accès aux soins palliatifs.

Les patients confrontés à des décisions de fin de vie doivent savoir qu’il existe des options soutenant la vie (life-affirming) au suicide assisté par un médecin. Les améliorations porteront sur l’accès aux soins palliatifs le plus tôt possible et sur le maintien des personnes chez elles et dans leur communauté avec le soutien de ceux qu’elles connaissent et aiment, le plus longtemps possible. »

Même si l’euthanasie n’est pas condamnée, des alternatives sont proposées — de vraies alternatives qui respectent la dignité humaine plutôt que des moyens qui réduisent le patient à un animal indigne de la vie.

Enfant à naître

« De nombreuses femmes et filles vulnérables bénéficient d’un soutien inadéquat pendant la grossesse, ce qui peut affecter la santé et les chances de leur enfant. Pour aider les mères à faible revenu et améliorer la santé de leurs bébés, le gouvernement augmentera et étendra considérablement les prestations prénatales aux mères bénéficiant de l’AISH et du soutien du revenu.

Le gouvernement assurera la pleine mise en œuvre de la loi sur l’amélioration de l’enfance, de la jeunesse et de la famille et de la motion 501, afin de simplifier et d’accélérer le processus d’adoption, en mettant les enfants en contact avec des parents aimants désireux d’être leur famille pour toujours…

Le congé de deuil de trois jours actuellement offert lors du décès d’un membre de la famille sera étendu aux employés victimes d’une fausse couche ou d’un mort-né, reconnaissant la douleur et le chagrin vécus par les parents qui perdent un enfant à naître. »

Non seulement l’humanité de l’enfant à naître (terme utilisé, étonnamment !) est reconnue, mais les femmes sont encouragées à choisir la vie tout en recevant le soutien nécessaire.

Conclusion pro-vie, et pro-famille

« Grâce à votre soutien continu, nous veillerons à ce que cette province défende la valeur et la dignité de toute vie et continue à être le meilleur endroit où vivre, travailler et élever une famille. »

Pas tout à fait une déclaration pro-vie, pas tout à fait une victoire pro-vie, mais certainement un rayon d’espoir pour les vulnérables dont la vie est menacée !

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L’avortement « devrait être interdit dans le monde entier » !

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock

Le rapport La loi sur l’avortement aux États-Unis en comparaison avec le reste du monde, publié par le Family Research Center, souligne une vérité que nos dirigeants refusent d’admettre. « … si, comme toutes les recherches scientifiques l’indiquent, l’avortement tue un enfant innocent à naître, alors il devrait être interdit dans le monde entier. »

Sur l’avortement, la science est irréfutable. La conclusion est inévitable : l’avortement n’est fondé sur aucun argument valide :

« Comme la progression de la science prénatale vérifie continuellement que l’enfant à naître dans l’utérus est un être humain, l’affirmation que l’avortement est un droit humain devient de plus en plus détachée de la raison. »

Pourquoi les législateurs, les médecins, les présidents, les scientifiques, les avorteurs, les pro-avortement, les féministes ferment-ils les yeux à la réalité ? :

« La grande majorité des États restreignent les avortements, au moins dans une certaine mesure. La question est de savoir pourquoi. Pourquoi la plupart des pays européens limitent-ils l’avortement à 12 semaines ? Pourquoi de nombreux pays d’Afrique et d’Amérique du Sud interdisent-ils l’avortement sauf dans les cas où la vie de la mère est en danger ? Pourquoi 26 États dans le monde interdisent-ils l’avortement sans exception ? Et pourquoi la plupart des pays qui autorisent l’avortement pendant 40 semaines sont-ils des violateurs notoires des droits de l’homme ? »

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Des enfants payés 100 $ pour assister à un cours LGBTQIA+ au Texas

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Toni Reed/Unsplash

Le mensonge LGBT ne s’infiltre pas seulement dans les programmes scolaires. Il ne s’infiltre pas seulement dans le langage et le « politiquement correct ». Il commence à être un produit offert aux enfants qui sont payés pour l’écouter, du moins au Texas.

International Family News rapporte que, « Dans un message Twitter (supprimé depuis) du 18 février 2022, le système de bibliothèques de la ville d’Austin a annoncé qu’il parrainait un “Spring Break Sex-Ed Camp” (Camp d’éducation sexuelle des vacances de printemps, NDLR) pour les adolescents »

De nombreux commentaires négatifs ont suivi et le tweet a été supprimé rapidement. Le message annonçait : « Appel à tous les élèves du secondaire. Soyez PAYÉ pour apprendre l’éducation sexuelle pendant les vacances de printemps ! Des cours gratuits sur ce cours basé sur des preuves et adapté aux LGBTQIA+, dirigé par @AustinPublicHealth, sont organisés dans plusieurs bibliothèques ! Les places sont LIMITÉES alors inscrivez-vous dès maintenant… »

« Les adolescents peuvent être payés 100 $ (plus le déjeuner) pour apprendre l’éducation sexuelle. »

On paie les enfants pour adhérer aux erreurs de l’idéologie LGBT et leur vision de la réalité est ainsi complètement déformée. Ensuite devrait-on s’étonner des taux de suicide élevés ou de l’effondrement visible des familles ?

« Le système de bibliothèques de la ville d’Austin, au Texas, essaie de préparer nos enfants en leur promettant de les payer s’ils assistent à des cours d’endoctrinement radical sur le sexe et les LGBT. »

Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Les combattants pour un monde sans loi naturelle, sans Dieu, et sans famille profitent des années les plus critiques et les plus fragiles de l’enfance pour enraciner leurs propos néfastes.

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La dévotion au Cœur Immaculé de Marie, une solution qui sauvera le monde

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Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)

L’année 2022 a débuté avec un triste constat de l’année précédente : l’avortement avait été la première cause de décès dans le monde en 2021.

Maria Madise de Voice of the Family avait fait la remarque que, « Si la mesure de la civilisation est la façon dont une société traite ses membres les plus vulnérables, alors notre société est la plus barbare de l’histoire de l’humanité. C’est une pensée qui donne à réfléchir à l’aube de cette nouvelle année et qui devrait nous inciter à agir. »

L’appel à l’action nous est tous adressé. Alors que les plus faibles et les plus innocents sont devenus les plus nombreuses victimes, alors que les lois encouragent le rejet de Dieu et de l’ordre naturel, il est plus que temps de passer à l’action.

« Le mal auquel nous faisons face aujourd’hui dépasse la capacité du mouvement pro-vie à le vaincre seul ; en particulier, parce que la bataille pro-vie n’est qu’une partie d’une croisade beaucoup plus large et plus historique pour la restauration de la civilisation chrétienne. »

Quelle manière plus belle et plus efficace de gagner que de suivre les demandes de Notre-Dame de Fatima ?

« Je promets d’assister à l’heure de la mort, avec toutes les grâces nécessaires au salut, tous ceux qui, les premiers samedis de cinq mois consécutifs, se confessent, reçoivent la Sainte Communion, récitent le Rosaire et Me tiennent compagnie pendant quinze minutes en méditant les quinze mystères du Rosaire avec l’intention de Me faire réparation », avait-elle promis à Fatima.

Une nouvelle initiative, Salve Corda, composée de fidèles catholiques, lance un appel à agir à travers cette dévotion des premiers samedis du mois. Promouvoir la dévotion au Cœur Immaculé de Marie, inséparable du Sacré-Cœur, est sa mission.

Sœur Lucie avait déclaré elle-même que, « De la pratique de cette dévotion, unie à la consécration au Cœur Immaculé de Marie, dépendent pour le monde la paix ou la guerre. »

« Alors, qu’attendons-nous ? » demande l’Alliance Salve Corda. Sans plus tarder, sauvons le monde du chaos et de l’erreur par le moyen que nous donne Notre-Dame.

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Valérie Pécresse : « la libre détermination du genre fait partie de son ADN »…


Valérie Pécresse.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jacques Paquier/Flickr

On dit que l’ADN d’une personne ne peut pas changer au cours d’une vie, mais apparemment celle de Valérie Pécresse y fait exception.

La candidate à l’élection présidentielle en France a fait part au magazine LGBT+ Têtu de ses promesses. « Si elle est élue en 2022, elle assure aussi vouloir ouvrir davantage les établissements scolaires aux associations qui luttent contre les LGBTphobies. Plus encore, elle promet que la libre détermination du genre fait partie de son ADN. »

Pourtant, elle n’a pas toujours adopté cette position à l’égard de l’idéologie LGBT. Selon son profil Wikipédia, « Opposée au projet de loi sur le mariage entre personnes de même sexe en France, elle participe aux différentes manifestations d’opposition au mariage homosexuel et à l’homoparentalité entre 2012 et 2013, notamment menée par La Manif pour tous. » En 2015 elle avait affirmé lors d’une entrevue, « on ne subventionnera pas la théorie du genre. »

Et maintenant la même théorie du genre ferait « partie de son ADN » ?

Cette « libre détermination » proclamée par Valérie Pécresse n’est pas valide tout simplement parce que le genre ne se détermine pas. On ne peut pas prétendre posséder un droit qui n’existe pas. De même, l’avortement n’est pas un droit parce que la morale objective affirme que tuer un être humain est mal et faire le mal ne peut pas être un droit.

D’ailleurs, selon son programme présenté par Le Monde, « Valérie Pécresse se dit favorable, sur France Inter, à l’inscription du droit à l’avortement dans la charte des droits fondamentaux de l’Union européenne. »

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Les restrictions partiellement levées en Autriche : le chapelet est une arme puissante et efficace

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)

En Autriche, à la fin du mois de novembre 2021, au milieu de la crise sociétale et dans le tourbillon des événements du monde, un père de famille décida d’agir.

« Notre pays, qui traverse actuellement l’une des crises les plus graves de son histoire, doit être confié à notre Sainte Mère. »

C'est alors qu’il a lancé l’Autriche prie qui compte maintenant plus de 250 chapelets publics récités chaque semaine.

Qu’en est-il advenu ? Les fruits sont visibles. « Le chancelier autrichien a annoncé, mercredi 16 février, la levée prochaine de la plupart des mesures contre le Covid-19. Il ne sera ainsi plus nécessaire de montrer un pass vaccinal à l’entrée des hôtels, restaurants, concerts et événements sportifs. Le couvre-feu est aussi supprimé », selon franceinfo.

« À partir du 5 mars, toutes les mesures seront supprimées, à l’exception du masque FFP2 dans les transports en commun et dans les commerces de proximité. » selon austria.info

Une volonté d’agir, une simple prière, et une confiance inébranlable : voilà ce qui a attiré la protection de Notre-Dame sur ce pays majoritairement catholique.

Suite à leur demande de « retrouver la paix et la liberté dans la société dans le respect de l’ordre et du droit naturel et divin. », les Autrichiens reprennent petit à petit leur liberté, et surtout, savent plus que jamais que leur force, leur courage et leur espoir se trouvent dans le chapelet.

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Une commission scolaire « catholique » au Canada lance un sondage « LGBT »

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Freepik

Une commission scolaire catholique en Ontario a émis un sondage pour tous ses élèves de la 4e année jusqu’à la 12e année. Sous la bannière de l’inclusivité, le sondage optionnel revêt ouvertement les folies de la théorie du genre.

Une des questions posées aux élèves porte sur les « adultes avec lesquels ils vivent », à laquelle ils peuvent répondre « deux mères » ou « deux pères ».

Selon LifeSiteNews, « Les enfants sont également invités à répondre à “comment décrivez-vous votre sexe ?” » Les choix de réponses indiquent « garçon », « fille », ou l’option de s’identifier d’« une autre manière ».

« De plus, les élèves sont informés qu’ils peuvent sélectionner “plus d’une case”, ce qui leur permet d’indiquer plusieurs combinaisons de genres, y compris garçon et fille simultanément. » « L’enquête fournit un champ dans lequel les étudiants peuvent élaborer une description personnalisée de leur identité de genre. »

Les écoles, et surtout les écoles catholiques, ne doivent-elles pas garantir une éducation saine et véritable pour les enfants qui les fréquentent ?

Si les personnes responsables de leur apprentissage de la réalité présentent aux étudiants le « choix » de nier cette réalité, et d’inventer leur propre sexe, comment peuvent-ils alors prétendre transmettre la vérité ?

L’erreur est ouvertement enseignée, et la vérité volontairement cachée.

LifeSiteNews rapporte aussi que, « Le conseil scolaire a déclaré que seul le personnel du département des services de recherche et de données du district “aura accès aux réponses anonymes de votre enfant à l’enquête”, qui autrement seront cachées aux parents, aux enseignants et aux directeurs. »

Le droit des parents est atténué pour laisser place à l’emprise d’un système de mensonges.

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