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La conférence d'un orateur pro-avortement annulée à l’Université Mount Saint Mary

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Guoguo12/Wikimedia Commons

LifeSiteNews a récemment annoncé l’annulation d’une conférence à l’Université catholique Mount St Mary’s au Maryland, donnée par un orateur pro-avortement, se disant, entre autres, « sorcière ».

« Le département de sociologie, de justice pénale et de services sociaux de l’université et le groupe Alpha Kappa Delta, une société d’honneur de sociologie, avaient prévu une conférence du Dr Simone Kolysh sur son livre récemment publié, Everyday Violence : The Public Harassment of Women and LGBTQ people (Violence quotidienne : le harcèlement public des femmes et des personnes LGBTQ). La conférence était initialement prévue pour le mercredi 6 avril. »

Sur son site, le Dr Simone Kolysh encourage les lecteurs à appuyer des organismes pro-LGBT et pro-avortement, tels que Planned Parenthood, Fierce, et le Ali Fourney Center.

Sa conférence prévue à l’université catholique « a suscité de vives objections de la part des étudiants et des professeurs lorsqu’ils ont appris que l’orateur était un fervent défenseur de l’avortement, des modes de vie LGBTQ et du BDSM, en contradiction avec l’enseignement catholique sur le caractère sacré de la vie humaine, du mariage et de la sexualité. »

En revanche, selon le journal indépendant de l’université, plusieurs membres de l’université s’étaient réjouis de l’opportunité que la conférence présenterait aux élèves. Heureusement certaines personnes ont pris conscience du danger de cette attaque contre la Foi, contre les lois instituées par Dieu, contre la morale chrétienne et l’ont dénoncé.

LifeSiteNews a même « contacté l’archevêque de Baltimore, William Lori, membre du conseil d’administration de l’université, pour lui demander s’il était au courant de l’invitation et du scandale qu’elle provoquait. Aucun commentaire n’a été reçu avant l’heure de cette publication. L’université a par la suite annulé l’invitation conformément à son identité catholique. »

Le courant dominant prône avec tant d’emphase la propagation de l’immoralité, mais les défenseurs de la moralité, de la foi catholique, de la Vérité ne le laissera pas passer... allant inévitablement à contre-courant !

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Nouvelle série pro-avortement « Désobéir : le choix de Chantale Daigle » pour le printemps 2023

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : bru nO/Pixabay

Le 8 août 1989, sombre jour lorsque la Cour Suprême du Canada donna a posteriori le « droit » à Chantal Daigle de tuer son propre enfant, et enleva au père le droit de s'opposer à l'avortement de son enfant au Canada, fait à nouveau surface dans les nouvelles avec le projet cinématographique de Sophie Lorain et Alexis Durand-Brault.

Un communiqué de presse de Crave annonce que la nouvelle série « Désobéir : le choix de Chantale Daigle » paraîtra au printemps 2023, et que les tournages « débuteront cet été ».

« Racontée telle une véritable course contre la montre … met de l’avant un sujet qui, 30 ans plus tard, demeure encore d’actualité : la liberté des femmes de disposer de leur propre corps. » Aucune liberté des enfants à naître n’est mentionnée…

Selon Sophie Parizeau, directrice générale, fiction de Bell Média, « DÉSOBÉIR : LE CHOIX DE CHANTALE DAIGLE relate à l’échelle humaine le droit à l’avortement, un jalon important de l’histoire des droits des femmes au Canada qui, 30 ans plus tard, demeure fragile. C’est pourquoi nous avons décidé de traiter du sujet sous l’angle de ce fait vécu marquant, qui a défrayé les manchettes de l’époque et permis à de nombreuses femmes de pouvoir disposer de leur corps comme elles l’entendaient ».

N’est-ce pas paradoxal que tant de femmes, pourtant privilégiées de recevoir la vie, sentent un besoin de réclamer le « droit » de tuer leur enfant ?

Le Journal de Québec rajoute à la nouvelle de la série que « Les femmes ont le droit de disposer de leur propre corps, mais il reste encore des gens jusqu’à Ottawa qui militent pour interdire les interruptions de grossesse. » Ces « gens » -là, c’est nous pro-vie qui militons pour le droit des enfants à naître et qui n’abandonnerons pas de sitôt le combat indispensable pour la vie.

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« Ce petit pays de 10 millions d’habitants qu’est la Hongrie peut faire basculer l’Europe »


Père Henri Boulad.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Thaler Tamas/Wikimedia Commons

Oui, la Hongrie est un petit pays, un nain devant le géant de l’Union européenne, mais quelles chances a un Goliath si devant lui se tient un David ?

Le Père Boulad avait une vision. Il avait une vision de la Hongrie et lui attribuait la force de terrasser un géant. En 2017, ce père jésuite visita la Hongrie pour répondre à l’invitation et recevoir une décoration du premier ministre Viktor Orbán. À cette occasion il reçut la nationalité hongroise, un honneur accordé par le vice-président hongrois.

Dans un entretien avec Philippe Pellet, il explique, « j’aime le peuple hongrois par sa profondeur, son enracinement chrétiens, sa conviction et son attachement à des valeurs humaines. »

C’est alors qu’il déclara avec espoir, « Je crois que ce petit pays de 10 millions d’habitants qu’est la Hongrie peut faire basculer l’Europe, et il est en train de la faire basculer, et j’ai l’intention de m’y investir ! »

L’élan qui poussait le Père Boulad à faire une telle déclaration était sa foi inébranlable : « la foi nous appelle à un engagement, à un combat. C’est pourquoi cela que moi, j’ai dit à Victor Orbán que je suis à sa disposition s’il a besoin de moi, car je me sens interpellé par cette crise de l’Europe. Pour moi l’Europe est essentielle. »

Si l’Europe est nommée « berceau de la chrétienté », serait-on surpris qu’un petit pays majoritairement catholique et enraciné dans une tradition chrétienne comme la Hongrie contribue à sa renaissance à la vérité ? Qui sait ce que « le petit pays qu’est la Hongrie » fera un jour au Goliath de l’Europe...

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La réussite de Viktor Orbán : un espoir pour le peuple hongrois


Viktor Orbán, premier ministre de Hongrie.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)

« Nous avons remporté une victoire si grande qu’elle peut être même vue de la Lune. Nous avons défendu la souveraineté et la liberté de la Hongrie », a clamé Victor Orbán à l’annonce de son quatrième mandat comme premier ministre de la Hongrie. « Le monde entier peut voir que notre marque de politique chrétienne-démocrate, conservatrice et patriotique a gagné. »

La victoire a été remportée avec 53,1 % des votes par rapport au 35,04 % des votes gagné par le parti opposant. Orbán a déclaré lors de son discours que, « Plus grande est la victoire, plus grand est le besoin d’humilité. Et avouons-le, nous avons besoin d’humilité aujourd’hui. » Et si une vertu pouvait être qualifiée comme étant absolument essentielle à un bon dirigeant, c’est bien l’humilité.

En opposition au premier ministre chrétien et pro-famille se trouvait Péter Márki-Zay, militant LGBT, et paradoxalement père de sept enfants et catholique pratiquant. Ainsi, ce n’est pas parce qu’un politicien se dit catholique qu’il n’est pas libéral, comme tant d’autres dirigeants « catholiques » le prouvent, et ce n’est pas parce qu’un candidat est libéral que la victoire lui est assurée. (Du moins en Hongrie !)

Connu pour son conservatisme et sa lutte tenace contre le militantisme LGBT, le dirigeant hongrois avait déclaré lors d’une entrevue avec Tucker Carlson en 2021 que « … nous constituons un exemple, qui montre qu’une personne ou un pays misant sur des valeurs traditionnelles, sur l’identité nationale, sur les traditions chrétiennes, peut avoir du succès, parfois même plus de succès que ceux qui avancent sous la houlette d’un gouvernement de gauche libérale. »

Même si ces valeurs traditionnelles peuvent être étiquetées « démodées » par les progressistes, certaines d’entre elles, comme la défense de la famille traditionnelle, demeurent des vérités immuables et donc, pertinentes à toutes les époques.

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Nouvelle case X sur les passeports américains

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Bits and Splits/Adobe Stock

La moralité, le respect de la loi naturelle, et la rectitude se dégradent-ils vraiment à une vitesse effrayante ?

Le 31 mars, lors de la journée internationale de la visibilité transgenre le département d’État a annoncé qu’à partir du 11 avril, toute personne demandant un passeport aux États-Unis pourra cocher la case « X », et non plus seulement choisir entre « homme » et « femme ».

Dès lors, « la définition du marqueur de genre X sur les formulaires publics du Département d’État sera “Non spécifié ou une autre identité de genre” ».

Mais cette case X ne représente-t-elle pas beaucoup plus qu’un genre flou et « non spécifié » ? Ne représente-t-elle pas le rejet inconditionnel de toute frontière morale ? Cette case X n’est-elle pas tout simplement le sceau de l’engagement de la société à propager le mensonge transgenre et à le proclamer haut et fort ?

Le secrétaire d’État a déclaré dans son communiqué de presse : « Nous réaffirmons notre engagement à promouvoir et à protéger la liberté, la dignité et l’égalité de toutes les personnes — y compris les personnes transgenres, non binaires et non conformes au genre dans le monde. »

L’engagement propose et promet plutôt de nier la réalité, de nier la réalité scientifique, de nier la loi morale, de nier le respect dû à la personne humaine.

Dans un communiqué, la Maison-Blanche affirme que « Les personnes transgenres sont parmi les plus courageuses de notre pays... » Les transgenres : voilà les personnes qu’on baptise les héros d’aujourd’hui. La faiblesse immorale : voilà la « vertu » qu’on nomme le courage d’aujourd’hui.

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Nouvelle législation pro-vie pour défendre les étudiantes enceintes

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)

Le 30 mars 2022, le membre du Congrès républicain de l’Iowa Ashley Hinson a présenté la loi sur les droits des étudiantes enceintes, « visant à garantir que les femmes enceintes reçoivent des informations appropriées sur leurs droits et leurs ressources et qu’elles sont soutenues sur le campus. »

« Cette législation reconnaît que de nombreuses femmes d’âge universitaire choisissent l’avortement parce qu’elles ne sont pas au courant des logements pour étudiantes enceintes qui sont garantis par la loi fédérale », écrit Brooke Paz, coordonnatrice des affaires gouvernementales de Students for Life Action, un organisme pro-vie qui a aidé à conceptualiser cette législation.

Comme Mme Hinson explique, « Les étudiantes qui sont enceintes ou qui pourraient devenir enceintes de manière inattendue méritent de connaître toutes les ressources à leur disposition, et il est inacceptable que tant de personnes se fassent dire que l’avortement est leur seule option. Les jeunes femmes devraient se sentir habilitées à choisir la vie et à créer le meilleur avenir pour elles-mêmes et pour leur enfant. »

Trop souvent les militants pro-mort orientent les étudiantes enceintes vers l’avortement ; les étudiantes sont alors convaincues que la seule option est de tuer leur enfant à naître.

Alexandra DiFalco la cofondatrice du groupe pro-vie Abortion Resistance a déploré lors d’une entrevue avec LifeSiteNews que ces militants pro-avortement ont « imposé leurs revendications aux jeunes et ont ainsi réussi à reprendre le dessus sur la conversation, présentant aux gens une vision déformée de la réalité de l’avortement. »

L’avortement est présenté comme une libération, alors qu’au contraire, l’avortement limite les femmes à choisir la mort en excluant le choix libérant de la vie.

Avec sa nouvelle législation, Ashley Hinson tente de renverser cette attaque au droit à la vérité concernant l’avortement qu’ont les étudiantes et au droit à la vie qu’ont les enfants à naître.

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Banalisation et hausse de l’euthanasie au Québec

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Fxquadro/Adobe Stock

Depuis les dernières années, les demandes d’euthanasie ont visiblement augmenté au Canada, une augmentation qui trahit la baisse nationale de respect pour la vie. Un article de Radio-Canada indique qu’« en 2017, 2 838 personnes ont reçu l’aide médicale à mourir. » Tandis qu’« En 2020, ils étaient 7 383. »

Au Québec, le phénomène est visible. Selon le Quotidien numérique, « De plus en plus de demandes d’aide médicale à mourir sont formulées au Saguenay–Lac-Saint-Jean. Le nombre de personnes y faisant appel a plus que triplé dans les quatre dernières années. »

Pourquoi une telle augmentation ?

Selon Valérie Faucher, la gestionnaire médicale dans le dossier du Saguenay–Lac-Saint-Jean, « de nombreux facteurs expliqueraient cette augmentation, dont le fait que cette pratique est désormais acceptée par une plus grande partie de la population et moins taboue. »

L’euthanasie est moins taboue tout simplement parce que la vie est moins respectée. Maintenant, c’est la souffrance qui est devenue taboue.

Un article de Radio-Canada décrit le cadre dans lequel les personnes euthanasiées se trouvent. « Le grand départ est ainsi orchestré selon les souhaits de la personne qui a choisi de se prévaloir de l’aide médicale à mourir. Allongé dans son lit ou confortablement installé dans son fauteuil préféré, le patient amorce son périple vers le trépas entouré de ses proches, dans l’amour. Et si tel est son désir, il peut savourer un dernier verre de champagne. »

Pourtant, une personne interrogée par Radio-Canada a déclaré au sujet de l’euthanasie qu’« Accepter de partir, ça demande beaucoup de courage... »

Refuser de souffrir et s’enlever la vie un verre de champagne à la main requiert-il vraiment plus de courage que d’accepter la souffrance et respecter sa vie ?

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L’accès à l’avortement payé par les grandes entreprises

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : standret/Adobe Stock

Saviez-vous que « de grandes entreprises telles que Citigroup, Apple, Bumble et Hewlett Packard proposent à leurs employées de couvrir leurs frais de déplacement si elles souhaitent se rendre dans un autre État pour avorter (Généthique) » ?

En réaction aux nouvelles lois pro-vie aux États-Unis, certains « géants » américains ont lancé des programmes pour financer leurs employés qui veulent avorter. La cofondatrice de la start-up new-yorkaise Alloy, Laura Spiekerman « s’est déclarée “surprise” que davantage d’entreprises ne fassent pas de même. »

Los Angeles Times détaille que, « L’entreprise — qui compte une poignée d’employés dans des États dotés de lois restrictives sur l’avortement comme la Floride, l’Arizona et le Mississippi — a déclaré en janvier qu’elle paierait jusqu’à 1 500 $ pour les frais de déplacement des employés ou de leurs partenaires devant voyager hors de l’État pour des avortements. »

Non seulement de telles puissantes compagnies supportent l’avortement, mais elles le financent et encouragent leurs employés à y accéder. Alloy l’affirme ouvertement : « Alors que les droits reproductifs sont critiqués par notre gouvernement, l’équipe de direction d’Alloy estime qu’il est essentiel que nous adoptions une position plus explicite en faveur des droits reproductifs et que nous offrions à nos employés des directives plus complètes pour soutenir leur santé reproductive à l’avenir. »

Pendant que le droit des enfants à naître aux États-Unis avance lentement au plan légal, les entreprises influentes redoublent leurs efforts pour garantir l’avenir pro-mort de la société : raison de plus pour continuer à lutter pour la vie !

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Une campagne pro-avortement en Gaspésie et aux Îles-de-la-Madeleine

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Anne Richard/Adobe Stock

Ce billet a été revu et corrigé le 6 avril 2022

Sur leur page Facebook, la Table de concertation des groupes de femmes de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine (GÎM) et du CISSS de la Gaspésie a lancé une « campagne de sensibilisation et d’information » sur l’avortement pour le printemps 2022. Déjà la Table de concertation des groupes de femmes GÎM a créé une plateforme pour permettre aux femmes ayant vécu un avortement de partager leurs témoignages.

La Gaspésie et les Îles-de-la-Madeleine seraient ciblées, selon Radio-Canada, en raison du taux d’avortements plus bas par rapport à la moyenne provinciale, preuve selon eux d’un « manque d’informations » et d’accessibilité. Selon un document intitulé « L’état de santé et de bien-être de la population » publié en 2011 par l’Agence de la santé et des services sociaux de la Gaspésie-Iles-de-la-Madeleine, le taux d’avortement des filles enceintes entre 14-19 est de 67 % au Québec tandis qu’il est de 45 % dans la région de la Gaspésie-Iles-de-la-Madeleine.

De dire Léa Blouin-Rodrigue, agente de développement au sein de la Table de concertation des groupes de femmes de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine en se référant à l’avortement en Gaspésie « Il y a un gros vide dans notre région. » Elle voulait dire, un vide « d’informations sur l’avortement ». Je dirais plutôt : une absence de propagande pro-avortement -- et ce vide sauve des vies.

Si la campagne du printemps 2022 réussit à combler ce « vide » en propageant l’avortement, un vide se fera certainement dans chaque maison où il y aurait pu avoir un enfant, un vide qui ne pourra être comblé que par la miséricorde de Dieu.

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Les juges imposent l’avortement en tant que « droit fondamental » au Kenya

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : hin255/Adobe Stock

Le 25 mars, méprisant le droit fondamental à la vie, « la Haute Cour de Malindi a jugé que l’avortement est “un droit fondamental en vertu de la Constitution du Kenya” » rapporte une synthèse de presse de Généthique. Ainsi les « arrestations de patientes ou de prestataires pratiquant des avortements sont … “illégales” ».

Se faisant, les juges s'érigent en législateurs puisque, selon Le Blog d’Yves Doudal, « dans la Constitution l’avortement est interdit sauf si la vie de la mère est en danger ».

La décision de la Cour a affirmé que : « La protection de l’accès à l’avortement a un impact sur les valeurs constitutionnelles vitales, notamment la dignité, l’autonomie, l’égalité et l’intégrité corporelle. » L’impact de l’avortement se résume en effet à un déni complet de la dignité de l’être humain dès sa conception, et une violation de l’égalité entre tous les êtres humains.

Sur simple base d’âge, l’enfant à naître est considéré inférieur aux enfants nés et égal à un objet jetable, alors que même scientifiquement, il est distinctivement supérieur aux objets. « L’embryon, comme tout être humain, a en lui-même le principe de son changement. En cela, il se distingue totalement d’un objet, qui ne change que par une intervention extérieure (Fondation Jérôme Lejeune). »

Quant à l’intégrité corporelle, le processus d’avortement est loin d’être un processus qui respecte le corps de la femme et de son enfant que ce soit l’avortement médical, par aspiration, par démembrement, ou par induction. Tout avortement est un irrespect moral et physique envers la vie, la dignité, et la liberté de l’enfant à naître.

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