En rupture avec le Noël traditionnel
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawf8/Adobe Stock
Notre société touche-t-elle encore du doigt la réalité de Noël ?
Du moins en apparence, le concept du Noël traditionnel est de plus en plus étouffé. Le mot lui-même a été menacé, sans succès, par un document de la Commission européenne qui « recommandait de supprimer les références à Noël et de parler plutôt de “vacances” (Breizh Info) ».
Puisque Noël fête la venue du Sauveur et conséquemment la conquête de la vie de grâce sur la mort du péché, sommes-nous surpris que Noël s’éclipse parallèlement avec la culture de vie ?
Se souvient-on encore de l’origine du sapin de Noël : l’arbre de Vie ?
Cet arbre de vie, auquel on accrochait des pommes, représentait l’arbre du Paradis terrestre duquel Adam et Ève prirent le fruit défendu. Ainsi, les sapins que nous avons aujourd’hui sont enracinés dans une tradition directement liée à la fête de Noël puisqu’ils évoquent la raison pour laquelle Jésus s’est incarné : le péché de nos premiers parents.
Mais même cette tradition se déracine, du moins à Bordeaux.
The Epoch Times rapporte que le maire EELV Pierre Hurmic avait déclaré lors d’une conférence de presse en septembre 2020 qu’il ne voulait pas « d’arbre mort sur les places de la ville ».
Le sapin traditionnel, baptisé de façon divergente par Hurmic « arbre mort », sera alors remplacé cette année par un sapin fait, « de verre et d’acier recyclés et recyclables ». Ce sapin en matières non vivantes évoquera-t-il vraiment l’arbre de vie ? À voir...
La crèche traditionnelle, qui évoque la réalité de Noël plus que toutes les autres coutumes, souffre aussi de cet étouffement du Noël traditionnel, comme le reflètent la crèche 2020 du Vatican, qui a fait tant de vagues, ou encore celle de l’Église Saint Eustache.
1 réaction6 décembre — Saint Nicolas
Saint Nicolas de Myre, faisant charité à un père et ses trois filles.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Une petite histoire pour le mouvement pro-vie...
C’est à la fin du troisième siècle. La tragédie vient frapper à la porte d’une famille dans ce qui est maintenant la Turquie. Accablé par la pauvreté qui menace sa famille et au bord du désespoir, un père de famille décide de livrer ses trois jeunes filles à une vie immorale.
Mais voici qu’un sauveur inattendu donne discrètement aux trois filles le moyen de s’établir honnêtement et les délivre d’une future vie déshonorable. Ce sauveur n’est autre que le futur archevêque de Myre, saint Nicolas.
Une autre fois, ce grand homme fut emprisonné pour sa profession de la foi catholique sous le règne de Dioclétien.
Invoquons ce saint pour avoir la force de défendre la vie, l’honneur de la famille et la foi catholique, coûte que coûte, pour la plus grande gloire de Dieu.
Imitons aussi sa soumission à la volonté de Dieu qui rayonne à travers ces derniers mots, « En vos mains, je remets mon âme (psaume 30). »
1 réactionLes objectifs de l’ONU et le règne du Christ-Roi
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)
Les Nations Unies, « œuvrant au maintien de la paix et de la sécurité internationales et à la protection des droits humains », ont défini 17 objectifs pour « transformer notre monde ». Et pourtant, elles n’atteindront jamais ces idéaux de paix, de justice, et de liberté sans reconnaître le règne du Christ-Roi sur la société.
Comme le dit Pie XI dans sa Letttre Encyclique Quas Primas, « Si les hommes venaient à reconnaître l’autorité royale du Christ dans leur vie privée et dans leur vie publique, des bienfaits incroyables — une juste liberté, l’ordre et la tranquillité, la concorde et la paix — se répandraient infailliblement sur la société tout entière. »
En érigeant certains objectifs qui s’opposent directement au règne du Christ-Roi, et d’autres qui ne s’y opposent pas mais qui omettent l’importance de la vie spirituelle, les Nations Unies ne transformeront pas notre monde comme elles prétendent vouloir le faire.
Ainsi, si la société ne laisse pas Dieu régner dans ses objectifs, dans ses lois, dans ses institutions, et dans ses familles, elle ne pourra jamais « transformer notre monde » en un monde meilleur.
« 17 objectifs pour transformer notre monde » — Nations Unies
17 objectifs pour faire régner le Christ-Roi dans notre monde
« Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus (Mathieu 6,33). »
1. Pas de pauvreté :
Mettre fin à la pauvreté sous toutes ses formes et partout dans le monde d’ici à 2030
En plus de combattre la pauvreté matérielle, mettre aussi fin à la pauvreté spirituelle sous toutes ses formes et partout dans le monde. Combien d’âmes sont dépourvues des nécessités de base telles que les sacrements et la messe !
2. Faim « zéro » :
Éliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l’agriculture durable.
Éliminer la faim alimentaire, oui, mais ne faut-il pas aussi rassasier la faim des âmes pour la Vérité ? Combien d’âmes cherchent aveuglément la lumière à travers le brouillard épais de l’erreur !
3. Bonne santé et bien-être :
Permettre à tous de vivre en bonne santé et promouvoir le bien-être de tous à tout âge.
Permettre avant tout aux âmes de vivre en bonne santé spirituelle en supprimant les poisons mortels du mal et promouvoir la sanctification de tous à tout âge. Avec la santé de l’âme vient la santé du corps.
4. Éducation de qualité :
Assurer l’accès de tous à une éducation de qualité, sur un pied d’égalité, et promouvoir les possibilités d’apprentissage tout au long de la vie.
Assurer l’accès à tous à une éducation catholique de qualité, sur un pied de Vérité, et promouvoir les possibilités de croissance spirituelle tout au long de la vie.
5. Égalité entre les sexes :
Parvenir à l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles.
Parvenir au respect de la dignité humaine et restituer aux femmes leur rôle ennoblissant de mère.
6. Eau propre et assainissement :
Garantir l’accès de tous à des sources d’eau potable et à l’assainissement.
Garantir l’accès de tous à des sources de grâce sanctifiante. L’eau potable est nécessaire à la vie, mais qu’en est-il de l’eau baptismale nécessaire à la vie de la grâce ?
7. Énergie propre et d’un coût abordable :
Garantir l’accès de tous à des services énergétiques fiables, durables et modernes, à un coût abordable.
Non seulement garantir l’accès à des services énergétiques, mais aussi à la source d’énergie qu’est la Foi, « la soumission de l’intelligence et de la volonté à la Révélation de Dieu, parce que Dieu est l’autorité suprême et qu’Il ne peut se tromper. (Serment antimoderniste de Pie X) », par la liturgie traditionnelle catholique.
8. Travail décent et croissance économique :
Promouvoir une croissance économique durable et inclusive, l’emploi et un travail décent pour tous.
Pour répondre non seulement à l’urgence économique, mais aussi à l’urgence spirituelle, promouvoir une croissance spirituelle durable dans chaque continent, chaque pays, chaque ville, chaque institution, chaque entreprise, et chaque famille.
9. Industrie, Innovation, et Infrastructure :
Bâtir une infrastructure résiliente, promouvoir une industrialisation durable qui profite à tous et encourager l’innovation.
Bâtir une société chrétienne avant de bâtir une infrastructure résiliente, promouvoir un apostolat qui mène le monde entier à la Vérité et ainsi encourager la conversion de tous les peuples au Catholicisme.
10. Inégalités réduites :
Réduire les inégalités dans les pays et d’un pays à l’autre.
Réduire en premier lieu l’aveuglement de l’athéisme dans les pays.
11. Villes et communautés durables :
Faire en sorte que les villes soient ouvertes à tous, sûres, résilientes et durables.
Non seulement rendre les villes ouvertes, mais aussi faire en sorte que chaque église fermée redevienne la maison de Dieu et le lieu sacré de l’acte le plus puissant qui soit : la sainte messe.
12. Consommation et production responsables :
Établir des modes de consommation et de production durables.
Établir des modes de consommation et de production durables en plus d’établir des modes de conversion et de sanctification efficaces.
13. Mesures relatives à la lutte contre le changement climatique :
Prendre d’urgence des mesures pour lutter contre les changements climatiques et leurs répercussions.
Prendre d’urgence des mesures pour lutter contre la déchristianisation globale et sa répercussion sur chaque aspect de la société.
14. Vie aquatique :
Conserver et exploiter de manière durable les océans, les mers et les ressources marines aux fins du développement durable.
Non seulement conserver la création marine de Dieu, mais aussi conserver et étendre la religion catholique comme étant la seule vraie religion et le seul port de salut dans la tempête de la vie.
15. Vie terrestre :
Gérer durablement les forêts, lutter contre la désertification, enrayer et inverser le processus de dégradation des sols et mettre fin à l’appauvrissement de la biodiversité.
Non seulement protéger la création terrestre de Dieu, mais aussi supporter activement les communautés religieuses, lutter contre la désertification spirituelle, enrayer et inverser le processus de dégradation des âmes et mettre fin à l’appauvrissement de la culture chrétienne.
16. Paix, justice, et institutions efficaces :
Promouvoir l’avènement de sociétés pacifiques et inclusives aux fins du développement durable, assurer l’accès de tous à la justice et mettre en place, à tous les niveaux, des institutions efficaces, responsables et ouvertes à tous.
Promouvoir l’avènement du Règne du Christ-Roi sur la société, assurant ainsi l’accès de tous à la justice et la paix et mettre en place, à tous les niveaux, des institutions catholiques.
17. Partenariats pour la réalisation de nouveaux objectifs :
Revitaliser le partenariat mondial pour le développement durable.
Revitaliser le partenariat entre l’Église et l’État pour rétablir la place légitime de l’Église dans la société.
Une lumière dans la nuit
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Wikimedia Commons
Si l’on avait à décrire l’état du monde aujourd’hui, en 2021, l’image de la nuit serait assez adéquate.
Nous n’avons pas seulement été confinés loin de la lumière naturelle, mais aussi, et surtout, de la lumière spirituelle. Lorsque l’avortement, l’euthanasie, et le mariage contre nature semblent être devenus la norme, toute lueur de la Foi semble éteinte, ou du moins « cachée sous un boisseau ».
Mais en ce dimanche 28 novembre, premier dimanche de l’Avent, débute un temps de supplication, d’espoir, et d’attente de la lumière. Alors que le peuple hébreu a attendu 4000 ans la venue du Sauveur ; aujourd’hui, nous n’avons qu’à l’attendre 4 semaines.
Il ne suffit pas d’attendre. Nous devons prouver par nos prières et nos sacrifices que nous voulons ardemment la venue du Messie.
« L’Avent nous rappelle qu’aujourd’hui, dans notre société plongée dans des vices contre nature, nous avons plus que jamais besoin de supplier le Sauveur pour qu’Il nous sauve. (un article de la FSSPX) » La supplication nous permettra alors de comprendre notre état de créature, nous faisant acquérir l’humilité, la clé de notre salut.
Car comme nous rappelle un article de la FSSPX « … l’homme humble se tait… Ce silence produit en lui le détachement et la confiance : le détachement du créé et la confiance en Dieu, le recueillement en Dieu. Et ce silence, alors… pacifie [l’homme]. Cette paix, c’est le Christ, Rex pacificus, qui la cause dans notre âme par Sa croix, instrument de notre salut. »
Que cette nouvelle saison liturgique nous redonne ainsi l’espoir de voir apparaître la lumière, et de trouver notre force en notre Sauveur, qui seul peut dissiper la nuit.
N’oublions pas aussi d’invoquer la Sainte Vierge qui par son exemple nous apprendra, « l’humilité et le silence. »
1 réactionLa seule vraie Crise
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : FrameAngel/Adobe Stock
Année après année, les crises se déchaînent : la crise climatique, la crise écologique, la crise sanitaire, la crise économique, et maintenant la crise vaccinale.
Comme le dit Mgr Viganò, « Les droits fondamentaux, présentés jusqu’à hier comme inviolables, ont été foulés aux pieds au nom de l’urgence : aujourd’hui l’urgence sanitaire, demain l’urgence écologique, et après cela l’urgence internet. »
Alors que le monde, affolé par chaque nouvelle « vague » des crises, se rapproche de plus en plus d’une domination mondialiste, chaque vague nous rapproche de plus en plus d’un monde sans Dieu.
« C’est le plan du Nouvel Ordre Mondial, dans lequel une République Universelle asservit tout le monde et une Religion de l’Humanité annule la Foi au Christ. (Mgr Viganò) »
Toutes ces crises ne sont que des rigoles du flot de la Crise de la Foi. Dans les gouvernements jusque dans les salles de classe, la foi et la morale sont de plus en plus piétinées. À quoi bon diriger toutes nos forces vers le climat, la santé, et l’économie alors que nous ignorons notre raison d’être, Dieu ?
Que les crises présentes soient un rappel que la Crise de la Foi est la seule qui doit être résolue. Une société sans Dieu est un navire sans compas. Quand la société se soumettra à son Dieu, alors l’ordre se rétablira.
Redirigeons-nous vers ce qui compte. Unissons-nous dans notre véritable force. Défendons ce qui vaut réellement la peine d’être défendu. Répondons à l’appel de Mgr Viganò aux « nations et leurs citoyens à s’allier sous la Croix de Notre Seigneur Jésus-Christ, le seul Roi et Sauveur, le Prince de la Paix. In hoc signo vinces. »
1 réactionSainte Catherine d’Alexandrie : une patronne importante pour le mouvement pro-vie
Sainte Catherine d'Alexandrie par Raphaël.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Wikimedia Commons
Aujourd’hui nous fêtons la patronne des philosophes, sainte Catherine d’Alexandrie, qui « réussit à faire taire les orateurs par la pertinence de son argumentation, et à les convertir. (Wikipédia) » Et puisque la philosophie réside tout particulièrement sous sa protection, alors le combat pro-vie y réside aussi.
Comme l’affirme Claude Tresmontant, « Le problème de l’avortement est un problème de philosophie naturelle. »
Ce problème de philosophie naturelle s’est infiltré dans notre société, dans nos universités, dans notre système médical, et même jusqu’en notre système législatif.
Selon le Code criminel du Canada, « Un enfant devient un être humain au sens de la présente loi lorsqu’il est complètement sorti, vivant, du sein de sa mère ».
Nous ne pouvons pas nier que tous les êtres humains ont la même nature, une nature humaine. Comme le dit Claude Tresmontant, « Il n’y a pas une différence de nature entre l’enfant qui vient de naître et l’enfant qui était un jour ou un mois plus tôt dans la matrice. » L’enfant à naître a donc une nature humaine, et, ayant cette nature humaine en commun avec tous les autres êtres humains, est un être humain.
Notre système législatif nie-t-il alors que nous ayons une nature humaine ? Comment notre société peut-elle prétendre être juste quand une telle erreur s’est introduite dans nos lois ?
Alors que certains se justifient d’enlever la vie aux enfants à naître en déformant la Vérité, sainte Catherine a donné sa vie pour avoir défendu la Vérité.
Que l’exemple de sainte Catherine d’Alexandrie nous inspire à rechercher, à aimer, et à défendre la Vérité à tout prix !
1 réactionNouvelle proposition du parti conservateur du Québec... un espoir pour la Famille ?
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Kostia/Adobe Stock
Selon les principes du Parti conservateur d’Éric Duhaime, « Il revient au citoyen de subvenir à ses propres besoins, à ceux de sa famille et à ceux des personnes dont il a la charge. »
Bien que le parti souligne cette responsabilité de chaque individu, il fait maintenant part de sa motivation d’aider les familles québécoises en leur offrant un support financier.
« On pense que c’est une bonne chose que les Québécois aient plus d’enfants. Oui on est un parti qui est favorable à l’augmentation de la natalité », a annoncé Éric Duhaime, en entrevue.
Selon le Journal de Québec, « offrir 2000 $ aux parents qui ont un deuxième enfant et 5000 $ pour un troisième, voici une des propositions du nouveau programme qui sera discuté cette fin de semaine lors d’un congrès virtuel du parti, le premier depuis l’élection de son nouveau chef en avril dernier. »
Encourager les citoyens à élever de plus grandes familles représente un rayon d’espoir pour le Québec, qui dans le passé, puisait sa force dans ses familles nombreuses.
Ainsi, cet appel à un Québec peuplé de plus de familles est un appel à un Québec plus fort, puisque, « La force et la stabilité d’une nation dépendent de la force et de la stabilité de son unité de base : la famille ». (Traduction d’une lettre de la FSSPX.)
1 réactionLe taux de visites aux urgences suite à un avortement médicamenteux a augmenté de 500 % entre 2002 et 2015
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
Pourquoi l’avortement ?
On dit que l’avortement est sécuritaire, que l’avortement sauve les femmes ; et pourtant, la réalité prouve le contraire.
Selon une « nouvelle étude d’envergure », menée par l’Institut Charlotte Lozier (CLI) dans 17 Etats des Etats-Unis d’après les dossiers Medicaid de 1999 à 2015, « les taux de visites aux urgences suite à un avortement médicamenteux ont augmenté de 507 % entre 2002 et 2015, passant de 8,5 pour 1000 à 51,7 pour 1000. La hausse est de 315 % après un avortement chirurgical », rapporte Gènéthique.
Quant aux dangers de l’avortement à domicile, « de nombreuses études montrent qu’en moyenne 5 à 8 % des femmes doivent se rendre aux urgences pour des complications, et cela n’inclut même pas le nombre d’interventions chirurgicales effectuées dans les cliniques d’avortement », rapporte le Dr Christina Francis, membre de l’AAPLOG.
On dit que l’avortement est sécuritaire ; et pourtant, il s’ensuit toujours la mort d’un être humain, et parfois, comme nous montre cette étude, un grave danger pour un deuxième être humain.
Comment peut-on dire que l’avortement est un choix ?
Cela ne vaut jamais la peine de préférer notre vie à la mort d’un autre parce qu’en plus de garantir une mort, ce « choix » garantit souvent des risques graves pour celle qui avorte.
Oui à la vie, non à la mort !
1 réactionUne manifestation pro-mort : une manifestation antinaturelle
Manifestation de pro-avortement polonais à Londres devant l'ambassade de Pologne, 24 octobre 2020, en protestation de la décision du tribunal constitutionnel de Pologne qui a interdit l'avortement eugénique — ils s'agitent encore maintenant en 2021 pour la même raison.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : BeŻet/Wikimedia Commons
« Les partisans d’une libéralisation de l’avortement en Pologne étaient à nouveau dans la rue dans de nombreuses villes de Pologne le samedi 6 novembre... c’est la nouvelle du décès d’une femme enceinte dans un hôpital de Pszczyna, en Silésie, qui a déclenché ces manifestations » rapporte Visegrád Post.
Nul ne peut nier que nous avons tous un instinct naturel de vivre. Une personne en train de se noyer se débat pour rester à la surface de l’eau. Et pourtant, il y a des personnes qui luttent résolument contre la vie.
En plus d’aller contre l’instinct naturel de vivre et de défendre la vie, ces manifestants Pro-Mort en Pologne n’ont pas basé leur combat macabre sur une raison logique.
Les circonstances précises encadrant le décès n’étaient pas connues. De plus, la femme aurait pu légalement avoir un avortement puisque selon la loi polonaise, « en cas de danger pour la vie et la santé physique de la femme enceinte, l’avortement est autorisé à tout moment de la grossesse. »
Une soif pour la mort devient de plus en plus manifeste dans la société parce que l’éloignement de la nature humaine devient de plus en plus présent. Le précipice dans lequel sont tombés ces manifestants en Pologne et tous ces militants pro-avortement, pro-euthanasie, pro-LGBT... etc. est un précipice antinaturel.
Pour se tirer de ce précipice il n’y a autre solution qu’un retour sur le chemin de notre vraie nature humaine, la nature qui nous a été donnée. Et ce chemin nous mènera sans aucun doute à Dieu, une fin qui nous a été destinée, et qui seule nous rendra heureux.
1 réactionGrand nombre de cas de bronchiolites chez les bébés — quelle en est la cause ?
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gian/Adobe Stock
Est-ce le déconfinement (donc le confinement) ? Est-ce les vaccins covid-19 ? Serait-ce les deux ?
Quelle est la cause de tous ces cas de bronchiolites chez les jeunes enfants ?
En France, selon, The Epoch Times, « L’hiver dernier, les confinements et les gestes barrières anti-Covid ont contribué à bloquer tous les virus, dont le VRS (virus respiratoire syncytial), responsable de la bronchiolite.
Les enfants ont été moins infectés que d’habitude et sont donc moins immunisés sur le plan collectif, ce qui laisse craindre une épidémie plus forte cette année. »
Tandis qu’au Canada où il y a une proportion anormale de cas de bronchiolites chez les bébés, le docteur Drouin dans un article de Radio-Canada affirme que, « Ce qui se passe, c’est qu’on n’a pas eu cette immunité naturelle aux autres virus la saison dernière, donc on se retrouve avec deux cohortes de bébés et de jeunes enfants qui sont en contact avec les virus respiratoires pour la première fois. Ça fait deux fois plus de gens à l’urgence. »
Le vaccin aurait-il pu y avoir un effet quelconque ?
Selon The Defender, le docteur Whelan a écrit dans une soumission publique « il semble que la protéine spike qui est la cible des principaux vaccins contre le SRAS-CoV-2 soit également l’un des principaux agents causant des dommages à des organes distants pouvant inclure le cerveau, le cœur, les poumons et les reins. Avant que l’un de ces vaccins ne soit approuvé pour une utilisation généralisée chez l’homme, il est important d’évaluer chez les sujets vaccinés les effets de la vaccination sur le cœur...
Le VAERS rapporte un cas d’un décès dû à des caillots de sang d’un bébé allaité après que sa mère ait reçu le vaccin Pfizer.
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