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En réponse à la fermeture des églises, des catholiques à Montréal lancent un Rosaire public


Catholiques priants le chapelet devant la cathédrale Marie-Reine du monde à Montréal pour la réouverture des églises.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)

En réponse à la passe sanitaire obligatoire dans les églises et à la fermeture des églises, un groupe de catholiques pro-vie, qui désirent rester anonymes, a décidé d’agir avec l’arme puissante du Rosaire.

Quoi : chapelet public 

: sur le parvis de la cathédrale de Montréal (Marie-Reine-du-Monde)

Quand : 11h00 tous les dimanches

Le 20 décembre 2021, le gouvernement a imposé la passe vaccinale dans les lieux de culte et a ensuite fermé toutes les églises, classant ce service absolument essentiel comme « service non essentiel ».

Le dimanche suivant, le 26 décembre 2021 ce groupe débute leur premier Rosaire extérieur pour prier pour la réouverture des églises et la disparition du passeport sanitaire, croyant fermement que, « la vaccination doit être volontaire comme indiqué par le numéro 5 de la CONGRÉGATION POUR LA DOCTRINE DE LA FOI »

L’une des responsables explique, « Nous avons un énorme besoin de prier et rentrer dans la maison du Seigneur surtout dans ces temps difficiles et nos églises sont fermées. »

Depuis 3 semaines, ils se réunissent devant la cathédrale Marie-Reine-du-Monde à Montréal chaque dimanche. Face à l’injustice, face à la privation des sacrements, face au besoin de rendre gloire à Dieu, ils demandent instamment l’intercession de la Vierge Marie pour que les autorités ouvrent les églises.

Leurs objectifs se résument à quatre points,

  • La réouverture de nos églises
  • La disparition du passeport sanitaire pour les églises
  • La réparation de nos péchés
  • La persévérance finale

Ils lancent un appel à tous à s’unir et prier ensemble.

Le gouvernement priorisait la santé avant Dieu. Il ne restait qu’une seule chose à faire : assaillir le ciel de prières !

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En Espagne, l’avortement est financé dix fois plus que la maternité

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : ryanking999/Adobe Stock

Trop souvent, les dirigeants de nos pays soutiennent beaucoup plus la mort que la vie des enfants à naître.

En Espagne les faits sont clairs. « L’Etat finance dix fois plus l’avortement que la maternité... Ce sont des chiffres atterrants : 32 218 185 euros ont été distribués dans le but de faciliter l’avortement, contre seulement 3 392 233 euros pour encourager la maternité ! » rapporte Droit de Naître.

Selon la présidente de la Fondation Redmadre, María Torrego, « La société n’est pas consciente de cette réalité. Il faut faire connaître ces chiffres parce que dans la sphère politique, il y a beaucoup de manipulations : l’avortement est présenté sous la “bannière de l’égalité”, quand “l’égalité commence par le fait d’aider les femmes à exercer leur maternité librement, sans obstacle.” »

L’avortement est aussi présenté sous la bannière de la liberté alors que l’avortement est l’option la plus limitante puisqu’il est une voie sans issue et sans retour en arrière. Une fois l’enfant à naître tué, c’est fini.

« Si le soutien nécessaire n’est pas fourni aux femmes pour exercer leur droit d’être mères, la société ne sera pas durable », affirme María Torrego.

Si le gouvernement préconise l’avortement dix fois plus que la maternité, ce n’est pas surprenant que les femmes placées dans des situations éprouvantes choisissent l’option à portée de main.

« “8 femmes sur 10 qui hésitaient décident d’accoucher après s’être senties écoutées et soutenues... Il est possible de lutter efficacement contre l’avortement en soutenant la liberté des femmes qui choisissent d’être mères. Il n’y a pas de temps à perdre”, conclut la présidente de la fondation pro-vie. »

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Horacio Arruda démissionne !


Horacio Arruda, portant l'épinglette des Objectifs de développements durables de l'ONU (à droite).

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : CTV News/YouTube

Ça y est ; Arruda démissionne. Pour apaiser l’insatisfaction montante des Québécois, le Directeur national de santé publique s’est sacrifié en « offrant la possibilité » à Legault de le remplacer.

La « certaine érosion de l’adhésion de la population » ou sa frustration et scepticisme envers le système de la santé a fini par causer cette petite victoire.

Pourquoi une victoire ? Cette démission prouve qu’assez de Québécois se posaient des questions et mettaient en doute les « stratégies » d’Arruda pour provoquer sa démission. Mais la victoire s’applique surtout à l’élimination d’un promoteur des Nations Unies et de ses idées néfastes.

Arruda était connu pour sa petite épinglette des Objectifs de développement durable (ODD), qui portait témoignage aux 17 objectifs établis en 2015 par les Nations Unies. Dans notre article phare, L’impact des dangereux Objectifs de développement durable des Nations unies sur les enfants et la famille, Matthew McCusker révèle pourquoi ces objectifs menacent gravement le monde.

Les ODD représentent une menace entre autres parce qu’ils, « comprennent des points précis qui appellent à un “accès universel à la santé sexuelle et reproductive” » et l’OMS « considère que l’avortement fait partie intégrante de la “santé sexuelle et reproductive” »

Matthew McCuscker rapporte que « des clubs de jeunes ont été créés dans l’intention de les utiliser pour promouvoir l’avortement et la contraception auprès des enfants et des adolescents. »

Non seulement « l’OMS s’emploie activement à “améliorer l’accès à l’avortement et la qualité de leurs services d’avortement” », mais elle vise particulièrement à endoctriner les enfants et les jeunes de ses idées perverses.

Un Arruda de moins, une épinglette des ODD de moins. Cette épinglette multicolore (ce n’est pas un hasard !) représente le système de perversion qui imprègne tous les niveaux de notre société ; malheureusement, ce n’est pas une démission de plus qui l’empêchera de continuer à s’étendre. Et qui sait, le remplaçant d’Arruda sera-t-il pire ?

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En Espagne les animaux de compagnie ont plus de droits que les enfants à naître

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixabay

« Mercredi 5 janvier, une nouvelle loi faisant des animaux de compagnie des “êtres à part entière” avec un “statut juridique propre” est entrée en vigueur en Espagne. Une loi avec des conséquences sur trois textes normatifs, y compris le Code civil », rapporte Gènéthique.

Ainsi, le droit des animaux dépasse le droit de certains êtres humains puisque l’avortement est légal en Espagne jusqu’à 14 semaines de grossesse.

« Désormais, les animaux sont “considérés comme d’authentiques membres de la famille”. En cas de divorce entre deux personnes par exemple, “le juge devra prendre en compte le sort d’un éventuel animal de compagnie comme s’il s’agissait d’un enfant, en décidant ou non d’une garde partagée”. »

L’animal de compagnie fait partie de la famille, mais pas nécessairement l’enfant à naître !

« Pour le député Angel López Maraver, “cette loi est une aberration, qui bafoue le concept familial traditionnel et met au même niveau un fils et un chien”... Hier également, s’inquiétant de la diminution des naissances dans différents pays, le pape François a déploré que “les chiens et les chats prennent la place des enfants”. »

Non seulement les animaux « prennent la place des enfants » mais ils reçoivent des droits tandis que les enfants à naître ne reçoivent même pas le droit à la vie jusqu’à la quatorzième semaine de leur existence.

Comme le disait Jérôme Lejeune, « la qualité d’une civilisation se mesure au respect qu’elle porte aux plus faibles de ses membres. » Mais qu’en est-il d’une civilisation qui porte plus de respect aux animaux qu’à ses membres ? Ses animaux deviennent des membres et ses plus faibles citoyens ne sont plus des membres.

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Le féminisme « entré dans le courant dominant » au Canada ?

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : lightfield studios/Adobe Stock

Selon un article récent de Radio-Canada sur un sondage d’opinion national, « Le nombre de femmes canadiennes, particulièrement les jeunes adultes, qui se décrivent comme féministes a explosé... Au total, 57 % des Canadiennes se proclament comme étant féministes, une augmentation spectaculaire par rapport au tiers des femmes qui se décrivaient ainsi au cours des décennies précédentes. »

Mais s’il y a une augmentation de féministes, il y a certainement une augmentation de pro-avortement, puisque le combat féministe est étroitement lié au combat pro-mort.

Selon Cosmopolitan, c’est en partie à la féministe Simone de Beauvoir, « qu’on a accès à l’avortement, au divorce et à la contraception. » Et Le Devoir rapporte que selon Isabelle Duplessis, professeure spécialisée en droit des femmes à la Faculté de droit de l’Université de Montréal, « l’avortement a été obtenu au terme d’une “grande bataille qui a été menée dans les années 1960-1970 dans la deuxième vague féministe.” »

Si l’avortement a été la première cause de décès en 2021, verrons-nous augmenter encore plus le meurtre des enfants à naître avec ce nombre croissant de féministes ?

« “Il est gratifiant d’apprendre que l’objectif de l’égalité des femmes et le mouvement des femmes restent une force significative dans la société canadienne, y compris chez les jeunes femmes”, a déclaré la sénatrice Donna Dasko, qui a commandé le sondage. Selon elle, le féminisme est entré dans le courant dominant. », rapporte Radio-Canada.

Ce courant dominant dans lequel est entré le féminisme n’est autre qu’un courant mortel de fausses idéologies, et de mensonges. Ce courant prône non seulement l’abolissement de la culture (« cancel culture »), mais aussi l’abolissement de la vie humaine à ses premiers instants.

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Fête de la Sainte-Famille


La fête de la Sainte-Famille dans la liturgie romaine traditionnelle est placée le premier dimanche suivant l’Épiphanie.

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons

S’il y a une institution qui est attaquée plus que les autres, c’est bien celle de la famille.

« Aucune invasion de hordes barbares, s’avançant à travers une contrée florissante et la ravageant par le fer et le feu, n’est aussi odieuse aux regards du ciel qu’une loi qui sanctionne la dissolution du lien matrimonial, ou qui arrache les enfants à la garde et à la direction de leurs parents (Dom Guéranger). »

L’état actuel de la famille est celui de la dévastation. Au lieu de protéger le mariage et la famille, nos lois les détruisent par le divorce, les idéologies contre-nature, l’avortement, l’euthanasie. Le résultat ? la fidélité des parents est branlante, l’autorité des pères de famille se dissout, la féminité des mères de famille est corrompue, l’obéissance des enfants aux parents n’existe presque plus.

Mais s’il y a une solution à cette attaque portée à la famille, c’est bien l’exemple de la Sainte Famille que nous fêtons aujourd’hui.

« Dans tout l’univers, par la miséricorde de Dieu, la famille chrétienne a été établie et défendue par l’Église, comme sa plus belle création et son plus grand bienfait envers la société. Or la lumière, la paix, la pureté et le bonheur du foyer chrétien, tout cela est dérivé de la vie menée par Jésus, Marie et Joseph, dans la sainte maison de Nazareth (Dom Guéranger). »

L’état de la Sainte Famille était celui de la sainteté ; la fidélité, le respect, l’autorité, la pureté, la paix, et la justice régnaient. L’ordre régnait parce que la sainteté régnait. La Sainte Famille recevait toutes les bénédictions de Dieu parce qu’elle plaçait Dieu au centre de tout.

Le désordre détruit les familles aujourd’hui parce que Dieu n’est plus leur raison d’être. Elles ont remplacé Dieu par l’égoïsme.

En cette fête de la Sainte-Famille, supplions-la de protéger, préserver, sauver, et surtout, de sanctifier les familles !

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Trans : « Au-delà » de la réalité

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : lightfield studios/Adobe Stock

Le mot trans vient du latin trans, « au-delà ». L’emploi du mot lui-même est un aveu que cette folie va au-delà de la réalité, et ce qui est au-delà du réel est tout simplement irréel. Les victimes de telles idéologies prétendent « dépasser » la réalité, alors qu’ils ne font que s’enfoncer dans l’irréalité.

Comme le dit Rob Siedlecki, le directeur de l’IFN, « Nous vivons dans un monde à l’envers, où la fiction est la vérité et la vérité la fiction… »

Une personne n’est plus définie par ce qu’elle est, mais par ce qu’elle décide d’être. Rob Siedlecki rapporte dans un article, « La Suisse a désormais rejoint un grand nombre de pays qui permettent à une personne de changer d’identité sexuelle sur simple déclaration... Désormais, pour changer légalement de sexe, il suffit de se rendre dans un bureau d’état civil et de remplir un simple formulaire. C’est aussi simple que cela. »

Le sexe n’est plus une réalité objective. Le sexe a été rabaissé à un coup de crayon sur un bout de papier.

Tant de personnes ferment les yeux à la réalité inhumaine de l’avortement, à l’existence d’un Dieu, ou à l’objectivité tout simplement, alors pouvons-nous être surpris qu’ils ferment les yeux à la réalité du sexe ?

La solution ? Rechercher, aimer, et défendre la vérité. « Pour mettre fin à cette folie, il est nécessaire que les personnes saines d’esprit — qui constituent la majorité de la population mondiale — prennent la parole et exigent que la réalité objective soit prise au sérieux. »

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6 janvier — fête de l’Épiphanie

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Diocèse de Rouen/Wikimedia Commons

C’est impensable qu’aujourd’hui nos chefs d’État se prosternent devant leur Dieu, qu’ils donnent au Roi des rois l’honneur, la reconnaissance, l’adoration qui Lui est dû. C’est impensable parce que nos chefs d’État préfèrent verser des fonds et se prosterner à terre pour des « libertés » plus aliénantes les unes que les autres, pour des gains matériels plus appauvrissants spirituellement les uns que les autres.

Et pourtant, il y a 2021 ans, trois rois ont parcouru un long voyage pour rendre hommage au plus faible des rois, un Dieu Tout-Puissant. Ils ne recherchaient pas l’esclavage de la fausse liberté, de l’argent, du plaisir, mais simplement la soumission libératrice à leur Dieu.

Les trois rois mages, dont nous célébrons la fête aujourd’hui, révèrent par leur soumission la royauté et la puissance du Dieu fait homme. « Ce ne sont plus seulement les bergers qui sont appelés par les Anges à reconnaître le VERBE FAIT CHAIR, c’est le genre humain, c’est la nature entière que la voix de Dieu même convie à l’adorer et à l’écouter. (Dom Guéranger). »

Ils ont cherché la Vérité et une étoile les a guidés vers elle, vers « le chemin, la vérité, et la vie (Jean 14,6). » L’Épiphanie manifeste la récompense infinie donnée à ceux qui recherchent la Vérité. Elle seule peut apporter la paix, l’ordre, et le bonheur que tous ceux submergés par le chaos actuel désirent avidement.

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Un pasteur montréalais : « Je ne prendrai pas part à cet apartheid médical »

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Eno1/AdobeStock

En réaction aux nouvelles mesures sanitaires imposées par Legault, le pasteur Carlos Norbal proteste à nouveau contre les restrictions du gouvernement.

Le mercredi 22 décembre à 13 h ce pasteur s’est présenté devant le bureau du premier ministre pour lui demander de cesser « d’oppresser le peuple québécois » et d’arrêter « d’outrager les églises ».

« Imposer le passeport vaccinal comme condition pour entrer dans l’église est une violation de ma conscience en tant que pasteur et berger d’une communauté religieuse. Je ne prendrai pas part à cet apartheid médical qui crée un retour à une nouvelle forme de ségrégation dans notre société », a déclaré le pasteur.

« Ceci est une agressive attaque contre notre droit à la religion. L’État n’a aucune juridiction dans les choses de l’Église*, c’est-à-dire de la maison de Dieu. Si aucune loi n’est brisée dans les opérations relatives à l’Église, ses affaires ne regardent nullement l’État. »

En novembre 2020, ce même pasteur avait défié publiquement les normes gouvernementales, et avait prédit la violation de nos droits, « On a commencé la descente vers la tyrannie, où n’importe quelle loi peut s’inventer, et le peuple est appelé à se soumettre sans réfléchir. On est dans une passe dangereuse. Les droits qui nous sont pris ne seront jamais remis. »

Dans son récent communiqué de presse plus récent, Carlos Norbal a menacé de s’opposer aux lois si celles-ci venaient à contrevenir à la charte canadienne des droits et libertés, « … si les lois sont injustes, immorales et amorales nous ne les suivrons guère. Nous les opposerons pacifiquement et fermement afin d’exercer et protéger nos droits et nos libertés comme citoyen dans un État démocratique. »

Faisant appel à la constitution, les chartes des droits et libertés, la loi et le Code civil, ce pasteur prend une position claire et met l’autorité en garde contre les violations de ceux-ci, « tout policier ou autorité qui nuit, gène, intimide avant, pendant et après des services religieux ou réunion spirituelle est passible jusqu’à 2 ans de prison. Nous poursuivrons personnellement chaque individu impliqué dans cette violation de la loi afin qu’ils subissent la pleine force de la loi. »


*Certes, « Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu », et ceci s’applique aux rapports entre l’Église catholique et l’État. Quant aux autres religions, en matière religieuse, l’État devrait consulter l’Église en ce qui concerne la politique à tenir par rapport à celles-ci. — A.H.

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Un humble Noël

Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Bodil Karlsson/Nationalmuseum/Wikimedia Commons

Il y a 2021 ans, par une nuit tranquille, par un ciel clair et étoilé, le plus grand événement de l’histoire se produisit : la naissance d’un Dieu fait homme.

Il n’y eut pas de conférences de presse ni d’annonces des dirigeants dans chaque pays et dans chaque ville. La plupart des habitants de la terre ne le surent même pas, et pourtant, cet événement fut le Salut de tous les hommes de tous les temps.

Le premier péché des hommes fut commis dans un jardin, le plus beau jardin de la terre ; mais la naissance de Celui qui répara pour ce péché et pour tous les péchés fut dans une étable, la plus pauvre étable de la terre.

Lorsque des dirigeants de pays ou des célébrités se présentent en public, une foule les acclame, un tapis rouge les accueille ; mais lorsque le Messie de toutes ces personnes importantes se présenta au monde, de simples bergers le regardaient, de la paille sèche l’accueillait.

Ce fut dans cette simplicité pure et comme tout petit enfant que notre Dieu décida de venir à nous.

Demandons à la Très Sainte Vierge Marie, choisie entre toutes les femmes pour être la mère de Dieu, et à Saint Joseph, désigné pour être le père de famille le plus privilégié, de nous apprendre à connaître, aimer, et servir ce nouveau-né dans la crèche de Bethléem.

Je vous souhaite un joyeux et saint Noël !

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